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    [#CONSOLAB] [APPLICATION] | E.Leclerc s'offre le Shazam du vin WineAdvisor | @LUSINEDIGITALE

    DE JULIETTE RAYNAL | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2v1yATb

    E.Leclerc s'offre le Shazam du vin WineAdvisor

    Le groupement E.Leclerc fait l'acquisition de la start-up occitane WineAdvisor. Elle édite une application mobile éponyme qui permet d'accéder à une série d'informations sur une bouteille de vin en prenant en photo son étiquette. L'application compterait 600 000 utilisateurs.

    Monoprix et Carrefour ne sont pas les seules enseignes de la grande distribution à courtiser les start-up. E.Leclerc vient de mettre la main sur WineAdvisor éditrice d'une application éponyme présentée comme le Shazam du vin. "Je me félicite que le groupement E.Leclerc acquiert aujourd'hui le site WineAdvisor, l'une des premières applications d'origine française sur les vins", écrit Michel Edouard Leclerc lui-même dans un post de blog, publié ce vendredi 6 avril. Le montant de l'opération n'a pas été communiqué.

    L'application qui a développé un réseau social regroupant les amateurs de vin embarque une technologie de reconnaissance d'image. Cette dernière permet au client, en prenant en photo l'étiquette de la bouteille, d'accéder à une fiche technique sur la cuvée, aux notations et aux commentaires. WineAdvisor propose également des ventes flash. 

    600 000 UTILISATEURS

    Basée à Perpignan et cofondée par Alexandre Theriot et Cédric Morelle, la start-up a déployé son application il y a trois ans. "Avec plus de 700 000 téléchargements (sous iOs et Android), près de 600 000 utilisateurs dans le monde et 2,7 millions de scans d'étiquettes, la communauté WineAdvisor a évalué 1,5 million de bouteilles", précise le patron d'E.Leclerc.

    En s'offrant cette start-up perpignanaise, l'enseigne entend renforcer son offre autour du vin, un axe privilégié depuis plusieurs années. "Le vin, c'est l'une des plus belles réussites de l'enseigne. Nos adhérents ont créé les foires aux vins en France et par émulation, ont su construire une excellente relation entre eux-mêmes, leurs sommeliers et les vignerons", écrit Michel Edouard Leclerc. En 2015, E.Leclerc avait annoncé un plan d'investissement d'un milliard d'euros sur trois ans pour opérer sa transformation digitale. 

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTEUR] | #Monoprix fait #pousser l’#agriculture #urbaine dans ses #magasins | @LSA

    DE JULIE DELVALLEE | LSA | http://bit.ly/2Hn8Hjk

    #Monoprix fait #pousser l’#agriculture #urbaine dans ses #magasins

    L’enseigne Monoprix s’associe à deux start-up spécialisées dans l’agriculture urbaine et leur offrira des lieux de production en magasins.

    Les magasins Monoprix vont voir pousser des champignons ! L’enseigne urbaine du groupe Casino s’associe à deux start-up, La boite à Champignons et Agricool. Ces deux jeunes pousses bénéficieront de lieux de production et de commercialisation dans certains points de vente Monoprix.

    Champignons et fraises en circuit court

    La première structure cultive, comme son nom l’indique, des champignons mais aussi des légumes comme des endives et des micro-pousses à partir de biodéchets récupérés en ville. En exclusivité pour Monoprix, La Boîte à Champignons a développé des « Bars à Pleurotes » installés directement dans 10 magasins Monoprix et une champignonnière dans la cave du magasin Monoprix Saint-Augustin depuis octobre 2017, ce qui se traduit de cette façon en magasin:

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    Agricool cultive, elle, des fraises avec une consommation limitée d’eau dans des containers de 33 mètres carrés. Depuis février dernier, des fraises Agricool d’Asnières sont proposées à la vente dans le magasin Monoprix d’Asnières Gare et prochainement dans le magasin situé à Beaugrenelle. « Chez Monoprix, le développement durable se veut gai, inventif, ludique et optimiste. Il n’est pas vécu comme une contrainte, mais comme une opportunité d’agir autrement et de façon plus respectueuse de l’environnement et des hommes. C’est donc tout naturellement que l’enseigne s’est intéressée aux initiatives d’agriculture urbaine et souhaite les encourager. Pour proposer à ses clients une offre locale, innovante et responsable », a déclaré Karine Viel, responsable du développement durable chez Monoprix.

