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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 74

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    [#CONSOLAB] [MAGASIN] | #Decathlon cible le #centre-ville de #Bruxelles | @FASHION NETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2ggZ1Oc

    #Decathlon cible le #centre-ville de #Bruxelles

    Decathlon poursuit sa politique d’ouvertures en cœur de ville. Le distributeur d'articles de sport français va s’installer dans le pôle commercial The Mint, à Bruxelles. Il s’agit du projet de rénovation du Centre Monnaie, qui s’étend sur 15 000 mètres carrés face à la célèbre place de la Monnaie, près du métro De Brouckère. La foncière en charge du projet, qui a dévoilé l'information, n'avance pour l'heure aucune date précise d'ouverture.

    Decathlon, centre-ville, Bruxelles

    La chaîne de magasins de sport, qui compte une trentaine d’adresses de périphérie sur le sol belge, y déploiera sur 1 600 mètres carrés son nouveau concept de centre-ville. Un format qui se focalise sur une offre urbaine, portée notamment sur le cycle, le running et le fitness. Decathlon veut se placer sur le chemin de ses clients, et profiter de l'engouement des citadins pour le sport.

    Déjà lancé en Espagne, ce concept baptisé Decathlon City – qui remplace Decat’ - est testé à Paris par l’enseigne de la famille Mulliez depuis décembre dernier (rue du commerce, dans le 15e arrondissement). Il se déploiera en outre sur 1 240 mètres carrés à Lyon, au sein du quartier Grôlée Carnot. Une ouverture prévue pour début 2019.

    Appartenant à AG Real Estate, le pôle commercial The Mint est désormais commercialisé à 97 % : parmi les nouveaux locataires, on note l’arrivée de Kiabi, mais aussi Nyx Cosmetics et Uniqlo. Une première partie du centre ouvrira d’ici la fin d’année.

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    [#CONSOLAB] [DATA] | Avec #relevanC, Casino frappe fort dans le #business de la #data | @JDN

    DE NICOLAS JAIMES | JND | http://bit.ly/2g7nnGh

    Avec #relevanC, Casino frappe fort dans le #business de la #data

    Le géant de la distribution va permettre aux annonceurs de piocher dans ses 50 millions de profils cross-devices pour optimiser leurs campagnes pubs online et mesurer leurs impacts sur les ventes.

    Plutôt discret jusque-là dans la bataille qui oppose les géants du retail français aux Gafa, le groupe Casino passe à l'offensive. Le groupe de distribution français vient d'annoncer le lancement d'une plateforme data baptisée relevanC dans laquelle les annonceurs pourront consulter "la base de données la plus massive, complète et qualitative sur les consommations des Français, leurs intentions et comportements d'achat". La plateforme proposera à terme près de 50 millions de profils et 1 100 segments d'audience.

    Ce projet piloté avec société Redpill a une ambition affichée : "contrer le quasi-monopole des GAFA et notamment Google et Facebook". Un discours qui est depuis quelques mois sur toutes les lèvres qu'il s'agisse de groupes médias, d'opérateurs télécom ou d'e-commerçants. C'est aussi le fruit d'une réunion entre le PDG du groupe, Jean-Charles Naouri, son DGA, Julien Lagubeau et le fondateur de Redpill, Marco Tinelli dans le courant de l'été. "Nous voulions réfléchir aux moyens de mettre en place une véritable stratégie data pour le groupe Casino", explique Marco Tinelli.

    relevanC, business, data

    Pour constituer sa plateforme, Casino s'est appuyé sur les data de ses 10 000 magasins en France (hypermarchés Géant, Casino de proximité, Franprix, Monoprix, Leader Price). A cela s'ajoute l'activité que Casino réalise sur le Web. 90% de son audience sur ce canal provient de son navire amiral Cdiscount. L'e-commerçant français, dont il est actionnaire quasi exclusif depuis 2011, est sur ce terrain le premier poursuivant d'Amazon. Ce dernier cumulait 24 millions de visiteurs uniques sur tous les devices en août 2017 selon Médiamétrie//Netratings contre 17,2 millions pour le groupe Casino.

    Le maillage cross-canal de Casino lui permet donc d'observer plus de 60 millions de transactions mensuelles qu'elles soient en magasin ou en ligne. Ces informations seront mises à disposition des annonceurs, des agences et des instituts d'étude à travers la plateforme.

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #Spartoo va ouvrir un nouveau #point de vente à #Carré #Sénart | @LSA

    DE FRANCOIS DESCHAMPS | LSA | http://bit.ly/2xCrVea

    #Spartoo va ouvrir un nouveau #point de vente à #Carré #Sénart

    L’e-marchand poursuit doucement ses ouvertures de points de vente et vient d’annoncer un nouveau magasin dans le centre commercial de Carré Sénart, en région parisienne.

    Deux ans et demi après l’ouverture de son premier magasin à Grenoble, Spartoo poursuit sa stratégie cross-canal et ouvrira un nouveau point de vente le 25 octobre prochain, en région parisienne dans le centre commercial de Carré Sénart (Lieusaint). Un emplacement jugé stratégique pour l’entreprise puisqu’il se situe à proximité de la capitale.

