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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 72

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    [#CONSOLAB] [LAUCHING] | #Jet.com Launches #Uniquely J to #Target #Millennials | @NWI.COM

    FROM DANNY VENA | NWI.COM | http://bit.ly/2gFbD1R

    #Jet.com Launches #Uniquely J to #Target #Millennials

    Jet.com, a division of Wal-Mart Stores, Inc. (NYSE: WMT), announced that it will debut new premium, private-label products on its website, beginning today. The merchandise, branded Uniquely J, will provide what the company calls "a new brand of everyday essentials." Jet.com, one of the fastest growing e-commerce companies in the U.S., will offer a "carefully curated" list of 50 items including coffee, cleaning products, laundry supplies, pantry goods, and food storage. This is all part of a larger strategy by the company to win over the hearts and minds -- as well as the wallets and purses -- of millennial shoppers.

    Uniquely J products are aimed squarely at Millennials.

    Jet.com, Uniquely J, Target, millennials

    The company focused on areas it believed to be of importance to millennials, such as plant-based ingredients in its cleaning products, BPA-free plastics for its food storage bags, and USDA Certified Organic and Fair Trade Certified beans for its coffee. Jet.com wants to eliminate the trade-offs, providing consumers with style and value without sacrificing quality.

    The company also paid particular attention to the look. The products feature "bold and beautiful packaging, specially designed by artists Jet.com partnered with from around the world." The website introduces the product line saying, "Meet your new favorite everything," and features product names with attitude, like Badass Espresso.

    These premium products are intended to appeal to millennials, who have become the largest shopping demographic in the world. According to Meredith Klein, Jet.com's director of public relations, "Uniquely J is yet another way Jet.com is innovating for the metro millennial. From the boldly designed packaging, to the fun, witty label copy and quality ingredients -- everything was designed with this metro consumer in mind."

    When Wal-Mart purchased Jet.com for $3.3 billion late last year, it raised more than a few eyebrows. The upstart e-commerce purveyor launched in mid-2015, promising the guaranteed lowest prices online on more than 10 million items, and was lauded early on as a potential competitor of Amazon.com (NASDAQ: AMZN). Jet.com also provided a variety of ways for shoppers to save even more, like switching from a credit to a debit card, or waiving their right to return items, each in exchange for additional discounts.
    Wal-Mart's new weapon in the fight against Amazon.com.

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    [RFM N°260] [EDITORIAL] | Le choix du sport à parrainer |@Sébastien Soulez

    Le dernier article de la RFM n°260, qui paraîtra fin octobre, est écrit par Sébastien Soulez sur :

    LE CHOIX DU SPORT A PARRAINER : UNE ETUDE D'ÉVÉNEMENTS 

    L’efficacité du parrainage sportif du point de vue marketing a fait l’objet de recherches nombreuses dont notre revue s’est au-demeurant fait l’écho récemment. Présence à l’esprit renforcée, image induite, valeurs partagées entre l’évènement sportif et la marque, etc. sont quelques-unes des retombées positives du parrainage sportif. Pour autant, les retombées financières du parrainage sportif ont été rarement approchées, et plus particulièrement s’agissant de l’impact sur le cours de bourse des actions d’un annonceur investissant dans un parrainage sportif. C’est précisément le sujet de l’article proposé par Sébastien Soulez, fort du constat que le sport est devenu aujourd’hui une véritable activité économique. Les auteurs reprennent la définition du parrainage de Derbaix et al. (1994), « la création ou le soutien par une organisation ou une marque d’une activité socio-culturellement indépendante d’elle-même en s’y associant médiatiquement en vue d’atteindre des objectifs de communication marketing ». En dehors toutefois des objectifs de communication, le parrainage sportif a pour but ultime comme toute action marketing d’augmenter les ventes et le bénéfice escompté, justifiant ainsi les coûts élevés associés à de telles stratégies.

    RFM, N°260, octobre

    Or comment réagissent les investisseurs à l’annonce d’un contrat de parrainage sportif ? L’investisseur est censé en permanence « ajuster » ses attentes en termes de flux de trésorerie dont l’évolution du cours de l’action est le reflet. L’auteur s’intéresse donc à l’influence du parrainage sportif sur le cours de bourse de l’action des parrains en fonction du sport parrainé. Les recherches déjà menées sur le sujet ont mobilisé le cadre conceptuel de l’impact des événements et ont mis en lumière des résultats parfois contradictoires, sans parvenir à distinguer quels sports produisent les effets positifs les plus élevés.

