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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 77

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    [CONSO LAB] [TENDANCE] | #Food #delivery, #millennials, #réseaux sociaux : trois #opportunités pour l'#agroalimentaire | @LSA

    DE AUDE CHARDENON | LSA | http://bit.ly/2hnMPYp

    #Food #delivery, #millennials, #réseaux sociaux : trois #opportunités pour l'#agroalimentaire

    Comment les acteurs traditionnels peuvent-ils profiter des évolutions technologiques qui révolutionnent le secteur alimentaire ?

    Premier enjeu : répondre aux attentes des millennials, appelés également "génération Y". Ces consommateurs, nés entre les années 1980 et le milieu des années 1990, pèseront en France la moitié de la population active en 2020. "Les millennials représentent un poids démographique et donc économique", rappelle Pascale Grelot-Girard, Directrice Market Intelligence Kantar TNS. "Ce sont sont les consommateurs de demain car on emmène avec soi son comportement d’achat en vieillissant", ajoute Diane Fleutiaux, Strategic Business Unit Director chez Kantar Worldpanel. Or bien connaître leurs pratiques permet de mieux cerner leurs attentes et leurs besoins. "Ils ont une consommation media très majoritairement online, poursuit Pascale Grelot-Girard. Ils pratiquent davantage le digital dans le domaine alimentaire, notamment dans les échanges et les relations avec les marques". Selon l’étude Connected Life 2016 TNS-Sofres, ces générations témoignent un engouement plus élevé pour les objets connectés en cuisine et les applications qui aident à monitorer les prises alimentaires. Les imprimantes 3D alimentaires suscitent également davantage d’intérêt chez les millennials que chez les autres générations, surtout chez les très jeunes.

    Cet attrait pour les nouvelles technologies se reflète dans les comportements d’achat. "Ils ne mangent pas de la même façon que leurs aînés, précise Diane Fleutiaux. Ils consomment plus de snacks, ne prennent pas d’entrée, mangent moins de fromages et de desserts. Le repas se structure autour d’un plat unique", explique la jeune femme. Seul moment traditionnel qui résiste selon Kantar : l’apéritif, qui évolue cependant un vrai repas. Dans le chariot de courses, cela se traduit par la présence de beaucoup de produits plaisirs, sucrés et doux, comme les gâteaux, les bières aromatisées, les capuccinos… "On note aussi une appétence pour les produits pratiques et immédiats, comme les plats cuisinés au rayon traiteur et les pâtes fraîches", poursuit l’analyste. Autre tendance : la cuisine d’assemblage avec des préférences d’achat pour les pâtes et riz et sauces, aides à la pâtisserie, pâtes à tarte. Enfin, "le bio explose auprès de cette cible, plus touchée par la vague du naturellement sain car ultra informée sur le food bashing", ajoute Diane Fleutiaux. Une vision partagée par Kevin Camphuis, cofondateur de Shake Up Factory. "En termes de tendances, c’est très positif, explique-t-il. On mangera mieux demain car les millennials sont nés pendant la crise environnementale et ils sont donc sensibles à ces enjeux". Une forte adhésion pour les produits "sans" (gluten, colorants...) est également notable.

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    Si les millennials sont déjà conquis, ce marché présente un énorme potentiel auprès des autres catégories de population. En croissance exponentielle grâce aux progrès de la techno GPS, le food delivery séduit désormais des distributeurs traditionnels comme Franprix, qui a mis en place avec la start-up Stuart une offre de livraison express de petit-déjeuner. "Le magasin physique a toujours un rôle à jouer, explique Cécile Guillou, Directrice Générale Adjointe Franprix. Le maillage physique en ville est un vrai atout. On sait livrer des plats chauds et des boissons fraîches et toucher tous les moments clés de la journée... Et on dispose de l’omnicanal pour pousser les commandes en ligne." Le distributeur, qui travaille également avec Resto in et Glovo, fait donc le pari de la proximité pour devenir un acteur à part entière du food delivery. Après six mois d’expérimentation, l’enseigne revendique plusieurs centaines de commandes par jour. Pour Benjamin Chemla, cofondateur de Stuart, "la proximité est l’atout de la distribution physique, les commerçants sont au plus près des consommateurs". "Un client vient en moyenne 1,6 fois par semaine en moyenne dans un Franprix, cela souligne le rôle populaire du magasin", rappelle Cécile Guillou.

