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1- Actualités - Page 21

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    [#CONSOLAB] [VENTE] | Le #marché de la #vente à #domicile a de #beaux #jours devant lui | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | FASHION NETWORK 

    Le #marché de la #vente à #domicile a de #beaux #jours devant lui 

    Véhiculant parfois une image désuète, à l’heure du shopping en ligne, la vente à domicile reste plébiscitée par les Français et de nouveaux acteurs s’engouffrent dans ce secteur. Selon une étude publiée par Xerfi, ce marché a connu une hausse de 4 % de son activité en 2017, pour s’établir à environ 4,4 milliards d’euros de chiffre d’affaires. En 2016, la progression était de 7,6 % (4,28 milliards d’euros).

    L’institut prédit que la tendance va perdurer puisqu’une hausse de 5 % par an d’ici 2020 est anticipée. Selon lui, ce sont véritablement l’expérience d’achat personnalisée et la proximité qui sont plébiscitées par les clients. Parmi les secteurs, l’équipement du foyer (38 % du marché environ) et l’alimentaire (10 %) resteront les plus dynamiques, tandis que « l’activité des spécialistes de l’hygiène-beauté et des vêtements et accessoires se redressera, grâce notamment aux efforts des opérateurs pour diversifier leur offre et la faire monter en gamme ».

    Dans le secteur de la mode - qui représente 11 % de parts de marché des entreprises de vente à domicile, soit environ 470 millions d’euros -, des marques comme Captain Tortue, Charlott’ Stella & Dot tirent leur épingle du jeu depuis plusieurs années. Et même les enseignes s’y mettent, puisque la chaîne du groupe Beaumanoir Scottage a débuté en début d’année l’organisation de réunions de vente chez les particuliers. Tout comme le groupe belge de lingerie Van de Velde, qui initie quant à lui ce principe en Allemagne.

    Au rayon beauté, le groupe français Rocher (Yves Rocher, Petit Bateau…) a stratégiquement acquis en début d’année la marque de cosmétiques naturels Arbonne, une entreprise américaine qui génère 470 millions d’euros de vente uniquement grâce à la vente en réunion. Panasonic teste aussi depuis 2017 la vente de produits d’électro-beauté à domicile, tandis qu’Amway a lancé une gamme de rasage et de soins du corps pour homme afin d’étendre sa clientèle, historiquement féminine pour un grand nombre d’acteurs de la vente à domicile. Séduire la cible masculine et les jeunes s’impose comme un des leviers identifiés pour développer ce canal commercial.

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    [#CONSOLAB] [LIVRAISON] | Les #clients d'#Amazon US peuvent désormais #géolocaliser leur #livreur | @LSA

    DE LELIA DE MATHREL | LSA | 

    Les #clients d'#Amazon US peuvent désormais #géolocaliser leur #livreur

    Ce service baptisé Map Tracking permet au consommateur de savoir combien d'arrêts le livreur doit effectuer avant de déposer le paquet sur son paillasson.

    Amazon permet depuis le 23 mai à tous ses clients américains de géolocaliser le livreur de leur colis en temps réel sur une carte. Le groupe testait ce service, baptisé Map Tracking, depuis novembre 2017. Il indique au consommateur combien d'arrêts le transporteur doit encore réaliser avant de sonner à leur porte.

    Les clients peuvent accéder à cet outil de suivi de colis lorsque le livreur a moins de 10 arrêts à effectuer avant d'arriver chez eux. Amazon leur envoie alors une notification pour les prévenir qu'ils peuvent utiliser Map Tracking. Les internautes peuvent également consulter directement la carte depuis la section "track package" du site web et de l'application mobile d'Amazon. Depuis novembre 2017, Cdiscount propose le même type de services à ses clients d'Île-de-France en partenariat avec la start-up Bringg.

    L'e-commerçant multiplie depuis quelques mois les innovations dans le champ de la livraison pour améliorer l'expérience client. Amazon teste notamment la livraison à domicile en l'absence du consommateur depuis novembre 2017 grâce à des serrures connectées. Cinq mois plus tard il étend ce service au coffre de leur voiture, en signant un partenariat avec cinq constructeurs automobiles qui permettent au propriétaire de certains modèles de véhicules de commander à distance l'ouverture et la fermeture des portes.

     

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    [#CONSOLAB] [RETAIL] | L'enseigne #Courir droite dans ses #baskets grâce à #Simplified | @ECOMMERCEMAG

    DE STEPHANIE MARIUS | ECOMMERCE MAG | http://bit.ly/2ssJv3N

    L'enseigne #Courir droite dans ses #baskets grâce à #Simplified

    Dans le cadre de sa stratégie visant à créer de nouvelles expériences en magasin autour de la sneaker, l'équipementier sportif Courir fait appel à la start-up Simplifield pour suivre ses campagnes en fonction du retour des équipes en magasin.

