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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 75

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    [CONSO LAB] [E-COMMERCE] | #Amazon va ouvrir un #bar #éphémère à #Tokyo | @LSA

    DE FRANCOIS DESCHAMPS | LSA | http://bit.ly/2ygjokS

    #Amazon va ouvrir un #bar #éphémère à #Tokyo

    L’e-commerçant poursuit ses tests dans le brick and mortar et va ouvrir pendant une courte période de 10 jours, un pop-up bar dans la ville de Tokyo au Japon. Il y servira des vins, de la bière, du saké ou encore du whisky.

    C’est une courte période même pour un concept éphémère. Pendant 10 jours à partir du 20 octobre prochain, le centre commercial de Chuo-ku situé dans le quartier huppé de Ginza à Tokyo - où se trouvent également des enseignes Louis Vuitton et Apple - , accueillera un bar aux couleurs d’Amazon. L’e-commerçant, qui a commencé à commercialiser de l’alcool sur sa plateforme japonaise en 2014, a prévu pour son pop-up bar, d’y vendre du vin, de la bière, des cocktails, du whisky ou encore du saké. Le bar ne devrait pas avoir de menu, mais des serveurs seront présents pour orienter les clients vers un choix de boisson, et selon le site dédié à la présentation du concept, les prix au verre seront compris entre environ 4 euros et 11 euros.

    Amazon, bar, éphémère, Tokyo

    Alors qu'Amazon a ouvert plusieurs librairies aux Etats-Unis, racheté Whole Foods pour près de 14 milliards de dollars, et teste un concept de marché alimentaire sans caisses ‘Amazon Go’ dans la ville de Seattle, c'est la première fois qu’il teste l’exploitation d’un bar. Un moyen, probablement, de promouvoir sa gamme de produits alcoolisés vendus sur son site marchand au Japon. Dans l'empire du soleil levant, l’e-commerce est dominé par le groupe Rakuten – propriétaire de PriceMinister en France. Le groupe est aussi à la tête de deux ‘Rakuten Café’ installés dans la capitale japonaise, au sein desquels il propose des boissons, des en-cas, tout en mettant en scène ses liseuses (Kobo).

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    [CONSO LAB] [MAGASIN] | Comment #Amazon Books dépoussière les #librairies | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2fUdyiK

    Comment #Amazon Books dépoussière les #librairies

    Lorsque Amazon se met à la distribution physique, c’est en adaptant les meilleures recettes du web. La preuve par l’exemple dans sa librairie de Seattle, que LSA a visitée.

    Beau challenge, ou sacrée ironie ? C’est en large partie Amazon, à ses débuts uniquement un site marchand de livres, qui a précipité le déclin des librairies physiques. Le livre est pourtant le premier produit pour lequel, vingt ans après son lancement, il a ouvert des magasins. Sauf que sous leur apparence très classique, entre bibliothèques en bois naturel et fauteuils confortables, les Amazon Books proposent une expérience inspirée d’internet où tout est pensé pour faciliter la découverte. Premier détail : tous les livres sont présentés de face plutôt que de profil, pour qu’il soit plus facile de « naviguer » parmi les couvertures, qui happent davantage le regard. On ne case en revanche que 5 000 titres dans le magasin, mais l’efficacité l’emporte sur la quantité. Tous sont notés au moins 4 étoiles sur 5 en ligne, et l’assortiment est établi à partir des ventes, des précommandes, des avis clients et des sujets de discussion sur les forums.

    Amazon Books, librairies

    Mais l’aspect le plus amusant réside dans les noms des différents rayonnages. Aux côtés des polars, des romans historiques et des manuels de cuisine, l’e-commerçant a créé de nouvelles catégories. Les highly rated, notés au minimum 4,8 étoiles sur 5. Les titres les plus ajoutés dans des wishlists par les internautes. Les 100 ouvrages à avoir lu dans sa vie. Les page turners, que les lecteurs sur Kindle ont dévorés en moins de trois jours. Est même reproduite la fonctionnalité phare du site : si vous avez aimé ceci, alors vous aimerez cela. À gauche, un ouvrage connu, susceptible de parler au visiteur. À droite, trois titres qu’Amazon va chercher plus loin dans son catalogue.

    Enfin, des tables disposées au centre du magasin présentent les devices maison : liseuses Kindle, tablettes Fire, haut-parleurs intelligents Echo et Echo Dot, une grande Fire TV… Sont également commercialisés des objets connectés que l’assistant vocal Alexa peut piloter (lampes Philips, thermostats Nest, etc.), ainsi que des écouteurs, câbles USB ou piles de la MDD du site, Amazon Basics. Car Amazon Books sert aussi de porte d’entrée à tout l’écosystème qu’a bâti la firme de Seattle autour des produits culturels, et qu’elle déploie aujourd’hui dans la maison connectée.

    Dernière étape, le passage en caisse. Pas de liquide, seuls sont acceptés les cartes bancaires et les paiements mobiles. Un écran tourné vers l’acheteur récapitule ses achats et les rabais obtenus s’il est abonné à Prime. Histoire d’enfoncer encore le clou, pour qu’il n’échappe à personne que le magasin est une véritable extension du site.

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    [CONSO LAB] [DISTRIBUTION] | #Bonduelle, plus #américain que français, vise une hausse de sa #rentabilité de 25% | @Les Echos

    DE MARIE-JOSEE COUGARD | LES ECHOS | http://bit.ly/2xgg2PI

    #Bonduelle, plus #américain que français, vise une hausse de sa #rentabilité de 25%

    Le groupe Bonduelle a réalisé cette année la plus grosse acquisition de son histoire avec Ready Pac Foods. Le producteur de légumes a passé le cap des 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires sur l’exercice 2016-2017. Les Etats-Unis représentent désormais deux fois l’activité française.

    La boîte de petit pois symbolisera encore longtemps Bonduelle. Pourtant la conserve est devenue minoritaire dans l'activité du groupe de Villeneuve d'Ascq (Nord) depuis qu'il a acquis en mars l'américain Ready Pac Foods, le roi de la salade en portion pour 409 millions de dollars. « Une étape clé dans l'ambition stratégique [de son plan] VegeGo! 2025 d'être le référent mondial qui assure le bien-vivre par l'alimentation végétale», a estimé Christophe Bonduelle, le patron du groupe en présentant les résultats de l'exercice 2016-2017, clos le 30 juin. Le chiffre d'affaires a progressé de 16,3%, à 2,28 milliards. Le résultat opérationnel a augmenté de 4,6% à 103,5 millions d'euros et le bénéfice de 11,4% à 59,8 millions d'euros.

    Christophe Bonduelle, le patron du groupe s'est félicité une nouvelle fois d'avoir fait «le bon choix » en réalisant l'acquisition de RPF. « Nous n'avons pas trouvé de cadavre dans les placards », a t-il lancé et qui plus est « la totalité des cadres de l'entreprise américaine a souhaité poursuivre avec Bonduelle ». 

    RPF et Bonduelle sont «très complémentaires : ils sont très forts aux Etats-Unis, nous le sommes au Canada. Nous produisons des marques de distributeurs (MDD). Ils produisent des marques nationales. Ils sont forts dans le commerce de détail. Nous le sommes dans la restauration hors domicile », commente Christophe Bonduelle. 

    Bonduelle, américaine, rentabilité

    Les produits frais pèsent désormais plus lourd (42%) dans le chiffre d'affaires que la conserve (38%) . Une révolution culturelle, qui se double d'un autre gros changement. La France ne compte plus que pour 21% de l'activité du groupe tricolore, tandis que l'Amérique du nord en totalise 45%, comme l'Europe. 

    Cela étant, Bonduelle compte tout autant sur ses activités historiques que sur la contribution en année pleine de Ready Pac Foods,pour dégager une croissance de sa rentabilité opérationnelle courante de 25% sur l'exercice en cours. Des perspectives  qui ne se sont pas, loin s'en faut, traduites dans le cours de bourse. Ce dernier a clôturé en baisse de 6% à la Bourse de Paris, réflétant notamment des prises de bénéfices après une forte hausse ces six derniers mois.   

     

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    [CONSO LAB] [LANCEMENT] | #Pull&Bear lance à son tour une ligne #beauté | @Fashion Network

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2ge4jXE 

    #Pull&Bear lance à son tour une ligne #beauté

    Après le lancement de Beauty by Bershka en début d’année 2017, c’est aujourd’hui une autre enseigne du groupe espagnol Inditex qui s’aventure sur le segment des cosmétiques. Pull&Bear dévoile "Hey Beauty !", une gamme comprenant maquillage et soins du visage et du corps.

    La marque urbaine lancée par le géant espagnol en 1991 cible les jeunes femmes avec des produits fabriqués en Espagne et en Italie, et affichés à des prix bas : 3,99 euros pour un vernis à ongles, 5,99 euros le rouge à lèvres ou la crème pour les mains, ou encore 14,99 euros pour l’eau de toilette. Une collection d’environ une quinzaine de produits (soit environ 75 références avec les multiples déclinaisons couleur et senteur) mise en scène dans une ambiance joyeuse et cosmopolite, immortalisée par le photographe mexicain Anairam.

    Pull&Bear, beauté

    L'offre "Hey Beauty !" est commercialisée en ligne et dans les magasins Pull&Bear (970 points de vente à travers le monde). En France, la chaîne a ouvert un premier flagship à Paris en mai dernier, rue de Rivoli. Arrivée en 2005 dans l’Hexagone, elle y exploite aujourd’hui une quarantaine de boutiques.

    Au sein du groupe Inditex, Oysho dispose aussi depuis peu de sa propre offre d’eaux de toilette, bougies et crèmes pour les mains, de même que Stradivarius, qui a repensé sa collection de cosmétiques il y a un an. A quand le tour de Zara, l’enseigne phare de la firme espagnole ?

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    [CONSO LAB] [DISTRIBUTION] | Quelle est cette mystérieuse #marque que #Leclerc s'apprête à lancer ? | @BFMTV

    DE FRÉDÉRIC BIANCHI | BFMTV | http://bit.ly/2g9Svp5

    Quelle est cette mystérieuse #marque que #Leclerc s'apprête à lancer ?

    Le patron des centres Leclerc a annoncé sur BFM Business que le groupement travaillait sur une gamme de produits de terroir baptisée "L'origine du goût".

    Faut-il voir un clin d'œil de l'amateur de peinture qu'est Michel-Édouard Leclerc au tableau L'Origine du Monde de Gustave Courbet? C'est en tout cas ce qui vient à l'esprit à l'évocation de L'Origine du goût, la marque que l'enseigne de distribution s'apprête à lancer. C'est sur BFM Business que le patron des centres Leclerc a révélé qu'une nouvelle marque était en préparation. Comme l'a précisé LSA, elle a été déposée dans la base de marques de l'INPI en 2016 ainsi que son logo.

    Comme on peut le voir sur la notice de l'INPI, elle couvrira potentiellement l'ensemble des produits alimentaires vendus en magasins, des viandes aux poissons en passant le café, le thé, les fruits et légumes, les boissons alcoolisées, les produits frais ou encore les truffes, le foie gras et le caviar. 

    Car L'Origine du Goût promet d'être une marque de produit de gamme, à défaut de "luxe", terme que réfute Michel-Édouard Leclerc. "Ce sera comme un grand cru agricole, assure le patron de l'enseigne. Une gamme à valeur ajoutée comme des produits avec moins de sucre, moins de sel et décrochés du cours des matières premières." Autrement dit des produits haut de gamme à plus forte marge. 

    marque, Leclerc

    Concrètement selon nos informations, ce sont 40 références réparties sur 12 segments (du frais à l'épicerie en passant par la charcuterie) qui seront lancées à partir de fin octobre dans 200 magasins Leclerc. Une deuxième vague de lancement de produits est aussi prévue au second semestre 2018. Il ne s'agira pas de plats préparés mais de produits bruts comme du jambon cru par exemple qui ont été sélectionnés avec les chefs de l'école de gastronomie française Ferrandi.

    Une stratégie que Leclerc présente comme un coup de pouce en direction du monde agricole qui réclame des produits d'achats plus élevés. Mais qui est aussi pour l'enseigne un important levier commercial. Car si Leclerc commercialise déjà depuis 1999 une MDD orienté sur le terroir "Nos Régions ont du talent", elle ne proposait pas de produits haut de gamme à sa marque.

    Un enjeu important tant en terme financier que d'image. Commercialement, d'abord parce que les produits premium permettent de dégager de meilleures marges. En terme d'image aussi, Leclerc veut ainsi se montrer proche du monde agricole alors qu'il est souvent pointé du doigt par cette filière. 

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    [CONSO LAB] [E-COMMERCE] | Non, #Amazon ne va pas #racheter tout le monde | @LSA

    DE FRANCOIS DESCHAMPS | LSA | http://bit.ly/2yqShor

    Non, #Amazon ne va pas #racheter tout le monde

    Depuis le rachat de la chaîne de magasins bios Whole Foods par Amazon, de nombreuses rumeurs alimentent l'idée selon laquelle le géant américain aurait des velléités de rachats sur un distributeur français. De Carrefour, en passant par Monoprix, jusqu'Intermarché, tous ou presque auraient été à un moment ou un autre dans le viseur d'Amazon.

    Affolement général ? A en croire de nombreux médias qui multiplient les articles en ce sens ces derniers temps, Amazon aurait l’intention de mettre la main sur un distributeur français dans un avenir plus ou moins proche. Depuis l’acquisition des magasins bios Whole Foods, et l’impact inattendu qu’a eu cette opération sur les valeurs boursières des retailers européens, les rumeurs de salle de marché enflent autour de l’hypothèse selon laquelle Amazon pourrait assouvir une sorte de gloutonnerie soudaine pour le retail physique français. En s’offrant pourquoi pas Carrefour, Intermarché, Système U et, allez, Monoprix !

    Experts et analystes de tous bords ont des positions contradictoires sur la question. Certains pensent que cela va arriver quand d’autres estiment qu’Amazon va d’abord devoir absorber Whole Foods avant de sortir de nouveau son carnet de chèque. Y a-t-il eu des discussions entre Amazon et des distributeurs français ? Assurément, car cela fait partie de leur travail… de discuter et de regarder d’autres business model potentiellement compatibles avec le leur. Amazon a-t-il réussi à en convaincre un (ou deux, ou trois) ? Visiblement pas. « Ils ont démarché tout le monde mais n’ont pas reçu de retours positifs », a ainsi déclaré un distributeur (anonyme) au journal Le Monde.

    Amazon, racheter

    Dernière rumeur en date, aussi relayée par le quotidien, la volonté du géant de l'e-commerce d'ouvrir une quinzaine de points de vente à Paris sur le modèle d'Amazon Go à Seattle. Avant de reprendre des emplacements dans les centres villes du monde entier, encore faut-il sans doute que ce concept de supermarché sans caisse fonctionne dans sa ville natale, puisque le concept est toujours en train d'être rodé auprès des salariés. Et les Londoniens qui, en février, avaient lus dans la presse une rumeur similaire... attendent toujours. Autrement dit, beaucoup de bruit pour, in fine, peu d’actions concrètes. On ne prête qu'aux riches ? Une chose est certaine, ces rumeurs servent encore et surtout Amazon qui profite ainsi d'une omniprésence médiatique. Et ce n’est pas ce dernier qui s’en plaindra.