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1- Actualités - Page 23

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    [#CONSOLAB] [COSMETIQUES] | États-Unis : L’#avenir de l’#industrie de la #beauté sera #multiculturel | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUIM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2KFaC30

    États-Unis : L’#avenir de l’#industrie de la #beauté sera #multiculturel

    Les femmes multiculturelles propulsent l’industrie américaine de la beauté, révèle Mintel dans une récente étude montrant que les femmes hispaniques sont les plus enthousiastes quand il s’agit d’expérimenter de nouveaux produits, tandis que les femmes noires sont plus susceptibles de s’intéresser aux tendances de la beauté naturelle.

    « C’est une période passionnante pour la beauté multiculturelle en Amérique, car de plus en plus de marques développent des produits qui répondent aux intérêts et aux besoins uniques des consommateurs multiculturels. La diversité croissante du pays est de bon augure pour l’industrie de la beauté. Avec les lancements de nouvelles marques comme Fenty Beauty, Kylie Cosmetics et FORM, qui offrent plus d’options pour les différentes carnations et les types de cheveux, de nouvelles raisons d’utiliser des produits cosmétiques apparaissent. Les produits de beauté personnalisés sont particulièrement prometteurs, car ces produits ciblent les femmes qui peuvent avoir des difficulté à trouver la nuance et la texture correspondant à leur couleur de peau », explique Toya Mitchell, Multicultural Analyst chez Mintel.

    Ainsi, les deux tiers (66%) des femmes hispaniques affirment créer des looks maquillage complexes, comparé à 51% de l’ensemble des femmes américaines. Les femmes hispaniques qui s’engagent dans une routine de beauté sont également plus susceptibles de s’intéresser aux produits de beauté multifonctionnels (49% contre 41% de femmes en général), aux produits de soin pour le corps à appliquer sous la douche (36% contre 27% des femmes en général) et aux outils de beauté en ligne (31% contre 16% de femmes en général). Dans le même temps, les femmes noires sont plus susceptibles de s’intéresser aux tendances entourant les produits de beauté naturels (64% contre 45% des Américaines en général).

    K-beauty joue à long terme

    Les dernières recherches de Mintel montrent que le marché américain est mûr pour voir croître certaines tendances nouvelles. Une femme sur 10 (9%) se dit ainsi intéressée par la K-beauty (la beauté coréenne), avec un taux d’intérêt de 13% chez les 18-24 ans et de 18% chez les 25-34 ans. Bien que la moitié (49%) des Américaines suivent un traitement de soin limité à une ou deux étapes, trois personnes sur dix (29%) affirment avoir une routine de soins de trois étapes ou plus, ce qui montre que les nombreuses étapes de la K-beauty peuvent trouver une certaine résonance auprès des consommatrices.

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    L’intérêt pour les appareils électriques

    Enfin, Mintel observe que les appareils de soin de la personne [1] sont le segment dont la croissance est la plus rapide au sein du marché de la beauté aux États-Unis. En effet, bien qu’ils ne représentent que 4% du marché, les ventes au détail de ces appareils ont augmenté de 7,6% entre 2016 et 2017 pour atteindre 1,6 milliard de dollars. « C’est le taux de croissance le plus rapide de la catégorie au cours des cinq dernières années (depuis 2013) », note la société d’études de marché. Pour le reste du secteur, les ventes de produits de maquillage (29% de part de marché) et de produits capillaires (28% de part de marché) ont progressé de 2,2% sur la même période, tandis que les soins de la peau ont progressé de 1,4%.

    Si l’utilisation d’appareils de soins pour la peau reste limitée, l’intérêt est fort. Bien qu’un peu plus d’un tiers (35%) des femmes disent utiliser un appareil de soin, 41% des femmes se disent intéressées, les dispositifs d’épilation au laser étant ceux qui suscitent le plus d’intérêt (46%).

    « La croissance future devrait provenir de l’innovation et de l’apparition d’appareils de soins de la peau moins onéreux. Nous assistons à une évolution du concept de personnalisation pour inclure des outils technologiques qui permettent de diagnostiquer les problèmes de cheveux et de peau, avec des marques qui aient les consommateurs à emporter cette tendance chez eux », conclut Alison Gaither, Beauty and Personal Care Analyst chez Mintel.