    Courir lance une nouvelle stratégie expérientielle autour de la sneaker. Pour améliorer la coordination entre les équipes terrain et les responsables du siège afin de garantir la réalisation des campagnes commerciales élaborées par ces derniers, l'enseigne fait appel à la start-up Simplified, spécialisée dans le marketing en point de vente. Pour rendre compte du respect des campagnes, les directeurs de magasins se sont longtemps appuyés sur des moyens rudimentaires. "Cela allait du SMS au mail, en passant par les coups de téléphone", se souvient Anne-Laure Leroy, directrice régionale Paris Centre. Il fallait par la suite de retranscrire toutes ces informations sur un document Excel, sans aucune homogénéité dans les réponses. "Je devais prendre en compte les typologies et problématiques de chaque magasin, et croiser ces informations avec les remontées que les directeurs me faisaient de chaque campagne. Il était alors compliqué de tirer des analyses fiables et pertinentes de nos campagnes...", commente la responsable.

    Pensée pour les métiers de la distribution, la solution mobile Simplifield, accessible sur smartphone et tablette, permet à Courir de faciliter la collaboration en temps réel de ses équipes, en encourageant un échange d'informations personnalisées pour partager synthèses, analyses et recommandations, afin de piloter toutes leurs opérations en points de vente.

    "Désormais, lorsque nous lançons une campagne, les directeurs de magasin nous remontent leurs informations selon un questionnaire établi un amont. Ce qui nous permet -au siège- de nous assurer instantanément que 100% des magasins sont aux couleurs de la campagne commerciale. À la fin de la campagne réalisée, je reçois un compte rendu généré par l'application Simplifield. Sur la base de ces données, nous sommes en mesure de produire des analyses fiables et instantanées de ces actions commerciales", se réjouit Anne-Laure Leroy.

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    [#CONSOLAB] [ASSOCIATION] | La #Roche-#Posay s’associe à #SkinJay pour lancer ses #capsules de #douche | @FASHIONNETWORK

    DE SARAH AHSSEN | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2H4yiM8

    La #Roche-#Posay s’associe à #SkinJay pour lancer ses #capsules de #douche 

    A l’occasion de la dernière édition de Viva Technology, le rendez-vous semi-professionnel dédié aux nouvelles technologies qui s’est tenu à la Porte de Versailles du 24 au 26 mai, la start-up française Skinjay et la marque de dermo-cosmétique La Roche-Posay ont dévoilé le fruit de leur collaboration : une capsule, façon capsule de café qui, lors de la douche, diffuse une formule apaisante pour la peau. Explications.

    Fondée en 2012 par Nicolas Pasquier, Skinjay a développé un module s’insérant entre le mitigeur et le flexible de la douche qui permet d’insérer une capsule diffusant des huiles essentielles aux différentes vertus. La société, qui en 2016, année de sa première exploitation réelle, a enregistré un chiffre d’affaires de 470 000 euros, s’est implantée dans 150 hôtels de luxe et part maintenant à la conquête du grand public (dispositif de douche à partir de 149 euros, pack de capsules à partir de 9,90 euros). Son partenariat avec La Roche-Posay va donc lui permettre d’accélérer sa notoriété.

    De son côté, la marque de la division cosmétique active du groupe L’Oréal fait un pas vers la technologie en proposant une nouvelle galénique aux consommateurs. Et pour se lancer sur le créneau de la douche « intelligente », la marque a choisi de développer l’une de ses gammes phare, Lipikar AP+, consacrée aux peaux atopiques avec la capsule de douche Lipikar AP+, qui contient notamment du beurre de karité et du niacinamide.

    La date de commercialisation des capsules signées La Roche-Posay ainsi que leur prix n’ont en revanche pas encore été communiqués.

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #Benefit #booste ses #ventes #e-commerce grâce à la #réalité #augmentée | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2JkxyaW

    #Benefit #booste ses #ventes #e-commerce grâce à la #réalité #augmentée

    A l’occasion de VivaTech, Benefit (LVMH) a présenté son service Benefit Try-On, baptisé Sourcils live en français, qui permet de tester virtuellement différentes formes de sourcils et de produits pour sourcils. Un module qui a permis à la marque de booster ses ventes en e-commerce.