    Spartoo, point de vente, Carré Sénart

    Avec 14.5 millions de visiteurs en 2015, Carré Sénart fait en effet figure de centre commercial incontournable dans le grand Sud Parisien. « Jusqu’à présent, nous nous sommes concentrés sur des ouvertures dans la région grand Est pour nos premiers magasins. Notre concept désormais bien affiné, nous arrivons sereinement en région parisienne, avec l’idée de nous installer durablement », explique Boris Saragaglia, p-dg de Spartoo.

    Le magasin Spartoo disposera d’une surface de vente de 140 m², et proposera une offre de chaussures pour enfants, femmes et hommes, complétée par l’offre globale du site, grâce à la présence de deux écrans géants et de quatre tablettes tactiles. Il sera le douzième point de vente ouvert par l’e-commerçant, qui visait en 2015 la centaine de magasins à horizon 2020.

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    [CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | Le nouveau #Monoprix parisien, concentré de la #stratégie #omnicanale de l’enseigne | @LSA

    DE JULIE DELVALEE | LSA | http://bit.ly/2gyTTlk

    Le nouveau #Monoprix parisien, concentré de la #stratégie #omnicanale de l’enseigne

    Le magasin, installé sous la canopée du Forum des Halles en plein cœur de Paris, présente une multitude de services pour simplifier la vie de ses consommateurs urbains. Régis Schultz, patron de l’enseigne, a inauguré ce dernier point de vente et a présenté l’ensemble de ces dispositifs digitaux à LSA.

    « Notre objectif, c’est de maximiser le plaisir et de minimiser les contraintes de notre clientèle », débute Régis Schultz, tout sourire, quelques minutes avant l’inauguration officielle du Monoprix des Halles, ouvert le 26 juillet dernier. Smartphone à la main, le président de Monoprix énumère à vitesse grand V l‘ensemble des dispositifs omnicanaux rassemblés dans ce dernier point de vente. "C’est le dernier né des Monoprix, il bénéficie donc de tous nos services en matière d'omnicanalité. La clientèle est prête à s’approprier ses services », assure-t-il.

    Sa démonstration démarre avec l’application Monop’Easy, installée depuis la veille dans le magasin pour l'offre de sandwiches et de boulangerie, et déjà en place dans le Monop' situé près de la place de la Madeleine, à Paris. Le principe ? Le client scanne le code-barre du produit, qui s’affiche dans l‘application Monop’Easy préalablement téléchargée sur son mobile. Il finalise le paiement sur son smartphone avec les coordonnées d’une carte bancaire enregistrée. « Cette application est légitime dans les petites surfaces et met fin à l’irritant principal des consommateurs : l’attente en caisse», souligne Régis Schultz. Cette possibilité sera étendue à tous les Monop' sur le premier semestre 2018.

    Toujours dans cette logique de gain de temps, la géolocalisation des produits dans le point de vente se développe peu à peu dans les surfaces de vente de l’enseigne urbaine. Là encore, le smartphone des utilisateurs est l’outil indispensable pour profiter cette fonction. Ceux-ci entrent dans le portail virtuel de Monoprix pour indiquer dans quel point de vente ils se situent. Ils inscrivent la référence recherchée… Un plan -et même un itinéraire- s'affiche alors pour se rendre jusqu’au produit convoité.

    L’aspect serviciel s'étend aussi en dehors du magasin. D’abord avec le click and collect, les courses alimentaires sont disponibles en magasin entre 1 heure et 3 heures après la commande. Pour la mode, les articles peuvent être réservés en deux heures. Après le passage dans le point de vente, les adeptes de la livraison bénéficient aussi d’une service rapide. La livraison s’effectue en effet en une heure et sans véhicule quand le client se situe à moins de 500 mètres. « Ici aux Halles, 30 % des livraisons se font à pieds ».

    Monoprix, stratégie, omnicanale

    Une fois livrés, les consommateurs les mieux organisés peuvent recourir au « Shop & Give », un service permettant de remettre gratuitement au livreur des produits alimentaires non périmés, des fruits et légumes ainsi que des piles et des ampoules usagées.

    En plus de sa stratégie digitale, ce Monoprix , qui s’étale sur 2 760 mètres carrés de vente répartis sur deux étages, offrent également un choix alimentaire adapté à son public urbain. Au rez-de-chaussée, l’espace « Pain en Ville » présente une offre boulangerie-pâtisserie et sandwicherie traditionnelle, visible ci-contre, ainsi que d’une salle de restauration, auxquels s’ajoutent deux terrasses de 80 places. Au niveau -1, le magasin principal commercialise de nombreux produits adaptés à la restauration (sur place ou à emporter) avec notamment un corner à sushis, un bar à salade et à fruits.

