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5- Stratégies marketing - Page 23

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    [#CONSOLAB] [BREXIT] | #Brexit : la #French #tech #londonienne adopte le "#wait and #see" | @LUSINEDIGITALE

    DE STEPHANIE SALTI | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2GqVM2q

    #Brexit : la #French #tech #londonienne adopte le "#wait and #see"

    French Tech London vient de publier un nouveau sondage sur l’attitude des entrepreneurs face au Brexit. Si l'inquiétude baisse, les start-up françaises candidates au départ du Royaume Uni privilégient la France comme destination de choix .

    "Keep cool and carry on". Cela pourrait être la devise des entrepreneurs de la Tech française basés à Londres. A tout juste un an de la sortie officielle du Royaume-Uni de l’UE, French Tech London, qui rassemble les acteurs de la French tech (investisseurs, entrepreneurs, associations etc..) dans la capitale britannique, vient de publier un nouveau sondage sur l’attitude des entrepreneurs face au Brexit. Le premier avait été réalisé en janvier 2017, deux mois avant le déclenchement de l’Article 50.


    LES START-UP FRANÇAISES MOINS INQUIÈTES FACE AU BREXIT

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    De toute évidence, les niveaux de stress de la communauté technologique française à Londres ont considérablement baissé en une année : alors que 78 % confiaient leur inquiétude face aux conséquences du Brexit au début 2017, ils ne sont plus aujourd’hui que 54 % dans ce cas. Pour 60 % des répondants, le principal sujet d’inquiétude concerne la liberté de circulation tandis que 55 % évoquent les relations commerciales : "L’impact sur la vie quotidienne est restée faible jusqu’à présent, commente Albin Serviant, président de French Tech London. Par ailleurs, l’accord entre l’Union européenne et le Royaume-Uni sur le principe d’une période de transition de mars 2019 à fin 2020 permet au secteur de temporiser. On s’habitue peu à peu à cette ambiance".

    Pas question pour autant de rester les bras croisés : un tiers des 150 répondants au sondage ont pris des dispositions face au Brexit, soit 10 points de plus que l’an passé. Sans surprise, ce sont les personnes âgées de plus de 55 ans qui se sont montrées les plus prudentes, alors que les 18-25 ans ne se sont pas mobilisés : "Pour cette catégorie, la sensibilité au risque Brexit est bien moindre que pour les plus âgés, poursuit le président de French Tech London. Bien souvent, ce sont des professionnels qui n’ont pas d’enfants, pas plus que de biens immobiliers." Parmi les dispositions prises, 14% ont mentionné la possibilité de quitter Londres tandis que 6 % souhaitent déposer un dossier en vue de l’obtention d’un permis de résidence. Enfin, 5% désirent créer une structure juridique en Europe.
     

    LA FRANCE, UNE DESTINATION DE PRÉDILECTION, MAIS...

    Les candidats au départ confirment le choix de la France comme destination de prédilection : ils seraient 55 % à opter pour ce pays, loin devant les Etats-Unis (25 %), l’Allemagne (17 %) et l’Espagne (14%) : "L’effet Macron et les réformes menées au pas de charge créent un environnement propice dans l’Hexagone";explique Albin Serviant. A l’inverse, l’appétit pour l’Espagne s’est écroulé d’une année sur l’autre, conséquence des événements en Catalogne". Londres est pourtant loin d’être délaissée : "On continue à voir des personnes arriver à Londres, poursuit le président de French Tech London. L’écosystème londonien reste très dynamique avec des levées de fonds importantes. Par ailleurs,  quand il s’agit de se confronter à un univers international, Londres est toujours considéré comme un véritable eldorado et une porte d’entre vers d’autres marchés comme l’Asie ou les Etats-Unis."

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    [#CONSOLAB] [COSMETIQUES] | #Nocibé se lance sur le #marché des #cosmétiques #naturels | @FASHIONNETWORK

    DE SARAH AHSSEN | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2q0BD8w

    #Nocibé se lance sur le #marché des #cosmétiques #naturels

    Nocibé poursuit le développement de son offre propre en lançant Naturals, sa première gamme de soins composée à 90 % et plus d’ingrédients naturels. Disponible dans les magasins de l’enseigne de parfumerie sélective à compter du mois d’avril, cette ligne de plus de 30 références conçues autour de cinq actifs naturels - la rose, l’argile, l’eau de coco, le moringa et l’extrait d’amande - se décline notamment en huile de douche (12,95 euros), gelée exfoliante, mousse de rasage, huile démaquillante ou encore sérum booster d’éclat (19,95 euros).