    Plusieurs projets fleurissent chez les retailers

    Le distributeur n’est pas le premier à se lancer dans des projets en matière d’agriculture urbaine. Carrefour a ainsi mis en culture des produits sur le toit du magasin de Massy -Palaiseau (92). De même, Les Galeries Lafayette, le BHV mais aussi Ikea ont posé leurs pions dans le domaine, né médiatiquement en 2014 sur le toit d’un Whole Foods Market de Brooklyn.

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    [#CONSOLAB] [INTERNATIONAL] | L’#Occitane en #Provence lance son #beauty #truck sur les #routes #américaines | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2qiYV9z

    L’#Occitane en #Provence lance son #beauty #truck sur les #routes #américaines

    L’Occitane en Provence se lance sur la route pour apporter la beauté française au fin fond de l’Amérique. La marque de soins et du parfum a dévoilé son tout premier « L’Occi Truck », un magasin sur roues qui apportera l’esprit de la Provence aux fans de beauté dans toute l’Amérique du Nord ce printemps.

    « La visite d’une boutique peut souvent s’avérer une expérience intimidante pour un consommateur ; ce concept dynamique est véritablement plus facile d’approche tout en offrant une extension de l’expérience multisensorielle et accueillante dont les clients profitent dans nos boutiques, » explique Caroline Le Roch, directrice commerciale pour l’Amérique du Nord. « Nous sommes emballés de pouvoir apporter la Provence à nos clients, dans des endroits où nous n’avons peut-être pas de présence physique ».

    « Nous nous lançons constamment des défis dans le but de surprendre et de ravir nos clients, et dans cet esprit notre expérience d’achat en magasin a considérablement évolué ces dernières années, » ajoute explique Paul Blackburn, vice-président, conception, construction et marchandisage en Amérique du Nord. « En continuant sur cette lancée, et inspirés de la révolution des camions-restaurants, nous poussons encore plus loin notre stratégie axée sur la clientèle en lançant le camion #LOcciTruck. Ce camion nous permettra d’apporter le meilleur de notre marque magique directement à nos clients, dʹune façon moderne et agile. »

    Inspiré de la fourgonnette classique française Citroën H, souvent utilisée par les fermiers de petits villages français, le camion de style rétro revêt la couleur jaune soleil synonyme de L’Occitane et mesure environ 5 mètres de longueur par 2 mètres de hauteur. Il transportera une sélection de produits L’Occitane ainsi qu’un un grand écran extérieur offrant en vidéo un aperçu sur le mode de vie provençal et les racines de la marque. Le camion commencera son voyage par Washington, D.C. le 7 avril, à l’occasion du Cherry Blossom festival, avant de visiter des villes et régions clefs comme New York les 21 et 22 avril et Los Angeles en octobre. Enfin, le camion L’Occi servira de soutien lors de fermetures de magasins dues à des rénovations, assurant ainsi la continuité de la présence de la marque.

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #Katrina #Fulluck (#Asos) : "La #beauté est le #département le plus #dynamique du #site" | @FASHIONETWORK

    DE SARAH AHSSEN | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2qjiHCP

    #Katrina #Fulluck (#Asos) : "La #beauté est le #département le plus #dynamique du #site"

    En septembre 2017, le pure player britannique renforçait son offre en lançant Asos Design Makeup, sa toute première collection de maquillage. A cette occasion, Asos, qui propose de la cosmétique depuis 2005, rebaptisait également son offre beauté - précédemment Asos Beauty - « Asos Face + Body » (Asos Visage + Corps sur le site français) avec pour objectif de fédérer une plus large clientèle, en soulignant notamment le caractère unisexe de l’offre. Une stratégie qui semble être payante, comme le raconte à FashionNetwork.com Katrina Fulluck, acheteuse senior Visage + Corps d’Asos.

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    FashionNetwork.com : Quelle part des ventes représente la beauté pour Asos ? Et comment ce chiffre évolue-t-il ?

    Katrina Fulluck : Nous ne pouvons pas divulguer le pourcentage des ventes de Face + Body versus le segment mode, mais nous pouvons vous dire que nous avons vu une augmentation significative du nombre de consommateurs venus sur Asos pour la mode qui migrent sur Face + Body et deviennent des acheteurs. Le département beauté enregistre une croissance à trois chiffres. Le lancement d’un nombre important de marques sur Face + Body a contribué à cette croissance exponentielle et notre activité en comparable continue à croître à deux chiffres, ce qui signifie que Face + Body est le département le plus dynamique d’Asos !

    FWN : Vous dites que la proposition beauté d’Asos s’est étendue. Aujourd’hui, combien de marques compte cette offre et quelles sont les nouveautés ?

