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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 66

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #Vente-privee innove dans l'#expérience d'#achat | @LESECHOS

    DE CLOTILDE BRIARD | LES ECHOS | http://bit.ly/2B5Fyot

    #Vente-privee innove dans l'#expérience d'#achat

    Le site a lancé avec l'artiste Brocken Back un clip interactif où l'Internaute se fait styliste et peut acheter les vêtements qu'il fait porter aux personnages.

    Vente-privee a l'habitude de faire parler de son site par des initiatives sortant de l'ordinaire. Dernière opération en date : son alliance avec l'artiste Broken Back donne naissance à un clip d'un genre nouveau, lancé ce mercredi 22 novembre, à l'occasion de la sortie du titre « The Sooner the better ». Lorsque la vidéo tourne sur le site www.youarethestylist.com/fr , l'Internaute a le pouvoir de modifier le cours de l'histoire_ inspirée de celle de Benjamin Button avec des héros qui rajeunissent au fil du temps_, en faisant varier les tenues des personnages. Et il peut les acheter par la même occasion.

    Vente-privée, expérience d'achat

    Toucher de nouveaux publics. S'il s'agit d'une opération spécifique, elle illustre bien les recherches que font les acteurs de la vente en ligne pour apporter de nouvelles expériences d'achat plus ludiques aux consommateurs. Et leur appétence à toucher d'autres communautés, en l'occurrence celle des fans de Broken Back.

    Ce mode particulier de commercialisation durera une dizaine de jours mais le clip sera, lui, disponible durant trois mois. De quoi donner un autre type de visibilité à Vente-privee en l'attachant au nom d'un artiste electro-folk.

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | Les marques en #ligne se dotent d'espaces de #vente #physiques | @FASHIONNETWORK

    DE BARBARA SANTAMARIA | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2iGDzjG

    Les marques en #ligne se dotent d'espaces de #vente #physiques

    Le showrooming est la dernière tendance en date pour le secteur de la vente au détail. De plus en plus de détaillants en ligne présentent leurs produits dans des espaces physiques, face au ralentissement de la croissance des ventes en ligne.

    Plusieurs marques, comme la griffe française Sézane, qui a démarré sur eBay avant de distribuer ses produits sur son propre site d'e-commerce, ou ME+EM, l'une des marques préférées de Kate Middleton, suivent cette tendance et ouvrent des magasins physiques à Londres. Sézane a ouvert un magasin éphémère sur South Molton Street ce mois-ci, tandis que ME+EM a récemment inauguré son troisième magasin londonien à Notting Hill.

    en ligne, vente physique

    Pour ces marques, l'objectif principal n'est pas nécessairement de générer des ventes, mais plutôt de renforcer la fidélité de leurs clients. Au final, l'idée est de stimuler les ventes en ligne, selon Colliers International, cabinet de conseil canadien spécialisé dans l'immobilier commercial.

    Colliers International a étudié plus de 30 marques en ligne sur le marché Europe/Moyen-Orient/Afrique, qui ont toutes ouvert des showrooms. Selon lui, cette tendance fait suite à un léger ralentissement des ventes en ligne : le taux de croissance des ventes d'e-commerce devrait décliner de 11 % à 7 % d'ici 2021. Le « showrooming » concerne tous les types de marques, notamment celles qui étaient précédemment distribuées par des revendeurs, comme Samsung, Dyson et Volkswagen, et qui commencent à explorer la vente directe au consommateur grâce à leur propre réseau de magasins. Aux Pays-Bas, l'une des marques en ligne qui a acheté le plus d'espaces physiques est le détaillant de bicyclettes Fietsenwinkel. L'entreprise a ouvert plus de 30 salons d'exposition, où les consommateurs peuvent tester leurs produits avant de les acheter sur Internet.

    « Le taux des ventes sur Internet devrait diminuer dans les quatre prochaines années; c'est pourquoi de nombreux détaillants en ligne voient dans le principe des showrooms un remède au déclin de leurs bénéfices », explique Paul Souber, coresponsable pour la vente au détail dans la région Europe/Moyen-Orient/Afrique chez Colliers.

