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5- Stratégies marketing - Page 24

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    [#CONSOLAB] [ALLIANCE] | Comment l'#alliance #Amazon-#Monoprix peut #rebattre les #cartes dans la bataille du #e-commerce #alimentaire | @LUSINEDIGITALE

    DE STEPHANIE MUNDUBELTZ-GENDRON | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2GUSZf0

    Comment l'#alliance #Amazon-#Monoprix peut #rebattre les #cartes dans la bataille du #e-commerce #alimentaire

    Amazon et Monoprix ont annoncé le lundi 26 mars 2018 un partenariat commercial, donnant accès aux clients Amazon Prime aux produits alimentaires de l’enseigne française à Paris et sa proche banlieue. Pourquoi une telle alliance avec un géant américain ? Que cela va-t-il changer dans la bataille du e-commerce alimentaire ? Quels sont les risques ? Deux experts du retail répondent à L’Usine Digitale.

    Inattendue l’alliance entre Amazon et Monoprix ? Pas tant que cela selon les experts du retail. "On sait qu’Amazon recherchait une alliance en France dans l’alimentaire. On sait qu’il avait une volonté de préempter le marché français", indique Rodolphe Bonnasse, directeur général de CA Com.  Et Frank Rosenthal, expert en marketing du commerce, de rappeler : "Il y avait des rumeurs depuis un certain temps, aussi bien sur Amazon et Monoprix -  puisqu’on sait que Jean-Charles Naouri (Président du Groupe Casino, ndlr) et Jeff Bezos (CEO d’Amazon) s’étaient vus -  que sur  Amazon et Système U."


    UNE PERCÉE D’AMAZON DANS L’E-COMMERCE ALIMENTAIRE FRANÇAIS

    Selon Frank Rosenthal, c’est un partenariat qui a du sens, à quatre niveaux : les clients Amazon, les clients Monoprix, Amazon et Monoprix.  Du côté des clients Monoprix, "on peut imaginer qu’il y a une duplication assez forte avec les abonnés Amazon Prime. Ils pourront ainsi bénéficier d’une offre plus large tout en restant fidèles à l’enseigne sur l’Ile-de-France", ajoute Frank Rosenthal. Et ce, sans bouger de chez eux.

    Quant aux clients d’Amazon, "cette alliance va  leur permettre de bénéficier d’une offre alimentaire, à des prix intéressants. Plus ils utilisent Prime et plus ils valorisent l’offre", explique-t-il. Mais au-delà de l’expérience client, cette alliance commerciale avec Monoprix permet à Amazon de se positionner sérieusement dans l’alimentaire. "Leur faiblesse en France, c’était l’alimentaire, avec des marketplace avec des prix décalés par rapport au marché", poursuit Frank Rosenthal. Les MDD de Monoprix vont lui permettre de renforcer l’attractivité".

    ET UN COUP DE MAÎTRE POUR MONOPRIX ?

    "Pour Monoprix, cette alliance permet une mise en scène de son offre dans Amazon avec un positionnement plutôt CSP+", analyse Rodolphe Bonnasse. Et si l’on peut craindre une cannibalisation, c’est surtout au niveau de la relation client, s’accordent les experts. Car Monoprix va continuer de marketer son offre, et côté revenus, "si l’on compare avec l’intégration des produits alimentaires de Whole Foods dans Amazon aux Etats-Unis, on remarque que le chiffre d’affaires de Whole Foods a augmenté", remarque Rodolphe Bonnasse.

    Mais surtout, cette alliance avec Amazon s’ajoute au partenariat signé avec Ocado fin novembre 2017. Deux rapprochements très complémentaires pour remporter la bataille du e-commerce alimentaire. "Avec Amazon, Monoprix renforce son attractivité sur le e-commerce et élargit son offre,  et avec Ocado qui promet des taux d’exactitude des commandes de 99%,  il améliore sa livraison", commente Frank Rosenthal. Et c’est sans compter Cdiscount qui appartient au même groupe.

    Et si certains y voient une faiblesse de la part de Monoprix, contraint de s’allier à un géant du Web, les experts y voient plutôt l’inverse : "C’est très malin de la part de Régis Schultz (DG de Monoprix, ndlr)", s’amuse Rodolphe Bonnasse. Et d’ajouter : "Monoprix ne met pas les deux pieds dans le même bateau. Ce n’est pas le même dispositif que Toys’r’Us qui avait tour mis dans Amazon… et dont on a vu la fin".

