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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 79

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    [CONSO LAB] [WEBSITE] | #Starbucks Closing #Online Store To Focus On #Mobile Technology | @Forbes

    FROM RONALD HOLDEN | FROBES | http://bit.ly/2y92EcT

    #Starbucks Closing #Online Store To Focus On #Mobile Technology

    Starbucks, the global coffee giant, announced last month that it would close all 379 of its stand-alone Teavana stores. Now it is closing down its online store as well.

    The company's rationale for the move was covered in posts on Geekwire and on Business Insider. There was no public announcement from the Starbucks itself, other than a big "Sale" logo on the company website. The company will focus on its mobile ordering platform instead.

    Starbucks, Online, Mobile

    What does that mean? After October 1st, you will no longer be able to order beans, pods, aprons or mugs online. The Starbucks-branded products will still be available through a network of retail partners, including grocery stores and even Amazon.com. But it's clear, company officials said, that the retail environment is changing.

     

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    [CONSO LAB] [DIGITAL] | #Facebook et #Amazon se lancent dans le #prospectus augmenté | @LSA

    FROM JULIE DELVALEE | LSA | http://bit.ly/2wYtRkW

    #Facebook et #Amazon se lancent dans le #prospectus augmenté

    Facebook vient de lancer un « lifestyle templates » sorte de catalogue en ligne. Amazon, de son côté, propose depuis cet été à ses abonnés Amazon Prime un réseau social sur lequel les internautes se mettent en scène avec des produits achetés sur le site. A chaque fois, l'achat est facilité en partant du visuel. Le début d’une nouvelle ère pour le prospectus ? 

    Quand le digital copie et adapte les bonnes recettes marketing des magasins physiques. Deux mastodontes des GAFA se lancent dans l’aventure du prospectus digital, chacun à leur façon. Dernier en date, Facebook a annoncé cette semaine dans la presse américaine l’arrivée d’un nouvel outil à la disposition de ses millions de membres, baptisé « Lifestyle templates »(Traduire : des modèles de style de vie). Le format s’inspire très largement de l'apparence d'un catalogue papier, relate Business Insider. Avec un avantage supplémentaire non négligeable : les internautes clients peuvent acheter directement à partir de ce prospectus en cliquant sur l’objet convoité. "Il y a des éléments que nous apportons à l'expérience qui est vraiment spécifique au mobile et à Facebook", rapporte Graham Mudd, directeur du marketing de monétisation chez Facebook, à Business Insider.

    Si cet outil a été très remarqué, le site de Zuckerberg n’est pourtant pas le premier à adapter le catalogue au numérique. Cet été, Amazon a lancé Amazon Spark, sorte d’Instagram où les membres d’Amazon Prime peuvent se prendre en photo avec des produits achetés sur le site. Les autres abonnés peuvent liker, commenter le produit et même cliquer dessus…. Pour se rendre sur la fiche produit. Une nouvelle façon de susciter l’achat en ligne, en partant là aussi d'un visuel mis en scène.

    Amazon, Facebook, prospectus

    En France, Bonial s’essaie déjà sur ce créneau. La filiale du groupe Axel Springer, leader en France, propose des prospectus digitaux et poussent les promotions les plus pertinentes selon les habitudes d’achat de ses abonnés. Dans une étude récemment menée pour mesurer la performance de son service, Bonial a assuré que les grandes surfaces alimentaires bénéficient de + 60 % de trafic supplémentaire grâce aux lecteurs de catalogues digitaux ; le discount alimentaire recueille quant à lui un passage en magasins supérieur de 53 %. Mais pourquoi copier le modèle du prospectus ?

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    [CONSO LAB] [DISTRIBUTION] | #Lidl France monte en gamme avec le #voyage sur #Internet | @Challenges

    FROM CHALLENGES | http://bit.ly/2wrrovf

    #Lidl France monte en gamme avec le #voyage sur #Internet

    Après la collection de mode, une activité de voyages sur Internet. Lidl France poursuit sa stratégie de montée en gamme.

    Le distributeur Lidl France étend ses activités au secteur du tourisme, en lançant une plateforme de réservation de voyages sur internet, avec l'intention de devenir "très vite" rentable dans ce domaine. Cinq ans après sa sortie du hard-discount, la filiale française du géant allemand de la distribution voulait "ajouter une nouvelle corde à son arc", illustrant sa volonté de "monter en gamme et de devenir un supermarché comme un autre", a expliqué Michel Biero, l'un des dirigeants du groupe en France lors d'une conférence de presse mardi soir. Une annonce qui intervient alors que Lidl lance par ailleurs une collection de mode, mise en vente à partir du 18 septembre.

    Lidl, Voyage, Internet

    Lidl n'est en effet pas le premier distributeur français à vendre des voyages: Carrefour, Auchan et Leclerc disposent également d'une activité de vente de séjours et circuits touristiques depuis plusieurs années. Casino et Cora ont en revanche fini par abandonner ce secteur, faute d'avoir pu en dégager une rentabilité suffisante.

    Sans dévoiler ses objectifs chiffrés, M. Biero "espère que cette activité devienne rentable très vite". Pour cela, Lidl France compte notamment s'appuyer sur l'expertise de sa maison-mère, qui gère déjà "avec succès" des activités voyages dans plusieurs autres pays d'Europe (Allemagne, Autriche, Suisse, Italie, Pays-Bas...) depuis une dizaine d'années.

    L'offre Lidl France portera sur des séjours en France et à l'étranger, des circuits, des croisières, ou encore des offres de thalassothérapie ou sur les parcs d'attraction. Une centaine de destinations seront proposées en partenariat avec des tour-opérateurs connus (MSC pour les croisières, Top of Travel pour les séjours...).

    Notre objectif n'est "pas forcément de casser les prix, mais de "proposer des offres au meilleur rapport qualité/prix et au plus proche des attentes du marché français", a expliqué le dirigeant français. La spécificité résidera en revanche dans la mise en place d'offres éphémères "défiant toute concurrence" chaque semaine, à l'image d'un site de ventes-privées ou de ce que Lidl a déjà instauré sur certains produits non-alimentaires. Ces offres seront proposées à des prix de 30% à 50% inférieurs aux tarifs habituels.

    Autre différence par rapport aux autres distributeurs: l'activité voyages de Lidl France sera "100% digitale", pour répondre aux nouvelles habitudes de consommation, qui voient la réservation de séjours en ligne prendre une importance croissante. A l'exception de la boutique prestige sur les Foires aux vins, "il s'agit de nos premiers véritables pas sur le e-commerce" en France, a tenu à souligner M. Biero.

     

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    [CONSO LAB] [DISTRIBUTION] | #Ikea passe au mode#collaboratif | @LesEchos

    FROM VALERIE LEBOUCQ | LES ECHOS | http://bit.ly/2wrutLF

    #Ikea passe au mode#collaboratif

    Pour mieux coller aux attentes de ses clients, le leader mondial du meuble s’ouvre à la cocréation et à l’exploration de nouveaux territoires, comme la fête et la musique.

    Un millier de cintres « détournés » de leurs usage initial par le studio Apax pour en faire consoles et paravents. Du mobilier transformé en bolides en chambre par Désormeaux et Carette pour accompagner les jeux vidéo... La Design Week fournit une occasion rêvée à Ikea, le leader mondial du meuble, pour démontrer sa capacité de renouvellement et mieux coller aux attentes des consommateurs. Le champion du design démocratique, qui concevait de A jusqu'à Z ses produits dans sa forteresse d'Almhult, a décidé de s'ouvrir en faisant, plus qu'avant, appel aux talents extérieurs. Collaboration avec des designers de renom - comme le britannique Tom Dixon qui a signé un canapé multifonctions - partenariat avec d'autres éditeurs de mobilier, inspirations recherchées du côté des « hackers »... Le tout sans hausse de prix puisque la sortie du catalogue 2018 s'accompagne, comme il se doit, de nombreuses promotions de rentrée.

    « Nous avons toujours été ouverts aux idées des autres et à la manière dont les clients vivaient avec les meubles Ikea. Ce qui change c'est que nous voulons le faire savoir de manière plus systématique », explique aux « Echos » Marcus Engman, « directeur artistique » du géant suédois. A la tête d'une équipe de vingt designers « maison » et de six staggiaires recrutés chaque année dans les meilleures écoles de design, il coordonne le travail d'une centaine de « contractuels » recrutés sur des projets précis.

    « Nous voulons être plus que juste Ikea », insiste Marcus Engman. C'est tout le sens du travail réalisé avec Hay, un petit éditeur de mobilier danois, donc haut de gamme, choisi pour sa capacité à « renouveler le style du design scandinave sans en trahir l'esprit ». Trois ans de travail pour aboutir à Ypperlig, une nouvelle ligne d'une quarantaine de pièces basiques, chaises, tables, canapés, rangements, fidèles à l'esthétique « scandi », allure spartiate, matériaux simples, bois, résines, le tout dans une palette assourdie de couleurs (vert sapin, gris, ciel...) aussi adaptées à l'intérieur qu'au jardin. 

    Ikea, collaboratif

    Après le mobilier, la déco et la cuisine, Ikea est prêt à ajouter des cordes à son arc. Comme le parfum pour la maison. Un sujet sur lequel Marcus Engman travaille avec le fondateur de Byredo, une marque emblématique de la nouvelle parfumerie de niche aujourd'hui dans le giron de Dyptique . La musique aussi inspire Ikea. Celle que l'on écoute à la maison et celle des festivals d'été, vrais moments de communion de groupe.

    « Make it yours », c'est la nouvelle devise d'Ikea qui encourage ses clients à « faire sien » ses meubles en les personnalisant ou en les détournant de leur usage. Plusieurs manières de s'y prendre. Classique avec Bem's, un fabricant suédois de housses de canapés adaptées aux modèles Ikea. On transforme son salon sans casser sa tirelire et en respectant l'environnement.

    Son objectif ? La mise en place d'un système « open source » où chacun, clients et/ou designers serait invité à apporter sa contribution.

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    [CONSO LAB] [GD] | L’#hyper-marché est mort, vive l’#hyper-client | @Le Nouvel Economiste

    FROM EDOUARD LAUGIER | LE NOUVEL ECONOMISTE | http://bit.ly/2x0tPs4

    L’#hyper-marché est mort, vive l’#hyper-client

    “Sévère contre-performance”, voilà comment ont été qualifiés les résultats financiers des deux géants tricolores de la grande distribution publiés il y a quelques jours. Baisse des ventes, perspectives de croissance incertaine, le secteur des très grands épiciers connaît une rentrée difficile. Auchan et Carrefour, puisque ce sont d’eux qu’il s’agit, souffrent de grandes et petites transformations qui mettent à mal leur modèle de temple de la consommation. Cela ne les consolera pas, mais ils ne sont pas les seuls. Outre-Atlantique, le retournement est d’une extrême puissance et brutalité. En 10 ans, le chiffre d’affaires de grands magasins aux États-Unis a globalement chuté de 31 % passant de 87 à 60 milliards de dollars. Sur la même période, le commerce a pourtant augmenté de 17 %. Paradoxal ? Pas tant que ça. Les acteurs historiques de la distribution peinent juste à suivre le rythme des nouvelles aspirations de consommation des clients. Dans l’œil du cyclone, les hypermarchés jouent leur avenir. Ébranlées mais loin d’être condamnées, ces très grandes surfaces devront certainement se réinventer pour ne pas disparaître.

    Commerce électronique, drive, vente directe, supérettes de proximité, vente en gros, magasin vitrine ou encore boutique éphémère, rarement le marché de la distribution aura affiché un visage aussi diversifié. La réinvention du point de vente et de l’acte d’achat est en marche, de nouveaux concepts de magasins fleurissent à travers le monde. Certains ne sont plus de simples lieux de vente mais ambitionnent même de devenir des lieux d’expériences. Évidemment, Internet n’est pas étranger à la multiplication de ces nouvelles propositions commerciales. Aux États-Unis, où le e-commerce est encore plus avancé, l’évolution est plus palpable encore. La fréquentation des centres commerciaux a diminué de 60 % en 10 ans. Selon le Crédit Suisse, plus de 8 500 points de vente pourraient baisser le rideau cette année. Du jamais vu. Année après année, la vente en ligne gagne du terrain. Selon eMarketer, le chiffre d’affaires mondial du e-commerce BtoC s’est élevé à près de 2 000 milliards de dollars en 2016, en hausse de 24 % par rapport à 2015. S’il représente encore moins de 9 % du total des ventes de détail dans le monde, il n’a pas fini de grandir. L’institut anticipe plus de 4 000 milliards de dollars de ventes en 2020 grâce à Internet.

    hyper-marché, hyper-client

    Pour Gontran Thüring, délégué général du Conseil national des centres commerciaux, “c’est le signe de la convergence entre la vente physique et électronique. Le magasin de demain devra être ‘phygical’, autrement dit omnicanal”. La partition est écrite, reste l’interprétation. Les géants traditionnels de la grande distribution multiplient par exemple des solutions de “drive” qui permettent l’enlèvement en entrepôt de courses réalisées en ligne. Une réussite. Pour l’instant, car l’orage menace : les géants du e-commerce s’intéressant eux aussi de plus en plus au click and mortar. Les pure players de l’Internet, comme Amazon ou Alibaba, se verraient bien remplacer les acteurs de la grande distribution. “Si Amazon rachète Whole Foods, ce n'est pas pour avoir des magasins mais des centaines de nouveaux points de retrait et entrepôts. Amazon est un e-tailer avec une superbe mécanique logistique qui a besoin de lieux physiques pour stocker les produits qu'ils vendent sur le Net et que le client pourra retirer facilement”, prévient Jean-Marc Liduena, senior partner en charge du Consumer & Industrial Products chez Deloitte France.

    Toutes ces évolutions ont un déclencheur : le nouveau statut d’un consommateur passé d’une simple place en éco à une classe business-affaire en l’espace d’une dizaine d’années. “Le client veut tout, tout de suite. C’est le concept ‘Atawad’ – Anytime, anywhere, any device – autrement dit consommer n’importe quand, n’importe où et depuis n’importe quel terminal”, observe Gontran Thüring. L’enjeu des enseignes est ainsi d’offrir cet éventail de possibilités aux clients dont les attentes montent en gamme. “Nos sociétés ont basculé dans une ère post-moderne. Côté produit, la demande se déplace vers la qualité, la nutrition et le plaisir, comme en témoigne le succès du bio. Dans leur consommation, les individus mettent en avant des notions de relations, d’émotions, d’expériences”, note Cédric Ducrocq, Pdg du Groupe de conseils Dia-Mart.

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    [CONSO LAB][E-DISTRIBUTION] | #Amazon perd l'exclusivité de son #innovation la plus importante | @BFMTV

    FROM FREDERIC BIANCHI | BFM BUSINESS | http://bit.ly/2vRrqgq

    #Amazon perd l'exclusivité de son #innovation la plus importante : l'achat en un clic

    Déposé en 1997, le brevet d'achat en un clic d'Amazon n'a l'air de rien mais il pourrait expliquer une bonne partie du succès de la société ces vingt dernières années. À compter de ce mardi, tous les sites pourront l'utiliser gratuitement.

    Quelle est la plus grande innovation d'Amazon ? La liseuse Kindle ? La place de marché? L'abonnement Prime ? La livraison le jour même ? