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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 67

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    [#CONSOLAB] [STORE] | #Amazon #Go may be #ready to #debut | @THESTRAITSTIMES

    FROM THE STRAITS TIMES | http://bit.ly/2j81Qys

    #Amazon #Go may be #ready to #debut

    Walk in, get the items you want, then walk out of the store? For the past year, Amazon employees have been doing just that, test-driving Amazon Go, an experimental convenience store in downtown Seattle.

    The idea is to redesign the shopping experience - without the need for consumers to ever stand in line at a cashier - whether human or scanning-cum-payment machine. Amazon is vague on the mechanics, but the store relies on a mobile app and some of the same sensing technology that powers self-driving cars to figure out who is buying what. Employees have tried to fool the technology.

    One day, three enterprising Amazonians donned bright yellow Pikachu costumes and cruised around grabbing sandwiches, drinks and snacks. The algorithms nailed it, according to a person familiar with the situation, correctly identifying the employees and charging their Amazon accounts, even though they were obscured behind yellow polyester.

    Amazon Go represents the company's most ambitious effort yet to remodel the brick-and-mortar shopping experience by eliminating the checkout line, saving customers time and furthering its reputation for convenience. The push into groceries is a way for the company to get consumers to shop at Amazon more often. The e-commerce giant unveiled Amazon Go last December, saying it planned to open the store to the public early this year.

    However, it encountered technical difficulties and postponed the launch to work out the bugs, The Wall Street Journal reported in March. Seven months later, challenges remain, but the "just walk out" technology has improved markedly, added the source. And in a sign that the concept is almost ready for prime time, hiring for the Amazon Go team has shifted from the engineers and research scientists needed to perfect the platform to the construction managers and marketeers who would build and promote the stores.

    Shoppers visiting an Amazon Go outlet will scan their smartphones upon entering. Cameras and shelf sensors will work together to figure out which items have been removed and who took them. There will be no need for tracking devices, such as radio frequency chips, embedded in the merchandise. When shoppers leave, algorithms will total the order and bill their Amazon account.

    Amazon GO, Ready, debut

    The system is working well for individual shoppers, but still struggles to accurately charge people who are moving around in groups, such as families with kids who like to grab stuff, the source noted. Amazon Go engineers have been studying families shopping together and are tweaking their sensors to recognise when a child eats an item while wandering around the store. Engineers are also figuring out which person to charge when a couple go shopping together.

    Amazon has encouraged employees to enter the store in pairs and buy lunch. The company is conducting further tests and focus groups in Seattle, the source said. The focus groups are used to design protocols for in-store returns, spoilt or damaged merchandise and customer service issues that are common to brick-and-mortar retail. it is unclear how quickly Amazon Go will ramp up.

    The company has moved deliberately with its brick-and-mortar book stores, opening just 13 in seven American states since launching the first in Seattle two years ago. Analysts expect a version of Amazon Go technology to be rolled out eventually at Whole Foods Market, the upscale grocery chain that the company acquired in September. That is a far more challenging prospect because Whole Foods locations are much larger than the 1,800 sq ft convenience store and carry thousands more products.

    Amazon will need a lot more testers wearing Pikachu costumes to pull the seamless experience off.

    WASHINGTON POST

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    [#CONSOLAB] [PRODUITS] | #Monoprix #développe son offre de #cosmétiques #bio | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2yThdkM

    #Monoprix #développe son offre de #cosmétiques #bio

    Monoprix étend sa nouvelle marque cosmétique de soins du visage sur le segment du bio. 7 références sont en train d'arriver en magasin.

    En juin, Monoprix lançait sa nouvelle marque cosmétique "la beauté du visage". Cinq mois plus tard, elle élargit son offre sur le segment du bio. La ligne simplement nommée "la beauté bio" se compose d'une mousse nettoyante, de lingettes et d'un lait démaquillants, d'une eau micellaire, d'une eau à la rose, d'une crème hydratante et d'un contour des yeux. Ces sept références certifiées Cosmebio sont en train d'arriver dans les magasins de l'enseigne. Elles bénéficient du même design épuré que les produits lancés en juin dernier. Les noms des produits vont aussi à l'essentiel comme "la mousse qui nettoie" ou "la crème qui hydrate".

