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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | Comment adapter le #retail aux "#omnishoppers" | @LSA

    DE LA TRIBUNE D'EXPERTS | LSA | http://bit.ly/2u3KcSK

    Comment adapter le #retail aux "#omnishoppers"

    En quelques années, le secteur de la distribution a muté. Sous l’impulsion du e-commerce, les boutiques se sont adaptées pour répondre aux nouveaux comportements des clients. Loin d’être mort, le retail s’est renouvelé : nouvelles expériences, nouveaux services, nouveaux espaces, tout (ou presque) a été repensé pour continuer de séduire, conseiller et fidéliser les clients. Géraldine Planche, directrice planning stratégique chez Mediapost Publicité, fait le point sur quelques bonnes pratiques à mettre en place, exemples à l’appui.

    Aujourd’hui, l’opposition entre le online et le offline n’est plus un sujet, la dichotomie entre ces deux mondes n’existe pas pour le consommateur qui passe de l’un à l’autre. À l’image de ces derniers, les marques ont accru les synergies entre leur site et leur boutique physique, en capitalisant sur les points forts de chaque canal. Loin de cannibaliser le point de vente, l’e-commerce l’a finalement ravivé.

    Des parcours d'achat où le point de vente reste central

    Le point de vente reste un point de contact névralgique dans les parcours d’achat. Il est utilisé comme point d’information et contribue fortement à véhiculer les valeurs et l’image des marques. D’ailleurs, tous les composants du point de vente sont plébiscités : les vendeurs en tête (sur le secteur de l’optique il est le 1er point de contact en phase d’information, deuxième pour donner une bonne image et inciter à l’achat) mais également, la vitrine, les catalogues distribués en point de vente, les animations magasins.

     
    La créativité des marques pour inciter à la visite en magasin

    Toutes les étapes du parcours d’achat sont repensées pour toujours plus donner envie aux consommateurs de se rendre en magasin, d’y entrer, de rester et faciliter l’acte d’achat.

    - Allier publicité & shopping bag Pour préparer et inciter à l’achat, Campaillette a distribué un sachet de pain en boite aux lettres, dans les foyers autour de ses boulangeries. Une façon originale de faire de la publicité et en même temps d’inciter le destinataire à se rendre en magasin pour profiter de la promotion présente sur le sachet de pain.

    - Adapter les parcours d’ achat vraiment sur-mesure La notion de temps passé est crucial dans le retail et les points de vente font face à des comportements consommateurs très différents : entre ceux qui font leur achat de façon chronométrée et ceux qui aiment prendre le temps de tout regarder avant d’acheter, une équation difficile à résoudre pour répondre à ces besoins divergents. A titre d’exemple, Target ( deuxième enseigne de grande distribution aux USA) semble avoir trouver la solution : en adaptant son magasin au rythme des clients. L’enseigne propose deux entrées : l’une pour un shopping rapide (speed entrance), l’autre pour flâner. La speed entrance conduit directement les clients vers les rayons alimentaires, propose un service de retrait des commandes en lignes et des places de parking dédiées !

    - Vivre l’expérience produit pour de vrai ! Les boutiques se transforment de plus en plus en appartement pour coller toujours plus à la réalité et projeter le consommateur dans la vraie vie. Au-delà de la mise en scène, certaines enseignes vont un cran plus loin en proposant un vrai usage des produits, ce qui donne des expériences étonnantes : Boulanger n’hésite pas à pousser loin l’expérience client pour augmenter son pouvoir d’attraction. En effet, l’enseigne permet de venir avec son linge sale pour tester une machine à laver ou avec ses légumes pour essayer un robot cuiseur ! .

    - Proposer une approche affinitaire de l’offre Pour proposer toujours plus de praticité (et favoriser les transactions), de nouveaux concepts de magasins « One stop shop » émergent. Ces nouveaux concept stores visent à regrouper au même endroit tous les produits ou services dont les consommateurs ont besoin sur un thème particulier. Bonton regroupe sur trois étages tout l’univers enfant : vêtements, jouets, mobilier, déco, salon de lecture, comptoir gourmand et même un coiffeur.

    - Se faire livrer, tester le produit et / ou le renvoyer Les pure players développent, avec succès, de plus en plus de boutiques In Real Life (IRL) comme Spartoo, Sézane etc. Mais pour ceux qui n’ont pas franchi le pas, ils trouvent des astuces pour contourner les limites du tout digital. Afin de lutter contre le coût des retours devenus exorbitants, Asos, a eu l’idée de proposer un service de click & collect avec cabine d’essayage. Une fois le produit retiré, le client peut l’essayer et le déposer dans un casier s’il souhaite le retourner. Ce service permet aux clients de gagner du temps et de simplifier la démarche.

