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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 63

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    [#CONSOLAB] [ROBOTS] | #Cdiscount équipe ses #entrepôts d'une solution #robotique #futuriste… et #tricolore ! | @L'USINEDIGITALE

    DE JULIETTE RAYNAL | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2yODdja

    #Cdiscount équipe ses #entrepôts d'une solution #robotique #futuriste… et #tricolore !

    Depuis trois mois, une flotte de sept robots circulent et grimpent aux étagères de l'entrepôt bordelais de Cdiscount. Développée par la start-up française Exotec Solutions, cette technologie de rupture va être déployée dans d'autres entrepôts du e-commerçant.

    Amazon nous a habitués à voir des robots qui travaillent de concert en se déplaçant de manière autonome dans la zone de stockage d'un entrepôt. La prouesse technique d'Exotec Solutions est encore bien plus bluffante. Non seulement les robots de la start-up française sont capables de travailler en équipe au milieu des étagères, mais ils sont aussi capables de s'agripper aux racks pour grimper jusqu'à 10 mètres de haut afin de récupérer le bac de produits désiré. "Nous sommes passés d'un déplacement en deux dimensions à un déplacement en trois dimensions", se félicite Romain Moulin, CEO d'Exotec Solutions.

    Cette technologie, baptisée Skypod, a séduit Cdiscount. "Depuis trois mois, notre système est entré en production chez eux", précise Romain Moulin. L'e-commerçant français a déployé ce dispositif robotique à petite échelle au sein de son centre logistique de Cestas, situé près de Bordeaux. Une flotte composée de sept machines se charge actuellement d'apporter une partie des références aux opérateurs pour qu'ils puissent reconstituer le panier d'achat correspondant à une commande. Cdiscount prévoit désormais de déployer la technologie dans ses autres entrepôts.

    Grâce à Skypod, le site marchand entend gagner en productivité. Le dispositif permettrait d’améliorer la performance de la préparation tant au niveau de la cadence (400 manipulations de produits par heure, contre 50 à 100 manuellement) que du réassort (jusqu’à 100 références de produits rangées à l’heure).

    Skypod permet également de réduire sensiblement la pénibilité du travail. "Dans une organisation manuelle, un opérateur peut parcourir jusqu'à 15 km par jour. Avec notre ancien système Exo (limité aux déplacements en deux dimensions, ndlr), la distance quotidienne parcourue passait à 4km. Et là, avec Skypod, nous sommes à zéro kilomètre", explique l'entrepreneur. Le dispositif implique que les opérateurs restent en dehors de la zone de stockage. "On peut ainsi créer des stocks beaucoup plus denses car cela permet de remplir l'entrepôt jusqu'au plafond", indique l'entrepreneur.

    Cdiscount, entrepôts, robotique, futuriste, tricolore

    Quant au mode de fonctionnement, les robots se déplacent de manière coordonnée grâce à un logiciel de contrôle baptisé Astar. Celui-ci repose entre autres sur des algorithmes d'intelligence artificielle qui permet d'attribuer des missions aux robots. C'est cette brique qui s'interface avec le WMS (logiciel de gestion d'entrepôt) de Cdiscount. Pour se repérer et se déplacer de manière autonome, chaque robot est doté d'un scanner rotatif à l'avant. Chacun dispose également d'une carte préstructurée de son environnement. "Une fois qu'on a posé les racks, le système peut être opérationnel dans la demi-journée", assure Romain Moulin.

    Autre avantage du dispositif : sa flexibilité. Le système se dimensionne selon les besoins du client et la flotte peut aller d'une petite dizaine de robots à 400 unités. "Notre système permet de gérer de 10 000 références à 500 000 références", précise l'entrepreneur.

    Toutes ces caractéristiques séduisent. Exotec Solutions travaillent avec d'autres e-commerçants et retailers, dont l'identité reste confidentielle. Sa technologie s'adapte également aux lignes de fabrication de pièces détachées. La start-up compte aujourd'hui une vingtaine de collaborateurs et s'apprête à boucler une seconde levée de fonds de plusieurs millions d'euros pour internationaliser son activité.

    De con côté, Cdiscount semble construire, brique par brique, son entrepôt du futur. Il n'est pas le seul à vouloir adopter les codes de la logistique 4.0. Le Groupe Casino (dont dépend Cdiscount) va utiliser la plate-forme logistique et les logiciels propriétaires du britannique Ocado, roi de l'automatisation dans le e-commerce alimentaire. Dans le cadre de ce rapprochement, un entrepôt de dernière génération devrait entrer en service en région parisienne d'ici deux ans. Monoprix sera la première enseigne du groupe français à s'appuyer sur ces technologies de rupture pour améliorer son activité e-commerce.