     

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    [#CONSOLAB] [FOOD] | Les nouvelles #pratiques #alimentaires des #Français | @LSA

    DE CAMILLE HAREL | LSA | http://bit.ly/2wXnEH4

    Les nouvelles #pratiques #alimentaires des #Français

    Selon une étude réalisée par OpinionWay pour Bjorg, Bonneterre et Compagnie, les Français ont changé leur manière de s’alimenter. Ils se tournent de plus en plus vers les produits alternatifs au conventionnel pour des raisons de santé et de protection de l’environnement.

    Le marché alimentaire subit une profonde mutation depuis quelques années : sans gluten, sans lactose, vegan, bio… Les Français se tournent de plus en plus vers les produits alternatifs au conventionnel. Selon une étude Bjorg, Bonneterre et Compagnie, réalisée par OpinionWay du 27 au 28 septembre auprès de 1 018 personnes, si cette consommation de produits se développe, elle n'est pourtant pas exclusive. En effet, seulement 4 % des sondés achètent uniquement des produits bio ou de commerce équitable. Le reste mixe avec du conventionnel. Le frein principal: le prix. Mais la prise de conscience se généralise. Les Français sont prêts à faire des efforts financiers pour les fruits et légumes (55 %), la viande (39 %), les œufs (37 %), ou encore les produits laitiers (31 %).

    Par ailleurs, le contenu des assiettes a également changé. 9 % des Français évitent complétement certains produits comme le lactose (17 %), ou le gluten (14 %). Par ailleurs, 17 % ont adopté un régime spécifique (24 % pour les femmes) et parmi eux, 11 % se disent flexitariens, 2 % vegan et 1 % végétariens. « L’étude confirme l’émergence d’un nouveau type de consommateur : le flexitarien. La proportion est certes minoritaire (11 %) mais en croissance continue. On le voit d’ailleurs avec la forte progression du végétal : +58 % en 2016.
    L’adoption de ces régimes alimentaires spécifiques correspond à un changement de style de vie motivé par la volonté d’être en meilleure santé (53 % des sondés), la protection de l’environnement (39 %) et de la cause animale (31 %).

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    [#CONSOLAB] [COMMERCE] | Le #commerce #équitable s'affiche de plus en plus souvent #bio | @LESECHOS

    DE LES ECHOS | http://bit.ly/2FJnn9R

    Le #commerce #équitable s'affiche de plus en plus souvent #bio

    Les ventes de produits issus du commerce équitable ont progressé de 10 % en 2017 en France. Et près de huit produits sur 10 étaient aussi labellisés bio. Le commerce équitable a assurément le vent en poupe. En 2017, selon le syndicat professionnel Commerce Equitable France, il a dépassé pour la première fois 1 milliard d'euros de ventes. Une envolée de près de 10 % sur un an.

    L'engouement des consommateurs pour le commerce équitable se double aussi d'un appétit croissant pour le bio. Commerce Equitable France note ainsi une convergence de plus en plus marquée des pratiques de rémunération équitable et de l'agriculture biologique : l'an passé, 81 % des produits arboraient la double étiquette, contre 74 % en 2016. « Dans les cahiers des charges des labels, il y a des incitations économiques au passage en bio pour les producteurs  », explique Julie Stoll, déléguée générale de Commerce Equitable France. Qui plus est, souligne-t-elle, « les prix minimums garantis sont plus importants en bio ».

    Des consommateurs plus exigeants

    Les consommateurs jouent aussi leur rôle d'aiguillon pour les entreprises de commerce équitable. « Quand des produits ont la double labellisation, leur taux de croissance est en général plus important », constate-t-elle encore. « Les consommateurs sont de plus en plus exigeants sur une demande de responsabilité sociétale. Ils ne veulent pas choisir entre bon pour la planète et bon pour les producteurs. »

    Pour autant, si les progrès sont sensibles, le commerce équitable est encore balbutiant en France. Il n'émerge vraiment que depuis la loi sur l'économie sociale et solidaire, dite Hamon, de juillet 2014.

    Moins de 50 % des produits français à la fois équitables et bio

    Et contrairement à l'international, les labels sont encore rares. Il s'agit plutôt d'entreprises ayant mis en place des chartes internes et des mécanismes de contrôles.

