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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 27

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    [#CONSOLAB] [CONCEPT] | #Maison de la #Presse inaugure un #nouveau #concept dans #Paris | @LSA

    DE MAGALI PICARD | LSA | 

    #Maison de la #Presse inaugure un #nouveau #concept dans #Paris

    Au cœur du nouveau quartier Batignolles-Clichy, le groupe NAP ouvre ce 20 juin une Maison de la Presse nouvelle génération. Six univers y sont représentés. Le concept sera décliné dans 25 autres magasins avant la fin de l'année.

    C'est bien connu : il devient difficile aujourd'hui de trouver un magasin de journaux ou une papeterie dans son quartier. Jugez plutôt : entre 2015 et 2017, 1650 points de vente de presse ont fermé. Avec 1470 Maisons de la Presse et Mag Presse à lui seul, le groupe NAP est donc plutôt bien placé pour renouveler ce genre de commerce. C'est ce qu'il vient de faire en ouvrant une succursale, la deuxième, tout près du parc Martin Luther King et du nouveau Tribunal de grande instance de Paris, dans le 17ème arrondissement de la capitale. Là, entre les immeubles flambant neufs qui sortent tout juste de terre et le bâtiment de Renzo Piano, la Maison de la presse étrenne une nouvelle configuration.

    Magasin de proximité

    Dès la vitrine, la nouvelle identité saute aux yeux. Nouveau logo, plafond noir, éclairage directionnel, sol imitation bois, meubles noirs et bois avec des niches soulignées de jaune pour attirer l'oeil sur des titres ou des livres en particulier, tout change. "Nous nous sommes servis du magasin de Lyon, également exploité en succursale, pour tester toutes ces nouvelles idées de présentation", explique Nicolas Vuittenez, responsable des enseignes et du concept. Si la presse (1800 titres aujourd'hui, 2500 demain) prédomine -elle représente la moitié du chiffre d'affaires avec les livres-, l'offre a ceci de particulier qu'elle est large : livres pour enfants, jouets (notamment avec des Playmobil et des Lego), cadeaux (bougies, goodies...), papeterie et même une gondole consacrée à la téléphonie (surtout des accessoires et un smartphone Wiko). "Nous nous sommes demandés comment relancer les Maisons de la presse dans un nouveau modèle économique avec une vision plus élargie, explique Arnaud Ayrolles, pdg de NAP. Le tout étant d'arriver à un tronc commun d'offre, identifiable pour le consommateur". Et pour les adhérents, ceux-ci restant à convaincre pour adopter le nouveau concept.

     
    Des services, toujours des services

    Ces derniers découlent de partenariats noués avec Free et avec DHL Express. Le premier permet d'acheter des cartes Sim sur une borne ; le deuxième d'envoyer des colis. Cette Maison de la presse version 2018 sera dupliquée dans 25 à 35 magasins d'ici à la fin de l'année. "Nous espérons arriver à un rythme annuel de 130 à 150 magasins rénovés par an", souligne Arnaud Ayrolles. D'ici là, un site web digne de ce nom sera mis en place, pour prendre le relais sur les services.

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    [#CONSOLAB] [BIO] | L’#Oréal crée une #marque de #cosmétiques #bio | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2tbHOc6

    L’#Oréal crée une #marque de #cosmétiques #bio

    L’Oréal a créé une marque de cosmétiques labellisée bio baptisée La Provençale bio. Elle sera lancée en septembre 2018 en grandes et moyennes surfaces. En avant-première, LSA vous fait découvrir cette nouvelle marque.

    Comme Céline Brucker, directrice générale de L’Oréal France Grand Public, nous l'avait annoncé fin 2017, le leader de la beauté revient en force sur le bio en grande distribution en 2018. Après avoir étoffé l’offre déodorant et douche certifiée Cosmebio d’Ushuaïa, la division Grand Public crée carrément une marque : La Provençale bio. Le nom et le logo, en photo ci-dessus, ont été déposés à l’Inpi le mois dernier.

    Sourcing en Provence

    Comme son nom l’indique, il s’agit de cosmétiques certifiés bio dont les ingrédients principaux ont été sourcés en Provence comme de l'huile d'olive. Les produits sont fabriqués en France. Côté offre, La Provençale va proposer des produits d’hygiène (savons, déodorants…) et surtout des soins du visage. Les grands groupes avaient essayé en 2008-2009 d’implanter du bio en grandes et moyennes surfaces (GMS) mais sans réel succès car les formules n’étaient pas au niveau de la cosmétique conventionnelle, en termes d’efficacité et de sensorialité. Depuis, la R&D a fortement progressé et est capable de proposer du bio pouvant rivaliser avec le conventionnel. D'ailleurs, les consommateurs l'ont bien compris et l'hygiène-beauté bio affiche des croissances à deux chiffres alors que le conventionnel recule. Il n'est donc pas étonnant de voir les grands groupes réinvestir ce marché cette année à l'instar d'Henkel qui vient de lancer un deuxième dentifrice ainsi qu'un bain de bouche (une première pour la GMS) certifiés Cosmebio sous sa marque d'hygiène buccodentaire Vademecum. L'Oréal est le premier des grands groupes à réattaquer les soins du visage avec La Provençale.

