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5- Stratégies marketing - Page 25

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    [#CONSOLAB] [ASSOCIATION] | #Uniqlo et #Ladurée s'associent pour une #opération #solidaire | @FASHIONNETWORK

    DE SARAH AHSSEN | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2Gj0FGT

    #Uniqlo et #Ladurée s'associent pour une #opération #solidaire

    A partir du mercredi 28 mars, les magasins parisiens Uniqlo d’Opéra, du Marais et de Montparnasse organisent - à l’unisson avec d’autres unités de l’enseigne dans le monde - une collecte de vêtements auprès de ses clients. En collaboration avec Les Secrets de Ladurée, la ligne cadeaux de la maison Ladurée, celle-ci destine les pièces récoltées à de jeunes réfugiés dans le cadre du projet de recyclage tous produits.

    Les premiers clients qui apporteront des vêtements recevront des porte-bonheur macaron Ladurée réalisés par des femmes réfugiées participant au programme de l’Agence des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) visant à promouvoir l’autonomie professionnelle.

    Toujours en collaboration avec Ladurée, Uniqlo lance également une ligne de t-shirts pour femmes et fillettes de 4 à 16 ans (9,90 euros). Les pièces de cette collection sous la bannière UT sont disponibles dans les boutiques Uniqlo, ainsi que sur l'e-shop de l’enseigne de prêt-à-porter japonaise. Une partie des recettes de la collection sera reversée à l’UNHCR dans le cadre du programme d’assistance aux femmes réfugiées.

    C’est en 2016 qu’Uniqlo, qui compte 1 900 magasins dans 19 pays, a entamé un partenariat mondial avec l’UNHCR, prévoyant le versement d’une allocation de 10 millions de dollars de financement sur trois ans pour venir en aide aux réfugiés. « Fin 2017, le programme avait d’ores et déjà mis en œuvre des projets liés à la formation professionnelle et à la création d’activités rémunératrices en Iran, en Inde, au Népal, en Malaisie et au Pakistan », souligne l’enseigne.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Amazon #Pay à la conquête des #marques #françaises | @FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2GhR1Y8

    #Amazon #Pay à la conquête des #marques #françaises

    De Kiabi à Lacoste en passant par La Perla, L'Occitane, Cache-Cache, Bonobo ou Eden Park, la solution de paiement du groupe Amazon mène une vaste opération de séduction auprès des marques tricolores.

    La solution, utilisée par 38 millions de clients dans le monde, a été progressivement déployée dans 200 pays. Quelque 40 % des clients américains ou britanniques du portail se sont déjà prêtés à l'exercice, qui consiste à effectuer des achats sur des sites tiers en utilisant les données bancaires associées à leur compte Amazon. Une déclinaison des systèmes de « log in » simplifiés de longue date mis en place par Facebook.

    « Au niveau des marchands ayant adopté le système de paiement d'Amazon, nous avons assisté à une hausse de 80 % des utilisations », indique Giuglio Montemagnon, directeur général Europe d'Amazon Pay, à l'occasion du salon E-commerce 1to1, qui se tient à Monaco du 20 au 22 mars. « Aujourd'hui, Les Français sont de plus en plus à l'aise pour faire des achats en ligne, ainsi que sur leur mobile. Après le déploiement en France en avril 2017, nous avons eu de très bons retours de la part des marchands (...) Le consommateur moyen peut avoir jusqu'à 10 combinaisons de noms d'utilisateurs et mots de passe. L'identité unique est un facteur de fidélisation pour les marques. »

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    « Les équipes d'Amazon n'ont pas proposé juste un service, mais un vrai partenariat à long terme », explique à FashionNetwork.com Eric Laurain, le responsable des paiements internationaux de Kiabi, qui vient d'annoncer son rapprochement avec l'américain. « Plus de 70 % de nos clients sont aussi des clients d'Amazon, ce qui veut dire que nous avons la même cible, à savoir toute la famille. Sachant que le gain de temps pour nos clients est un axe important pour Kiabi et qu'Amazon Pay permet de ramener le processus de paiement à environ une minute, cela nous a évidemment intéressé. Et il y a également la notion de sécurité, notamment quand il s'agit des achats sur mobile, qui est un avantage. »

    La stratégie d'Amazon Pay est aujourd'hui bâtie sur trois axes. L'identité unique, la confiance et le « consommateur connecté », qui consiste à défricher avec les partenaires d'Amazon les nouveaux horizons du commerce. Amazon est en effet bien connu pour avoir démocratisé l'idée de la livraison par drone ou des abonnements. Le commerce conversationnel, ou commerce vocal, fait notamment partie de ces horizons, puisqu'au centre de la démarche se trouve Alexa, l'assistant vocal par enceinte connecté dont la sortie en France se fait attendre.

