Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

1- Actualités - Page 25

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [MODE] | #Catimini bientôt sous #pavillon #chinois | @LESECHOS

    DE DOMINIQUE CHAPUIS | LES ECHOS | http://bit.ly/2JSdFVc

    #Catimini bientôt sous #pavillon #chinois

    Le chinois Semir va racheter Kidiliz, l'ex-Zannier, spécialiste des vêtements pour enfant (Catimini, Chipie…). Les deux groupes veulent former le numéro deux mondial du secteur.

    Les industriels chinois continuent de faire leurs emplettes dans l'habillement en France. Cette fois, c'est l 'ex-groupe Zannier,rebaptisé Kidiliz en 2016, qui va passer sous pavillon chinois. L'entreprise française de Saint-Chamond (Loire) spécialisée dans la mode enfantine, avec les marques Catimini, Chipie, ou Kenzo Kids, est entrée en « négociations exclusives » avec Semir, le leader du secteur en Chine.

    L'ambition est de créer « le numéro deux mondial de la mode enfantine avec environ 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires », indiquent les deux sociétés. Au terme de l'opération, le groupe chinois détiendra le contrôle de l'intégralité de Kidiliz, cédé par la famille Zannier, encore actionnaire à 100 %. L'équipe de direction, emmenée par Rémy Baume depuis 2013, restera en place.

    Accélérer à l'international

    Le groupe tricolore avait été créé par Roger Zannier en 1962. Le fondateur avait passé la main à ses enfants il y a quelques années. D'abord atelier de bonneterie, Zannier a été un pionnier avec Z, la première marque française de vêtements pour enfants à installer des boutiques en centre-ville.

    En 2015, avec la vente de IKKS, sa marque féminine à l'esprit rock, le groupe de la Loire s'est recentré sur l'habillement pour enfants. Suite au recul de ses ventes, il avait dû réduire ses effectifs de 11 % en France l'année précédente. Il souhaitait ainsi se relancer et profiter d'un marché alors en hausse pour les plus petits, en se positionnant sur le haut de gamme.

    10789-3002.jpg

    Kidiliz compte aujourd'hui 15 marques, avec, outre Catimini, 3 Pommes, Jean Bourget ou Lili Gaufrette. Il a affiché un chiffre d'affaires de 427 millions d'euros en 2017, avec 3.500 salariés, et ne précise pas sa rentabilité. Avec ce rapprochement, il veut accélérer son développement à l'international, qui pèse déjà 52 % de ses ventes. Le groupe français revendique d'ailleurs le titre de leader européen sur son secteur. Dans le giron du chinois Semir, il va aussi s'ouvrir en grand les portes de la Chine, où il est présent depuis une vingtaine d'années.

    « Le groupe Semir nous apporte les moyens nécessaires pour consolider notre croissance en Europe et amplifier notre présence en Chine », souligne Rémy Baume, président de Kidiliz Group.

    Un réseau de 8.000 points de vente

    Créé en 1996, Zhejiang Semir Garment est de fait le leader de la mode enfantine en Chine avec la marque Balabala. Ce groupe familial, toujours contrôlé par la famille Qiu, est aussi présent sur le marché de l'habillement pour adulte, via un réseau global de 8.000 magasins. Coté en Bourse, il a affiché un chiffre d'affaires de 1,6 milliard d'euros l'an dernier.

    « Cette transaction représente une évolution stratégique. Nos atouts sont très complémentaires », s'est félicité Sam Qiu, le président de Semir. Les deux entreprises veulent faire jouer les synergies sur les approvisionnements.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | #Amazon fait une #offre sur le #leader #indien #Flipkart, aussi convoité par #Walmart | @LSA

    DE LELIA DE MATHAREL | LSA | http://bit.ly/2rfJLm6

    #Amazon fait une #offre sur le #leader #indien #Flipkart, aussi convoité par #Walmart

    Une bataille sans merci est engagée entre les deux groupes américains, qui souhaitent devenir actionnaires majoritaires de l'e-commerçant afin de se positionner sur le marché indien de la vente en ligne, qui pèsera 28 milliards de dollars en 2020. 