    LES VRAIS ENJEUX DU E-COMMERCE ALIMENTAIRE FRANÇAIS

    "Il y a un vrai enjeu sur le digital dans le commerce alimentaire", rappelle Rodolphe Bonnasse. Sur le non alimentaire, le digital est ancré et les réflexes sont là. Il suffit de regarder la marché du jouet ou les produits blanc, brun et gris". En revanche, le digital dans l’alimentaire était jusque-là encore assez limité. "Il y avait une vraie résistance des Français. Ils ont adhéré au drive, une sorte de mix entre le digital et le magasin", ajoute l’expert.  

    L’enjeu pour les enseignes alimentaires, selon les experts, va être de jouer sur la qualité, le prix et l’offre tout en assurant une logistique efficace et moins coûteuse. "En région parisienne et à Paris, c’est jouable de délivrer un service en une heure, commente Rodolphe Bonnasse. C’est la question du coût qui va être déterminante. Or, ce coût doit être supporté  à la fois par le consommateur et le commerçant". Et sur ce point l’alliance entre Amazon et Monoprix semble plutôt pertinente : "Dans le dispositif de Prime et la logique de livraison avec un réseau de distribution comme Monoprix, ils doivent être en mesure de descendre à un coût de logistique acceptable".

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    VERS LA FIN DU DRIVE ?

    Quels sont alors les risques pour la grande distribution ? Si l’e-commerce alimentaire se développe en France, cela ne remet pas en cause les magasins physiques. D’ailleurs si Amazon a racheté Whole Foods, c’est aussi pour ses implantations physiques. En revanche, si les enseignes parviennent à proposer des prix compétitifs et un service de livraison rapide, la question de l’avenir du drive pourrait bien être remis en cause.

    "Le drive représente 6% d des parts de marché des produits de grande consommation, avec une offre plus réduite qu’en magasin. Partout ailleurs, c’est l’inverse : on a un e-commerce où il y a plus d’offres sur les sites qu’en magasin", constate Frank Rosenthal. S’il y a plein de solutions attractives de livraison en région parisienne et que je peux me faire livrer rapidement sans avoir à me déplacer, la question de l’intérêt du drive se pose." D’ailleurs, E. Leclerc, qui en a fait une de ses forces, se lance également dans la livraison à domicile en région parisienne.

    PRIX, OFFRE, SERVICE... A CHACUN SES ARMES

    S’il est difficile de prédire qui gagnera cette bataille du e-commerce alimentaire, chacun y va de ses propres armes. "Leclerc va attaquer sur le prix, tandis qu’Amazon et Monoprix ont intérêt à attaquer sur la fluidité et l’expérience client", avance Frank Rosenthal. "Mais j’ai tendance à penser que le prix ne fait pas tout. Ce ne sont pas les mêmes produits". Concernant la livraison à domicile "E. Leclerc Chez Moi", Frank Rosenthal rappelle qu’il s’agit d’une initiative drivée par quelques adhérents : "Ils ont tout intérêt à le faire. Mais je pense que Monoprix avec Amazon sera plus compétitif".

    Quant à Carrefour, l’enseigne a annoncé une simplification du portail et revoit actuellement la solution logistique de son site Ooshop.  "Ils ne font que rattraper leur retard", analyse Frank Rosenthal. "Il va falloir qu’ils soient offensifs. Pour l’instant on ne voir pas grand-chose arriver, mais des choses doivent se préparer". Et de conclure : "L’histoire n’est pas faite".

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Etam teste la #caisse #libre-#service | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2GBqyVz

    #Etam teste la #caisse #libre-#service

    Dans le cadre de la transformation digitale du groupe Etam entamée en 2015, son enseigne phare expérimente de nouvelles solutions pour lier plus intimement commerce physique et en ligne. L’étiquetage RFID de ses produits va permettre de lancer le « ship from store » (soit l’expédition de produits depuis les magasins) et le passage en caisse libre-service. Les objectifs de l’enseigne de lingerie ? Améliorer la relation client, optimiser sa logistique et anticiper les comportements d’achat.

    Deux des boutiques parisiennes de la marque - celles de Saint-Lazare et de Faubourg Saint-Antoine - sont à ce jour équipées de la RFID, ce principe de radio-identification fonctionnant à l’aide de puces. « L’objectif est d’implémenter cet outil dans tous les magasins du réseau français, soit 450 adresses, d’ici fin 2018, début 2019. Puis ensuite, évidemment, le déployer à l’international », comme l’annonce Jonathan Attali, directeur e-commerce et innovation de la marque, dans une interview à retrouver sur FashionNetwork.com Premium.

    L’un des premiers bénéfices de ce système est d’introduire pour Etam une nouvelle option en boutique, à savoir le « paiement sans caisse traditionnelle ni hôtesse, ce qu’on appelle le "self-check out" ». Concrètement, sur une borne, le client place son panier sur un crochet, tandis que l’antenne RFID enregistre aussitôt les articles, sans que l’on ait besoin de scanner d’étiquette. Le client paie alors seul à la borne via une tablette. La première semaine d’avril, un premier test sera mené dans le magasin de Saint-Lazare à Paris. « Ce service sera ensuite déployé dans une sélection de magasins à fort trafic, comme celui des Champs-Elysées, de la rue de Rennes à Paris ou de Lyon Part-Dieu », poursuit le dirigeant.

    Pour l’entreprise, la RFID facilite également l’organisation et la gestion des stocks. Etam pourra à terme expédier des articles depuis un magasin à une cliente ayant passé commande en ligne. « Ce principe de "ship from store" sera développé progressivement, une fois que le système RFID aura été bien déployé. L’avantage, c’est que le client en ligne aura à disposition non seulement les stocks de l’entrepôt, mais aussi celui des 450 boutiques de l’Hexagone. Si une cliente à Lille veut un produit qui n’est disponible que dans le magasin de Nice, elle pourra le commander. Commercialement, cela nous permettra de diminuer les stocks résiduels, qui sont actuellement écoulés par des soldeurs. »

    Autre nouveauté chez Etam, un service d’essai avant achat sera lancé début avril, afin de lever les freins liés à l’avance de trésorerie. Pour l’instant baptisé « try at home », ce service permettra à la cliente de passer commande en ligne en laissant ses coordonnées bancaires, mais ne sera pas débitée pendant 12 jours, ce qui lui laisse donc la possibilité de retourner le produit.

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    [#CONSOLAB] [TENDANCES] | Pour les #jeunes #Français, les #influenceurs deviennent #référents | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2pLiJlO

    Pour les #jeunes #Français, les #influenceurs deviennent #référents

    Les 18-24 ans sont libres... mais influençable. C'est en quelque sorte la conclusion de l'étude l'observatoire Cetelem/Harris Interactive qui s'est intéressé au phénomène des influenceurs(euses) et son impact sur les actes d'achats des Français. Ainsi, 64 % de l'ensemble des Français intérrogés déclarent se sentir libres au moment de faire des achats.

    Dans les faits, plusieurs facteurs influencent de manière significative les achats des Français, selon l'observatoire Cetelem/Harris Interactive qui a interrogé 1 000 Français.

    Les commentaires des proches (65 %), les messages de santé publique (55 %), les commentaires en ligne (51 %), les vendeurs en magasin (50 %) et les informations données par Internet (47 %) semblent en effet déterminants au moment de faire des choix. Les 18-24 ans se montrent plus sensibles aux commentaires en ligne (70 %) contre 42 % des personnes de 50 ans et plus. Ils sont également plus perméables à la publicité concernant les produits (35 %) comparativement aux 50 ans et plus (13 %), selon l'étude.

    Phénomène émergent de communication, le discours des influenceurs(euses) et des réseaux sociaux où ils officient, connus par 40 % des Français interrogés, semble davantage porter auprès des jeunes qui sont 58 % à savoir précisément de quoi il s'agit contre 32 % des plus de 50 ans. Si ces nouveaux ambassadeurs sont considérés par la majorité des Français interrogés comme les promoteurs d'une marque (79 %), ils sont vus par les jeunes comme des experts capables de rester indépendants (41 %) et de fournir des conseils personnalisés (48 %) et humains (47 %).