     

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    [#CONSOLAB] [DRIVE] | #Carrefour lance en #avril des "#drive #piéton" à #Paris pour contrer #Leclerc | @LADEPECHE

    DE LA DEPECHE | http://bit.ly/2GkxciX

    #Carrefour lance en #avril des "#drive #piéton" à #Paris pour contrer #Leclerc

    (AFP) - Le groupe de grande distribution Carrefour va lancer en avril ses premiers "drive piéton" à Paris et Lyon afin de contrer un de ses concurrents, Leclerc, qui lance son service de livraison à domicile dans la capitale le 26 mars. Un "drive piéton" permet au consommateur ne disposant pas de voiture de récupérer ses courses commandées sur internet dans un magasin de centre-ville.

    "A Paris, Carrefour compte plus de 250 magasins dont la plupart livrent déjà à domicile (...) Après Lyon le 9 avril, nous ouvrirons nos premiers +drive piéton+ dans la capitale" dans le courant du mois, affirme Marie Cheval, directrice exécutive en charge notamment des questions numériques chez Carrefour, dans un entretien à paraître jeudi dans les Echos

    L'initiative entre dans le cadre du plan de transformation annoncé le 23 janvier dans lequel Carrefour s'est fixé un objectif de 5 milliards d'euros de chiffre d'affaires dans le commerce en ligne alimentaire d'ici 2022, contre environ 850 millions en 2017. Carrefour va aussi se positionner sur le créneau capital actuellement dans la grande distribution de la livraison express à domicile, avec le déploiement "dans les prochains mois" dans 15 villes d'un service de livraison en une heure.

    Enfin, elle a annoncé l'inauguration le 10 avril, à Aulnay-sous-Bois, d'un "nouvel outil industriel de pointe de préparation de commandes". Elle assure qu'il sera aussi efficace que l'entrepôt automatisé construit par son concurrent Casino en partenariat avec l'épicier en ligne britannique Ocado, afin d'accélérer la préparation des livraisons à domicile.

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    [#CONSOLAB] [MAGASINS] | Le #marketing #point #vente… Une #addiction du #commerce ? | @LSA

    DE LA RÉDACTION | LSA | http://bit.ly/2FXAQA7

    Le #marketing #point #vente… Une #addiction du #commerce ?

    TRIBUNE D'EXPERTS Après la révolution du e-commerce, le commerce connaît une mutation en profondeur au sein de laquelle le marketing point de vente joue un rôle majeur. Explications de Brune Jullien , directrice du salon Marketing Point de Vente.

    L’explosion de l’offre, du flux d’informations et la multiplicité des circuits de distribution  a stimulé beaucoup d’innovations, de créativité et de diversités dans l’offre et les services. Dans le même temps, elle a aussi bouleversé les codes, les modes de consommation, les comportements et les attentes. Et enfin, elle a renforcé le besoin de repère, de proximité, de lisibilité, de lien avec la réalité.

    Après cette déferlante d’innovations, de créativité numérique et l’analyse de ses effets, le commerce se réinvente pour tenir ses promesses de proximité. Le marketing point de vente réenchante le commerce et la relation client par des concepts hybrides et une approche nouvelle.

    On a cru que l’e-commerce signait l’arrêt de mort du commerce traditionnel, mais voilà qu’aujourd’hui les deux mondes ont besoin de l’un et de l’autre pour exister. Pour séduire le consommateur et prospérer, chacun d’eux doit savoir conjuguer ses valeurs ajoutées et jouer la complémentarité.