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    [#CONSOLAB] [RETAIL] | Chez #Plus #Retail, plus de #digital pour #mieux #servir l'#alimentaire | @LSA

    JULIE DELVALLEE | LSA | http://bit.ly/2MCYMIm

    Chez #Plus #Retail, plus de #digital pour #mieux #servir l'#alimentaire

    Le nouveau concept du groupe coopératif néerlandais valorise mieux le frais grâce aux armes numériques: application, douchettes, etc.

    A l’ombre des Albert Heijn et autre Jumbo, se trouve aussi, aux Pays-Bas, un groupe de magasins coopératif, Plus Retail. En 2017, un nouveau concept a été proposé aux adhérents. Celui d’Abcoude, commune au sud d’Amsterdam, a été l’un des premiers parmi les 260 magasins à l’adopter.

    En pénétrant dans ce supermarché de 1 500 m2, une impression de douceur règne. « Nous avons beaucoup travaillé sur la lumière naturelle, confirme Sander Koot, le directeur du magasin. Nous avons privilégié les larges ouvertures vitrées pour gagner en transparence et traduire notre message de naturalité, avec du mobilier clair et en bois. » Comme souvent aux Pays-Bas, on entre par l’espace dédié aux fleurs avant d’arriver sur une vaste zone de produits frais, où les métiers sont davantage mis en avant (meubles bas ou vitrés). Au fond, un espace détente équipé de mange-debout, avec du café offert, invite les clients à s’arrêter un moment. Des tablettes sont ici à leur disposition sur lesquelles ils peuvent lire l’actualité du magasin et voir les messages déposés par les clients pour partager des idées recettes ou des annonces.

    Bons retours des clients

    Le digital, c’est la colonne vertébrale de cette rénovation. Cette transformation s’opère dès l’amont de la visite, grâce à une application mobile. Les clients peuvent voir les promotions en cours dans leur point de vente. Des recettes avec lesdits produits sont disponibles, si le client en sélectionne une, elle se convertit alors en liste de courses virtuelle. À l’entrée du magasin, le self-scanning est vanté, les douchettes disposent de cinq caisses dédiées sur la dizaine présente. Le magasin est relié à StoreMade, équipement développé par Toshiba avec Pricer, qui comprend l’affichage digital des prix. « Cette solution permet une plus grande souplesse dans l’exécution, puisque le directeur du magasin peut lancer une promotion si besoin et l’appliquer en quelques minutes », avance Peter Doldersum, product manager de la division retail de Toshiba.

    Le personnel bénéficie de cette avancée numérique car de nombreux modules d’e-learning ont été développés pour les bouchers et les boulangers. « À ce jour, difficile de mesurer l’impact économique. Ce qui est sûr, c’est qu’on a de bons retours de nos clients sur le magasin. Ils y passent plus de temps, ce qui est toujours bon pour le commerce », conclut Sander Koot. 

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    [#CONSOLAB] [IA] | L'#intelligence #artificielle au service du #retail | @ECOMMERCEMAG

    DE FLORIANE SALGUES | E-COMMERCE MAG | http://bit.ly/2H9QMzA

    L'#intelligence #artificielle au service du #retail

    Connaître les préférences du client, anticiper ses envies et lui proposer l'offre la plus personnalisée : grâce à l'IA, les ambitions des retailers passent du rêve à la réalité. Mamma mIA !

    Influer sur la saveur d'une boisson déjà commercialisée jusqu'à ce que celle-ci soit exactement à votre goût. Recevoir de votre marque préférée une sélection personnalisée de cinq vêtements et accessoires, après avoir répondu à quelques questions sur vos attentes et votre morphologie. Ou, encore, être choyé à la caisse d'un supermarché après que celui-ci ait repéré, via une caméra de reconnaissance faciale, votre insatisfaction. Ces expériences nourries à l'intelligence artificielle (IA) pourraient être le scénario d'un épisode de la série Black Mirror. Il s'agit pourtant bel et bien de la réalité, comme en témoignent IntelligentX Brewing Co, société anglaise dont la bière est brassée à l'intelligence artificielle, Stitch Fix, marque américaine de vente de vêtements en ligne basée sur les data des visiteurs, et WalMart, multinationale spécialisée dans la distribution, en cours de développement d'un outil pour détecter, à l'aide de caméras, les expressions des visages.

    En 2018, l'intelligence artificielle, concept sur lequel travaillent les scientifiques depuis 60 ans, fait une entrée remarquée sur le territoire du retail. "Si ce terme est utilisé à toutes les sauces, commente Christophe Marée, directeur marketing digital Europe de l'Ouest et du Sud chez Adobe France, les outils de machine learning inhérents à l'IA - et qui s'inspirent de la pensée humaine -, combinés aux data, oeuvrent à améliorer les expériences proposées par les marques aux consommateurs."