    Monoprix, développe, cosmétiques, bio

    Ces références remplacent l'ancienne marque bio de Monoprix. Avec cette nouvelle marque, l'enseigne veut recruter les consommateurs de plus en plus nombreux à se tourner vers le bio. Sur les sept premiers mois de l'année, l'hygiène-beauté bio a vu ses ventes progresser de 24% en valeur en hypermarchés et supermarchés selon Iri.

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    [#CONSOLAB] [COSMETIQUES] | Un #vernis qui peut #changer de #couleur | @L'ADN

    DE SYLVIE LE ROY | L'ADN | http://bit.ly/2j8hJVv

    Un #vernis qui peut #changer de #couleur

    Working-girl le jour, glamour le soir… De Blangy fait monter la température avec des vernis qui changent de couleur à la demande.

    Plus besoin de perdre 40 minutes pour changer de manucure, désormais 10 secondes suffisent. Pour passer d’une couleur à une autre, il suffit d’appliquer sur les ongles, avec de l’eau par exemple, du chaud à 40° pour changer une première fois de couleur ou du froid à 6° pour revenir à la couleur initiale. Chacune des deux couleurs reste stable sans limite de temps. On peut répéter ce rituel plusieurs fois par jour. Au cœur de cette innovation, la découverte d’un pigment révolutionnaire par Benjamin de Blanzy et Nicolas Rauber, fondateurs d’INK AND OUT. Pour mener à bien ce projet, ils ont profité de l’expertise de chercheurs.

    Passionné depuis toujours par la science et entrepreneur depuis de longues années, j’ai toujours trouvé dommage de ne pas pouvoir allier les deux.  C’est désormais chose faite. », précise Benjamin de Blanzy.

    La première gamme propose 6 duos de couleurs donc, douze par extension. Pour autant, le prix de vente devrait varier entre 13 et 15 euros le flacon « Les femmes ont de plus en plus recours au semi permanent, elles sont donc contraintes de porter la même teinte pendant 3 semaines. »

    « Notre vernis permet, en particulier aux femmes actives, d’avoir toujours deux personnalités au bout des doigts : classique le jour, plus espiègle le soir », Julie Preud’homme, responsable communication chez De Blangy. « Les femmes que nous avons interrogées nous expliquent que le vernis est le seul maquillage qu’elles voient tout le temps. Passer en un clin d’oeil d’un rouge carmin à un noir profond par exemple, suggère un état d’esprit très différent. »

    Vernis, changer, couleur

    Fin 2016, la startup a remporté le prix Start in Cosmetics de la meilleure jeune entreprise innovante de moins de 3 ans. Très sollicitée lors du salon cosmetic 360, la technologie est déjà convoitée par les plus grands acteurs du marché avec qui la startup est actuellement en discussion.

    « Le marché du vernis a explosé dans les années 2000, mais il connaît depuis quelque temps une vraie perte de vitesse, faute d’innovation. Nous pensons que notre vernis peut relancer ce segment des cosmétiques. », explique Benjamin de Blanzy, « Pour ce qui est de la cible, si notre premier choix était la femme active, 35/45 ans pour le coté très fonctionnel du produit, on s’est aperçu qu’il suscitait un véritable engouement auprès des 20/30 ans. Notre vernis apporte une réponse super intéressante à l’idée très en vogue ; ‘une femme, plusieurs vies’ mais il a également cet aspect magique et fun qui plait aux plus jeunes. »

    De Blangy a fait le choix de se tourner vers le marché des professionnels plus facile à toucher et avec moins de moyens. La partie retail sera confiée à un grand groupe cosmétique. La startup compte sortir une première gamme dans une sélection de salons de manucure avant l’été. 