     
    Une marque complémentaire

    On peut s'étonner de voir L'Oréal ajouter une autre marque à son portefeuille déjà bien fourni. Mais ce choix est cohérent avec les attentes des consommateurs qui sont de plus en plus méfiants face aux grandes marques des PGC. Au vu du logo déposé à l'Inpi, La Provençale joue sur l'authenticité. La Provence parle aux consommateurs, les ingrédients comme l'olive les rassurent. Et puis, c'est connu: les Français sont friands d'innovations et curieux d'essayer de nouvelles marques. Ensuite, les autres marques de soins du visage de L'Oréal Grand Public ont choisi des stratégies différentes du bio: Garnier est axé sur le naturel et Mixa joue la carte "dermocosmétique" avec des gammes inspirées de ce que l'on trouve en pharmacie. La Provençale bio vient donc compléter mais pas cannibaliser les autres marques du groupe. Selon L'Oréal, les produits arriveront dans les rayons en septembre 2018. Gageons que la force de frappe du groupe permettra de mettre fortement en avant cette nouvelle marque. Et l'hygiène-beauté bio devrait continuer à avoir une croissance à deux chiffres en GMS au second semestre.

     

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | Avec #Alexa for #Hospitality, #Amazon veut séduire les #hôteliers | @LUSINEDIGITALE

    DE LENA CORDOT | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2K6eJIU

    Avec #Alexa for #Hospitality, #Amazon veut séduire les #hôteliers

    Avec son offre Alexa for Hospitality, le géant du e-commerce qui a récemment lancé Alexa en France, s'attaque au marché du tourisme. Objectif : équiper les chambres d'hôtel de l'enceinte connectée Echo afin que leurs clients puissent passer diverses commandes directement par la voix, du room service à la gestion de la lumière en passant par la réservation d'activités.

    Amazon mise sur la dépendance à son assistant vocal Alexa, même pendant les vacances ou les déplacements professionnels. Le géant du e-commerce a annoncé mardi 19 juin 2018 la sortie d'une offre spécialement conçue pour les hôtels ou autres logements de location : "Alexa for Hospitality". Un premier client s'est déjà fait connaître. La chaîne Marriott International va déployer la solution dans plusieurs de ses hôtels

    ALEXA PEUT ÊTRE CONFIGURÉ SELON LES BESOINS

    En déployant l'enceinte connectée Echo dans les chambres, les hôteliers permettent l'usage d'Alexa par leurs clients. Ces derniers pourront demander à Alexa diverses informations sur les horaires d'ouverture de la piscine, les massages proposés, le centre de fitness le plus proche, etc. Les hôtels peuvent configurer l'assistant vocal à leur guise afin de permettre la commande auprès du room service, la réservation auprès d'un spa ou pour un massage, ou plus simplement permettre aux clients de régler la lumière, la climatisation ou la télévision de leur chambre.

    Chaque hôtelier peut "customiser" l'assistant vocal à sa convenance en ajoutant les fonctionnalités souhaitées. Par exemple, les clients des hôtels Marriott peuvent demander à Alexa de diffuser une conférence TED Talk. Les premiers hôtels de Marriott International équipés (le Charlotte Marriott City Center et le Marriott Irvine Spectrum, situés aux Etats-Unis) vont permettre au groupe d'étudier les retours des clients et le taux d'adoption de la solution afin de savoir quelles compétences et fonctionnalités ajouter.

    QUESTIONS AUTOUR DE LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE

    Mais Amazon promet déjà une nouvelle fonctionnalité. Bientôt Alexa for Hospitality aura une option permettant aux clients de connecter temporairement leur propre compte Amazon à l'appareil compatible avec Alexa dans leur chambre, explique le géant du e-commerce dans un communiqué. Il sera ainsi possible d'utiliser ses propres services et comptes. Une fois le check-out effectué, Alexa for Hospitality déconnecte automatiquement le compte Amazon, assure Amazon. Protection de la vie privée oblige.