    Positionnée sur le segment dynamique de la cosmétique naturelle, cette nouvelle gamme vise à élargir la clientèle de l’enseigne française en séduisant des consommateurs de plus en plus sensibles à la composition des produits. Naturals by Nocibé renforce également l’offre propre de Nocibé, une offre que la filiale du groupe allemand Douglas développe depuis 2012 et qui compte aujourd’hui près de 1 400 références : du maquillage aux soins du visage et du corps en passant par les produits pour le bain et la douche.

    Il y a quatre ans, Nocibé a même lancé un concept de magasin dédié à son offre propre, avec en complément divers services proposés (pose de vernis, maquillage des yeux). Baptisé Les Bellista by Nocibé, ce concept ne compte cependant aujourd’hui que deux unités.

    Nocibé, qui a récemment inauguré un flagship parisien dans le quartier de L’Opéra, dispose de plus de 600 points de vente, essentiellement implantés en régions (succursales et franchisés). L’enseigne réalise aujourd’hui près d’un milliard d’euros de chiffre d’affaires.

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    [#CONSOLAB] [BEAUTE] | #Royaume-Uni : Le #marché de la #beauté stimulé par le #vegan et le #naturel | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2q1qGDr

    #Royaume-Uni : Le #marché de la #beauté stimulé par le #vegan et le #naturel

    Les ventes de cosmétiques vegan ont augmenté de 38% en 12 mois selon la société d’études The NPD Group. Cependant, la distribution des marques végétaliennes reste limitée et ces marques ne représentent que 1% du marché féminin des soins pour visage. Plus généralement, les marques naturelles et cruelty-free enregistrent les plus forts taux de croissance au Royaume-Uni.
    Les ventes de produits de beauté vegan hauts de gamme ont enregistré une augmentation de 38% au cours des 12 mois allant de février 2017 à fin janvier 2018 au Royaume-Uni selon The NPD Group. Le marché total des cosmétiques naturels de prestige (dont font partie les produits vegan) est évalué à 124 millions de livres sterling en 2017 et représente 26% du marché des produits féminins pour le soin du visage vendus dans le circuit sélectif.

    Soutenu par les médias sociaux et par des campagnes tels que Veganuary (le « janvier vegan »), la popularité du style de vie vegan progresse au fur et à mesure que les consommateurs adoptent un style de vie plus axé sur le bien-être. The NPD Group constate une augmentation du nombre de marques véganes sur le marché de la beauté de prestige, tout en pointant le fait que leur distribution reste le plus souvent limitée. Les marques de beauté véganes ne représentent que 1% du marché féminin des soins du visage, mais leur croissance (38%) est nettement supérieure à celle de la catégorie.

    « Il y a certainement eu une augmentation du nombre de marques véganes au sein du segment des cosmétiques de prestige et cela coïncide avec une démarche plus conscienticisée de la part consommateurs lors de l’achat de produits, ceux-ci regardent de près les valeurs sous-jacentes et les actions des marques. Ils évaluent non seulement les ingrédients, l’efficacité, mais aussi la traçabilité et le respect des animaux. Le vegan et l’absence de cruauté sont deux des grands enjeux pour les clients en 2018, mais cela reste encore une niche pour le marché du soin », explique Helen Duxbury, Senior Account Manager, NPD UK Beauty.

    Toujours plus naturel

    Le marché de la beauté de prestige a également bénéficié de la demande pour les produits de beauté naturels. Les marques naturelles (bio, d’origine naturelle et véganes) ont progressé de 16%, loin devant la moyenne du marché qui s’établit à 7% au cours des 12 mois à fin janvier 2018.

    Les cinq principales catégories du segment des soins cosmétiques naturels sont : l’anti-âge, les produits nettoyants pour la peau, les hydratants, le soin des yeux et les masques. Les produits anti-âge (18%), les nettoyants (14%) et les masques (39%) dominent le segment. Les nettoyants naturels connaissent une belle performance et représentent 18% des ventes, contre 11% pour l’ensemble des nettoyants.

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    Bien-être animal

    Selon The NPD Group, au fur et à mesure que les consommateurs s’informent sur les ingrédients utilisés dans les produits de beauté, les questions éthiques gagnent en importance pour chaque marque. Bien que l’Union européenne ait interdit les tests sur animaux pour les cosmétiques, un nombre croissant de consommateurs sait qu’une marque qui vend en Chine doit faire tester ses produits sur des animaux. « Avoir une position claire sur ces questions éthiques peut donner une sérieuse impulsion aux ventes », affirme The NPD Group. Les marques certifiées cruelty-free représentent ainsi 20% du marché féminin des soins pour la peau et ont augmenté de 18% contre 7% seulement pour l’ensemble de la catégorie.

    Selon The NPD Group, les cinq premières marques cruelty-free au Royaume-Uni sont (par ordre alphabétique) : Charlotte Tilbury, Decléor, Elemis, La Prairie et Liz Earle.

    « La popularité du vegan est indéniable et les marques misent désormais sur le mouvement. Au cours de la dernière année, nous avons noté une croissance solide de ce segment avec un flot de nouveaux lancements. Si la distribution de la plupart d’entre eux reste limitée, nous observons également une augmentation des marques grand public proposant une gamme végane ou devenant entièrement véganes, avec par exemple le lancement par Elemis de la gamme Super Food Skincare, qui est non seulement végane, mais qui répond à la demande des consommateurs en matière de super-aliments. Nous croyons que la tendance en faveur de produits de beauté qui aident les consommateurs, non seulement à se sentir bien, mais aussi à être à l’aise à propos de leur achat, est appelée à croître en 2018 », conclut Helen Duxbury.

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    [#CONSOLAB] [ESPACE] | #Bonduelle ouvre un #espace #végétal #éphémère au cœur de #Paris | @LSA

    DE CAMILLE HAREL | LSA | http://bit.ly/2pSibe6

    #Bonduelle ouvre un #espace #végétal #éphémère au cœur de #Paris

    Du 29 mars au 1er avril, les consommateurs vont pouvoir venir découvrir le végétal dans l’espace éphémère de Bonduelle, situé au cœur de Paris.

    A l’occasion du lancement de sa gamme végétale VeggissiMmm ! au rayon traiteur et surgelé, Bonduelle invite les consommateurs à se rendre dans son showroom éphémère, situé au cœur de Paris. Une première initiative de la sorte pour le groupe. Du 29 mars au 1er avril, le grand public pourra venir au 52 ter rue des Vinaigriers, dans le 10ème arrondissement de la capitale, pour découvrir le végétal, les légumes à travers des ateliers et des animations.

    Par ailleurs, les consommateurs pourront découvrir les derniers lancements de Bonduelle : VeggissiMmm !, Les Idées Légumineuses et Les Saladiers Bonduelle.

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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | Découvrez les #parts de #marché des principaux #sites #e-commerce en #France | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2GlBrYr

    Découvrez les #parts de #marché des principaux #sites #e-commerce en #France

    A l’occasion de son Consumer Day, Kantar Worlpanel a dévoilé les parts de marché des principaux vendeurs sur internet. Si Amazon est largement leader, un challenger en particulier se distingue.

    « C’est une première mondiale. On n’a jamais publié ce type d’information », assure Frédéric Valette, directeur retail insight de Kantar Worldpanel. A l’occasion de son Consumer Day 2018, la société a publié le classement des principaux e-commerçants en France hors sites de grandes surfaces alimentaires (GSA). Sans surprise, Amazon est largement leader sur la vente de biens hors services, c'est-à-dire les biens techniques, la mode, les PGC FLS, la maison, la culture, l'hygiène-beauté, la parapharmacie... Un marché online que Kantar Worlpanel estime à 34,3 molliards d'euros en prenant en compte les dépenses en BtoC (hors voyages et services) sur les sites internet français mais aussi sur les sites implantés à l’étranger et qui livrent en France (les frais de livraison ne sont pas intégrés et les résultats ne sont pas retraités des retours produits).