     

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    [#CONSOLAB] [MARCHE] | Les #marques #indépendantes #bouleversent le #marché de la #beauté | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE VINCENT GALLON | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2BOjizH

    Les #marques #indépendantes #bouleversent le #marché de la #beauté

    Le marché du maquillage, mais aussi d’autres catégories du secteur de la beauté, ont été bouleversés par l’arrivée de jeunes marques digital natives ayant réussi à établir un lien direct avec les consommatrices. Aujourd’hui encore, de nouvelles vagues arrivent sur le marché avec des taux de croissance impressionnants.

    « À l’ère du digital, les marques de maquillage ont été confrontées à un véritable changement de paradigme, » expliquait Nicolas Cordier, CEO de Make Up For Ever lors de l’inauguration du nouveau site de production de Strand Cosmetics Europe. « Ces nouvelles marques ont réussi à communiquer plus directement avec les consommatrices, et la révolution se poursuit avec la montée des DTC Brands - comme Kylie Cosmetics - qui vendent directement et uniquement aux consommatrices. »

    Effectivement, de toutes jeunes marques, comme Kylie Cosmetics et Huda Beauty, gagnent du terrain en enregistrant des taux de croissance à trois et quatre chiffres, confirme la société d’études de marché Kline dans la deuxième édition de son rapport Beauty’s Most Buyable Brands : Analysis of Booming Independent Brands in the United States. De fait, Kylie Cosmetics devrait réaliser plus de 400 millions de dollars de ventes via son seul site internet.

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    Les marques axées sur le maquillage, telles que ColourPop, Gerard Cosmetics et Dose of Colours, sont les plus populaires sur les réseaux sociaux grâce au contenu esthétique qu’elles proposent et à leurs offres de produits uniques. Toutefois, ces marques indépendantes (que les Américains surnomment les indies) secouent toutes les catégories : le naturel avec des concepts tels que Tata Harper et Cool Suncare, les soins pour hommes comme Brickell and Bevel, ou le maquillage unisexe avec Milk Makeup.

    « Les générations Y et Z sont des cibles clefs du marketing des indies  », explique Naira Aslanian, Project Manager chez Kline. « Ces innovateurs sont en résonance avec des consommateurs expérimentateurs qui recherchent le meilleur produit ou ingrédient pour mettre en avant leur individualité et leur originalité. Disposant d’un vaste choix de produits, les générations les plus au fait des technologies recherchent des tutoriels, des conseils et des critiques pour les aider à décider parmi les tendances, les marques et même les ingrédients. Les prouesses numériques des indies, combinées à l’intérêt pour les produits de beauté qui répondent aux besoins de personnalisation des consommateurs, font que certaines d’entre elles se développent trois à cinq fois plus vite que le marché. »

    Pour créer des liens étroits avec leurs consommateurs, ces marques utilisent des stratégies innovantes et souvent à faible coût. Elles transforment parfois leurs fans en véritables stars. Ainsi, Say Hello To Sexy Legs publie régulièrement du contenu de ses fans qui présentent ses produits en photos. Certaines vont même jusqu’à demander aux consommateurs de créer des produits à leurs côtés, comme ColourPop, qui invite virtuellement des millions de fans dans son laboratoire pour inspirer la création de nouveaux produits.

    Plusieurs détaillants, dont Sephora, Ulta, Bluemercury, Target et Urban Outfitters, prennent note de l’intérêt accru des consommateurs et donnent à ces marques un espace plus large en les faisant entrer dans leurs rayons et sites Web. Une marque comme Say Hello To Sexy Legslancée en 2016 est entrée chez QVC et Sephora la même année.

    Selon Kline, ces agitateurs devraient continuer à innover par leurs produits, leurs emballages et leurs designs, séduisant les générations ouvertes et réceptives aux nouvelles idées et aux nouveaux concepts. Elles devraient aussi rester des cibles pour les géants de la beauté en quête de croissance.


