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    [#CONSOLAB] [MARCHE] | #France : Les #produits de #beauté d’#origine #asiatique #stimulent les ventes de #soins | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2N6Zeye

    #France : Les #produits de #beauté d’#origine #asiatique #stimulent les ventes de #soin

    K-beauty et J-beauty séduisent les françaises. Les ventes de soins visage destinés aux femmes ont enregistré une hausse de 1% sur un an dans le circuit sélectif, d’après les dernières données présentées par The NPD Group. Une augmentation notamment liée au succès des cosmétiques d’origine asiatique dans l’Hexagone.

    Cushions, BB crèmes, masques en tissu, ou masques rubber : depuis quelques années déjà, la K-beauty a envahi le quotidien et les rituels beauté des Françaises, séduisant de plus en plus adeptes chaque année. Un succès qui semble avoir un impact positif sur le marché puisque les ventes de soins pour le visage du secteur de la beauté sélective ont augmenté de 1% sur 12 mois (entre mai 2017 et avril 2018), a annoncé The NPD Group le 4 juillet dernier. Selon la société d’études de marché, cette croissance peut être en partie attribuée à la popularité des produits de beauté d’inspiration coréenne (la K-beauté).

    K-Beauté

    Sans surprises, les masques - l’une des principales innovations venues d’Asie - continuent leur ascension sur le segment des soins avec une croissance des ventes de 8% entre mai 2017 et avril 2018 comparées à la même période l’année précédente. Au-delà des traditionnels masques crème, de nouvelles propositions inspirées d’Asie tirent la croissance : les masques en tissu, en papier et les patches sont les plus performants avec une augmentation de 78% des ventes, tandis que les ventes de masques à l’argile ou à la boue ont augmenté de 43% et celles des masques en gel de 14%.

    En parallèle, les ventes de BB creams ont diminué de 10% tandis que celles de CC creams sont restées constantes. Selon The NPD Group, ces textures qui ont lancé la popularité de la K-beauty en France, ont perdu leur popularité au fil des années. Mais d’autres innovations ont pris le relai, notamment les fonds de teint “cushion”, qui ont vu leurs ventes augmenter de 13% pendant la période étudiée. Les lotions et toniques, éléments centraux de la routine coréenne ont de leur côté bondi de 12% en valeur.

    « Les consommateurs se sont rapidement approprié les nouvelles gestuelles venues d’Asie et c’est une bonne nouvelle ! La montée de la K-beauté ces dernières années a permis d’élargir les routines de soin et de populariser de nouvelles galéniques en diversifiant les gammes de produits grâce aux masques, sérums et cushions. Les réseaux sociaux, les marques prestige ainsi que les enseignes ont aussi soutenu cette tendance. Des enseignes comme Sephora ou FeelUnique ont par exemple récemment lancé une section dédiée aux produits coréens, » explique Mathilde Lion, Expert Beauté Europe chez The NPD Group.

    La montée de la J-Beauté

    Face à la vague coréenne, les grandes marques nippones entendent donner une nouvelle impulsion au succès des produits asiatiques. Si Shiseido, Shu Uemura, SK-II, Sensai ou Kanebo, sont installés depuis longtemps sur le marché de la beauté en France, des marques à plus large audience - comme Uniqlo et Muji - ont permis d’élargir la visibilité de la culture nippone auprès des consommateurs. Plus récemment, les tendances beauté d’influence japonaise ont fait le buzz sur les media sociaux et plus particulièrement sur Instagram, YouTube et auprès des blogueurs et influenceurs du secteur.

    « La tendance de la J-beauté s’inscrit parfaitement dans les nouvelles attentes des consommateurs avec plus de simplicité, de naturalité et une vision holistique de la beauté. En mettant l’accent sur les ingrédients et sur des soins de long terme plutôt que sur des produits plus éphémères, la J-Beauté mixe avec succès tradition et innovation. Dans les années à venir, nous anticipons l’entrée de marques japonaises plus niches sur le marché français de la beauté, » conclut Mathilde Lion.

    Pour The NPD Group, l’intérêt des Françaises pour les régimes de beauté asiatiques est là pour durer !

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | Les #consommateurs plébiscitent la #recherche #vocale sur #mobile mais #craignent les #assistants #vocaux | @LSA

    DE LSA | http://bit.ly/2mbHSVh

    Les #consommateurs plébiscitent la #recherche #vocale sur #mobile mais #craignent les #assistants #vocaux

    D’après une étude de RichRelevance qui a interrogé les consommateurs européens sur leur vision des nouvelles technologies, les consommateurs se méfient de l’effet « big brother » des assistants vocaux mais ils reconnaissent que l’usage de la voix pour trouver des produits est un vrai plus.