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    Sur ce périmètre, Amazon a 18,9% de part de marché. « C’est beaucoup bien sûr mais dans d’autres pays, c’est bien plus d’après les estimations qui peuvent être faites à l’international », commente Frédéric Valette. Il faut dire que, toujours selon Kantar Worldpanel, 25% des 600 millions de commandes réalisées sur internet par les Français en 2017 ont été faites via Amazon. « Nous estimons que les Français ont dépensé 5,6 milliards d’euros chez Amazon en 2017, un chiffre d’affaires en croissance de 22%. C’est beaucoup pour internet mais c’est à relativiser par rapport aux grandes surfaces alimentaires qui réalisent des dizaines de milliards d’euros de ventes en France », rappelle Frédéric Valette.

    Le premier challenger d’Amazon sur internet est Cdiscount avec 8,9% de part de marché. « Lancé depuis longtemps, Cdiscount a une vraie force sur les biens technique, la téléphonie et la maison », ajoute Frédéric Valette. Vente Privée avec 3,9% de part de marché complète le trio de tête.

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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | Quels sont les #investissements #prioritaires pour #2018 ? | @FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2pOjxq6

    Quels sont les #investissements #prioritaires pour #2018 ?

    En 2018, les e-commerçants tricolores vont en priorité investir dans les domaines de l’informatique (71 %), de l’expérience utilisateur (62 %) ainsi que du marketing et de la publicité (55 %), selon une enquête de la fédération de la vente en ligne (Fevad) et LSA dévoilée à l’occasion du salon E-commerce One-to-One, qui se tenait à Monaco du 20 au 22 mars derniers.

    Là où les plus gros acteurs se concentreront d’abord, à 79 %, sur les investissements en informatique, l’étude montre que les "petits" e-commerçants vont eux à 75 % accroître leurs investissements marketing et publicitaires. Sur l’ensemble du panel, ces investissements en marketing et publicité viseront en premier lieu le référencement naturel, le brand content et le référencement payant. Les investissements en publicité offline vont cependant reculer pour 22 % des acteurs.

    Sans surprise, la livraison demeure l’un des principaux centres d’attention, avec 70 % des e-commerçants proposant déjà des offres de livraison gratuite et 20 % y travaillant. « La livraison gratuite s’impose comme un levier de performance quasi incontournable pour les e-commerçants, relève la Fevad. Parallèlement, les e-commerçants continuent de développer des offres d’abonnement annuel permettant la livraison illimitée. Autre nouveauté à signaler, la montée en puissance de l’e-réservation chez les sites d’enseignes physiques (réservation de produits sur Internet en vue d'un retrait et d'un paiement en magasin) ».

    Les cybermarchands tricolores sont désormais 62 % à vendre à l’international, la Belgique, l’Espagne et l’Allemagne étant leurs premières destinations. Les difficultés logistiques, juridiques et fiscales restent les trois principaux freins, selon les professionnels. Chez ceux vendant hors de l’Hexagone, 84 % des sites ont vu leur chiffre d’affaires international augmenter l’an passé et 86 % tablent sur de nouvelles hausses dans les deux ans, indique l’étude.

    En termes d’innovation, 57 % des dirigeants consultés envisagent de se tourner dans un avenir proche vers les nouvelles solutions de paiement ou encore vers les chatbots (48 %). Assistants vocaux et retours en boîtes aux lettres font également l’objet de développements (30 %). Au final, 58 % des sociétés ont l’intention de recruter cette année, contre 48 % un an plus tôt.

    « Ils sont plus de 9 sur 10 à se déclarer confiants pour l’avenir de leur entreprise, pointe la Fevad. Cette vision positive se traduit par des prévisions de croissance de la performance financière pour la majorité des acteurs (63 %) quelle que soit leur taille. Déjà deux entreprises sur trois déclarent être rentables aujourd’hui et près de 80 % de celles qui sont déficitaires anticipent une amélioration de leur performance financière cette année. De plus, 83 % des e-marchands sont confiants dans la croissance de leur chiffre d’affaires en 2018. Une confiance partagée par l’ensemble des répondants ».