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5- Stratégies marketing - Page 28

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    [#CONSOLAB] [BEAUTE] | #Fiabila annonce la #nouvelle #génération de #vernis #hybrides | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE VINCENT GALLON | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2FvcQQf

    #Fiabila annonce la #nouvelle #génération de #vernis #hybrides

    Fiabila présentera lors du prochain salon Cosmopack à Bologne (Italie) la dernière génération de vernis hybrides avec l’ambition de secouer un marché avide de nouveautés. Le spécialiste mondial du vernis à ongles (11 usines dans 7 pays) poursuit ainsi sa stratégie centrée sur l’innovation et la créativité.

    Fiabila s’apprête à dévoiler une toute nouvelle génération de vernis hybrides à Cosmopack du 15 au 18 mars 2018 à Bologne, Italie. « Ces nouveaux vernis s’appliquent comme des vernis classiques, chez soi ou en institut, mais avec des résultats complètement bluffants en termes de tenue et de brillance. Tout comme des vernis traditionnels, ils sont présentés dans des flacons en verre transparent qui laissent apparaître chaque teinte et on les enlève avec des dissolvants sans acétone », explique Alexandre Miasnik, Directeur Général de Fiabila.

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    Formules sûres et faciles à utiliser

    Apparus il y a quelques années, les vernis hybrides sont de nouvelles formules qui permettent de concilier les avantages des gels (ou vernis semi-permanents) et des vernis traditionnels. Fiabila utilise pour cela un oligomère totalement novateur sur lequel l’entreprise a déposé un brevet. Cette résine, qui repose sur une structure moléculaire en 3D, permet un durcissement physique tout en conservant une incroyable flexibilité, même à forte concentration. Les vernis hybrides offrent ainsi une bien meilleure tenue et brillance que les vernis traditionnels. Contrairement aux gels, ces vernis hybrides ne nécessitent pas de lampe UV lors de la phase de séchage et sont très faciles à démaquiller.

    Pionnier des formules hybrides, Fiabila travaille depuis plusieurs années sur l’amélioration de leurs performances pour atteindre des niveaux approchant ceux des gels, mais sans leurs inconvénients. La nouvelle génération de formule qui sera présentée à Bologne promet ainsi des résultats qualitatifs exceptionnels, confirmés par des tests désormais systématiques sur des panels externes. « Sur la base d’une technologie que nous avons initiée, nous sommes parvenus à des résultats inédits en matière de tenue et de brillance. Nous atteignons aujourd’hui des tenues d’une semaine, avec des formules qui contiennent des matières premières sûres et qui sèchent aussi vite que des vernis traditionnels. Nous gardons une longueur d’avance et nous entrons en compétition avec les vernis permanents », souligne le jeune dirigeant.

    Un marché en quête d’innovations

    Avec 40 techniciens pluridisciplinaires entièrement dédiées à la R&D des seuls vernis à ongles, Fiabila a fait de l’innovation et de la créativité deux axes majeurs de sa stratégie. L’entreprise, qui dispose de onze usines dans le monde s’engage à proposer à ses clients la même qualité sur l’ensemble des marchés.

    Après deux années moins dynamiques mais succédant à une longue envolée, le marché mondial des vernis à ongles devrait, si l’on en croit les analyses des différents cabinets d’études de marché, dont Euromonitor, connaître une croissance significative au moins jusqu’en 2021 (+28%), porté notamment par le fort dynamisme de certaines régions comme l’Amérique du Sud et notamment le Brésil.

    « Le marché des vernis est très cyclique, stimulé par la créativité et l’offre de couleurs et d’effets. C’est pourquoi nous proposons chaque année deux collections de 72 teintes, et en permanence de nombreuses nouveautés et innovations, » explique Alexandre Miasnik.

    Comme chaque année, Fiabila présentera donc à Bologne une nouvelle collection de teintes inédites disponibles pour toutes les formules (traditionnelles ou hybrides) de l’entreprise, mais aussi un nombre record de nouveaux effets, dont beaucoup sont totalement innovants.

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Amazon chercherait à #commercialiser des #produits en #propre au #Brésil | @LSA

    DE LELIA DE MATHAREL | LSA | http://bit.ly/2DaBROV

    #Amazon chercherait à #commercialiser des #produits en #propre au #Brésil

    Le groupe souhaiterait stocker et transporter lui-même ses marchandises dans le premier marché e-commerce d'Amérique latine, selon Reuters. Il voudrait même y implanter des centres d'appels pour ses futurs clients.

