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5- Stratégies marketing - Page 38

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Lidl #ralentit son #expansion aux #Etats-Unis | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2DgmIMT

    #Lidl #ralentit son #expansion aux #Etats-Unis

    Lidl freine son développement aux Etats-Unis et veut implanter des points de vente plus petits, écrit l'Handelsblatt, citant des sources locales politiques et immobilières.

    La chaîne allemande de magasins alimentaires discount a ouvert ses premiers sites aux Etats-Unis l'été dernier et comptait avoir 100 supermarchés en l'espace d'un an. Les ouvertures prévues dans le New Jersey, la Pennsylvanie, l'Ohio et la Virginie sont suspendues voire annulées, précise le quotidien financier allemand dans un article à paraître jeudi.

    Lidl s'est abstenu de confirmer ou d'infirmer l'information. Lidl compte 49 supermarchés aux Etats-Unis depuis juin 2017 et on ne sait pas si l'objectif de 100 reste d'actualité, écrit encore l'Handelsblatt.

    Lidl gère plus de 10 000 points de vente dans 27 pays européens. L'enseigne est la propriété de Dieter Schwarz, l'homme le plus riche d'Allemagne, suivant plusieurs palmarès internationaux. Il est le fils du fondateur Josef Schwarz.

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    [#CONSOLAB] [ENGAGEMENT] | #Coca, #L’Oréal, #Danone, #Bel... Ces #marques s’#engagent contre le #sexisme dans la #publicité | @LSA

    DE JULIE DELVALLEE | LSA | http://bit.ly/2DhSzkt

    #Coca, #L’Oréal, #Danone, #Bel... Ces #marques s’#engagent contre le #sexisme dans la #publicité

    L’Union des annonceurs lance ce mardi 16 janvier son programme de communication responsable baptisé FAIRe. Cette initiative, soutenue par le Secrétaire d’état chargé du numérique Mounir Mahjoubi , est la première d’un plan d’action plus vaste.

    Dix ans après sa première initiative, en 2007, pour favoriser l’émergence d’une communication plus responsable, l’Union des annonceurs (UDA ) lance le programme FAIRe. Ce programme répond aux enjeux émergents ainsi qu’aux attentes sans cesse renouvelées des publics : respect de la vie privée, transparence et reflet de la diversité de la société. L’UDA souhaite, à travers le programme FAIRe, emmener collectivement les annonceurs, les acteurs de l’écosystème publicitaire et les parties prenantes dans une démarche de progrès et de responsabilité. Et à ce titre, 2018 sera consacrée à un travail partagé sur la lutte contre la récurrence des stéréotypes dans la publicité.

    A ce jour, 28 marques se sont engagées, dont beaucoup d’acteurs de la grande conso : Bel, Coca-Cola, Danone, Ferrero, Galeries Lafayette, Lesieur, L’Oréal, Mars, Nespresso, Nestlé, Orange,Orangina, Pernod Ricard, Procter & Gamble, , Unilever et Yves Rocher) L’UDA fournira aux adhérents signataires des référentiels, des outils et des guidelines pour les accompagner dans la mise en œuvre de la démarche. L’association organisera également des réunions d’expertise et de partage d’expériences sur des thématiques telles que l’impact du numérique sur l’environnement. De leur côté, les annonceurs devront effectuer un reporting annuel et apporter publiquement les preuves de leurs actions.

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | Les #distributeurs ayant #adopté une démarche #test&learn seraient plus #performants | @ECOMMERCEMAG.FR

    DE STEPHANIE MARIUS | ECOMMERCE MAG.FR | http://bit.ly/2ENldG3

    Les #distributeurs ayant #adopté une démarche #test&learn seraient plus #performants 

    60% des distributeurs qui s'appuient sur une démarche test&learn n'ont pas fermé de magasin ou ont vu leurs ventes remonter, selon un rapport d'Applied Predictice Technologies et The Economist Intelligence Unit cité par Anthony Bruce, p-dg de l'entreprise, lors de sa keynote au Retail's Big Show.

    La pression accrue de la concurrence de l'e-commerce a touché principalement les acteurs traditionnels. Plus de la moitié des distributeurs dans le monde ont fermé leurs magasins au cours des trois dernières années en raison de cette concurrence, indique un rapport publié par l'éditeur Applied Predictive Technologies (APT), en collaboration avec The Economist Intelligence Unit. Le document s'appuie sur les résultats d'une enquête menée auprès de dirigeants du secteur du retail en France, en Allemagne et au Royaume Uni. "L'e-commerce a fait des ravages chez les distributeurs traditionnels et, comme le révèle les résultats de l'enquête, six répondants sur dix ont fermé des magasins au cours des trois dernières années en raison de la concurrence de l'e-commerce, a déclaré Pete Swabey, directeur de la rédaction, EMEA Thought Leadership, The Economist Intelligence Unit. Mais l'enquête souligne également les stratégies adoptées par ces distributeurs pour faire face à ce fléau. Il s'agit notamment d'un élargissement des assortiments produits, d'une réduction des prix et de l'extension de leurs programmes de fidélisation pour mieux comprendre le comportement des clients. Les retailers mettent également l'accent sur l'expérience d'achat en magasin, notamment par la formation du personnel."