    Amazon aurait déposé le 1er mai une offre formelle de rachat de 60% des parts de l'e-commerçant indien Flipkart, convoité depuis 2016 par son rival numéro un, Walmart, rapporte la chaîne de télévision indienne CNBC-TV18 qui cite des sources anonymes.

    Cette offre est loin d'être une surprise. Amazon avait indiqué en juin 2016 qu'il prévoyait d'investir 5 milliards de dollars en Inde dans les prochaines années. Devenir actionnaire majoritaire de Flipkart lui permettrait d'éviter que l'e-marchand indien ne signe avec Walmart et ne bénéficie de son expertise dans la logistique pour gagner des points dans le pays, au dépend d'Amazon. Le groupe de Jeff Bezos aurait intégré à son offre une clause de non-concurrence entre Amazon et Flipkart, selon CNBC-TV18. Elle inclut également une indemnité de rupture de contrat de 2 milliards de dollars, que Flipkart devra payer s'il décide finalement de se vendre à une autre entreprise comme…. Walmart.

    Alibaba en embuscade

    Mais rien ne dit pour l'instant que Flipkart signera avec Amazon. Le groupe est engagé depuis deux ans dans des négociations avec Walmart, aujourd'hui très avancées. L'américain propose de racheter plus de 80% de l'e-marchand. Il aurait, selon la chaîne de télévision, l'accord des fondateurs de Flipkart et de plusieurs investisseurs (l'entreprise en compte 145 au total).

    Flipkart, qui empocherait 40% des revenus de l'e-commerce en Inde selon Forester, est une prise de choix pour les deux entreprises qui essayent de poser un pied sur le marché indien de la vente en ligne, qui pèsera 28 milliards de dollars en 2020, selon des estimations du cabinet Kotak Institutional Equities. L'entreprise était valorisée plus de 11 milliards de dollars lors de sa dernière levée de fonds d'1,4 milliard de dollars, bouclée en 2017. Mais celui qui emportera le morceau ne sera pas au bout de ses peines. Il devra faire face sur place à la concurrence du chinois Alibaba, qui a investi 200 millions de dollars pour prendre 36% des parts de Paytm E-Commerce, le principal concurrent de Flipkart dans le pays. 

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [CONNECTE] | #Google perd des #centaines de #millions en essayant de #rattraper #Amazon dans la #smart #home | @LUSINEDIGITALE

    DE LENA COROT | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2IdAohm

    #Google perd des #centaines de #millions en essayant de #rattraper #Amazon dans la #smart #home

    Amazon dans la smart home, Apple pour les smartphones ou encore Microsoft sur les ordinateurs… Google investit sur beaucoup de fronts et face à de nombreux concurrents... et dépense des millions pour les rattraper. A l'occasion de la publication de ses résultats semestriels, The Verge a calculé que le géant de la tech avait dépensé plus d'un demi-milliard de dollars... uniquement dans Nest.

    La maison-mère de Google, Alphabet, a publié ses résultats trimestriels lundi 23 avril. Avec un bénéfice net qui a bondi de 74% pour atteindre 9,4 milliards de dollars et un chiffre d'affaires atteignant 31,1 milliards de dollars (+26%), ces résultats sont au-dessus des attentes. Mais, plus intéressant encore, The Verges'est plongé dans les chiffres afin d'en déduire les pertes et les gains de Nest. Le spécialiste de la maison connectée ayant été officiellement absorbé par Google en février de cette année, ses résultats sont passés de la section "Other Bets" d'Alphabet aux résultats de Google. En conséquence, Google a publié une version recalculée de son exercice 2017.

    En faisant la différence entre les deux, The Verge conclut que Nest a enregistré environ 726 millions de dollars de revenus pour 621 millions de pertes dans l'année. Google a donc dépensé plus d'un demi-milliard de dollars l'année dernière afin d'assoir la notoriété de Nest dans le domaine de la maison connectée. Alors que Nest était plus calme ces dernières années, en septembre 2017 cette entité a multiplié les sorties de nouveaux produits : caméras extérieures, visiophone d'entrée, système d'alarme,… Ces nouveautés impliquant des dépenses en amont.