    « Le nombre croissant de showrooms dans des environnements de shopping "physique" permet à la fois de générer plus de ventes en ligne, d'augmenter la visibilité des marques, de promouvoir la fidélité des clients et d'offrir aux consommateurs la possibilité de voir, toucher et sentir les produits. » 

    « La tendance est aussi motivée par des considérations budgétaires. Il n'est pas rare que 40 % des commandes d'articles de mode en ligne soient retournées par les consommateurs, sans achat définitif. Ce taux est un véritable fardeau logistique, très coûteux, pour les marques en ligne. » 

    Investir des espaces physiques pour en faire des showrooms représente d'autre part un intérêt financier pour les marques. Les showrooms sont en effet souvent situés dans des zones immobilières de second ordre - et donc à faible loyer, toujours selon Colliers.

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    [#CONSOLAB] [ACHATS] | #Black #Friday et #Cyber #Monday : les #Français achèteront pour plus de #944 millions d'euros | @LSA

    DE JULIE DELVALEE | LSA | http://bit.ly/2i1wflJ

    #Black #Friday et #Cyber #Monday : les #Français achèteront pour plus de #944 millions d'euros

    Les consommateurs français dépenseront en moyenne 117,93 € durant Black Friday et Cyber Monday, selon une étude Kantar TNS pour eBay. Parmi les plus intéressés par ces promotions : les millenials ; 44% d’entre eux prévoient en effet de faire des achats durant cette période.

    La vague de promos déferlent aussi en France. Le temps fort promotionnel, qui se déroulera cete année vendredi 24 novembre 2017, gagne en visibilité : 63% des Français ont entendu parler de ce long week-end de promotions selon une enquête réalisée en ligne par Kantar TNS auprès de 2 883 Français âgées de 18 à 64 ans, du 12 au 16 octobre 2017, pour eBay. Les millenials (16-34 ans) sont les plus au fait et les plus intéressés par Black Friday et Cyber Monday (le lundi suivant le black Friday, c’est-à-dire le lundi 27 novembre 2017 pour cette année). Ils sont en effet 68% à connaitre cet événement contre 60% pour les consommateurs âgés de 35 à 64 ans.

    Black Friday, Cyber Monday, Français, 944 millions d'euros

    Les Français seront 31%, soit plus de 8 millions de personnes, à réaliser des achats à l’occasion du Black Friday et du Cyber Monday. En matière de budget, les consommateurs français devraient, au total, dépensé plus de 944 millions d'euros. Dans le détail, les foyers achèteront durant cette période pour 117,93 € en moyenne. Ils seront ainsi 77% à dépenser plus de 51€ et 42% plus de 100€. Les femmes seront plus raisonnables que les hommes puisque seulement 17% d’entre elles envisagent de dépenser plus de 100€ tandis que ces messieurs seront 27%. Les millenials seront également au rendez-vous puisqu’ils seront 44% à vouloir acheter durant ce temps fort, contre 24% des 35-64 ans.

    Si cette vague de promos plait tant, c’est aussi parce qu’elle intervient à un moment clé, un mois tout juste avant de déballer les cadeaux sous le sapin. 47% des Français achetant des cadeaux pour Noël réalisent leurs achats en novembre. Dernier enseignement de cette étude, 39% des Français se disent encore indécis au sujet de cette opération. A coup sûr, l’importance des promotions et du relai accordé à ces opérations doperont sans doute les achats d’impulsion.

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Aldi s’implante à #Paris et #Nice et teste un nouveau #concept | @LSA

    DE MORGAN LECLERC | LSA | http://bit.ly/2z7PYDp

    #Aldi s’implante à #Paris et #Nice et teste un nouveau #concept

    Le discounter allemand ouvre coup sur coup des magasins à Paris et à Nice, ce qui constitue une petite nouveauté pour l’enseigne. En plus de s’implanter dans des grandes villes, Aldi va y déployer -et tester- un concept plus qualitatif, qui laisse imaginer une sortie prononcée du hard discount (comme Lidl depuis 2012).