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    Cependant, le rapport montre que les distributeurs traditionnels réagissent. Ces derniers luttent contre la concurrence croissante des pure players de l'e-commerce en mettant en place les stratégies suivantes :

    • 75% des distributeurs traditionnels ont déclaré avoir augmenté leurs investissements dans les canaux de vente en ligne.
    • 70% des répondants ont déclaré avoir investi pour mieux former les employés pour qu'ils soient mieux informés, et 58% ont évoqué la formation des employés pour qu'ils soient davantage axés sur le service à la clientèle.
    • La majorité des distributeurs a répondu à l'inventaire infini proposé sur Internet en élargissant leurs gammes de produits: 68% ont élargi leur assortiment en magasin.
    • Plus de la moitié des personnes interrogées (54%) ont mis en place des programmes de fidélisation afin d'approfondir leur connaissance client et 24% prévoient de le faire à l'avenir.
    • En réponse à la pression sur les prix exercés par les pure players de l'e-commerce, 44% des personnes interrogées ont réduit leurs prix et 12% prévoient de le faire dans les années à venir.
    • Près des trois quarts (72 %) des distributeurs ayant fermé des magasins mais ayant réussi à renouer avec la croissance ont mis en oeuvre des réductions de prix.

    APT propose cinq stratégies à adopter par les distributeurs brick and mortar face à la concurrence de l'e-commerce électronique:

    • Mobiliser les collaborateurs pour qu'ils soient un élément-clé de l'expérience en magasin en tant que tel.
    • Utiliser la connaissance client pour générer des revenus incrémentaux sans se limiter à proposer de simples promotions.
    • Affiner les stratégies de détermination des prix de manière ciblée.
    • Adopter une approche chirurgicale des fermetures et de transformation des magasins.
    • Mesurez l'impact de toutes ses actions sur l'ensemble des canaux de vente.
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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Nuxe choisit #Tmall pour se lancer en #Chine | @PREMIUMBEAUTYNEWS.COM

    DE MARIE-HELENE CORBIN | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2mALsIF

    #Nuxe choisit #Tmall pour se lancer en #Chine

    Présente dans 83 pays, Nuxe considérait « comme une évidence » d’être en Chine. C’est chose faite depuis mai 2017. Julie Bonnet, Chief Digital Officer chez Nuxe, a expliqué lors d’un Morning de China Connect comment la marque française a utilisé le e-commerce - principalement la plate-forme Tmall Global du groupe Alibaba - pour faire connaître la marque et tester le marché chinois.

    Permettant aux marques étrangères de vendre en Chine sans les coûts ni les contraintes administratives d’une implantation physique, le e-commerce BtoC transfrontalier ou « cross border » a connu une très forte croissance ces dernières années en Chine qui devrait compter 74 millions de cross border shoppers en 2018, selon iiMediaresearch. Encouragée par les autorités chinoises qui y voient un moyen de stimuler la consommation domestique au détriment des achats des touristes chinois à l’étranger, la démarche est toutefois très encadrée. 

    Alibaba impose par exemple aux marques de recourir à un TP ou « Tmall Partner » basé en Chine pour faire le lien avec la plate-forme. Nuxe s’est ainsi rapprochée de NextBeauty, une société fondée par le français Grégoire Grandchamp constituée d’une équipe chinoise comptant des anciens de L’Oréal Chine et d’Alibaba. « Il ne faut pas croire que les plates-formes vont faire le travail pour les marques, » prévient-il. « Notre rôle est de comprendre comment travailler avec elles et d’élaborer une stratégie sales and marketing pour les faire réussir sur Tmall. » Pour maximiser l’exposition aux internautes chinois, le TP incite les marques à tirer parti du calendrier Tmall jalonné de 6 événements promotionnels majeurs, au premier rang desquels la journée des célibataires, le 11 novembre ou « 11.11 », opération de shopping en ligne de 24h instaurée en 2009 par Alibaba.

    En 2017, le géant chinois a annoncé un record de ventes - 25,3 milliards de US$, en croissance de 39% par rapport à 2016, réalisées à 90 % sur Internet mobile - mais revendique également une autre réussite : une montée en gamme et une image nettement améliorée par rapport à la foire aux rabais de ses débuts. Parmi les innovations, la plate-forme Tmall a ouvert cette année un Luxury Pavillon dédié aux marques de luxe, où Guerlain a pu vendre un parfum au prix de 500.000 yuans (65.000 €).