    L'IA ... pour exploiter les données clients

    Grâce à l'IA, les marques auraient ainsi l'opportunité de mieux connaître leurs clients. Et pour cause : "Il est enfin possible d'exploiter les données non structurées telles que les posts sur les réseaux sociaux, explique Jean-Philippe Desbiolles, vice-­président cognitive solutions d'IBM Watson. Ces éléments, qui représentent 80 % des données générées, deviennent compréhensibles, via les systèmes cognitifs, et donnent la possibilité aux marketeurs d'accéder à une nouvelle masse d'insights pour prévoir les comportements des consommateurs et éviter leur attrition." Car, sans data, pas d'IA. L'équation se veut simple pour les marques en quête de l'implémentation d'une stratégie d'intelligence artificielle. "L'explosion des technologies et des algorithmes offrent aux marques la possibilité de fabriquer un référentiel client unique (RCU), analyse Olivier Mazeron, CEO et cofondateur de Sutter Mills, et ainsi, d'aller plus en profondeur dans la connaissance client." Grâce aux données issues des cartes de fidélité de leurs clients (âge, sexe, identité, adresse, notamment), aux catégories d'achat les plus fréquentes - en ligne et en boutique - combinées aux données de transactions, de navigation et de comportement, aux données exogènes, comme la météo, et aux algorithmes de machine learning et de deep learning, les marques seraient en mesure de personnaliser leur offre, mais, aussi, de détecter les futures tendances ou, encore, d'automatiser nombre de tâches liées à la gestion des stocks.

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    "La donnée devient omniprésente, appuie Christophe Marée. Elle décrit des profils consommateurs, des appétences aux produits, des comportements et même des modes de pensée. C'est son mariage avec les technologies qui permet de réagir de manière prédictive." Cyrillus a bien compris l'importance de l'exploitation des données pour individualiser sa communication. Ainsi, en octobre 2016, l'enseigne combine le traitement de ses data aux outils de recommandations basés sur de l'intelligence artificielle de la jeune pousse Nuukik. Objectif : constituer un catalogue ultrapersonnalisé, un "smartalog" envoyé aux clientes les moins régulières de l'enseigne, afin de les fidéliser. "Le catalogue est pour nous un élément stratégique pour driver du trafic vers nos sites de vente, magasins et site on line", explique Jean-François Louvieaux, directeur marketing et e-commerce de Cyrillus, qui diffuse chaque année 6 millions de catalogues auprès de ses 600 000 clientes. En fonction du segment de clientes, de leurs transactions off line et on line et de la navigation web, la marque a ciblé 100 000 consommatrices et réalisé quelque 80 000 catalogues, tous différents, ainsi que 20 000 catalogues génériques et ce, en moins de trois mois. Photos et textes - récupérés sur le site -, et jusqu'au prénom du consommateur et son magasin de référence, varient. Résultat : un incrément de 5 % du chiffre d'affaires et une meilleure conversion.

    L'IA ... pour devancer les attentes des clients

    Devancer le désir du client : telle est bien la possibilité ouverte par l'intelligence artificielle pour les marques. "L'intelligence artificielle change la donne sur les stratégies marketing depuis un peu plus d'un an", constate Xavier Lapeyrere, senior manager conseil expert CRM et marketing digital au sein du cabinet Umanis, spécialisé dans la business intelligence et le big data. Le professionnel observe ainsi de grands bouleversements dans la capacité des algorithmes à établir des attitudes d'achat, à les prédire et à suggérer aux consommateurs le produit le plus adapté à ses attentes du moment. Les recommandations de produits boostées par l'intelligence artificielle ont ainsi, en moyenne, généré, lors de l'édition 2017 du Black Friday, 30 % des revenus de la vente en ligne et 24 % de ceux réalisés lors du Cyber Monday - le lundi suivant le Black Friday -, selon une analyse réalisée par Salesforce dans 30 pays. Personnalisation des recherches, de la recommandation ou, encore, du contenu d'un site e-commerce...

    RichRelevance, entreprise spécialisée dans la personnalisation omnichannel, a fait évoluer sa solution pour que l'ensemble des données collectées par les retailers soient disponibles en temps réel, et "en particulier la donnée de comportement qui est l'indicateur-clé d'intention d'achat, précise Antoine Leven, directeur de comptes chez RichRelevance France, mais aussi, l'historique d'achat, les segments du CRM, les données produits et textuelles. Ces ingrédients enrichissent l'apprentissage du moteur d'IA." Pour Swap.com, place de marché finlandaise pour vêtements de seconde main vendus aux États-Unis, la personnalisation du moteur de recherche, en constante évolution grâce aux data des visiteurs, a augmenté les performances du site de 7 % en seulement 15 jours "et ce, malgré la complexité d'un site ne vendant pas deux articles similaires", complète le directeur de comptes.