    KF : Nous avons désormais 150 marques disponibles sur Asos.com. Nous proposons de nouvelles marques et de nouveaux produits chaque semaine. En mars, nous avons lancé M.A.C Cosmetics, qui a connu un succès phénoménal. Mais nous avons également lancé la nouvelle gamme de David Beckham, House 99, Sleek, Mane & Tail et les nouveaux produits de Nars, Lime Crime et Pixi.

    FWN : Les enseignes physiques comme les pure players mettent en avant leurs exclusivités pour séduire les clients, trouve-t-on des marques exclusives sur Asos Face + Body ?

    KF : Notre propre marque de maquillage Asos Design Makeup est totalement exclusive et comprend 46 références allant des produits pour les lèvres, aux palettes de contouring, aux ombres à paupières en passant par les bronzers. Et de nouveaux produits innovants seront lancés en 2019. Nous avons aussi d'autres exclusivités qui changent régulièrement. Ce mois-ci, nous avons par exemple HAX, qui est une gamme de kits pour recréer des looks très « instagramables ».
    Par Sarah Ahssen

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #Adidas va #fermer plusieurs #magasins pour #stimuler ses #ventes #e-commerce | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2IGkrwF

    #Adidas va #fermer plusieurs #magasins pour #stimuler ses #ventes #e-commerce

    Adidas prévoit de fermer plusieurs magasins ces prochaines années, dans le cadre d'une stratégie visant à distribuer plus de produits en ligne, selon les dires de son PDG Kasper Rorsted. Dans un entretien donné au journal britannique Financial Times, Kasper Rorsted déclare : "Avec le temps, nous aurons moins de magasins, mais ils seront optimisés", avant d'ajouter que ces prochaines années, le nombre de magasins Adidas devrait diminuer légèrement. "Notre site Internet est notre premier magasin dans le monde".

    Adidas aimerait multiplier par plus de 2 ses ventes e-commerce pour atteindre 4 milliards d'euros d'ici 2020, contre 1,6 milliard l'an dernier. L'équipementier allemand exploite 2500 magasins dans le monde et 13000 magasins franchisés.

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    Adidas vient de lancer une application mobile qui permet de personnaliser son expérience d'achat en ligne. Celle-ci est disponible aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Allemagne, et devrait sortir cette année en France, en Espagne et au Canada.

    En 2017, Adidas a annoncé des revenus en hausse de 16% à 21,2 milliards d'euros, tandis que ses marges d'exploitation ont progressé de 120 points de base pour atteindre 9,8%.

    À l'avenir, Adidas aimerait faire augmenter ses ventes de 10% à 12% par an jusqu'en 2020, et ses marges d'exploitation de presque 10% à 11,5%. L'entreprise a pour objectif de faire progresser son résultat net d'environ 22% à 24% par an jusqu'en 2020.

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    LA CULTURE EST-ELLE EXPLICATIVE DES DIFFÉRENCES DE DYNAMISME ENTREPRENEURIAL | Les cas de la France et de l'Angleterre| @PHILIPPE JOURDAN & @JEAN-CLAUDE PACITTO

    DE PHILIPPE JOURDAN ET JEAN-CLAUDE PACITTO | http://bit.ly/2qjKEKI

    LA CULTURE EST-ELLE EXPLICATIVE DES DIFFÉRENCES DE DYNAMISME ENTREPRENEURIAL

    Les cas de la France et de l'Angleterre,

    Il n’est jamais facile de répondre à des questions complexes comme celles du pourquoi du différentiel de dynamisme entrepreneurial entre pays ou continents. Comme souvent les causes sont multiples et les phénomènes interactifs. Confrontés au besoin de comprendre et d’agir, les acteurs impliqués dans le développement entrepreneurial et notamment les pouvoirs publics ont besoin d’explications plus globales susceptibles de mobiliser les énergies et de simplifier la recherche des causes.

    On ne comprendra jamais le succès des explications culturalistes si on ne les restitue pas dans un contexte de demande de simplification causale des phénomènes étudiés. Ces explications ont eu tendance à devenir des théories séduisantes au sens de Boudon (1986) et ont perdu de leur validité scientifique.

    L’examen des trajectoires différenciées de la France et de l’Angleterre en matière entrepreneuriale nous permettra de mieux révéler l’influence du contexte politico-institutionnel sur le développement entrepreneurial et relativiser ainsi les explications de type « culturaliste » qui au final n’expliquent pas grand-chose.

    « Point de vue : la culture est-elle explicative des différences de dynamisme entrepreneurial. Les cas de la France et de l’Angleterre », Gestion 2000, vol. volume 34, no. 5, 2017, pp. 257-273

    Découvrir l'article : http://bit.ly/2EAKh2L