    Les marques de cosmétiques n’ont pas lésiné sur les moyens. Lancôme a invité six stars chinoises pour représenter ses produits avec des angles différents. SKII a conçu une édition limitée présentée de façon joyeuse et ludique. MAC a fait défiler 200 mannequins lors du défilé « See Now Buy Now » organisé par Tmall. Estée Lauder, L’Oréal et Shisheido ont installé des pop-up stores le temps de l’événement…

    « Il y a une évolution certaine du 11.11 qui intègre de nouveaux codes tels que la premiumisation, la personnalisation, le gaming et l’entertainment », résume Julie Bonnet. « Le 11.11 n’est plus simplement un événement promotionnel, c’est un vrai rendez-vous pour les marques, qui nous permet aujourd’hui d’allier branding et business. »

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    Nuxe a choisi de mettre en avant trois gammes de produits - l’Huile prodigieuse, Rêve de miel et la Crème fraîche de beauté. « La clé, c’est la préparation », insiste Grégoire Grandchamp, qui préconise de commencer à planifier pour le 11.11 six mois à l’avance. La stratégie de Nuxe a beaucoup misé sur les influenceurs en faisant appel à un KOL (Key Opinion Leader) d’envergure nationale spécialisé dans les cosmétiques, Wu Miao (吴淼), ainsi qu’à quatre personnalités de rayonnement régional autour de Pékin, Canton, Chengdu et Shanghai, «  avec l’objectif de toucher 2 millions de followers.  »

    « Les influenceurs dans la beauté aujourd’hui, c’est miraculeux », affirme Grégoire Grandchamp. « Même des marques à l’origine peu connues en Chine telles que Leonor Greyl, avec laquelle nous travaillons, est en train de connaître un développement assez extraordinaire grâce à quelques KOLs.  » Il insiste toutefois sur la nécessité de s’assurer que les influenceurs sélectionnés connaissent bien la marque et aiment les produits, «  parce qu’un bon influenceur c’est quelqu’un qui a un rapport personnel et authentique avec la marque, qui est un vrai fan. Il est important aussi d’être en relation sur le long terme avec eux pour éviter le problème des fake followers. »

    Pour Julie Bonnet, les influenceurs représentent même « le premier média en Chine ». « Mais il y a une dimension essentielle à intégrer, surtout pour nous marques françaises, c’est de leur laisser la liberté si on veut que ça marche en Chine. Il faut laisser les KOLs s’approprier la marque. »

    Le bilan du 11.11 a été « conforme aux attentes chez Nuxe, avec 50 % du volume de ventes de cette première année qui est courte. » Le résultat est plutôt 35 % à 40 % sur une année normale pour une marque, indique Grégoire Grandchamp, qui assure que NextBeauty propose un partenariat de long terme équilibré entre le chiffre d’affaires et la construction de la marque. « Nous offrons aux marques un accès en anglais aux datas de Alibaba, pour leur permettre de mieux cibler leur clientèle en termes de profil et de mode d’achat », précise-t-il, en ajoutant qu’outre Tmall, NextBeauty travaille régulièrement avec six ou sept plates-formes.

    Pour tenter le e-commerce cross border, les marques n’ont en effet pas l’obligation de passer par Tmall. D’autres plates-formes existent, telles que JD.com, qui a réalisé cette année des ventes de 19,2 milliards de US$ lors du 11.11 (en hausse de 50 % par rapport à 2016), Xiaohongshu.com ou encore le leader Kaola.com (du groupe chinois NetEase), moins connu en Europe. « Il y un paysage qui devient plus hétérogène, plus prolifique et plus complexe », analyse Laure de Carayon, l’organisatrice de China Connect. « Ce sont autant d’opportunités pour qui veut bien se donner les moyens de creuser.  »

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    [#CONSOLAB] [NUMERIQUE] | Le groupe #Lego s’associe à #Tencent pour sensibiliser les #enfants #chinois au #numérique | @L'USINEDIGITALE

    DE SIMON CHODORGE | USINE DIGITALE | http://bit.ly/2EJaL2v

    Le groupe #Lego s’associe à #Tencent pour sensibiliser les #enfants #chinois au #numérique

    L'entreprise danoise Lego et le groupe chinois Tencent ont annoncé le 15 janvier un partenariat pour développer des contenus et des plateformes numériques à destination des enfants. Le célèbre fabricant de briques connaît un ralentissement de sa croissance presque partout sauf en Chine. Un rapprochement à suivre alors que Lego cherche de plus en plus à diversifier ses activités dans le numérique.