     

     

     

     

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    [CONSO LAB] [MAGASIN] | La #Fnac redonne du #peps à ses #librairies | @LSA

    DE JEAN-NOËL CAUSSIL | LSA | http://bit.ly/2gu34n8

    La #Fnac redonne du #peps à ses #librairies

    Dix-huit magasins Fnac ont adopté le nouveau concept librairie. Lequel laisse plus de place aux couleurs vives pour aider les lecteurs à mieux se repérer en rayon.

    Premier libraire de France, la Fnac entend garder son avantage concurrentiel. Il en va de l’image même de l’enseigne. Et pas que de son image, d’ailleurs. Les ventes de produits éditoriaux se sont élevées, en 2016, à 1,24 milliard d’euros. Certes, en forte baisse de 4,1% sur l’année, mais de quoi représenter un tiers des ventes de la Fnac, mine de rien. Dans ce total, les livres seuls pèsent 701 millions d’euros. Soit plus de 18% des ventes de la Fnac. Et puisque le marché du livre a atteint 3,9 milliards d’euros en France en 2016, cela signifie que près d’un livre sur six vendus dans le pays passe par les caisses de la Fnac.

    Et, bien au-delà de cette litanie de chiffres, le livre est une source de trafic en magasins incontournable. On vient flâner dans les rayons, feuilleter et prendre du bon temps. La Fnac se doit donc de proposer un concept qui offre justement cette possibilité.

    Fnac, peps, librairies

    D’où ce lifting aujourd’hui déployé dans 18 magasins en France, en attendant que les autres y viennent également. « L’objectif numéro un est d’améliorer la lisibilité du rayon pour permettre aux clients de mieux se repérer dans les différents univers », déclare ainsi un porte-parole de l’enseigne. Et avec ces codes couleur marquants, doublés d’une signalétique modernisée, le moins que l’on puisse dire est que le pari s’avère réussi. « Notre rayon livres a toujours été conçu comme une librairie, et nos vendeurs sont des libraires, mais ce n’était pas forcément l’impression rendue visuellement », indique la Fnac, qui explique avoir ainsi « voulu redonner de la chaleur et s’éloigner des codes des GSS, un peu froids ».

    Cette chaleur, on la retrouve à l’intérieur des rayons. C’est tout bête, mais cela change une ambiance : les tables de présentation s’ouvrent à des ruptures de rythme agréables à l’œil. En clair : on sort des étagères parallèles, une planche horizontale, une planche verticale, pour trouver des hauteurs et des largeurs différentes, propres à mieux mettre en valeur les articles. Le tout en étant parfaitement modulable, pour permettre aux équipes d’adapter le mobilier en fonction des besoins.

     

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    [CONSO LAB] [CONNECTE] | #Google corrige un #bug qui faisait qu’une de ses #enceintes #connectées enregistrait en permanence | @LE MONDE

     

    "Pour la première fois de sa vie, il comprit que lorsque l'on désirait garder un secret, on devait aussi se le cacher à soi-même" ORWELL #CEW

     

    DE NICOLAS SIX | LE MONDE | http://lemde.fr/2gyTgbl

    #Google corrige un #bug qui faisait qu’une de ses #enceintes #connectées enregistrait en permanence

    Scénario catastrophe pour Google : un journaliste a surpris sa nouvelle enceinte en flagrant délit d’écoute indiscrète.

    Un journaliste américain a vécu une curieuse aventure en testant le nouveau haut-parleur intelligent de Google, Google Home Mini. Cette version miniaturisée de l’enceinte Google Home est équipée d’un microphone. Elle écoute les questions qu’on lui pose à voix haute et essaye d’y répondre, sans toujours y parvenir.

    Google, bug, enceintes connectées

    En principe, la Home Mini n’écoute que, lorsqu’on l’appelle, en prononçant deux mots : « O.K. Google ». Mais après quelques jours de test, le journaliste d’Android Police a remarqué qu’elle clignotait un peu trop souvent : Intrigué, il a décidé de visiter son espace personnel « Mon Activité », sur Internet, où sont référencés les enregistrements de l’enceinte. Ces enregistrements sont stockés dans l’immense mémoire des fermes d’ordinateur de Google. Surprise : une liste interminable de sons l’y attendait. Des milliers d’enregistrements, du soir au matin en passant par la nuit. La Home ne se contentait pas d’ouvrir les oreilles quand on l’appelait. Elle écoutait quasiment toutes les paroles du journaliste, jusqu’à plusieurs fois par minutes, puis les transmettait à Google.

    Contacté par le journaliste, le géant californien a réagi en quelques heures. Selon Google, c’est le bouton, au sommet de l’enceinte, qui posait problème : il s’activait intempestivement. Ce bouton tactile permet d’ouvrir les micros sans prononcer « O.K. Google ». Google a immédiatement résolu le problème en désactivant ledit bouton sur toutes les enceintes en circulation, via une mise à jour distribuée automatiquement par Internet. Selon Google, le grand public ne sera pas concerné par ce dysfonctionnement, puisque l’enceinte n’est pas encore commercialisée. Elle sera disponible en France le 17 octobre.

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    Illustration des propos tenus à la conférence du CEW par Philippe Jourdan | Le sujet vous intéresse ?

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