    Amazon espère faire une percée sur le marché brésilien : le groupe aurait rencontré début mars plusieurs fabricants pour discuter de son projet de vendre en propre des produits dans le pays, selon deux sources citées par Reuters. Produits électronique, parfum… Le groupe souhaiterait commercialiser directement sur sa plateforme web plusieurs catégories d'articles.

    Des cadres du groupe ont indiqué au cours de ce rendez-vous "qu'ils allaient acheter directement les produits aux fabricants pour les revendre", affirme l'une des sources à l'agence de presse.  L'entreprise prévoirait de transporter elle-même ses produits et d'installer ses propres centres d'appels dans le pays. Amazon stockerait ces marchandises dans ses usines de la région métropolitaine de Sao Paulo. Amazon aurait cherché, en février, à louer un vaste entrepôt aux portes de la ville au mois de février, selon Reuters.

    Amazon présent au Brésil depuis 2012

    Amazon tâte timidement le terrain depuis plusieurs années au Brésil : la compagnie y commercialise des livres numériques depuis 2012. En 2014, elle s'est lancée dans le commerce de livres physiques. En octobre 2017, le groupe accélère sur le premier marché de l'e-commerce en Amérique latine en y déployant sa marketplace pour les vendeurs tiers de matériel électronique. La vente en ligne au Brésil pèserait 5% des 300 milliards de dollars de chiffre d'affaires généré par les retailers dans le pays.

    Les cadres brésiliens d'Amazon n'ont pas souhaité commenter ces informations, ajoutant que leur entreprise avait organisé des centaines de rendez-vous avec des potentiels fournisseurs dans le pays ces cinq dernières années.

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    [#CONSOLAB] [EMBALLAGE] | #Recyclage et #digital au cœur des #préoccupations des #acheteurs | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2FZO8sp

    #Recyclage et #digital au cœur des #préoccupations des #acheteurs

    Dans un contexte d’affaires prometteur lié au retour de la croissance, le secteur de l’emballage en France et en Europe anticipe les nouvelles obligations réglementaires en matière de recyclabilité et cherche à concrétiser sa révolution digitale, selon la dernière livraison de l’Observatoire All4Pack. Les résultats de l’Observatoire 2017 dévoilés par le salon All4Pack Paris révèlent de belles perspectives de croissance pour le secteur en 2018.

    Retour à la croissance

    Les perspectives d’investissement de la filière sont boostées par la croissance dans les secteurs utilisateurs d’emballages. 

    • Le retour de la croissance continue de profiter à l’emballage. 63% des acheteurs et 62% des fournisseurs prévoient une hausse de leur production en volume en France. La distribution/commerce/e-commerce maintient son 1er rang de secteur utilisateur le plus optimiste. Le secteur des biens d’équipement industriel, intermédiaires et BTP est à nouveau optimistes pour 58% des acheteurs. Un acheteur sur deux a investi ou prévoit d’investir pour la création, la fabrication de packagings/emballages.
    • Process et manutention stimulent les investissements. Parmi les 91% d’acheteurs ayant un investissement en cours ou prévus dans les 2 ans ; 1 sur 3 va investir dans les machines de process/conditionnement et 1 sur 3 dans les systèmes de stockage/manutention des charges.
    • Le « made in France » sécurise les achats, malgré une tension palpable sur les prix des matériaux. 46% des acheteurs se fournissent en emballage en France. 78% pensent que le « Made in France » est une clé de développement pour l’emballage mais 41% s’attendent à une hausse du prix des matériaux.

    Forts enjeux de durabilité

    Recyclage, digital, préoccupations, acheteurs

    Selon l’Observatoire All4Pack, l’économie circulaire se place de plus en plus au coeur de la filière emballages, qui anticipe les nouvelles obligations réglementaires.

    • Le recyclage/la recyclabilité des matériaux piloteront l’innovation dans les deux ans pour 52% des acheteurs. Loin devant le design.
    • La réduction des coûts et le recyclage bouclent le cercle vertueux de l’emballage. Facteur d’évolution « historique » le plus important pour 51% des acheteurs, la réduction des coûts voit sa prégnance diminuer. La recyclabilité/le recyclage des matériaux devient le 2ème facteur d’évolution, la réduction à la source/l’écoconception se hisse à nouveau au 4ème rang.

    Transformation digitale

    L’observatoire relève également des signaux forts autour des modes de distribution, de la transformation digitale et de l’industrie 4.0 :

    • L’e-packaging s’impose. 4 acheteurs sur 7 estiment que l’emballage primaire doit s’adapter globalement à une distribution omnicanale et 2 pensent qu’il doit être spécifiquement adapté au canal de l’e-commerce. L’emballage d’expédition profite aux cartons à la dimension des colis, aux enveloppes, aux calages par coussins d’air et papier recyclé, mais dans 1 cas sur 2, c’est un carton à dimensions standards.
    • L’emballage connecté/intelligent pour répondre aux millennials : ainsi pensent 79% des acheteurs. 29% des acheteurs pensent nécessaire de différencier les packagings destinés aux millennials de ceux destinés aux baby-boomers. 71% estiment que le format et la taille sont des critères de différenciation pour les baby-boomers.
    • L’emballage et le conditionnement désormais de plain-pied dans l’industrie 4.0 pour 71% des acheteurs et fournisseurs. Les acheteurs en attendent une meilleure qualité à moindre coût, encore plus de flexibilité pour les équipements et des gains de productivité. La réduction du temps de mise en marché prime chez les fournisseurs. 36% des acheteurs ont entamé des investissements pour prendre le virage de l’Industrie 4.0, les autres attendent une évaluation du retour sur investissements.
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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Amazon confirme vouloir se #développer dans l'#alimentaire en #France | @FASHIONNETWORK

    DE THOMSON REUTERS | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2oMbo60

    #Amazon confirme vouloir se #développer dans l'#alimentaire en #France

    Le groupe américain de commerce par Internet Amazon envisage de développer son offre dans l'alimentaire en France, déclare dans le Journal du Dimanche le directeur général de sa filiale française, Frédéric Duval.

    « C'est un axe de développement fort pour Amazon, depuis le lancement de notre offre Amazon Fresh aux Etats-Unis en septembre 2016 », explique-t-il dans l'hebdomadaire dominical. « Le rachat de Whole Foods Market en juin 2017 marque une nouvelle étape dans cette ambition. »

    « Nous avons très envie de lancer ce service en France », ajoute-t-il, tout en soulignant qu'Amazon propose déjà des formules d'abonnement à des produits courants et qu'aller plus loin suppose des investissements importants.

    Il rappelle qu'Amazon a investi plus de deux milliards d'euros en France depuis 2010 et va recruter en 2018 2 000 personnes en contrat de travail à durée indéterminée, à tous les niveaux de qualification et sur tous ses sites français.

    Il assure par ailleurs qu'il n'y a plus de « soucis » avec le fisc français et refuse qu'Amazon soit mis « dans le même sac » que les autres géants américains de l'internet, les « Gafa ». « Je fais confiance aux pouvoirs publics pour reconnaître ceux qui sont réellement vertueux », ajoute Frédéric Duval.

    Dans la même édition du JDD, le ministre français de l'Economie et des finances, Bruno Le Maire, assure qu'Amazon est « le bienvenu en France ». « Ma priorité absolue, c'est la création d'emplois et Amazon représente des milliers d'emplois », notamment des personnes peu ou pas qualifiées dans des zones peu attractives, explique-t-il.

    Il admet que la concurrence d'Amazon « impose des évolutions » à la grande distribution et rappelle que des partenariats sont en discussion entre le groupe américain et des groupes français, notamment dans le secteur des produits alimentaires. Ainsi, Système U poursuit des discussions sur une éventuelle alliance avec Amazon, a annoncé mercredi le président du groupement de commerçants indépendants.

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    [#CONSOLAB] [TECHNOLOGIES] | Le #commerce #vocal pèsera #40 #milliards de #dollars dans le #monde en #2022 | @LSA

    DE LELIA DE MATHAREL | LSA | http://bit.ly/2G1SAXH

    Le #commerce #vocal pèsera #40 #milliards de #dollars dans le #monde en #2022

    Il ne génère aujourd'hui que deux milliards de dollars de chiffre d'affaires estime le cabinet OC&C Strategy Consultants. Les produits d'épicerie, le divertissement, l'électronique et le vêtement sont les quatre catégories qui ont le plus de succès sur ce nouveau canal de vente.

    Le chiffre d'affaires généré par le commerce vocal pourrait atteindre 40 milliards de dollars dans le monde d'ici 2022, contre 2 milliards aujourd'hui, selon une étude du cabinet OC&C Strategy Consultants, diffusée le 28 février. Les consommateurs sont de plus en plus nombreux à faire leurs courses sans lever le petit doigt en s'adressant simplement à un assistant vocal installé sur leur enceinte connectée ou sur leur smartphone, comme Amazon Alexa ou GoogleAssistant. Les trois catégories qui ont le plus de succès sur ce nouveau canal de vente sont les produits d'épicerie (20% du chiffre d'affaires total du commerce vocal), le divertissement (19%), l'électronique (17%) et le vêtement (8%).

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    Pour se positionner sur ce marché en phase de décollage, les retailers doivent créer leurs applications vocales, souligne le document. Il n'existe aujourd'hui que 39 programmes de ce type, poursuivent les auteurs du rapport. En France, Monoprix a lancé fin novembre 2017 une application vocale sur Google Home. Ses utilisateurs peuvent y enregistrer une liste de course, mais pas acheter directement des produits oralement (pour le moment).

    Les applications vocales au sein desquelles les consommateurs font leurs courses peuvent recommander des articles à leurs utilisateurs. Best Buy, le distributeur de matériel électronique grand public, a par exemple lancé son "skill" (le nom donné aux applications vocales développées pour l'assistant intelligent d'Amazon Alexa) en novembre 2017. Il présente aux internautes qui le désirent une sélection de produits en promotion, ses deals du jour. Capable de poser des questions au consommateur sur le produit qu'il recherche (une télévision, un smartphone ou un lecteur blue ray), Best Buy peut également présenter une sélection de produits correspondant potentiellement à ses desiderata. Parmis les 1500 propriétaires de haut-parleurs intelligents interrogés dans le cadre de ce sondage, conduit en décembre 2017, seul 39% affirment avoir confiance dans ces recommandations. Un point sur lequel les acteurs du secteur doivent travailler, pointe l'étude.
     

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Carrefour lance la #première #blockchain #alimentaire d'#Europe | @ECOMMERCEMAG

    DE DALILA BOUAZIZ | ECOMMERCE MAG | http://bit.ly/2D6Bghe

    #Carrefour lance la #première #blockchain #alimentaire d'#Europe

    Le distributeur français vient d'annoncer l'utilisation de la technologie blockchain pour sa filière alimentaire concernant le poulet et l'étendra à 8 autres catégories d'ici fin 2018. Une nouvelle étape dans la mise en oeuvre du plan de transformation Carrefour 2022.

    Carrefour lance la première blockchain alimentaire d'Europe, soit une base de données numérique sécurisée et infalsifiable sur laquelle sont stockées toutes les informations transmises par ses utilisateurs. Appliquée au secteur alimentaire, elle permet à chaque acteur de la chaine d'approvisionnement (producteurs, transformateurs et distributeurs) de renseigner les informations de traçabilité qui les concernent et ce pour chaque lot (dates, lieux, bâtiments d'élevage, circuit de distribution, traitements potentiels, etc.).

    "Devenir le leader de la transition alimentaire pour tous est l'ambition fixée par Alexandre Bompard pour le groupe Carrefour. L'intégration de la technologie blockchain constitue une étape exemplaire dans cette réalisation. C'est une première européenne qui garantit aux consommateurs une transparence totale sur la traçabilité de nos produits", explique Laurent Vallée, secrétaire général et responsable de la qualité et de la sécurité alimentaire pour le Groupe Carrefour.

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    Le lancement de la technologie blockchain marque une étape importante dans la mise en oeuvre du plan de transformation Carrefour 2022. Déjà appliquée au poulet d'Auvergne Filière Qualité Carrefour, vendu à 1 million d'unités chaque année, elle sera déployée à huit autres filières animales et végétales comme les oeufs, le fromage, le lait, l'orange, la tomate, le saumon et le steak haché. Un système innovant qui garantit aux consommateurs une traçabilité complète des produits.

    Garantir une sécurité alimentaire renforcée

    Les bénéfices de la blockchain appliquée aux filières alimentaires sont nombreux : pour les consommateurs, elle répond à un besoin de transparence de plus en plus grand ; pour les éleveurs, elle leur permet de valoriser leur production et leur savoir-faire. Pour l'enseigne, elle permet de partager avec tous ses partenaires une base de données sécurisée et de garantir aux clients une sécurité alimentaire renforcée.

    Concrètement, grâce au QRCode présent sur l'étiquette du produit, le consommateur accède via son smartphone à des informations sur son produit et son parcours, depuis son lieu d'élevage jusqu'à sa mise en rayon : par exemple, pour le poulet d'Auvergne Filière Qualité Carrefour, le consommateur pourra connaître le lieu et le mode d'élevage, le nom de l'éleveur, l'alimentation reçue (nourri aux céréales et au soja français, sans OGM...), l'absence de traitement (sans antibiotique...), les labels, et le lieu d'abattage...