    GOOGLE ASSISTANT FACE À AMAZON ALEXA

    Si Google dépense autant pour le développement de ces objets, combien le géant de l'Internet investit-il en R&D pour son assistant personnel, ses smartphones ou ses ordinateurs, s'interroge le site d'information. Google doit faire face à d'autres géants de la tech dans chacun de ces secteurs : il est face à Apple dans les téléphones, Microsoft pour les ordinateurs, et Amazon dans la maison connectée et les assistants vocaux. Et il a déjà prouvé qu'il était prêt à dépenser des sommes considérables sur le marché saturé des smartphones alors même que personne ne s'attend à ce que Google ne rattrape Apple (ou Samsung) sur ce segment.

    Mais la firme a encore des chances pour rattraper Amazon et son assistant vocal Alexa sur le marché de la smart home. C'est la raison pour laquelle l'entité Nest a été rattachée à Google. L'objectif est d'intégrer l'intelligence artificielle Google Assistant à tous ses objets connectés. Et avec des équipes désormais intégrées aux équipes hardware de Google (responsables entre autres des enceintes Google Home), Nest peut se concentrer sur la recherche autour de nouveaux objets et de nouvelles applications sans avoir à étoffer l’écosystème d’objets-tiers compatibles. Entre Google et Amazon la course est plus rude que jamais dans le domaine de la smart home.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [CONNECTE] | #Bosch à #fond sur la #mobilité #connectée | @LSA

    DE MAGALI PICARD | LSA | http://bit.ly/2FHS9Qn

    #Bosch à #fond sur la #mobilité #connectée

    Bosch France a annoncé ce 3 mai son chiffre d'affaires pour la France, son cinquième marché, en hausse de 5,2%. Son patron, Heiko Carrie, a insisté sur la transformation du groupe industriel, notamment vers la mobilité connectée.

    3,2 milliards d'euros de chiffre d'affaires, 7500 collaborateurs, 530 millions d'euros investis depuis 2010. Le groupe allemand Bosch continue d'investir sur la France, son cinquième marché. En présentant les résultats ce matin, le président de la France et du Benelux, Heiko Carrie, a bien insisté : "la France est un pays clé pour saisir les opportunités de digitalisation". Et d'ajouter : "nous avons pris très vite conscience du potentiel de la connectivité et maintenant, nous la transformons en succès commercial".

    Mobilité connectée

    De fait, Bosch a récemment créé une division entièrement dédiée aux solutions de mobilité connectée. La valeur de ce marché devrait atteindre 140 milliards d'euros dans le monde d'ici 2022. L'industriel, déjà leader dans les composants pour les vélos électriques , a multiplié par dix ses ventes de VAE (vélos à assistance électrique) depuis 2009. L'an dernier, il en a vendu plus de 200 000. Toujours dans la connectivité, la marque a lancé Bosch Smart Home en 2017. Cette nouvelle entité regroupe toutes les activités de domotique. Les produits seront complétés par une nouvelle interface de commande pour faciliter la gestion de la maison connectée. 

    Des ventes en hausse

    Tout en dévoilant une partie de son plan de transformation, Bosch a annoncé un chiffre d'affaires total en hausse de 5,2%, ce qui fait de 2017 une année record selon Heiko Carrie. Les résultats annuels du groupe au total dévoilés la semaine dernière en Allemagne étaient du même acabit. Côté biens de consommation, qui représente l'une des quatre divisions de Bosch, tout juste sait-on que les ventes d'éléctroménager sont en "très légère hausse".

    Bosch France en chiffres

    • 3,2 milliards d'euros de CA en 2017, en hausse de 5,2%
    • 7500 collaborateurs, dont 830 ingénieurs en R&D
    • 55 millions d'euros investis en 2017
  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | Paiement : le groupe #Casino propose le #paiement en #différé sans frais | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2jwDuiF

    Paiement : le groupe #Casino propose le #paiement en #différé sans frais

    (AFP) - Le groupe Casino offre depuis ce lundi la possibilité de payer ses courses en quatre fois ou de manière différée, sans frais supplémentaires, dans l'ensemble de ses hypermarchés et supermarchés, pour aider à gérer les « fins de mois difficiles ».