    Le commerce vocal, voie d’avenir. Beaucoup de distributeurs en sont convaincus mais qu’en est-il chez les consommateurs ? D’après l’étude « Gênant ou plaisant » de RichRelevance, spécialiste de la personnalisation,  qui interroge les consommateurs sur leur vision des technologies, il ressort que la population française a une attitude assez ambiguë sur le sujet.

    Ainsi, parmi les 5 innovations les plus « plaisantes », on retrouve juste après les écrans digitaux/ miroirs présentant des informations complémentaires en magasin (55%) la reconnaissance vocale pour chercher des produits sur mobile (54%). Et à l’opposé, 50 % des sondés trouvent gênants que des assistants vocaux (Amazon, Alexa, Google Home) fonctionnent en permanence à domicile pour écouter et proposer des informations/ produits personnalisés basés sur les conversations.

    Bienveillance vis-à-vis de l’Intelligence artificielle.

    Pour cette nouvelle édition de son étude annuelle, RichRelevance a aussi interrogé les consommateurs pour connaître leur avis sur l’intelligence artificielle. Les résultats révèlent qu’ils sont familiers avec l’intelligence artificielle (IA) et qu’ils considèrent son usage utile, notamment pour la personnalisation de l’expérience d’achat.

    En revanche, pas question de les duper ! 85 % des personnes interrogées estiment qu’elles doivent être obligatoirement informées de l’utilisation de l’IA. Autrement dit, si elle parle à un agent conversationnel (bot), elles veulent le savoir.

    Selon Lionel Cianfanelli, Sales Executive EMEA chez RichRelevance, « la prochaine génération d’intelligence artificielle cible clairement la personnalisation de l’expérience. L’IA dite augmentée offre plusieurs fonctionnalités novatrices qui permettent aux leaders du numérique de parfaitement combiner l’expertise humaine et l’intelligence machine pour fournir des expériences différenciées à grande échelle, avec confiance et contrôle. »

    Maturité différente d'un pays à l'autre

    Si on compare les données des 2 500 consommateurs sondés en France, au Royaume-Uni, en Allemagne et aux Etats-Unis, la maturité n’est pas la même sur le sujet. En Europe, 40 % des consommateurs en Europe disent être très, ou extrêmement familiers avec l’IA. Les Français rejoignent cette tendance (37 %), tandis que les Britanniques sont les plus novices (25 %) et les Allemands les plus avancés (66 %).

    Sur les usages de l’IA, la personnalisation des produits et services est le service jugé le plus pertinent et attractif pour les consommateurs : 48 % d’entre eux considèrent que cela présente une valeur ajoutée pour eux, les Français étant les plus convaincus pour 53 %.

    Au sujet de la collecte des données afin d’améliorer leur expérience d’achat, un tiers des consommateurs européens y est favorable, quel que soit le pays. Néanmoins, un large tiers supplémentaire consent à cette pratique, lorsque les données restent anonymes. Encore un exercice délicat à mener pour les distributeurs.

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    [#CONSOLAB] [RETAIL] | #Cdiscount se lance dans l'#hôtellerie de plein air avec #Campings.com | @ECOMMERCEMAG

    DE STEPHANIE MARIUS | ECOMMERCEMAG | http://bit.ly/2KZeOhV

    #Cdiscount se lance dans l'#hôtellerie de plein air avec #Campings.com

    Après le lancement de Cdiscount Voyages, la filiale e-commerce du groupe Casino élargit son offre à l'hôtellerie de plein air. Elle s'associe à Campings.com pour utiliser son moteur de réservation en marque blanche.

    Cdiscount se positionne sur le secteur du camping, évalué à 2,5 milliards d'euros en France et représentant 47,5% de l'hébergement marchand (selon l'Insee et la DGE). Le site disposera ainsi du moteur de réservation de Campings.com en marque blanche et aura accès au catalogue d'hébergements exclusifs de Campings.com en France, Espagne, Portugal, Italie et Croatie. L'acteur référence environ 2500 campings partenaires et entend renforcer sa stratégie de distribution grâce à ce partenariat.
     