    L’alimentaire est aujourd’hui l’un des sujets quotidiens phares des réseaux sociaux. Les chiffres sont éloquents : le mot snacking a ainsi fait l’objet de 10 millions de mentions depuis 2014, tandis que food fait l’objet de plus de 200 millions de posts sur Instagram. Sur YouTube, on dénombre 1,5 milliard de requêtes liées à cette thématique.

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    [CONSO LAB] [TENDANCE] | Pourquoi nous #consommons de moins en moins de #viande | @Le Monde

    DE CAMILLE GILLET ET ELISA BELLANGER | LE MONDE | http://lemde.fr/2jPLu14

    Pourquoi nous #consommons de moins en moins de #viande


    Tendance végane de plus en plus présente, scandale à répétition dans les abattoirs, crises sanitaires ou recherche d’une meilleure santé… ? La filière viande est en crise, même si les professionnels du secteur croient encore en l’avenir de la viande. Les chiffres de la consommation de viande indiquent, eux, une baisse générale, en France, depuis 1990. Seule la consommation individuelle de volaille connaît une forte hausse. Comment expliquer une telle tendance ?

    Pour Pierre Sans, chercheur associé à l’INRA-Aliss (alimentation et sciences sociales) d’Ivry-sur-Seine et enseignant à l’Ecole nationale vétérinaire de Toulouse, ce changement de comportement alimentaire s’explique par une conjonction de plusieurs facteurs. « S’il est difficile de déterminer une unique cause à l’origine de la baisse de la consommation de viande en France depuis une vingtaine d’années, il est en revanche possible d’identifier trois paramètres responsables de ce phénomène. »

    consommons, viande

    Si les Français consomment aujourd’hui moins de viande qu’il y a vingt ans, « c’est d’abord à cause de la hausse de son prix », explique Pierre Sans. Et pour cause, les tarifs des produits carnés, en particulier ceux issus des espèces bovines (bœufs, vaches) et ovines (moutons, agneaux), ont considérablement augmenté depuis les années 1990, comme l’indiquait le rapport de France AgriMer en 2015.

    Alors que la viande de porc, de veau et surtout de mouton est de moins en moins présente dans les assiettes des Français, la volaille est quant à elle toujours autant appréciée. Voire davantage. Cette tendance, le chercheur la justifie, en partie, par l’évolution des formes de produits proposés sur le marché : « Depuis plusieurs années on constate une montée en puissance de plats élaborés à partir de viande transformée. La volaille est la viande qui se prête le mieux à la confection de ces aliments prêts à être consommés sur le pouce, comme les sandwichs ou les plats mijotés par exemple. Alors que les pièces de mouton ou de d’agneau ne se prêtent pas du tout à ce genre de cuisine. »

    Deuxième raison de la moindre consommation : le fait que les consommateurs-citoyens sont devenus de plus en plus soucieux de leur planète. « Cela joue en faveur d’une réduction de la consommation de la viande. Davantage sensibles aux conséquences de l’élevage industriel, notamment des ruminants, sur le changement climatique, les Français optent désormais avec plus de facilité pour une réduction des produits carnés dans leurs habitudes alimentaires. Sans pour autant supprimer définitivement la viande des assiettes des Français. »

    Enfin, le lien, établi en 2015 par le rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), entre la consommation abusive de viande rouge et certains cancers « a probablement conduit le consommateur à prendre conscience de l’impact de son alimentation sur sa santé », rajoute Pierre Sans.

    Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le succès du véganisme n’est pas, selon le chercheur, la première raison qui pousse les Français à manger moins de produits carnés. Il précise : « La mode du régime végan, ainsi que la sensibilité croissante des consommateurs occidentaux pour la cause animale, pèsent évidement dans leur choix de réduire leur consommation de viande, mais ces comportements n’expliquent pas à eux seuls cette baisse. »

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    [CONSO LAB] [COMMUNICATION] | La #Febea fait campagne pour rassurer les #consommateurs | @LSA

    FROM MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2xShF64

    La #Febea fait campagne pour rassurer les #consommateurs

    Face à la montée des controverses sur de nombreux ingrédients cosmétiques, la Fédération des entreprises de beauté réalise une campagne digitale pour apporter une information claire et ainsi rassurer les consommateurs.

    Febea, consommateurs

    "Démêlez le vrai du faux", telle est l’ambition de la campagne digitale soutenue par la Fédération des entreprises de beauté (Febea). Face à la montée des controverses sur de nombreux ingrédients cosmétiques, la Febea veut rassurer les consommateurs quant à la qualité des produits cosmétiques. Via une série de vidéos postées sur Youtube, la fédération essaie de répondre simplement aux interrogations des consommateurs sur les parabènes, le phénoxyéthanol, le dioxyde de titane, les phtalates, les allergènes… « Alors que l’information, parfois contradictoire ou inexacte, se diffuse à "la vitesse du clic" sur la toile et ses réseaux, il est naturel que des précisions puissent être apportées quant aux ingrédients utilisés dans les produits d’hygiène et de beauté », explique la Febea. La fédération va aussi communiquer sur les réseaux sociaux avec le hashtag #InfoCosmeto.

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    [CONSO LAB] [TENDANCE] | #Cosmétiques : les Françaises attentives au #prix et aux #ingrédients avant de passer en caisse | @ LaDepeche

    FROM RELAX NEWS | LA DEPECHE | http://bit.ly/2w84KZp

    #Cosmétiques : les Françaises attentives au #prix et aux #ingrédients avant de passer en caisse

    La renommée des marques, le packaging des produits et les campagnes publicitaires ne sont pas des critères déterminants pour l'achat d'un produit cosmétique. C'est le constat établi par une étude menée par OpinionWay pour Phyt's, rendue publique ce mercredi 20 septembre, qui montre que les consommatrices françaises sont avant tout attentives au prix (62%), puis à la composition et aux ingrédients utilisés pour la conception du produit (58%).

    L'efficacité des cosmétiques est également un facteur déterminant pour les Françaises (55%), puis viennent - loin derrière - la réputation de la marque (24%), le label et la certification (21%), les engagements pris par la marque (11%), et les avis des autres consommateurs (9%).

    Il n'est donc pas étonnant d'apprendre que plus de huit femmes interrogées sur dix déclarent avoir confiance dans les cosmétiques certifiés d'origine naturelle (86%) et dans les cosmétiques certifiés bio et d'origine naturelle (84%). A contrario, seules 35% affirment avoir confiance dans les cosmétiques sans mention particulière.

    Cosmétiques, prix, ingédients

    Plus de la moitié des sondées (58%) ont d'ailleurs déjà succombé aux produits de cosmétiques bio. En la matière, les produits d'hygiène sont les plus sollicités (52% des Françaises déclarent en avoir déjà achetés), devant les soins du visage (49%), et les soins corporels (46%). Le maquillage certifié bio ne semble, pour l'instant, pas avoir convaincu les consommatrices (seules 28% en ont déjà acheté).

    Parmi les femmes qui ont déjà acheté des produits bio ou prévoient de le faire, une majorité explique ce choix par la volonté d'éviter des ingrédients susceptibles d'être dangereux pour la santé (59%), mais aussi pour profiter de produits plus respectueux de leur peau (56%) et agir en faveur de l'environnement (50%).

    Cette étude a été réalisée en ligne, du 19 au 27 juillet derniers, auprès d'un échantillon de 1.022 femmes, représentatif de la population des femmes françaises âgées de 18 ans et plus

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    [CONSO LAB] [TECH] | #Google sets its sights on the #iPhone with #HTC #deal | @TheVerge

    FROM VLAD SAVOV | THE VERGE | http://bit.ly/2w9exyg

    #Google sets its sights on the #iPhone with #HTC #deal

    Of the three most influential companies in smartphone design, Nokia fragmented into a million pieces after being bought out by Microsoft, Apple is still going strong, and Google just bought the third with its $1.1 billion deal with HTC. The reason why Google acquired what looks to be the majority of HTC’s phone design and engineering team is simple, and it’s been obvious for over a year: Google is serious about becoming a hardware company.