    « Je pense que des labels vont émerger pour garantir de manière plus classique le commerce équitable, c'est juste une démarche plus récente sur les filières françaises », assure Julie Stoll qui estime que cela « fait partie des besoins de maturation du secteur ».

    De fait, moins de la moitié des produits équitables d'origine française affichent à l'heure actuelle également l'étiquette bio. Mais, depuis quelque temps, le commerce équitable semble tiré par l'engouement des Français pour le « Made in France » .

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    [#CONSOLAB] [ACHAT] | #Nestlé #Purina acquiert le #britannique #Tails.com | @LSA

    DE SYLVIE LAVABRE | LSA | http://bit.ly/2jtavfx

    #Nestlé #Purina acquiert le #britannique #Tails.com

    Nestlé Purina Petcare a pris une participation majoritaire dans Tails.com, une marque en ligne d'aliments personnalisés pour chiens.

    Nestlé Purina Petcare, division de Nestlé spécialisée dans la nourriture pour animaux, a annoncé une prise de participation majoritaire dans le britannique Tails.com. Les détails financiers n’ont pas été communiqués.

    Deux acquisitions en trois mois dans le petfood

    Fondée en 2014, Tails.com est une marque "direct-to-consumer" d'aliments personnalisés pour chiens, dont le site livre ses clients sur abonnement. La société est propriétaire d'un algorithme nutritionnel et fournit les propriétaires de quelque 100 000 chiens au Royaume-Uni, indique Nestlé. Cette acquisition fait suite au rachat en mars dernier de Wamiz, leader français des sites de contenus spécialisés dans les animaux de compagnie qui revendique une audience de 5 millions de visiteurs uniques mensuels.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | Comment le #commerce s'est #digitalisé | @LSA

    DE CLOTILDE CHENEVOY | LSA | http://bit.ly/2JUDcxd

    Comment le #commerce s'est #digitalisé

    En soixante ans, le commerce s’est complètement transformé avec l’avènement de l’informatique, d’internet et du mobile. La gestion des boutiques s’automatise de plus en plus, pour apporter de nouveaux services aux consommateurs.

    En 1980, TF1 diffuse une enquête appelée « l’électronique dans les supermarchés ». Elle fait découvrir aux télé­spectateurs le principe des codes-barres, qui permettent d’identifier de façon unique les arti­cles, et les caisses électroniques, qui évitent la saisie manuelle du prix de chaque article et accélèrent le passage vers le paiement… Une révolution pour les commerçants comme pour les clients. Presque quarante ans plus tard, les attentes restent sensiblement les mêmes, mais on est passé à un niveau d’électronique bien plus ­poussé ! Scanneurs optiques et codes-barres commencent à être remplacés en non-alimentaire par des tags RFID, qui permettent une meilleure traçabilité. Et, dans l’alimentaire, les étiquettes ne servent plus uniquement à afficher un prix, mais aussi à signaler des ruptures ou à donner plus d’informations aux clients sur les produits ou sur des promotions.

    Cette transformation digitale, les nouveaux termes de notre décennie, s’est faite relativement lentement depuis les années 80 puis a connu une forte accélération depuis 2010. Par exemple, les distributeurs ont commencé à s’intéresser aux données de leurs clients dès 1994 ! C’est à cette date que Casino, suivi par de nombreuses enseignes ensuite, crée son premier data warehouse, un espace pour héber­ger la donnée. In fine, c’est sous la pression des acteurs du web, très actifs sur l’usage de la data, que les enseignes ont vraiment accéléré sur le sujet dans la dernière décennie. Elles ont investi dans des outils pour se mettre en capacité d’exploiter les informations stockées depuis des années. Parmi les usages, on peut citer le marketing prédictif, qui permet d’anticiper le besoin d’un client à partir de son historique d’achats.