    "Cette collaboration avec Campings.com nous permet d'enrichir le catalogue de Cdiscount Voyages en développant un axe qui nous tient à coeur: le voyage en famille. Avec près de 9 millions de clients actifs, Cdiscount touche en effet un foyer français sur trois. Grâce à ce partenariat nous leur proposerons des offres dédiées, toujours au meilleur prix", déclare Emmanuel Grenier, p-dg de Cdiscount. De même, Jérôme Mercier, président de Campings.com, affirme: "Ce partenariat s'inscrit dans notre stratégie de distribution multicanal pour renforcer notre capacité à accompagner nos campings partenaires et augmenter leur taux d'occupation."

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    [#CONSOLAB] [BEAUTE] | #Essentia #Beauty : « Aller au-delà du #full #service ! » | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2J7uB9i

    #Essentia #Beauty : « Aller au-delà du #full #service ! »

    Avec 6,5 millions d’euros de chiffre d’affaires cette année et de nombreux projets pour 2019, Essentia Beauty affiche ses ambitions avec un bureau commercial à Paris et bientôt un autre à Shanghai cet été. Située entre Milan et la Cosmetic Valley italienne, l’entreprise propose des solutions packaging personnalisées ainsi que des « services clés en main innovants ». Explications par Katia de Martino, Fondatrice et Directrice Générale.

    Premium Beauty News - Vous êtes une Italienne francophone d’origine russe vivant en Italie ? 

    Katia di Martino - C’est exact, j’ai ce background multiculturel qui m’aide probablement à avoir une vision décloisonnée. Il y a 20 ans, j’ai rencontré un formulateur de génie qui possédait un petit laboratoire de formulation et il m’a inspiré car il avait déjà anticipé à l’époque toutes les grandes tendances du skincare. Comme j’étais persuadée que les grands distributeurs allaient développer leur propre marque, j’ai pensé qu’une approche full service serait utile ; c’est l’idée de départ qui a mené à la création d’Essentia Beauty.

    Aujourd’hui, toute l’équipe développement et opérationnelle, composée de 13 personnes, est basée ici à Monza mais nous sommes également physiquement présents à Paris et nous allons ouvrir des bureaux à Shanghai cet été.

    Premium Beauty News - Pourriez-vous résumer votre spécificité ?

    Katia di Martino - Nous sommes spécialisés depuis vingt ans dans la création, le développement et la fabrication de produits de parfumerie et de produits cosmétiques. Ce qui fait notre force c’est notre capacité à accompagner les propriétaires de marques et les distributeurs avec des concepts beauté innovants, en offrant des délais de livraison et des structures de coûts très compétitifs.

    Nous pouvons développer et produire des lignes de produits de maquillage complètes avec des formulations très performantes grâce à un réseau de producteurs italiens de tout premier plan. Notre équipe interne de designers industriels est également capable de travailler sur des demandes pour des packagings personnalisés, du développement à la production.

    En ce qui concerne le parfum, notre expertise est liée à notre faculté à créer des concepts adaptés à l’ADN de chaque marque, et qui touchent les désirs et la corde émotionnelle des clients, grâce à notre capacité à raconter des histoires. Nous disposons également d’une supply chain très performante et fiable, capable de garantir qualité, innovation, et le développement de packagings personnalisés.

    Pour répondre à la demande de nos clients, nous incluons également les accessoires et les cadeaux, qui sont importants pour contribuer au succès d’une marque, dans la mesure où nous devons combiner des prix compétitifs avec la créativité et la qualité.
     
    Premium Beauty News - Aujourd’hui, votre offre colle parfaitement avec la demande en matière de « full service » du marché ?

    Katia di Martino - Absolument ! Mais on a dépassé la simple notion de « full service ». Là où nous créons la différence, c’est dans notre capacité d’innovation, y compris dans le domaine du packaging et du digital. Nous travaillons sur des concepts beauté, créatifs et clés en main.

    Notre mission est de créer quelque chose d’unique, capable de répondre aux attentes du consommateur et d’améliorer la visibilité de la marque ou du distributeur. Nous étudions le marché en profondeur afin de mieux comprendre les demandes, en constante évolution, des consommateurs et créer des produits qui répondent réellement à ces besoins. Nous travaillons ensuite avec nos clients pour adapter avec succès le concept correspondant à leur identité de marque.

    Pour répondre à la tendance des produits de beauté « fast to market », nous avons développé des solutions packaging innovantes et des formules prêtes à l’emploi. Ces solutions prêtes à l’emploi peuvent être personnalisées, car nous disposons d’un studio de design intégré capable de travailler sur un design spécifique et créatif en fonction de l’identité ou du brief de chaque marque.