    Le célèbre fabriquant de briques (en plastique) Lego et le groupe chinois Tencent ont annoncé le lundi 15 janvier un partenariat pour proposer aux enfants chinois des expériences numériques sans danger et les sensibiliser au digital. Avec un gros ralentissement des ventes dans les pays occidentaux, la Chine représente un marché prometteur pour Lego. Et Tencent un allié solide pour accélérer sa conversion au numérique.

    LEGO ET TENCENT VONT DÉVELOPPER DES JEUX-VIDÉO ET UN RÉSEAU SOCIAL POUR ENFANTS

    Les deux entreprises vont collaborer pour produire des contenus vidéos et des jeux mobiles estampillés Lego et à destination des enfants. Le partenariat visera également à développer Lego Boost, une application pour sensibiliser les enfants au codage en leur apprenant à animer leurs constructions. Les deux entreprises exploreront aussi les possibilités pour co-développer Lego Life, un projet de réseau social sûr pour les enfants chinois.

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    Lego Boost et Lego Life ne sont pas vraiment des nouveautés mais ils ne sont pour l’instant commercialisés qu’à petite échelle. Les projets s’imbriquent plutôt bien avec les activités de Tencent, spécialiste du jeu vidéo mobile et développeur du réseau social WeChat aux 600 millions de membres.

    LA CHINE, UN MARCHÉ SOLIDE POUR LEGO

    Le groupe danois n’a pas cassé des briques ces dernières temps. Ses ventes ont diminué pour la première depuis onze ans au premier semestre 2017, forçant l’entreprise à congédier 8 % de ses effectifs mondiaux la même année. Le marché chinois fait figure d’exception : en 2016, la croissance des ventes y est passée de 25 à 30 %.

    En novembre 2016, le groupe danois a même inauguré une usine de fabrication en Chine, pour produire 70 à 80 % de tous ses produits vendus en Asie.

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    [#CONSOLAB] [RACHAT] | ​#Showroomprivé : #Carrefour rachète les #17 % détenus par #Steinhoff | @FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2FCl2yP

    #Showroomprivé : #Carrefour rachète les #17 % détenus par #Steinhoff

    Le portail de vente événementielle ​Showroomprivé annonce un partenariat stratégique avec Carrefour, qui scelle l’accord en rachetant au groupe Steinhoff (Conforama) les 17 % de parts acquises au début de l’été. L’objectif est d’établir une stratégie omnicanal sur le plan commercial, marketing, logistique et datas.

    « Ce partenariat est un nouvel élément de l’accélération de notre stratégie digitale, dans une logique omnicanal, se félicite Alexandre Bompard, PDG de Carrefour. Il permet en outre à Carrefour d’entrer sur le marché des ventes privées en ligne et de renforcer son offre. Je suis convaincu de la grande valeur du management de Showroomprivé et du fort potentiel né de la coopération opérationnelle entre nos deux groupes. »

    Cette annonce intervient alors que le groupe Steinhoff doit depuis la fin 2017 faire face aux inquiétudes de ses créanciers, après s’être avoué incapable de donner un ordre de grandeur des irrégularités comptables figurant dans ses comptes, ou même un calendrier pour la présentation des comptes de 2017 et des états financiers ré-audités de 2016.

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    Ses parts dans Showroomprivé sont finalement cédées à Carrefour à 13,5 euros l’action, pour un montant total de 79 millions d’euros. Carrefour conserve au passage le pacte d’actionnaire passé avec Steinhoff : les fondateurs du portail, David Dayan et Thierry Petit, conservent 27,17 % du capital et 40,42 % des droits de vote, tandis que Carrefour détient 16,86 % du capital et 13,37 % des droits de vote.

    « Un complément de prix sera versé par Carrefour à Conforama en cas de lancement par Carrefour d’une offre publique d’achat sur Showroomprivé dans les dix-huit mois suivant la réalisation de l’opération, précise par ailleurs le communiqué. Ce complément de prix sera égal à la différence entre le prix de l’offre qui serait ainsi déposée par Carrefour et le prix de l’acquisition (soit 13,5 euros), multiplié par le nombre d’actions cédées par Conforama. »

    Le prélude à une acquisition majoritaire de Showroomprivé par Carrefour ? Introduit en Bourse en octobre 2015, le portail compte 28 millions de membres en France et dans huit pays, pour un chiffre d’affaires net de 540 millions d’euros en 2016 (+22 %). Une très importante force de frappe en ligne dont pourrait tirer parti Carrefour, fort de 103,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2016 et comptant 12 000 magasins. Notons que cette nouvelle transaction s’inscrit dans une liste croissante de rapprochements entre distributeurs physiques et en ligne.