    L’information a changé de camp

    L’un des autres leviers qui a joué sur la transformation des distributeurs est l’évolution du client lui-même. Les consommateurs attendent un haut niveau de services – sans forcément vouloir le payer – et ils sont surtout très renseignés, parfois plus que les vendeurs. En effet, la démocratisation des ordinateurs, puis des smartphones et des tablettes, tout comme de l’accès à internet, a permis un éveil des consommateurs sur plusieurs niveaux : le prix des produits, leur composition, leur mode de fabrication, etc. Face à cette mutation du marché, les enseignes ont dû muscler leur organisation pour proposer de nouveaux services et passer en mode multicanal, voire omnicanal. Autrement dit, un client doit pouvoir acheter le même produit au même prix sur n’importe quel canal. Sauf que les distributeurs ont développé en parallèle magasins physiques et e-commerce. Et que la réconciliation et l’interconnexion des deux ne sont clairement pas faciles…

    D’ailleurs, ce sujet reste encore et toujours au cœur des préoccupations des enseignes, qui cherchent également des solutions pour financer cette mutation. Faire rimer omnicanalité et rentabilité représente un vrai défi. Les investissements dans les équipements se révèlent élevés car, désormais, l’électronique et l’informatique, pour reprendre les termes de notre reportage de 1980, infusent tous les niveaux de l’organisation. Tout se connecte ! L’objectif consiste à disposer d’une visibilité sur l’activité en temps réel pour un pilotage le plus fin possible.

    Certains outils ont ainsi été enrichis de nouvelles fonctionnalités au fil des années. Par exemple, l’EDI (Electronic Data Interchange) a été initialement créé en 1981 afin d’informatiser la transmission des commandes entre les fournisseurs et les distributeurs et ainsi remplacer le papier et supprimer les erreurs liées à l’intervention humaine lors de la saisie manuelle des bordereaux. Ce standard est désormais utilisé pour la gestion des factures ou encore les avis préalables d’expédition (ASN).

    D’autres équipements physiques ont eux aussi gagné en intelligence, à l’instar des caisses. Le modèle « révolutionnaire » présenté dans le reportage de TF 1 a été largement perfectionné, passant ainsi d’un unique scanneur à trois scanneurs, parfois couplés avec une balance ou une caméra. Et, surtout, toutes les transactions sont désormais remontées en temps réel. Au-delà de connaître le chiffre d’affaires généré, les algorithmes peuvent aussi par exemple détecter une rupture en rayon sur cette seule information. En effet, comme un maga­sin sait combien de bouteilles de ­Coca-Cola il vend à la minute, si les chiffres ne collent pas, cela déclenche une alerte qui envoie des équipes vérifier en rayon. Toujours à propos de la caisse, la dernière tendance est à sa délocalisation dans le smartphone du client (lire p. 30) ! Il peut ainsi scanner et régler ses articles depuis son mobile et sortir sans faire la moindre queue…

    Vous saurez tout sur votre poulet

    Commerce, digitalisé

    Sans aller jusqu’à la disruption intégrale – autre mot phare de notre décennie –, certains équipements apportent de nouveaux procédés aux enseignes. Par exemple, la dernière technologie que le secteur de la distribution ­regarde de près est la blockchain. Elle n’est pas nouvelle mais ses applications sur ce marché restent encore à créer. En simplifiant, cette technologie assure la traçabilité complète d’un flux sans que celle-ci ne puisse être altérée. Par exemple, la monnaie bitcoin repose intégralement sur la blockchain. Chez Carrefour, la direction a misé sur cette solution pour garantir au consommateur la bonne qualité de son poulet d’Auvergne Filière Qualité, dont il vend un million d’unités par an. Dans les faits, chaque acteur de la chaîne d’approvisionnement (producteurs, transformateurs et distributeurs) renseigne les informations de traçabilité qui le concerne et ce pour chaque lot (dates, lieux, bâtiments d’élevage, circuit de distribution, traitements potentiels, etc.). Et à partir d’un QR Code, le consommateur peut retracer l’histoire de son poulet.

    Cet exemple démontre bien que le commerce n’a pas fini de se connecter, embarquant même sur son passage l’ensemble de ses fournisseurs et autres prestataires, jusqu’à la ferme.