    A ce propos, The Verge précise que l'enregistrement des commandes vocales passées auprès d'Alexa est supprimé tous les jours et que les hôtels n'ont pas accès à ces enregistrements (que ce soit les demandes faites ou les réponses d'Alexa). Une question de vie privée essentielles pour que les clients acceptent d'avoir l'enceinte connectée Echo et sa technologie vocale Alexa dans leur chambre d'hôtel.

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    [#CONSOLAB] [RETAIL] | Les #enseignes #traditionnelles débordées par les #acteurs du #low #cost, du #Web et du #sport | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2t4gmNE

    Les #enseignes #traditionnelles débordées par les #acteurs du #low #cost, du #Web et du #sport

    Le marché français de la mode cherche un nouveau souffle, c’est la conclusion que tire Kantar Worldpanel, qui diffuse les premiers résultats de son étude Référenseigne 2018, basée sur un échantillon de 12 500 consommateurs. Le volume d’affaires du secteur textile/chaussure/accessoires plafonne ainsi à 41,2 milliards d’euros sur les 12 mois, d'avril 2017 à mars 2018. Soit une progression de 0,3 % en valeur.

    Ce très léger rebond observé ne va sans doute pas durer : le premier trimestre 2018 présente un bilan en repli de 3 %, en ligne avec les données communiquées par l’IFM et Procos. D’autre part, le budget mode des clients tricolores reste stable et atteint en moyenne 823 euros par an (-0,5 %) et même 934 euros chez les 50-64 ans. Avec un achat effectué tous les 15 jours.

    On le savait, les rabais proposés par les distributeurs ne font plus autant recette. « Après les soldes, ce sont désormais les promotions qui perdent de leur superbe : seulement 1 % de croissance sur les six derniers mois contre 6 % l’année dernière », relève Kantar Worldpanel.

    Le Référenseigne 2018, qui sera publié à la rentrée, révèle en outre que le comportement d’achat des Français continue de se fragmenter. « Les enseignes traditionnelles spécialistes du prêt-à-porter comme Camaïeu, Celio ou Promod sont les plus en difficulté, attaquées par les chaînes de sport, les e-commerçants et les soldeurs. Le marché ne grossit plus, mais les acteurs y sont toujours plus nombreux : la croissance des uns se fait forcément au détriment des autres », exprime Hélène Janicaud, business unit director chez Kantar Worldpanel. Ainsi, toutes catégories confondues, les entreprises ayant montré le plus fort dynamisme entre 2014 et 2018 au rayon textile s'avèrent être Intersport, Primark, Action et Amazon.

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    Une donnée chiffrée étaie cet engouement croissant pour les prix bas et le discount : entre 2017 et 2018, les quatre acteurs qui ont vu leur nombre de clients progresser le plus côté mode sont Lidl (+5 millions), Aldi (+1,2 million), Intermarché (+0,7 million) et Carrefour (+0,7 million). Autre enseignement, 39 % des Français fréquentent aujourd’hui les solderies mode, alors qu’ils n’étaient que 33 % en 2014. « Le marché est désormais porté par des cibles en recherche de bons plans, peu impliquées et non plus par les fashion addicts ou cibles aisées », atteste l’étude. Un Français sur dix achète ainsi aujourd’hui des vêtements chez Action ou Stokomani.

    Quant au Web, l’enseignement livré par Kantar Worldpanel est qu’Amazon s’impose désormais en France comme le leader online des ventes mode/textile, supplantant de peu Vente Privée, qui se recentre davantage sur le haut de gamme. Le géant du Web Amazon intègre d'ailleurs cette année le Top 20 des enseignes (en part de marché/valeur, voir graphique).

    Enfin, les spécialistes du sport comme Decathlon ou Intersport ont gagné 6 % en valeur, rien que sur l’année écoulée. Intersport fait un vrai bond en avançant de trois rangs pour s’installer à la 2e place des plus gros acteurs du marché des enseignes mode. « Cela s’explique notamment par un engouement non démenti pour le sportswear et les sneakers, Intersport référençant de nombreuses marques et ayant basé son modèle sur la promotion et l’ajustement de l’offre selon l’implantation des magasins, ce qui fait le succès de ce modèle indépendant », analyse Hélène Janicaud. Le classement est toujours dominé par Decathlon, tandis que les Galeries Lafayette pointent à la troisième place du podium (sans La Redoute) et que E.Leclerc, Kiabi, La Halle et H&M reculent.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Apple débarque avec ses #enceintes #connectées en #France | @LSA

    DE MAGALI PICARD | LSA | http://bit.ly/2M0CTBK

    #Apple débarque avec ses #enceintes #connectées en #France

    Deux semaines après Amazon, Apple arrive en France avec ses enceintes connectées, HomePod. Leur prix de vente et leurs fonctionnalités ne les placent pas en rivalité frontale avec les produits Echo, mais la bataille est tout de même engagée.