    Casino Max, l'application téléchargée près de 700 000 fois depuis son lancement en octobre dernier, regroupe la carte de fidélité électronique, des promotions personnalisées, mais permet aussi le paiement via mobile. Depuis ce lundi, deux nouvelles options sont proposées : le règlement en différé, ou en quatre fois. « Ce service gratuit est un moyen de faciliter la vie des clients en leur permettant de lisser leur achats dans le temps. Cette facilité de paiement est possible jusqu'à un certain montant, et calculée selon les habitudes d'achat du client », tient à souligner le groupe.

    Casino, paiement, différé



    Il précise également que sont éligibles à ce service les clients ayant déjà un historique d'achats chez Casino avec leur carte de fidélité.

    Pour le paiement en différé, le service porte sur un panier d'achat compris entre 20 et 300 euros. Le client peut, depuis son application mobile, déterminer le jour de débit de ses achats, jusqu'à 31 jours suivant son passage en caisse.

    Cette solution « peut permettre de gérer plus facilement son budget, notamment en fin de mois », indique Casino.

    Concernant le règlement en quatre fois, le panier doit être compris entre 50 et 300 euros : le client paie ainsi un quart de ses achats le jour J, puis les trois autres quarts à 30 jours, à 60 jours et à 90 jours, est-il détaillé. « Avec ce service, l'objectif est de faciliter la vie des clients en leur offrant des facilités de paiement, dans le cas par exemple de dépenses imprévues ou de fins de mois difficiles », souligne le groupe.

    D'autres enseignes proposent de faciliter de paiement : Carrefour, via sa carte Pass, permet un paiement en trois fois, en trois mois, « sans intérêts », mais à partir d'un seuil plus élevé que Casino, à partir de 100 euros (et jusqu'à 3 000 euros). Un « report sous trois mois gratuit », toujours pour les mêmes sommes, est également proposé.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [COSMETIQUES] | L’#Oréal s’empare du #coréen #Stylenanda pour séduire les #millennials #asiatiques | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2HOxpbB

    L’#Oréal s’empare du #coréen #Stylenanda pour séduire les #millennials #asiatiques

    Les rumeurs qui circulaient depuis le mois dernier après un article du Korea Economic Daily ont finalement été confirmées. L’Oréal a annoncé aujourd’hui l’acquisition de 100% de Nanda Co. Ltd., l’affaire coréenne de maquillage et de mode life-style fondée par Kim So-Hee à Séoul en 2004.

    Stylenanda, qui a démarré dans l’univers de la mode, est devenue depuis une société dont le fer de lance est sa marque de maquillage 3CE, qui représente aujourd’hui plus de 70% de son activité. Avec un chiffre d’affaires de 127 millions d’euros en 2017 et près de 400 collaborateurs, l’entreprise est présente aujourd’hui en Corée et au Japon, et a étendu ses activités commerciales à Hong Kong, à Singapour, en Malaisie et en Thaïlande.

    Selon L’Oréal, les produits Stylenanda sont très recherchés par les millennials en Corée comme en Chine. Elle est vendue sur un modèle de distribution multicanal qui inclut le e-commerce, les magasins spécialisés, les grands magasins et les boutiques duty free. Par ailleurs, les fans de 3CE Stylenanda peuvent également trouver leur bonheur dans les boutiques phares iconiques du groupe : le Stylenanda Hong-dae, le Myeong Dong Pink Hotel & Pink Pool, le Garosu-gil 3CE cinéma et le Stylenanda Harajuku à Tokyo.

    « Avec le soutien de L’Oréal et sa présence mondiale, notre ambition est de développer Stylenanda internationalement et de devenir une marque de renommée mondiale à la pointe des tendances de la beauté,  » a expliqué So Hee Kim, CEO et fondatrice de Stylenanda.

    Cette acquisition permet à L’Oréal de répondre l’appétit grandissant des millennials pour le maquillage. Le groupe renforce ainsi sa présence sur le marché du maquillage accessible, notamment en Asie.

    La transaction devrait être finalisée d’ici deux mois après l’approbation des autorités réglementaires.