    Près d'un Français sur trois (29 %) reconnaît qu'il s'est déjà intéressé de plus près à une marque citée par un influenceur, contre 62 % des jeunes.

    Plus d'un jeune sur deux se dit friands de leurs recommandations dans les domaines du lifestyle (55 %), de la beauté (52 %) et du sport (57 %). 80 % d'entre eux déclarent avoir connu une marque grâce aux influenceurs et 58 % avoir acheté un produit, contre 27 % de l'ensemble des Français, selon l'étude.

    La culture (27 %), l'alimentation (26 %) et l'informatique (26 %) sont les secteurs où les conseils des influenceurs sont les plus suivis, tous âges confondus.

    L'enquête a été réalisée par Harris Interactive en ligne du 13 au 15 mars auprès d'un échantillon de 1 000 personnes, représentatif des Français âgés de 18 ans et plus.

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    [#CONSOLAB] [COMMERCE VOCAL] | #Carrefour s’#allie avec #Google pour #créer une #assistante #vocale | @PRESSECITRON

    DE SETRA | PRESSE CITRON | http://bit.ly/2Gdex9q

    #Carrefour s’#allie avec #Google pour #créer une #assistante #vocale

    Carrefour présente Léa, son assistante vocale intégrée aux enceintes connectées de Google.

    Alors qu’Amazon prépare le lancement d’Alexa et des enceintes connectées Echo dans l’Hexagone, Carrefour et Google s’allient pour créer « Léa », une sorte d’assistante connectée dédiée aux courses que l’on peut invoquer sur Google Assistant ou Google Home.

    Présentée comme « l’assistant Carrefour », Léa se base donc sur la technologie de Google pour améliorer l’expérience des clients. « Avec Carrefour et votre assistant Google, gérez votre quotidien rien qu’au son de votre voix : infos magasin, liste de courses, ingrédients de vos recettes préférées sous la main », explique Carrefour.

    Sur Google Assistant ou Google Home, l’utilisateur invoque Léa avec la phrase « Ok Google, parler avec Carrefour ». Puis il s’identifie, et après cela, il sera possible d’utiliser l’assistante de Carrefour pour gérer sa liste de courses, trouver des recettes ou encore trouver un magasin.

    « Léa a été conçue pour simplifier le quotidien de nos clients afin qu’ils puissent gérer leurs listes de courses sur les sites et applications Drive et Ooshop, uniquement à l’aide de la voix », lit-on dans un communiqué de presse. « L’assistant vocal est aussi capable d’ajouter les ingrédients au panier à partir d’une recette de cuisine et de donner des informations sur les magasins aux alentours comme l’adresse, les horaires ou l’itinéraire ».

    Pour rappel, Google Home est arrivé en France en 2017. Amazon Echo, l’enceinte connectée du géant du e-commerce Amazon, devrait quant à elle débarquer cette année. Et parmi les fonctionnalités du haut-parleur d’Amazon aux Etats-Unis, il y a la possibilité de faire ses courses via « Alexa Voice Shopping ».

    Sinon, Google a aussi récemment présenté de nouvelles fonctionnalités « transactionnelles » en France.

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    [#CONSOLAB] [PARTENARIAT] | #Monoprix scelle un #partenariat avec #Amazon #Prime #Now | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2pOiS83

    #Monoprix scelle un #partenariat avec #Amazon #Prime #Now

    Comme LSA l’avait pressenti il y a deux mois, Amazon et Monoprix annoncent ce 26 mars que l’offre de l’enseigne alimentaire sera rendue disponible sur Prime Now dans le courant de l’année. Explications du DG France d’Amazon.

    Monoprix, partenariat, Amazon, Prime, Now

    Prime Now, votre service de livraison à domicile en 1h à 2h de courses du quotidien, annonce une prise de taille…

    Nous scellons un partenariat avec Monoprix. La sélection Monoprix sera disponible cette année aux abonnés Prime de Paris et sa proche banlieue au travers du service Prime Now. J’en suis très heureux car Amazon se doit de proposer une offre large, or avoir la sélection de Monoprix constitue vraiment un plus, en particulier ses MDD Monoprix Gourmet, Monoprix Bio et Made in pas très loin.

    Quand l’offre de Monoprix arrivera-t-elle sur Prime Now ?

    Pas dès ces jours-ci, mais dans le courant de l’année. Nous allons y aller progressivement.

    Sera-t-elle bien livrée depuis des magasins Monoprix, ou l'enseigne fournira-t-elle directement l’entrepôt de Prime Now ?

    Le picking sera en effet effectué dans des magasins Monoprix et nous y brancherons notre logistique "ultra-fast", assurée en premier lieu par nos partenaires StarService et TopChrono.

    Combien de magasins seront concernés ?

    Je ne peux pas encore vous le dire, mais nous voulons que les Parisiens soient vraiment satisfaits du service.

    Votre partenariat avec Monoprix prévoit-il une extension à d’autres grandes villes de France ?

    Pour l’instant nous annonçons Paris et la proche banlieue. C'est déjà une belle annonce, d'autant que la population Prime y est très importante.

    Toute l’offre de Monoprix sera-t-elle commercialisée sur Prime Now ?

    Ce sera à Monoprix d'en décider. L’enseigne compte entre 5.000 et 10.000 références par magasin. A Régis Schultz de voir combien il en rend disponible sur sa boutique Prime Now. Mais j’ai cru comprendre que la sélection serait assez inclusive.

    C’est un accord assez comparable à celui que nous avons avec Morrisonsau Royaume-Uni pour Amazon Fresh, ou avec Dia en Espagne. Ces partenariats fonctionnent bien car ces enseignes disposent d’une large offre avec du frais, des produits d’entretien…

    A combien de références s’élève l’offre actuelle d’Amazon Prime Now à Paris ?

    A 30.000 références, et 20.000 si l’on exclut les enseignes partenaires Bio C Bon, Fauchon, Lavinia et Truffaut.

    Ce partenariat ferme-t-il la porte à d’autres enseignes alimentaires, comme Système U ?

    Je ne vais pas commenter cet aspect du contrat. Sachez simplement que bientôt quand vous voudrez acheter des pommes, vous aurez le choix entre celles d’Amazon, celles de Monoprix et celles de Bio C Bon.

    Point de vue UX, n’est-il pas problématique qu’une recherche générique fasse remonter des offres de plusieurs enseignes ?

    Non, car il y a peu de recouvrement entre leurs sélections, mais aussi parce que la livraison gratuite nécessitant d’atteindre un certain seuil de panier, les utilisateurs tendent à ne commencer leur shopping qu'une fois rentrés dans la boutique d’une enseigne.

    Que vous reste-t-il à mettre en œuvre ?

    Désormais notre enjeu est de caler la logistique avec Monoprix, de faire venir les clients, et de nous assurer de leur satisfaction ainsi que de celle de notre nouveau partenaire.

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    [#CONSOLAB] [DRIVE] | #Cdiscount se #lance (lui aussi) dans le #drive #piéton à #Paris | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2uvbEvk

    #Cdiscount se #lance (lui aussi) dans le #drive #piéton à #Paris

    Un premier emplacement ouvrira le 24 avril dans la capitale. Ce nouveau service, baptisé Drive Cdiscount, sera opéré par Mondial Relay et accueillera les flux d'autres enseignes.

    Ainsi que l'a repéré le consultant Olivier Frey, Cdiscount se lance dans le drive piéton à Paris. Il ouvrira un emplacement le 24 avril dans le 11ème arrondissement de la capitale. Plus précisément, il s'agit d'une boutique Mondial Relay qui ferme ce 23 mars pour être retapée. A partir de sa réouverture, elle sera rebrandée Drive Cdiscount et opérée par Mondial Relay pour l'e-commerçant, mais elle continuera à accueillir les flux du transporteur pour la livraison et les retours des ses autres enseignes clientes.

    Le drive piéton fait actuellement l'objet de nombreux projets. E.Leclerc, qui avait lancé le concept à Lille, va en faire son bras armé à Paris. Et Carrefour va également en ouvrir, à Lyon le 9 avril, puis dans la capitale. Quant à Auchan, qui en opère deux dans la capitale (l'un depuis 2014, l'autre depuis 2015), il n'a pas annoncé son intention d'en déployer d'autres.