    Aldi fait ses premiers pas dans les grandes villes et y teste un concept spécifique, qui pourrait préfigurer le futur visage de l’enseigne. Selon nos informations, l’enseigne, qui s’implante d’ordinaire en périphérie des villes ou en milieu rural, a ouvert un magasin Nice il y a quelques jours, boulevard Virgile Barel. Sur une surface de 1400 m², Aldi déploie un magasin ou le frais est plus présent, ou la décoration et l’ambiance sont plus travaillées, tout comme la signalétique, des sujets qui étaient jusqu’ici les parents pauvres de l’enseigne. Côté encaissement, on trouve toute la panoplie d’habitude présente dans les enseignes classiques de proximité (caisses classiques, et caisses panier ou le client réalise lui-même les opérations). LSA vous proposera très prochainement une visite en photo de ce concept, dont le but est de se positionner comme un supermarché de proximité. Un vocable et une transformation qui ne sont pas sans rappeler l’évolution de Lidl entamée en 2012, lors que le compatriote d’Aldi a décidé de sortir du hard discount. Toujours selon nos informations, Aldi est activement en recherche d’emplacements de 1400 m² dans les villes, ce qui n’est pas toujours réalisable.

    Aldi, Paris, Nice, nouveau concept

    Ainsi, Aldi s’apprête à ouvrir dans Paris, sur une surface légèrement inférieure. L’inauguration est fixée au 22 novembre dans le 20 arrondissement, et plus précisément au 129 boulevard Davout, ce qui constituera une première pour l’enseigne dans la ville intra-muros (on comptait déjà un Aldi à Charenton le Pont, et un autre à Clichy, à quelques centaines de mètres de la capitale). Cette annonce a été faite par la foncière Française Real Estate Partners, qui assure la gestion de l’immeuble concerné. "Aldi développera son nouveau concept adapté au centre-ville sur une surface totale de 980 m². Les clients bénéficieront de 95 places de stationnement directement reliées au local" précise le bailleur. Du côté de l'enseigne visible de l'extérieur, les yeux avertis noteront qu'en lieu et place du logo Aldi,c'est dorénavant un "Aldi Supermarché" qui apparaît, une évolution loin d'être anecdotique.

    Compte tenu du montant des loyers et de la guerre commerciale que se livrent les enseignes de proximité, des acteurs comme Lidl ou Aldi peinent encore à s’installer dans Paris, d’autant que les emplacements ne sont pas toujours adaptés à la duplication de leurs concepts très normés. Ainsi, Lidl malgré ses 1500 magasins en France n’en compte que 16 dans la ville intra-muros.

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    [#CONSOLAB] [ASSOCIATION] | #Auchan et #Alibaba s’associent dans la #distribution en #Chine |@LEMONDE

    DE AFP ET REUTERS | LE MONDE | http://lemde.fr/2zlJsNr

    #Auchan et #Alibaba s’associent dans la #distribution en #Chine


    L’alliance vise à combiner l’expertise des deux entreprises dans le commerce traditionnel et la vente en ligne.

    Le groupe de grande distribution français Auchan va s’allier au géant chinois du commerce électronique Alibaba pour développer le commerce physique et numérique en Chine, ont annoncé les deux distributeurs lundi 20 novembre dans un communiqué commun. Aux termes de leur alliance, Alibaba, propriété du multimilliardaire Jack Ma, va investir 2,44 milliards d’euros dans Sun Art Retail Group, l’un des principaux exploitants d’hypermarchés en Chine, dont Auchan possède plus du tiers du capital.

    L’alliance vise à combiner l’expertise des deux entreprises dans le commerce traditionnel et la vente en ligne, selon le communiqué. « La nouvelle alliance permettra à l’ensemble des activités de Sun Art de bénéficier de l’écosystème digital d’Alibaba », expliquent-elles.

    Auchan, Alibaba, distribution, Chine

    Alibaba va prendre 36,16 % du capital de Sun Art, soit une part très légèrement inférieure à celle d’Auchan, qui en détient 36,18 % via sa filiale Auchan Retail. Alibaba rachète en fait les parts du partenaire taïwanais d’Auchan, Ruentex, qui ne conservera que 4,67 % du capital.

    Cette alliance s’inscrit dans la stratégie d’Alibaba, qui a commencé à se rapprocher avec des chaînes de magasins en dur, du spécialiste de l’électroménager Suning au géant de la distribution Shanghai Bailian.