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | Les #secrets de #PriceMinister pour rendre sa #clientèle "#addict" | @LSA

    DE JULIE DELVALLEE | LSA | http://bit.ly/2mtr0wc

    Les #secrets de #PriceMinister pour rendre sa #clientèle "#addict"

    Comment fidéliser en ligne ? La réponse de PriceMinister-Rakuten passe d'abord par son Priceclub, monté en 2016, qui revendique aujourd'hui près de 600 000 membres, et par quelques pépites que Raphaël Bonstein, directeur de l'expérience client, a dévoilé lors de la journée FutureNow orchestrée par Content Square.

    "Dans l'e-commerce, il faut savoir créer de fidélité. Pour y parvenir, j'ai mes pépites", confie tout sourire Raphaël Bonstein, head of product and experience chez Priceminister-Rakuten, à l'occasion de FutureNow, l'événement organisé par Content Square. "Pépite" signifie pour l'homme "Petits extras pour inciter à l'exploration". Une jolie formule pour caractériser à la fois les petites astuces mais surtout la politique de fidélisation du site, accélérée depuis 2016, qui semble aujourd'hui porter ses fruits.

    Retour en arrière. En 2016, Priceminister-Rakuten sort l'adaptation française du Rakuten club et crée le Priceclub "Avant, Priceminister offrait en cashback de 1 % du montant des achats à tous les clients, mais le message n'était pas clair. Avec le PriceClub, on offre 5 % uniquement à nos membres, et 7 % à ceux qui passent par le mobile" synthétise Raphaël Bonstein, à la tête d'une équipe de 15 personnes. Le PriceClub, qui est accessible à plusieurs endroits du site, propose un système de "Superpoints", que le client peut dépenser à tout moment sur la marketplace. Cette mécanique a permis de redonner 8 millions d'euros à sa clientèle, assure le patron de l'expérience client. Il offre en outre toute une batterie d'avantages (...).

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    Aujourd'hui, le PriceClub compte 600 000 adhérents "A l'origine, nous visions un million d'abonnements pour les trois ans du PriceClub, je pense que nous les atteindrons avant", se félicite Raphaël Bonstein. Une formule payante, à en croire Fabien Varsavau, directeur général adjoint (DGA) interrogé par LSA lors de Paris retail week. Ces membres constitueraient en effet un quart de sa clientèle et lui apporteraient 40% de son chiffre d'affaires, selon les dires du DGA. 90 % du volume d'affaires de l'application mobile proviendrait de ses adhérents !

    Si plusieurs e-commerçants commencent à monter leur programme de fidélité, à l'instar de Sarenza à la rentrée 2017, Priceminister se distingue par une démarche très structurée. Pour créer de l'engagement, il délivre par exemple des SuperPoints dès que le client donne son avis sur un produit. Il encourage également ses quelque 10 000 vendeurs à personnaliser au maximum l'achat, en incitant par exemple les particuliers qui vendent des livres à glisser un petit mot à leur destinataire, explique encore Raphael Bonstein, ci-contre. Prochaine étape? Enrichir ce programme en s'appuyant sur l'écosystème du japonais Rakuten, qui détient notamment son propre service de VOD, Wuaki TV, et Viber. De nouvelles pépites prometteuses pour fidéliser et créer un avantage concurrentiel, dans le secteur très disputé de l'e-commerce.

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    [#CONSOLAB] [CIBLE] | Avec #Optic #2000 #Kids, l'enseigne renforce ses #services et son #expertise pour les #2-8 ans | @ACUITE

    DE ACUITE | http://bit.ly/2imFmdj

    Avec #Optic #2000 #Kids, l'enseigne renforce ses #services et son #expertise pour les #2-8 ans

    Dans l'objectif de développer ses parts de marché sur le segment « enfant », Optic 2000 renforce ses services et son expertise pour la prise en charge des jeunes porteurs de 2 à 8 ans. Un nouvel espace dédié, testé dans une vingtaine de magasins de la coopérative, sera déployé à tout le réseau d'ici fin 2018. La théâtralisation de l'offre, l'identification de l'espace et les éléments de gestion de l'attente ont été pensés pour séduire les petites filles et petits garçons.