     

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    [#CONSOLAB] [RACHAT] | #Unilever acquiert #Sundial #Brands, spécialiste #américain des #cosmétiques #ethniques | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2iwRzMc

    #Unilever acquiert #Sundial #Brands, spécialiste #américain des #cosmétiques #ethniques

    Unilever a annoncé lundi l’acquisition de Sundial Brands, un fabricant américain de crèmes et de lotions pour le corps et les cheveux, basé à New York. Sundial Brands commercialise les marque ethniques SheaMoisture, Nubian Heritage, Madam C.J. Walker et nyakio. Son chiffre d’affaires 2017 devrait atteindre les 240 millions de dollars (202 millions d’euros). Les détails financiers n’ont pas été divulgués.

    « Depuis sa création en 1991, Sundial s’est fait le champion de la beauté inclusive et a répondu aux besoins non satisfaits des consommateurs de couleurs grâce à sa solide gamme d’innovations, ses offres de produits. Grâce à son modèle de Community Commerce, à ses certifications B Corp et Fair for Life, l’approche de Sundial complète le Sustainable Living Plan d’Unilever (USLP) dont l’objectif est de booster la croissance de l’entreprise tout en améliorant son impact social  », a déclaré le groupe dans un communiqué.

    Sundial deviendra une filiale à part entière d’Unilever mais gardera son autonomie et conservera son fondateur et dirigeant Richelieu Dennis.

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    Dans le cadre de l’accord, Unilever et Sundial créent le New Voices Fundavec un investissement initial de 50 millions de dollars. L’objectif est d’autonomiser les femmes entrepreneurs de couleur avec en ligne de mire la volonté de faire passer le Fonds à 100 millions de dollars en attirant l’investissement d’autres parties prenantes.

    « L’équipe de Sundial a créé des marques haut de gamme différenciées et tendances qui s’adressent aux consommateurs de toutes origines et aux millennials et qui améliorent notre portefeuille actuel », explique Kees Kruythoff, président d’Unilever North America.

    De plus, Unilever a nommé Esi Eggleston Bracey au poste de Vice-Présidente et Chief Operating Officer d’Unilever North America Personal Care. Elle travaillera en étroite collaboration avec Richelieu Dennis pour accélérer la croissance, la mission et la relation de Sundial Brands ave les consommateurs.

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    [#CONSOLAB] [RACHAT] | #Monoprix #investit dans #Epicery en vue de le #racheter | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2BRe8Ue

    #Monoprix #investit dans #Epicery en vue de le #racheter

    Le service permet de se faire livrer les produits de 250 commerces de bouche parisiens et 50 lyonnais. Bientôt, il permettra d'acheter chez Monoprix et Naturalia. Mais surtout, il sera accessible depuis le site de Monoprix.

    Selon nos informations, Monoprix vient d’investir dans Epicery à l'occasion du second tour de table de la start-up. L’enseigne prend une part minoritaire de son capital, mais prévoit d’y monter progressivement dans les années qui viennent. Epicery, créé par Elsa Hermal et Édouard Morhange avec Marc Ménasé, a lancé son service très récemment : en octobre 2016 à Paris, Boulogne-Billancourt, Levallois-Perret et Neuilly, puis en octobre 2017 à Lyon et Villeurbanne. Il permet de se faire livrer dans l’heure (ou à un créneau programmé à l’avance) des achats réalisés dans des commerces de bouche dans un rayon de 2,5km autour de chez soi. Epicery travaille pour l’instant avec 250 commerçants de la région parisienne et 50 de la région lyonnaise, auxquels il fournit une tablette pour recevoir les commandes et tenir leur stock à jour.

    Monoprix, investit, Epicery, racheter

    Dans l’immédiat, la start-up va commencer à ajouter à son offre les magasins Monoprix et Naturalia (l’enseigne bio du groupe Casino). Mais le service va aussi être intégré au site de Monoprix, qui à l’avenir permettra donc également de passer commande auprès des commerçants de son quartier et peut-être, lorsque sera mutualisé le panier, de ne réaliser qu’une seule transaction pour le vacherin du fromager du coin et le gel douche de Monoprix. Ce rapprochement constitue donc pour l’enseigne non seulement un nouveau débouché pour son service de vente en ligne depuis ses magasins, mais lui permet également de se positionner comme le fédérateur des commerces de bouche locaux avec une puissance de frappe bien plus élevée que celle de la start-up.

    Lors de sa première levée de fonds, la start-up avait fait rentrer à son capital une floppée d'entrepreneurs du Web comme Michaël Benabou (Vente-privée), Marc Menasé (Nextedia, Menlook, Kelkoo) et Xavier Niel (Iliad-Free). Selon nos informations, son chiffre d'affaires 2017 avoisinera le million d'euros.

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    [#CONSOLAB] [INTERNATIONAL] |#Amazon #débarque en #Australie et s'attaque au #défi de la #livraison | @LSA

    DE FRANCOIS DESCHAMPS | LSA | http://bit.ly/2AVLRic

    #Amazon #débarque en #Australie et s'attaque au #défi de la #livraison

    L’e-marchand fait ses premiers pas dans ce gigantesque pays où la logistique, centre d’excellence du groupe, y est un défi majeur. Dans certaines régions, Amazon propose déjà la livraison gratuit en un jour.

    C’est un défi de taille auquel va s‘atteler Amazon. Le groupe vient de lancer son site marchand en Australie, pays de taille considérable – plus de dix fois la taille de la France - possédant une population d’environ 24 millions d’habitants qui plus est géographiquement très éclatée. Son principal enjeu résidera donc dans la logistique, où le groupe a déjà démontré à maintes reprises un niveau de compétence très élevé. Avec un entrepôt à la périphérie de la ville de Melbourne – côte est du pays -, Amazon propose déjà la livraison en une journée dans certaines régions, et gratuite pour celles dont le montant dépasse 49 dollars australiens (environ 31 euros).

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    Amazon compte bien se tailler une part du gâteau de l’e-commerce australien qui, selon Bloomberg, atteint 20 milliards de dollars australiens, soit près de 13 milliards d’euros (9 ménages sur 10 possèdent Internet). Les ventes sur le Web représentent moins de 10% de l’ensemble du commerce de détail, estimé à plus de 300 milliards de dollars australiens. A titre de comparaison, le marché des ventes en ligne en France a atteint 72 milliards d’euros en 2016 et devrait passer la barre des 80 milliards cette année, selon la Fevad. L’an passé, il ne représente ‘que’ 8% du commerce de détail et a gagné un point en un an.

    Le géant du commerce électronique propose d’ores et déjà plusieurs millions de produits dans plus de 20 catégories, notamment de l'électronique grand public, des vêtements et des équipements sportifs. Une offre qui est amenée à s’étendre progressivement puisque l’e-commerçant opère également une activité de place de marché. Toutefois, les analystes de Citi cités par CNBC, ont qualifié l’offre proposée sur la plateforme Amazon, « d’inégale », dans le sens où elle ne serait pas nécessairement plus compétitive en termes de prix que l’existant. Tout en précisant dans la foulée qu’ils ne s’attendaient pas à ce que l’arrivée de l’e-marchand perturbe les distributeurs australiens... du moins pour la période des fêtes de fin d’année 2017. 

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #20% des #effectifs d'#Amazon sont des #robots | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2krx2gq

    #20% des #effectifs d'#Amazon sont des #robots

    Selon les estimations de Quartz, Amazon aura mis en service 75.000 robots en 2017. Pendant ce temps-là, le retail américain aura subi 24.000 suppressions de postes, malgré les 146.000 créations de postes de l'e-commerçant. Inexorablement, la main d'oeuvre du retail se transforme.

    Combien Amazon compte-t-il de robots ? Le site d’information américain Quartz a fait le calcul. La firme de Seattle, qui en revendiquait 45.000 fin 2016, indique en avoir mis en service 35.000 de plus au premier semestre 2017 et encore 20.000 au troisième trimestre. En conservant ce rythme, elle en aura probablement ajouté 20.000 au quatrième trimestre et en aura donc "recruté" 75.000 cette année.

    Amazon, 20%, effectifs, robots

    Le site estime par ailleurs à 146.000 postes la croissance des effectifs d’Amazon en 2017 (sans tenir compte des salariés de Whole Foods, acquis en juin), mais à 170.000 le total des suppressions de postes dans les branches du retail américain que concurrence l’e-commerçant… et donc à 24.000 postes le déclin du secteur au global. Bien sûr, d’autres facteurs interviennent et l’image des vases communicants ne suffit pas à interpréter ces chiffres. Mais Amazon comptera en 2017 pour 20% de la croissance du retail américain tous canaux confondus et contribue donc activement à la transformation de la main d’œuvre du secteur.

    Enfin, comparer ses effectifs humains (487.400 salariés hors Whole Foods) et robotiques (120.000) à la fin 2017 permet de réaliser qu’en quelque sorte, les robots composent désormais quasiment 20% de ses effectifs. Et cela lui réussit : son action a grimpé de 51% depuis le début de l'année, quand l'index Retail de l'agence de notation financière Standard&Poor's restait, lui, complètement stable.