    "Les opportunités de l'intelligence artificielle se trouvent dans la capacité à faire de l'analyse prédictive en temps réel, confirme Sylvain Harault, director solution consulting west Europe de Pegasystems, afin notamment d'engager le client, de lui proposer un nouveau service adapté, de le retenir, mais aussi d'optimiser les canaux pour traiter plus efficacement ses demandes." Ainsi, avec sa solution Retail Advisor, Pegasystems engage les enseignes à tirer parti de leur avantage principal - l'accès donné aux clients au produit physique (le véritable, et non pas une photo) - pour engager leurs consommateurs. Les vendeurs équipés de cette application de clienteling accèdent aux données clients présentes dans tous les canaux (Web, centre d'appels, e-mails, mobile ou réseaux sociaux), et bénéficient de recommandations personnalisées.

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    "Amazon will eat our breakfast, lunch and dinner" [#Amazon #retail #e-commerce]

    'Amazon will eat our breakfast, lunch and dinner,' says Richard Goyder
    By Sue Mitchell, March 2, 2016, Ths Sydney Mornbing Herald, Business Days

    Wesfarmers group managing director Richard Goyder says US online retail behemoth Amazon will "eat all our breakfasts, lunches and dinners", unless Australian retailers become more innovative and barriers to competition are removed.

    Mr Goyder told a retail forum in Sydney on Tuesday his biggest fear was not the competitive threat from Australian retailers, but tech companies such as Amazon, which are gearing up for a major push into Australia.

    "We've got big competition online and through a physical presence … we are in a disruptive, disrupted world," Mr Goyder told about 450 retailers at the Retail Leaders forum.

    Mr Goyder said online retailers such as Amazon, Google and asos.com could trade 24 hours a day, seven days a week and 365 days a year, while Australian bricks and mortar retailers, including Wesfarmers' Bunnings, Kmart, Target, Coles and Officeworks chains, were restricted by archaic trading hours and excessive regulation.
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    In Perth, for example, some large bricks and mortar retailers could only trade for six hours a day on Sunday, which is now the busiest shopping day of the week in other cities.

    However, the concept of pure bricks and mortar retailing was fast abating and all retailers needed to have an online and social media presence, he said.

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    La transparence du point de vente pour attirer les Nouveaux Consommateurs Minimalistes[#marketingdelagrenouille #marketing #promise]

    Transparence : dire ce que l'on fait et le montrer

    L'époque est à la transparence : fiabilité, traçabilité, éthique. Les points de vente n'échappent pas. Ils sont plus spacieux, plus lumineux et se veulent plus lisibles. L'idée est que même depuis la rue, le consommateur puisse saisir d'un seul coup d’œil l'espace de vente, qu'il comprenne l'organisation du magasin (...) Des enseignes comme #Gap, #Sephora ou #GrandOptical s'y sont mis : plus de porte à pousser, des vitrines qui prennent la forme de grandes baies vitrées, vides de toute publicité commerciale.

     

     

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    Globetrotter, ou comment réenchanter le point de vente et l'expérience d'achat [#Marketing #Grenouille]

    La chaîne allemande de magasins de sport Globetrotter ouvre un magasin permettant de tester le matériel en conditions réelles. 

    La chaîne allemande Globetrotter Ausrüstung, spécialisée dans la vente d'équipements techniques pour les sports de plein air, a reçu l'Euroshop Retail Design Awards en 2008 pour récompenser une expérience de consommation particulièrement originale dans ses points de vente. Son Flagship de Cologne en est un des exemples les plus probants. Comment faire tester la qualité d'équipements de sports de plein air à l'intérieur d'un espace clos ? Quelles solutions envisager : des espaces d'essais libres entièrement aménagés pour recréer les conditions climatiques appropriées (une salle de simulation de pluie pour tester l'étanchéité des ponchos de randonnées, une chambre froide pour essayer les tenues de moyenne ou de haute montagne) ou encore destinés à tester le matériel en situation (un bassin de plongée et un espace aquatique dédiée au canoë) permettent aux clients de vivre une expérience en immersion sans précédent, d'autant plus que la décoration fait également la part belle aux matériaux bruts et naturels et que l'environnement sonore a été particulièrement étudié (bruits d'oiseaux, d'animaux, d'eau,etc.)