    Notre équipe gère toutes les étapes du processus de développement conformément aux spécifications du client et en mettant constamment l’accent sur le contrôle qualité, le respect des deadlines et l’optimisation des coûts. Notez que nous avons également une équipe interne spécialement dédiée aux questions d’assurance qualité et de contrôle qualité en Europe et en Asie.

    Grâce à nos 20 années d’expérience, nous pouvons compter sur une supply chain performante et avons établi de solides relations de travail qui nous permettent de nous concentrer et de trouver avec nos partenaires des formules et des packagings innovants.

    Premium Beauty News - L’innovation clé en main fait vraiment partie de votre ADN !

    Katia di Martino - Le succès d’un produit dépendra toujours de son processus créatif. Nous suivons avec beaucoup d’attention les dernières tendances et les nouvelles technologies liées à la beauté afin d’essayer d’anticiper les prochains changements sur ce marché de la beauté où tout va si vite. C’est pour cette raison que nous avons créé une plateforme web appelée « ALLMAZING » axée sur la Beauté et la Mode, qui relie et rassemble la communauté créative, à travers des concours et un blog impliquant principalement la génération des Millenials.

    Le lancement récent de bijoux cosmétiques personnalisables et de lignes innovantes de packaging cosmétiques prouve notre engagement à toujours pousser plus loin notre valeur ajoutée créative. Nous cherchons à créer des « MUST HAVES » permettant aux marques de s’adapter aux demandes de consommateurs de plus en plus exigeants.

    Mais ce n’est pas tout, nous investissons aussi dans l’IA numérique, car nous pensons que ce sera la prochaine tendance qui impactera significativement le marché de la beauté. Grâce à cet investissement, nous pourrons offrir une application numérique innovante et personnalisable à nos clients avec un effet de levier sur le concept marketing.

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    [#CONSOLAB] [IA] | Vers une #IA plus #humaine pour #séduire et #fidéliser les #consommateurs | @LUSINEDIGITALE

    DE CHLOE BENOIST | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2KYOn8Y

    Vers une #IA plus #humaine pour #séduire et #fidéliser les #consommateurs

    Le rapport du Digital Transformation Institute de Capgemini, sorti ce lundi 9 juillet 2018, révèle que les consommateurs, loin de se sentir étrangers à l’IA, sont majoritairement satisfaits de leurs expériences, avec malgré tout une préférence pour les intelligences artificielles plus humaines.

    73% des consommateurs affirment avoir déjà interagi avec une IA et plus de moitié ont été satisfaits de cette expérience. C'est ce qui ressort de l'étude de Capgemini, réalisée auprès de 10 000 consommateurs et plus de 500 entreprises répartis dans 10 pays*. Cependant, pour séduire les consommateurs, un équilibre entre IA et interactions humaines est privilégié par 55% des interrogés. Pour 64%, il faudrait même que l’IA devienne plus humaine.

    Les consommateurs apprécient l’équilibre entre IA et êtres humains.

    Selon le rapport du Digital Transformation Institute, la disponibilité permanente de l’IA et le contrôle qu’elle permet sur les interactions, sont des points positifs pour 63% des consommateurs, déjà initiés à cette technologie. Mais alors que l’IA prend de plus en plus de place dans leur quotidien, il s’avère que plus celle-ci est dotée d’une intelligence proche de celle de l’Homme, plus les consommateurs se sentent à l’aise. Cette humanisation de l’IA pourrait même être un facteur de fidélisation puisque 49% des interrogés affirment qu’ils se sentiraient plus proches des organisations offrant des interactions IA plus humaines et donc seraient aptes à dépenser davantage.

    Mais attention, une IA plus humaine ne signifie pas à l’apparence semblable à celle d’un humain. Ce critère semble au contraire déranger plus de la moitié des consommateurs, qui préfèrent une IA à la voix humaine ou même capable d’interpréter les émotions. De cette manière, un juste équilibre entre IA et humain paraît correspondre aux interrogés de tous âges, bien que 66% souhaiteraient malgré tout être avertis lorsque l’IA est utilisée par les entreprises dans les interactions.

    Prendre en compte les préférences des clients pour optimiser l'IA

    Le problème majeur engendré avec l’IA se situe au niveau de l’expérience client et plus exactement lors de l’intégration de cette technologie par les organisations. Ces dernières ont en effet du mal à prendre en compte les préférences de leurs clients puisque seulement 7% d’entre elles listent leurs attentes. Un pourcentage bien trop faible à en croire Mark Taylor, responsable de l’Expérience Client au sein de l’activité Digital Customer Experience de Capgemini, qui déclare : "Pour atteindre les meilleurs résultats possibles, les entreprises doivent faire de l’intelligence artificielle et de l’expérience client une priorité stratégique".