    Early in 2016, Google created a new hardware division and re-hired Motorola chief Rick Osterloh to run that group. A brief few months after that, the company was plastering the streets of Europe and the US with billboards trumpeting the arrival of the first “Made by Google” Pixel devices. Why do we refuse to acknowledge what’s right in front of our eyes?

    Google is going to war against the iPhone. It sounds preposterous given the number and quality of apps that Google produces for Apple’s iOS ecosystem, but the iPhone is a direct threat and counter to Google’s overarching goal of being ubiquitous on every internet-connected device. Apple’s voice assistant Siri searches the web using Bing rather than Google, and Apple Maps was created explicitly to shake off Apple’s dependence on Google Maps.

    Google, Iphone, HTC, deal

    As Apple works to become independent of Google through the provision of its own services like Apple Music and iCloud, Google is moving to become independent of Apple by trying to make a better smartphone. One company is getting serious about services, the other is getting serious about hardware, and the end result will be an escalation and exacerbation of the conflict between them. The good old days of the Apple CEO and Google CEO sorting out their differences over casual coffee on a Palo Alto street are over.

    Everything we’ve seen Google do since the hiring of Osterloh can be best understood through the prism of competing with Apple’s hardware. Why, for instance, does Google need to buy the HTC team that built its first-generation Pixels? The answer lies in the benefits of tight, Apple-like integration: Google can iterate Pixel designs much faster with an in-house crew, and it can do synergistic things with its hardware and software that it wouldn’t be able to when contracting the work out (even the former Google+ VP Vic Gundotra has stated a preference for this approach). This is an awful example, but having its own design team means Google can build its own Bixby button for launching the Google Assistant.

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    [CONSO LAB] [DISTRIBUTION] | Forte #hausse de la #consommation de #PGC en Europe | @LSA

    FROM JEROME PARIGI | LSA | http://bit.ly/2wIo0fy

    Forte #hausse de la #consommation de #PGC en Europe au second trimestre

    Selon Nielsen, les dépenses des consommateurs en produits de tous les jours ont augmenté en Europe de 3,7% au 2ème trimestre – leur plus forte progression depuis 3 ans.

    Les données Nielsen provenant des distributeurs de 21 pays européens révèlent que cette progression de 3,7% des produits de grande consommation (PGC) s’explique par une hausse de 1,7% du nombre de produits achetés et une progression de 2,0% du prix moyen de chacun d’entre eux. "Ce regain d’activité des marchés PGC à travers l’Europe est la conséquence de 4 facteurs clés", commente Olivier Deschamps, Senior Vice-Président, Services à la Distribution Nielsen Europe. De meilleures conditions économiques, notamment en France et en Espagne, la réduction du chômage dans de nombreux pays, un moral des ménages mieux orienté, ainsi qu’une inflation qui reste contenue. Le décalage calendaire de Pâques explique également une partie de la croissance, mais les voyants sont tous au vert actuellement."

    Hausse, consommation, PGC

    Les performances du 2ème trimestre 2017 La Turquie affiche la plus forte progression (+14.2%), suivie par la Slovaquie (+9.3%) et l’Autriche (+6.7%). A l’opposé, la Suisse, le Danemark (+1.2%) et la Grèce (+1.9%) ont connu les progressions les plus modérées.

    Parmi les 5 économies principales, c’est l’Italie qui affiche la croissance la plus élevée (+4.0%) devant la France (+3.2%). L’Allemagne affiche quant à elle la progression la plus modérée de ce groupe de 5 pays (+2.3%), et la 5ème plus faible parmi les 21 pays étudiés.

    Olivier Deschamps conclut : "Les prévisions pour 2017 donnent une croissance du PIB autour de 1,75% : si aucun choc politique ou économique n’intervient au cours des 6 prochains mois, les perspectives pour la grande consommation sont à la poursuite du redressement en Europe du Sud, et à la progression des volumes en Europe du Nord."