    Un magasin Optic 2000 réalise environ 8% de son chiffre d'affaires total avec l'enfant, dont 1,6% pour les 2-8 ans. « Si nous sommes un peu en retard sur l’optique pour enfants, c’est parce que nous surperformons ailleurs, explique Yves Guénin, secrétaire général du groupe. Nous faisons 46% de notre chiffre avec des équipements progressifs quand la moyenne du marché est à 39% ». L'enseigne estime donc que le segment de l'enfant est aujourd'hui un levier de croissance pour ses 1 200 points de vente.

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    En s'appuyant sur l'expérience et le savoir-faire de Lissac, Optic 2000 a conçu un espace dédié. Optic 2000 Kids, c'est un mobilier adapté et facilitant l'attente des plus jeunes, ainsi qu'une gamme de montures spécifiques (90 modèles minimum en exposition). Pour imaginer l'environnement, l'enseigne a fait appel à une illustratrice. Dorothée de Monfreid, auteure de 50 ouvrages, a pensé et créé un univers amusant autour des personnages "les toutous" afin d'accompagner les familles dans le parcours d'équipement. Un livre illustré dédié à l'optique est également en cours de réalisation et sera distribué dans les magasins au 1er trimestre 2018.

    L'enseigne a également mis en place 2 offres dédiées aux 2-8 ans. La 1ère met en avant les montures MDD Whaoo combinées aux verres Essilor Airwear Junior Crizal Prevencia pour 119€ (prix de vente maximum conseillé). Aussi pour l'achat d'un équipement de 150€ minimum, le jeune porteur se voit proposer une 2ème paire à la vue pour 1€ avec le supplément lumière bleue offert ainsi qu'une 3ème paire solaire à la vue pour 29€ de plus.

    Pour appuyer ce nouveau service, dans les 1 200 points de vente de l'enseigne, un opticien diplômé est formé à l'accueil spécifique des enfants. Cette formation, comprenant plusieurs modules techniques et théoriques illustrés par des cas pratiques, se tient sur 2 jours au siège du groupe, à Clamart (92). Enfin, des modules e-learning et des formations en région sont proposés à l'ensemble des collaborateurs pour acquérir les premières bases d'une bonne prise en charge de l'enfant.

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    [#CONSOLAB] [LAUNCH] | #Forever #21 is launching a new #beauty #store | @THE STATE

    DE JANET JONES KENDALL | THE STATE | http://bit.ly/2zG4yVU

    #Forever #21 is launching a new #beauty #store

    The parent company of Forever 21 will soon take over its additional space inside Columbiana Centre Mall where it will unveil its new concept cosmetics store, Riley Rose.

    Riley Rose will occupy space previously held by an AT&T store on the opposite side of the mall from its sister Forever 21 which is located at the mall's main front entrance. Riley Rose will take occupancy of the space Dec. 1, according to mall general manager Andy Peach, and will begin construction immediately. the store is expected to open in spring 2018.

     

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    Columbiana is one of 13 regional shopping centers selected to be home to Riley Rose which is being launched through a partnership with General Growth Properties--which owns and operates Columbiana Mall--and the youth-focused fashion retailer Forever 21 Inc.

    "Forever 21 is always ready to expand into new concepts, and has partnered with GGP to open stores in 13 of their top tier locations," said Do Won Chang, CEO of Forever 21. "These new, experiential spaces will be focused on accessories, cosmetics and home goods for the millennial consumer. We will open 10 stores in 2017, and follow up with three more in 2018."

    Riley Rose is the example of GGP’s strategy to meet the needs of the consumers, according to GGP CEO Sandeep Mathrani.

    "Customers have come to expect lifestyle options at their regional shopping centers," Mathrani said. "Millennials have embraced the Forever 21 brand and GGP is thrilled with the introduction of Riley Rose. We know our shoppers will enjoy it."

    GGP currently owns and operates 127 retail properties in 40 states, including Columbiana Centre.