    "Dis Siri, qui va gagner la Coupe du Monde de football"? Pas sûr que HomePod vous livre la bonne réponse, mais elle pourra vous donner la météo de demain ou lancer le dernier titre de votre chanteur préféré...sur Apple Music, forcément. Car les enceintes connectées lancées par Apple ce 18 juin en France reflètent l'écosystème fermé de la firme. Abonnés à Spotify ou Deezer, passez votre chemin. Idem pour les possesseurs d'un smartphone qui utilise Androïd. Pour se connecter à HomePod, il faut un iPad ou un iPhone sortis après septembre 2013. Il faudra aussi débourser 350 euros, soit trois à quatre fois plus que pour Echo (l'enceinte comparable d'Amazon est affichée à 99,99 euros) ou deux fois plus que Google Home (149 euros).

    Excellente qualité sonore

    Tous ceux qui l'ont testée s'accordent sur un point : la qualité sonore d'HomePod est bluffante. L'enceinte d'Apple embarque aussi un assistant vocal, Siri, mais son usage reste cantonné à des questions-réponses sur le quotidien. Impossible d'effectuer des achats comme avec Echo. Autre grande différence, HomePod est pour l'instant limité en termes de maison connectée, tant le nombre d'appareils qui peuvent lui être reliés est faible.

    Google dépasse Amazon

    Il n'empêche, l'arrivée d'un troisième géant sur les enceintes connectées renforce la bataille autour de ces objets de demain. D'autant que, entre Google et Amazon, le gagnant n'est pas celui qu'on croit. Au premier trimestre 2018, Google a vendu dans le monde 3,2 millions de ses enceintes Google Home et Amazon 2,5 millions, selon les chiffres de Canalys. Ce qui lui permet de s'arroger 36,2 % de part de marché, quand Amazon doit se contenter de 27,7%. La croissance des ventes totales d'enceintes connectées dans le monde (+210%) au premier trimestre laisse songeur. En France, GFK les estime à 250 000 unités vendues. Des chiffres qui encouragent d'autres acteurs à se lancer. Alibaba et Xiaomi prennent la troisième et quatrième place du marché et s'imposent comme les premiers acteurs dans leur pays d'origine, la Chine.

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    [#CONSOLAB] [INVESTISSEMENT] | #Google #investit 550 millions de dollars dans l'#e-commerçant #chinois #JD.com | @LUSINEDIGITALE

    DE JULIETTE RAYNAL | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2MzIH6w

    #Google #investit 550 millions de dollars dans l'#e-commerçant #chinois #JD.com

    Google multiplie ses investissements en Asie pour profiter du développement de la classe moyenne. La firme de Mountain View place cette fois 550 millions de dollars (environ 475 millions d'euros) dans l'e-commerçant chinois JD.com

    Google renforce sa présence en Asie. La firme de Mountain View vient d'investir 550 millions de dollars (environ 475 millions d'euros) dans l'e-commerçant chinois JD.com, principal concurrent du numéro un Alibaba. En contrepartie de cette augmentation de capital, Google détiendrait désormais un peu moins de 1% du capital de l'entreprise. Dans un communiqué de presse commun, les deux sociétés expliquent vouloir collaborer sur une série d'initiatives stratégiques, dont le développement de nouvelles solutions retail en Europe, aux Etats-Unisainsi qu'en Asie du Sud-Est.

    GOOGLE INTÉRESSÉ PAR L'INDIEN FLIPKART ?

    L'objectif est d'associer l'expérience de JD.com en matière de supply chain (l'e-commerçant a récemment dévoilé à Shanghai un entrepôt hautement robotisé qui n'emploie que quatre humains) avec le savoir-faire de Google en data, marketing et connaissance client pour développer de nouveaux produits en ligne. Ce rapprochement devrait donc se traduire, en premier lieu, par la promotion des produits de JD.com sur la plate-forme Google Shopping à travers le monde.

    Cotée au Nasdaq, la société JD.com est aujourd'hui valorisée environ 60 milliards de dollars. Parmi les principaux actionnaires de JD.com figurent l'américain Walmart mais aussi le chinois Tencent, à l'origine de l'application Wechat et grand rival d'Alibaba et de son application Alipay.

    Depuis quelques mois, Google accélère ses investissements sur le continent asiatique afin de profiter du développement de la classe moyenne et du manque d'infrastructures dans le retail et la finance, notamment. Par ailleurs, Google est récemment entré au capital de l'indonésien Go-Jek, spécialiste des services de VTC, et selon des sources de l'agence Reuters pourrait investir dans l'e-commerçant indien Flipkart.