    Le groupe chinois a ainsi lancé une chaîne de supérettes hyperconnectées, Hema, dans lesquelles les consommateurs scannent et paient leurs achats sans aucune assistance extérieure. Sun Art exploite aussi déjà le même type de magasins de proximité ainsi que des supermarchés sous la marque Auchan Minute.

    La filiale chinoise d’Auchan se présente comme le leader de la distribution alimentaire physique en Chine, pays où le commerce en ligne a pris une position considérable, largement grâce à la puissance d’Alibaba. Sous ses enseignes Auchan et RT-Mart, Sun Art exploite 490 magasins en Chine et emploie 140 000 employés, selon le communiqué.

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Auchan, le roi des #hypers, acquiert enfin la #science du #supermarché | @LESECHOS

    DE PHILIPPE BERTRAND | LES ECHOS | 

    #Auchan, le roi des #hypers, acquiert enfin la #science du #supermarché

    Le distributeur a déjà transformé 100 de ses Simply Market en Auchan Supermarché. Des rénovations qui mettent l'accent sur les rayons frais et poussent les ventes.

    Enfin, une bonne nouvelle pour Auchan France ! La relance de ses supermarchés paraît bien engagée, alors même que le distributeur nordiste est malade de ses hypermarchés. « Le chiffre d'affaires n'est pas au rendez-vous », déclarait ainsi début septembre le directeur général Wilhelm Hubner. Les ventes des magasins de l'Hexagone ont baissé de 1,8 % au cours du premier semestre 2017.

    L'embellie des petits formats est comme une trouée de ciel bleu dans un ciel d'orage. Elle valide aussi la stratégie qui a rassemblé tous les points de vente sous la bannière Auchan. Le groupe a entamé la bascule de ses 281 supermarchés Simply Market en août 2017.

    La barre de la centième transformation a été franchie le 7 novembre. « Nous tiendrons l'objectif de la mi-2018 », affirme aux « Echos » Cyril Dreesen. Le directeur général des supermarchés d'Auchan Retail France rappelle que 15 prototypes de nouvel aménagement ont été testés. « Il ne s'agit pas que d'un changement d'enseigne », souligne-t-il.

    Auchan, Hypers, science, supermarché

    Cinq orientations ont été retenues qui sont déployées avec plus ou moins d'envergure, selon que le point de vente est grand ou petit, situé dans une zone rurale ou au centre d'une agglomération. « Les produits frais sont la priorité », insiste le dirigeant. L'offre a été densifiée et compte plus de produits bio et locaux. Les rayons dits à service - boucherie, poissonnerie, charcuterie - ont aussi été multipliés.

    « Nous cuisinons des plats sur place, pressons des fruits », ajoute encore Cyril Dreesen. Des services de développement de photos, de billetterie et l'incontournable livraison à domicile complètent le tout. Enfin, la livraison des commandes effectuées sur Auchan.fr (160.000 références en alimentaire et en non-alimentaire) permet d'élargir l'offre un peu plus.

    La transformation s'inscrit dans la logique du distributeur qui vise à établir des passerelles entre ses différents formats de magasin et son site d'e-commerce. « L'unification des données clients et de la carte de fidélité est le symbole de cette convergence de marque », explique Cyril Dreesen. Le client cumule des avantages qu'il achète chez Auchandrive, les hypers Auchan, Auchan Supermarché ou Auchan.fr.

    A son arrivée à la tête du concurrent Carrefour, Georges Plassat a estimé que placer sous une même enseigne des points de vente de taille différente, avec des structures de coûts différentes, affectait l'image-prix. Le PDG, qui a cédé la place à Alexandre Bompard, a ôté le nom de son groupe de la façade image-prix City, Market et autres Contact. Seul le logo apparaît.

    « Nous n'avons pas eu de remontées de ce type, explique Cyril Dreesen. Les prix sont plus élevés dans des supermarchés de centre-ville que dans les hypermarchés de périphérie. Mais le client qui choisit la proximité et qui économise ainsi le coût de l'effort d'un déplacement en périphérie le comprend très bien ». Et ça marche. « Nous enregistrons en moyenne des progressions de ventes à deux chiffres dans les magasins transformés », affirme le directeur général. Reste à savoir si ces gains ne résultent pas de la désaffection des hypermarchés ou... n'y contribuent pas.