    D’un point de vue purement financier, les anticipations sur le cours de bourse sont uniquement déterminées par les espérances de gains futurs rapportés aux dépenses présentes : il n’y a donc pas de raison de penser que l’impact sur le cours de bourse soit dépendant d’un sport en particulier. L’auteur émet cependant l’hypothèse que la concentration des budgets de parrainage sur un seul sport plutôt que leur dilution est plus bénéfique à la marque ou à l’annonceur.

    Pour valider ses hypothèses, l’auteur reprend la méthodologie propre à l’étude de l’impact d’événements sur le cours de bourse. Il sélectionne pour cela le parrainage d’équipes, de fédérations ou d’événements sportifs entre 1998 et 2015. La base donnant l’évolution des cours de bourse aux dates correspondantes de l’annonce des actions de parrainage a été « dépolluée » de toutes les valeurs dont l’évolution peut s’expliquer par d’autres événements que le seul effet d’annonce étudié : 132 événements sont ainsi retenus soit environ la moitié de ceux initialement collectés.

    Au final, les résultats suivants sont rapportés. L’impact global des annonces de parrainage sportif sur le cours de bourse est faible et non significatif, mais qui devient toutefois positif dès lors que l’on retire le parrainage des Jeux Olympiques, répliquant en cela les résultats de recherches antérieures. L’hypothèse 1 qui postule l’effet différencié du parrainage sportif selon le sport concerné est validée : le rugby et la voile génèrent des rendements anormaux positifs tandis que le football et le cyclisme génèrent des rendements anormaux négatifs (le tennis ne générant aucun rendement anormal significatif). L’hypothèse 2 qui distingue l’effet positif attendu d’une stratégie de parrainage unique versus un effet négatif s’agissant d’une stratégie de parrainage multiple est partiellement validée : des rendements anomaux positifs sont bien observés en cas de parrainage unique ; en revanche, le parrainage multiple n’engendre pas de rendements anormaux négatifs significatifs.

     

    Cet article vous intéresse ? Il paraîtra intégralement dans la Revue Française du Marketing n°260 qui sortira fin octobre. 

    Vous n'êtes pas encore abonné, vous souhaitez adhérer à la Revue Française du Marketing et/ou vous souhaitez en savoir plus ? Contactez : adirection@panelontheweb.com

    Pour contacter l’auteur, Sébastien Soulé : sebastien.soulez@univ-lyon3.fr

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    [RFM N°260] [EDITORIAL] | Marketing et bien-être des consommateurs | @L.BOUJBEL & A.D'ASTOUS

    Le troisième article de la RFM n°260, qui paraîtra fin octobre, est écrit par Lilia Boujbel et Alain d’Astous sur :

    MARKETING ET BIEN-ETRE DES CONSOMMATEURS : UNE APPROCHE INTÉGRANT LES VALEURS DE LA SIMPLICITÉ VOLONTAIRE.

    Le bien-être est une des valeurs montantes au sein des sociétés développées : jamais les initiatives n’ont été aussi nombreuses pour augmenter le sentiment de quiétude, de satisfaction ou de bonheur. Dans cette quête du bien-être, le rôle joué par le marketing peut être perçu comme ambigu : pour ses promoteurs, le marketing participe de l’atteinte d’un état jugé meilleur ; en revanche, pour ses détracteurs, le marketing suscite des désirs perpétuellement insatisfaits et partant un mal-être permanent.

    Les auteurs soulignent à juste titre l’importance du sujet tant il conditionne la légitimité de notre discipline. Plutôt que de partir des seules activités marketing, les auteurs préconisent de se centrer sur les perceptions des consommateurs à leur égard. La problématique de recherche porte donc sur la relation entre les perceptions du marketing (négatives le plus souvent) par les consommateurs et l’évaluation de leur bien-être. Les auteurs émettent l’hypothèse que la relation entre le jugement porté sur le marketing et l’évaluation de son bien-être individuel est conditionnée par l’adoption de valeurs fondamentales, dont celles de la simplicité volontaire. Plus précisément, le jugement qu’une personne porte sur les activités marketing peut l’amener à rejeter les valeurs matérialistes de la consommation (adoptant ainsi un comportement de simplicité volontaire) et partant conditionne l’évaluation de son bien-être (et plus largement sur les voies d’accès au bonheur).

    marketing-brand-management.jpg

    Pour cela, les auteurs mettent l’accent sur le rejet de plus en plus marqué des valeurs consuméristes et matérialistes amenant à des comportements de résistance et de rébellion au marketing et à l’adoption d’une contre-culture de la consommation. Les citoyens pointent du doigt l’artifice du marketing, adoptent des stratégies d’évitement, dénoncent le cynisme des marques et au final s’insurgent contre l’intention manipulatoire du marketing. La littérature s’accorde sur un constat : si ces attitudes sont d’intensité variable, elles participent toutes d’une construction identitaire de l’adoptant. Cette construction identitaire peut précisément passer par l’adoption d’un comportement de simplicité volontaire (diminution de la consommation, responsabilisation écologique, autosuffisance, etc.). Or il apparaît que les adeptes de la simplicité volontaire établissent un lien entre leur posture et la recherche du bonheur, fondé sur l’idée que la richesse nuit au-delà d’un certain seuil (pauvreté) au bien-être individuel (dans son évaluation subjective). Fort de ce constat, les auteurs établissent un modèle conceptuel de leur recherche dont ils proposent la validation à partir de deux études conduites l’une au Canda, l’autre en Belgique auprès de consommateurs engagés dans une démarche de simplicité volontaire.