     

    Dates importantes :

    • 1960 Monoprix se fait livrer son premier ordinateur, un IBM 750.
    • 1967 Les premiers portiques antivol s’installent aux sorties de caisses des magasins.
    • 1968 Elf installe un magasin automatique dans une station-service à Corbeil (91).
    • 1968 Les 3 Suisses ouvrent un centre téléphonique.
    • 1977 Le code European Article Numbering (EAN, code-barres et chiffres) est adopté.
    • 1980 Les magasins commencent à s’équiper de terminaux de paiement électronique.
    • 1983 Le mot « internet » et le protocole TCP/IP sont adoptés dans le monde.
    • 1984 La Redoute lance la livraison en « 48 heures chrono », une exclusivité mondiale.
    • 1985 Mise en œuvre de l’interbancarité.
    • 1990 Pour sécuriser les paiements par carte, un code à 4 chiffres est désormais demandé.
    • 1994 Casino édite ses premiers coupons de réduction électronique.
    • 1996 La Redoute propose un catalogue sur CD-ROM.
    • 1997 Casino installe dans une supérette une borne interactive actualisée par intranet.
    • 2000 Le cryptogramme visuel est apposé au verso des cartes bancaires pour sécuriser les ventes à distance.
    • Le premier drive de l’histoire est installé dans le centre commercial Auchan Leers (59).
      2003 La première application de paiement mobile permet de régler son stationnement à Issy-les-Moulineaux (92).
    • 2004 Auchan et Casino installent les premières caisses automatiques de France.
    • 2010 Déploiement de l’authentification forte pour les paiements par CB sur internet
    • 2015 L’Intermarché Express d’Issy-les-Moulineaux propose aux clients d’utiliser leur mobile pour scanner leurs achats avant de passer en caisse.
    • 2016 Carrefour accepte le moyen de paiement mobile Apple Pay.
    • 2017 Avec l’application Monop’Easy, Monoprix permet à ses clients de scanner leurs courses, de payer sur leur smartphone et de sortir sans passer par la caisse.
    • 2018 : La caisse dématérialisée : Amazon ouvre un magasin de proximité sans caisse à Seattle. Les clients s’identifient à l’entrée avec leur smartphone tandis que leurs mouvements sont traqués par des capteurs et des caméras pour créer un panier virtuel. Le paiement est automatique dès que les consommateurs sortent du magasin avec leurs achats.
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    [#CONSOLAB] [PARTENARIAT] | #BlaBlaCar et #Ouibus renforcent leur #partenariat durant la #grève #SNCF | @ECOMMERCEMAG

    DE STEPHANIE MARIUS | ECOMMERCEMAG | 

    #BlaBlaCar et #Ouibus renforcent leur #partenariat durant la #grève #SNCF

    BlaBlaCar et Ouibus, spécialisés dans le covoiturage et l'autocar en France, s'unissent pour répondre à la demande des voyageurs les jours de grève, en partageant certaines de leurs offres de transport sur leurs plateformes respectives.

    À la suite de l'annonce de BlaBlaCar indiquant que la plateforme permettrait à présent à des sociétés d'autocars de proposer des trajets pendant les grèves, Ouibus et BlaBlaCar ont choisi de collaborer. BlaBlaCar élargit son inventaire de transport en intégrant des places Ouibus sur plusieurs grands axes (Paris-Lyon, Paris-Toulouse, Paris-Caen et Paris-Orléans). Les places sont réservables sur le site de BlaBlaCar et sont proposées par Ouibus à un tarif fixe par trajet.

    De la même manière, Ouibus permet à BlaBlaCar de proposer 20 nouvelles destinations sur son site Ouibus.com, telles que Le Touquet, Évreux, Alençon, La Tranche sur Mer, Agen, Albi, Vichy, Gap, Valenciennes... Les conducteurs de BlaBlaCar qui effectuent des trajets sur ces liaisons bénéficieront ainsi d'une visibilité démultipliée pour leurs annonces et participeront à élargir le réseau de destinations proposées aux clients de Ouibus pendant la durée de la grève.

    "Ce développement s'inscrit dans la lignée des mesures mises en place ces dernières semaines pour faire face à une demande exceptionnelle et permettre à un maximum de personnes de se déplacer pendant les grèves. La mise à disposition de bus est une activité très complémentaire au covoiturage. Les bus permettent de proposer des volumes plus importants sur les axes majeurs, quand le covoiturage permet de couvrir une multitude de points de départ et d'arrivée, pour être au plus près des voyageurs dans toute la France", commente Nicolas Brusson, cofondateur et directeur général de BlaBlaCar.