    Sur le stand de LVMH à VivaTech, la marque de maquillage Benefit a mis en avant son module de réalité augmentée Benefit Try-On, rebaptisé Sourcils live en français. Sur le site marchand de la marque, il permet de tester virtuellement différents looks pour ses sourcils, de comparer les formes proposées avec leur aspect actuel, de savoir quels produits Benefit permettent d’obtenir tel ou tel look. « L’internaute peut jouer avec une quinzaine de design. Il peut choisir la visualisation 3D en réalité augmentée ou en 2D statique », précise Gala Sarmini Kressmann, directrice marketing digital pour Benefit Cosmetics au niveau mondial.

    Une utilisation mobile

    Le service a été mis en place en début d’année sur 42 sites de la marque à travers le monde. En moins de cinq mois, « Sourcils live a déjà été utilisé 750 000 fois et dans 80% des cas, il s’agissait d’une utilisation via un appareil mobile », annonce précise Gala Sarmini Kressmann. Cet outil de simulation a permis aussi à la marque d’améliorer ses ventes et le trafic sur son site. « Les personnes utilisant Sourcils live passent 93% de temps en plus que les autres sur notre site, soit plus de 6 minutes. Chez eux, nous avons constaté un panier d’achat moyen 44% plus élevé que pour les autres », confie Gala Sarmini Kressmann. L’outil de simulation renvoie aussi aux magasins physiques. En effet, l’internaute peut prendre en photo sa simulation préférée et prendre rendez-vous dans un bar à sourcils Benefit (chez Sephora en France) pour qu’une esthéticienne de la marque redessine ses sourcils comme sur la simulation.

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    [#CONSOLAB] [INDUSTRIE] | L’#industrie #mondiale des #cosmétiques doit faire face au #défi du #numérique, mais le contexte est #porteur | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE XERFI | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2kBwhOD

    L’#industrie #mondiale des #cosmétiques doit faire face au #défi du #numérique, mais le contexte est #porteur

    Selon la récente étude publiée par Xerfi Global, l’industrie mondiale des parfums et cosmétiques a connu une solide croissance au cours des dernières années. Son chiffre d’affaires a ainsi progressé de 4% par an en moyenne entre 2013 et 2017, dépassant les 300 milliards d’euros.

    La vigueur de ce secteur se voit également dans les bénéfices réalisés, la plupart des leaders ayant enregistré des taux de marge à deux chiffres sur la période 2013-2017.

    Pour la société d’études de marchés et d’analyses économiques, plusieurs facteurs ont permis aux entreprises de traverser la période d’après-crise assez sereinement. Nombre d’entre eux resteront d’ailleurs des moteurs de croissance dans les années à venir.

    Économies émergentes

    Le dynamisme des économies émergentes arrive en tête des explications. En effet, la simple taille de leurs populations conjuguée à la hausse des revenus font que ces marchés restent très lucratifs, malgré le ralentissement actuel.

    Deuxième moteur de croissance, « l’effet rouge à lèvres » dont bénéficie le segment des parfums et cosmétiques. Cela signifie qu’en période de crise, les consommateurs s’accordent encore quelques dépenses en produits de beauté en faisant des économies sur d’autres postes, protégeant partiellement le marché des fluctuations conjoncturelles. Par ailleurs, la demande est sans cesse stimulée par l’innovation ce qui permet de renouveler l’offre.

    Les segments de niche, comme les cosmétiques pour hommes, les cosmétiques naturelles ou encore les « cosméceutiques », bénéficient pour leur part d’un véritable engouement. « Et ils continueront d’afficher une croissance forte à l’avenir, » affirme Xerfi.

    Dans de nombreux pays, les populations vieillissantes et dotées d’un pouvoir d’achat élevé dopent également les ventes de soins anti-âge.

    Le défi du numérique

    Enfin, la numérisation de l’économie a ouvert de nouvelles opportunités en matière de marketing et de canaux de distribution. Le numérique joue en effet un rôle de plus en plus important dans le secteur. C’est même particulièrement vrai au niveau du marketing et de l’image de marque, deux leviers qui ont d’ailleurs toujours été stratégiques pour cette industrie.

    « Les groupes de parfums et cosmétiques s’écartent ainsi progressivement des grandes campagnes médiatiques traditionnelles et se tournent davantage vers une communication multicanale plus ciblée, plus variée et plus dynamique. Une telle approche est généralement bidirectionnelle, impliquant une interaction directe ou indirecte avec les consommateurs afin de renforcer les relations clients mais aussi de collecter des données de consommateurs en vue d’améliorer la segmentation comportementale et définir des campagnes promotionnelles plus personnalisées. Néanmoins, le numérique, via les réseaux sociaux, pose des défis majeurs à cette industrie. Les clients deviennent en effet mieux renseignés et plus exigeants. Autrement dit, l’opinion des consommateurs influence de plus en plus les processus de décision d’achat… », explique Xerfi.