    La priorité des entreprises se situe, au contraire, au niveau des coûts (62%) et du ROI (59%) plutôt que de l’expérience client (10%). Ce problème ne devrait pourtant pas être difficile à régler dans la mesure où les consommateurs affirment être prêts à dépenser jusqu’à 10% en plus, pour un quart d’entre eux, afin de bénéficier d’une meilleure expérience client. 38% des interrogés déclarent en effet effectuer davantage d’achats, suite à une expérience utilisateur satisfaisante. Cette dernière contribuant à améliorer la confiance des consommateurs dans l’entreprise et par conséquent la fidélisation, comme le confirme Mark Taylor : "Si les entreprises utilisent l’IA pour réinventer, rationaliser et simplifier les interactions avec leurs clients, elles pourront accroître les dépenses et la fidélité de ces derniers".

    Les chiffres en un coup d'oeil :

    IA, humaine, séduire, fidéliser, consommateurs

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    [#CONSOLAB] [RETAIL] | #Carrefour en #pleine #transformation | @ECOMMERCEMAG

    DE DALILA BOUAZIZ | ECOMMERCE MAG | http://bit.ly/2KYZ26H

    #Carrefour en #pleine #transformation

    Suite au plan de transformation présenté en janvier, le groupe investit dans le digital et l'omnicanal en vue de devenir le numéro 1 de l'e-commerce alimentaire en France. Dernier investissement en date, l'ouverture d'une plateforme logistique en île-de-France pour alimenter les drives.

    En janvier dernier, Alexandre Bompard, p-dg du groupe Carrefour, dévoilait son plan ambitieux dans l'e-commerce alimentaire. Le distributeur se fixe pour objectif de devenir le numéro 1 du secteur d'ici à 2022, en ­réalisant un chiffre d'affaires de 5 milliards d'euros, soit une part de marché supérieure à 20% du marché de ­l'e-commerce alimentaire. "Gagner la bataille de ­l'e-commerce de centre-ville est un défi essentiel pour Carrefour", a souligné Alexandre Bompard.

    Pour cela, le distributeur muscle son offre logistique, maillon essentiel pour développer les trois axes stratégiques de son projet: le drive, la livraison à domicile et l'express. Le groupe investira 2,8 milliards d'euros d'ici cinq ans dans le digital, 560 millions d'euros par an, soit six fois plus que les investissements actuellement consentis pour changer de dimension sur le numérique et l'omnicanal. Carrefour a ainsi inauguré en avril sa nouvelle plateforme logistique implantée à Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis.


    Une plateforme unique et un nouvel entrepôt

    Construit par la société Segro sur l'ancien site de PSA, le nouvel entrepôt logistique de 26000m2, avec une extension possible de 6000m2 additionnels, est destiné à alimenter les drives et drives piétons de l'enseigne à Paris et en région parisienne, soit une cinquantaine de magasins d'ici la fin de l'année. Ces points de retrait sont en effet un axe stratégique pour Carrefour, très en retard par rapport à ses concurrents, notamment Leclerc qui rafle 50% du marché versus 8% pour le distributeur, selon la dernière étude Nielsen. "Nous devons avoir un système logistique de pointe pour garantir à nos clients qu'ils seront livrés à temps et que leurs commandes arriveront de manière complète, a souligné le p-dg lors de l'inauguration. Nous sommes convaincus que l'e-commerce est le futur de notre groupe et que la qualité de services que nous offrons est essentielle pour développer la confiance de nos clients."

    Carrefour a confié à la société Stef, l'un des spécialistes européens de la logistique du froid, la prestation de sa plateforme logistique. Ce bâtiment multi- températures sera mécanisé en 2019 afin de multiplier par deux le nombre de commandes traitées (actuellement 600 commandes par jour, ­l'objectif étant de passer à 3500 d'ici fin 2018, et à 8000 commandes par jour en 2019). Le nombre de références produits passera quant à lui de 13000 à 20000 lors de la mécanisation de l'entrepôt.
     
    Pour renforcer son identité digitale, le groupe, qui compte 14 applications et huit sites d'e-commerce non reliés entre eux, lancera cette année un site unique, Carrefour.fr. Le portail regroupera l'ensemble des offres marchandes alimentaires et non alimentaires généralistes. Le cybermarchand Ooshop vient aussi de changer de nom en avril dernier rebaptisé "Carrefour Livré chez vous". Le but? Débuter le processus d'uniformisation de tous les services et sites du distributeur autour de la marque leader, Carrefour.