    Innovations imposées

    Le commerce traditionnel innove en renforçant ses points forts tout en puisant dans les ressources du monde virtuel

    L’e-commerce innove en puisant dans les ressources du commerce de proximité et en se créant une réalité même éphémère. Les pure-players ont compris qu’en dehors de la data, le point de vente physique est un levier indispensable au développement du chiffre d’affaires. Il est vecteur d’image, il rassure et crée du lien.

    Le marketing point de vente fait la liaison entre les deux mondes. Il canalise et adapte tous les bons leviers, crée une réalité, une identité et donne un visage au commerce nouvelle génération.

    Le marketing point de vente donne des repères, génère de l’émotion, modernise le concept de magasin, facilite et enchante le parcours d’achat. Il donne l’envie d’acheter et de revenir en revalorisant l’humain qu’il place au centre de la relation client dans un environnement d’innovation. C’est ainsi qu’il se rend indispensable à toutes les stratégies de marque et d’enseigne et qu’il nous rend tous #commerceaddicted !

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #H&M fait son #entrée sur la #plateforme #chinoise #Tmall | @FASHIONNETWORK

    DE CLÉMENTINE MARTIN | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2HYt85g

    #H&M fait son #entrée sur la #plateforme #chinoise #Tmall

    H&M, le deuxième plus grand distributeur d’habillement au monde, a lancé ce mercredi sa marque principale sur la plateforme en ligne d’Alibaba, Tmall, pour essayer de résister à la concurrence qui fait rage en Chine.

    H&M, qui possède aussi sept autres marques créées plus récemment, distribuera, comme annoncé fin 2017, sa principale marque d’habillement bon marché via un tiers. En se positionnant sur Tmall, le géant suédois espère pouvoir rivaliser avec ses principaux concurrents.

    Zara, la principale marque du leader du secteur Inditex, a pour sa part ouvert sa boutique en ligne sur Tmall en 2014, suivant l’exemple de marques occidentales comme Gap et Asos. Amazon a de son côté rejoint Tmall en 2015, en plus de sa propre boutique en ligne dans le pays.

    La marque suédoise H&M a lancé sa boutique en ligne indépendante en Chine en 2014, après avoir fait son entrée dans le pays une dizaine d’années auparavant, mais le marché du e-commerce chinois est dominé par les centres commerciaux en ligne comme Tmall (Alibaba) et Taobao.

    Magnus Olsson, directeur d’H&M pour la Chine, a déclaré dans une interview réalisée à Shanghai qu’H&M se devait d’être présent sur les plateformes fréquentées par la majorité de ses clients, ajoutant que les prix et l’offre sur Tmall ne seraient pas très différents de ce que l’on trouve sur hm.com en Chine.

    Le groupe H&M, qui lutte pour s’adapter aux bouleversements d’un marché toujours plus tourné vers le digital, a vu la croissance de ses ventes ralentir et ses parts de marché régresser ces dernières années. Le potentiel de croissance réside dans les nouveaux marchés comme la Chine, même si le cœur de l’activité est encore en Europe. L’année passée, 11 milliards de couronnes suédoises (1,09 milliard d’euros) du chiffre d’affaires total du groupe, d’un montant de 200 milliards de couronnes suédoises (19,74 milliards d’euros), venaient de Chine, où sont implantées près de 500 de ses 4 700 enseignes dans le monde.

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    Tendances régionales

    Selon Magnus Olsson, la concurrence est de plus en plus rude en Chine, entre un basculement de l’industrie vers le digital qui favorise les concurrents et une transparence accrue des prix. Il a également déclaré qu’H&M adaptait à présent plus ses gammes en fonction des critères spécifiques de chaque région du monde.

    « Nous essayons vraiment de comprendre comment vont évoluer le comportement du consommateur et son goût pour la mode, surtout ici », a-t-il dévoilé. « Nous créons de plus en plus de collections spécialement pour l’Asie ou pour la Chine. »

    Monki, une autre marque du groupe, était déjà présente sur Tmall et les autres labels devraient bientôt la rejoindre. Selon Magnus Olsson, le partenariat avec Tmall devrait ouvrir la voie à des ouvertures de boutiques dans des villes chinoises plus petites où la notoriété de la marque n’est pas encore acquise.