    Cet article vous intéresse ? Il paraîtra intégralement dans la Revue Française du Marketing n°260 qui sortira fin octobre. 

    Vous n'êtes pas encore abonné, vous souhaitez adhérer à la Revue Française du Marketing et/ou vous souhaitez en savoir plus ? Contactez : adirection@panelontheweb.com

    Pour contacter les auteurs, Lilia Boujbel : lilia.boujbel@hec.ca ; Alain d’Astous : alain.dastous@hec.ca

     

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    [#CONSOLAB] [C TO C] | #Merci #Voisin, le nouveau #service de #livraison #collaborative de #Carrefour | @LINEAIRE

    DE B. MERLAUD | LINEAIRE | http://bit.ly/2hOWyr6

    #Merci #Voisin, le nouveau #service de #livraison #collaborative de #Carrefour

    Carrefour va lancer sa propre plate-forme de livraison collaborative. Le distributeur cherche à constituer une communauté de clients sur une application dédiée, Merci Voisin, qui pourront livrer ou se faire livrer leurs courses en drive. Une info Linéaires.

    La livraison sera rémunérée par une petite indemnité. Les livreurs seront notés à chaque prestation pour consolider leur réputation.

    De nombreuses plates-formes de livraison collaborative ont vu le jour ces dernières années. Certaines ont noué des partenariats plus ou moins poussés avec des enseignes, qui y voient une façon (gratuite) de proposer de la livraison à domicile en drive. Mais de tels dispositifs collaboratifs doivent surmonter deux écueils, de taille. D'abord, la richesse de la communauté construite. Il faut en effet un sacré nombre de membres inscrits pour qu'un client puisse espérer trouver quelqu'un susceptible de passer dans son quartier pour le livrer au jour et à l'heure qui l'intéressent. La crédibilité de la plate-forme, ensuite, doit être extrêmement solide pour qu'un client, qui vient de régler en ligne un gros plein de courses, transmette les références de sa commande à un inconnu.

    En choisissant une solution en propre, Carrefour estime visiblement pouvoir atteindre ces deux objectifs. La marque Merci Voisin lui appartient et, si le distributeur fait bien comprendre au client qu'il reste dans un environnement Carrefour, la confiance sera facile à établir. Les drives Carrefour et les magasins, ensuite, ne se priveront pas de communiquer largement autour du service, ce qui pourrait permettre de faire monter en puissance la communauté de clients assez rapidement.

    Merci Voisin, service, livraison, collaborative, Carrefour

    Début 2017, Carrefour a déjà expérimenté en Belgique ce principe de livraison collaborative en s'appuyant sur une application lancée par bpost, l'équivalent national de La Poste. 

    Aux États-Unis, Walmart teste pour sa part, depuis juin dernier, une mécanique de livraison collaborative proposée… aux salariés des magasins. À la fin de leur journée de travail, moyennant une prime, les employés volontaires sont invités à emporter avec eux des colis qu'ils vont livrer sur leur chemin de retour !

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    [#RFM N°260] [EDITORIAL] | Effets de la congruence et de l'incongruence entre la célébrité et la marque en publicité |

    Le second article de la RFM n°260, qui paraîtra fin octobre, est écrit par Bertrand Sogbossi Bocco et Abdou Kadiri Imorou sur : 

    "ANALYSE COMPARATIVE DES EFFETS DE LA CONGRUENCE ET DE L’INCONGRUENCE ENTRE LA CÉLÉBRITÉ ET LA MARQUE EN PUBLICITÉ : RÔLE MODÉRATEUR DE LA CONNAISSANCE EVALUEE DE LA MARQUE"

    Le thème de la congruence entre le personnage et la marque dans le discours publicitaire ne forme pas en soi un sujet novateur. Les annonceurs ont depuis longtemps mobilisé des célébrités congruentes avec la marque pour faciliter le transfert de qualités telles que l’attrait physique, la sympathie, la personnalité, les valeurs, etc. A cet égard la congruence a été identifiée comme une variable modératrice des associations ainsi transférées. Pour autant, une certaine forme d’incongruence peut aussi se révéler une stratégie payante dès lors qu’elle suscite un regain d’attention, d’interrogation et au final d’intérêt. Au final, les chercheurs s’interrogent sur la meilleure stratégie, celle qui repose sur une congruence totale ou bien celle qui recourt à une incongruence modérée et introduisent le rôle modérateur de la connaissance de la marque évaluée dans le jugement porté sur la qualité du produit.

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    Les auteurs reprennent ici une définition classique de la qualité d’une offre définie comme « l’ensemble des propriétés et des caractéristiques d’un produit ou d’un service qui lui confèrent l’aptitude à satisfaire des besoins ». Ils reprennent les effets positifs attendus de la congruence entre une célébrité et une marque sur l’attitude, l’image, l’intention d’achat, l’évaluation du message publicitaire et la mémorisation et la crédibilité de la célébrité. Ils soulignent enfin que l’incongruence modérée peut également avoir un impact positif car elle accroît l’attention et l’intérêt du public pour la publicité, l’incitant à s’engager dans un traitement cognitif plus élaboré de l’annonce. Enfin, ils rappellent que la connaissance d’une marque s’appréhende selon cinq approches : la mesure de la familiarité, du nombre d’associations stockées en mémoire, de la connaissance déclarée, de la connaissance objective et des mesures mixtes.

    Les auteurs émettent alors une série d’hypothèses sur le rôle modérateur positif de la connaissance de la marque sur la congruence (mesurée par les dimensions sous-jacentes de pertinence et d’adéquation aux attentes) entre la célébrité et la qualité perçue de la marque. Pour tester la validité de leurs hypothèses, ils recourent à un plan d’expérience en manipulant deux annonces publicitaires connues et non connues auprès de consommateurs ayant une faible ou bonne connaissance des marques évaluées. 

    Cet article vous intéresse ? Il paraîtra intégralement dans la Revue Française du Marketing n°260 qui sortira fin octobre. 

    Vous n'êtes pas encore abonné, vous souhaitez adhérer à la Revue Française du Marketing et/ou vous souhaitez en savoir plus ? Contactez : adirection@panelontheweb.com

    Pour contacter les auteurs, Bertrand Sogbossi Bocco : bertrandbocco@gmail.com; Abdou Kadiri Imorou : ima02ka@gmail.com

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    [#CONSOLAB] [LANCEMENT] | #Zalando va se lancer dans la #vente de #cosmétiques |@LE FIGARO

    DE LE FIGARO.FR AVEC AFP | LE FIGARO | http://bit.ly/2ipf6SL

    #Zalando va se lancer dans la #vente de #cosmétiques

    Le poids lourd européen du prêt-à-porter en ligne Zalando a annoncé mercredi vouloir s'essayer d'ici au printemps 2018 à la vente de cosmétiques sur internet, un segment qu'il juge encore peu exploité. L'entreprise de mode en ligne, née à Berlin en 2008 et désormais active dans 15 pays d'Europe, compte proposer maquillage, crèmes de soin, parfum et accessoires sur son site d'ici au printemps. Comme pour son expansion dans la mode, Zalando débutera par l'Allemagne, son marché national.

    zalando,vente,cosmétiques

    En cas de succès, le groupe visera dans un second temps d'autres pays, à commencer par la France, la Belgique, le Luxembourg, les Pays-Bas et l'Autriche, a indiqué M. Ritter dans un entretien à l'AFP. Pour Zalando, le segment des cosmétiques constitue une opportunité alors que "l'offre de produits de beauté en ligne est encore très restreinte", a-t-il expliqué. Le marché mondial des cosmétiques, qui pèse 80 milliards d'euros, est certes plus petit que celui des vêtements et chaussures (400 milliards d'euros) sur lequel Zalando s'est fait une place, mais présente un grand potentiel pour les acteurs du commerce en ligne, selon M. Ritter.

    A terme, Zalando espère générer "des centaines de millions d'euros" grâce aux cosmétiques, affirme le dirigeant. Si elle est couronnée de succès, cette stratégie aidera l'entreprise à atteindre son objectif de doubler son chiffre d'affaires d'ici à 2020 par rapport aux 3,6 milliards de recettes de 2016. Comme le montrent les résultats préliminaires pour le troisième trimestre dévoilés mercredi par Zalando, le groupe berlinois enregistre une forte croissance de ses ventes. Entre juillet et septembre, période marquée par le soldes d'été, son chiffre d'affaires devrait avoir crû de 27,5% à 29,5% sur un an pour dépasser le milliard d'euros. Sur cette période, sa rentabilité est en revanche en berne : sa marge opérationnelle ajustée est attendue proche de zéro.