    « Il y a aussi d’autres avantages à ce rapprochement avec Tmall. Par exemple, dans la plupart des villes où nous ne sommes pas encore implantés, H&M n’est peut-être pas encore très connu, mais Tmall l’est, donc les clients peuvent nous trouver via la plateforme jusqu’à ce que nous ouvrions une boutique », s’est-il félicité.

     

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | La #génération #Z #pionnière sur les #paiements #dématérialisés | @LSA

    DE CLOTILDE CHENEVOY | LSA | http://bit.ly/2GNcGVR

    La #génération #Z #pionnière sur les #paiements #dématérialisés

    D’après une étude dévoilée par Cofidis, les jeunes de 18-24 ans se distinguent de la population générale en matière de paiement. La génération Z est très réceptive aux paiements dématérialisés et à toutes les possibilités qui permettent d’accélérer l’acte d’achat.

    1 jeune sur 5 âgé de 18 à 24 ans a payé avec son mobile, en sans contact, au cours des derniers mois. C’est presque deux fois plus que la moyenne des Français, qui est à 10%. Et cet écart d’usage en matière de paiement n’est pas le seul qui ressort de l’étude de Cofidis, entreprise de crédit à la consommation en France, réalisée en partenariat avec l’institut Gfk et dévoilée pour le salon E-Commerce One to One.

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    Pionniers dans le paiement
    Ainsi, dans le document « les moyens de paiement selon les générations : état des lieux et prospective », on constate que la Génération Z est plutôt pionnière en matière de paiement, même si la carte bancaire reste le moyen le plus utilisée. Par exemple, près d’un jeune sur 10 âgé de 18/24 ans (8%) a payé via les réseaux sociaux au cours des 12 derniers mois (contre 3% des Français et 4% des 25/34 ans) et plus d’un jeune sur 4 (27%) souhaiterait utiliser des objets connectés pour payer à l’avenir (contre 15% des Français).

    Avant tout, la Génération Z ne veut pas être freinée dans son acte d’achat. Elle plébiscite donc des solutions simples et rapides, mais sans renier sur la sécurité. Ainsi, près de 2 jeunes sur 3 âgés de 18 à 24 ans (64%) sont intéressés par l’authentification avec leur empreinte digitale (contre 46% des Français) et près de 4 jeunes sur 10 âgés de 18 à 24 ans (39%) sont intéressés par le paiement « one clic » (contre 28% des Français).

    Le mobile plébiscité
    Quant à la question de leur moyen de paiement à l’avenir, sans surprise, 43% des 18/24 ans aimeraient utiliser leur téléphone mobile pour régler leurs achats (contre 28% des Français) et près d’un jeune sur 3 âgé de 18 à 24 ans (30%) aimerait que son téléphone mobile soit son moyen de paiement par défaut (contre 23% des Français et 19% des 25/34 ans).

    Pour Guillaume Leman, directeur des partenariats chez Cofidis Retail, « les usages et attentes de la génération Z illustrent parfaitement les comportements de paiement de demain. On parle en premier lieu d’une expérience fluide, de moyens de paiements dématérialisés et mobiles, c’est un basique. L’offre doit toutefois être innovante au-delà de la simple technique, capable de renforcer le lien avec le consommateur en étant à la fois légère, simple et rapide. » Des attentes qui devraient notamment trouver satisfaction avec la montée du vocal commerce…

    Les autres enseignements de l'étude :
    - La carte bancaire est le moyen de paiement le plus utilisé : 97% des Français l’ont utilisé au cours des 12 derniers mois

    - Le paiement par carte bancaire sans contact se développe : près de 2 français sur 3 (61%) l’ont utilisé au cours des 12 derniers mois

    - Les services de paiement en ligne (du type PayPal ou Paylib) renforcent leur position : plus d’1 Français sur 2 (51%) a utilisé ce type de services au cours des 12 derniers mois

    - Les autres moyens de paiement digitaux (paiement par mobile sans contact, paiement via les réseaux sociaux, …) sont à date plus confidentiels

    - Les formules locatives (LLD et LOA), qui se développent significativement dans l’automobile, séduisent également la génération Z : 61% des 18/24 ans sont intéressées pour la LOA ou la LLD pour la voiture.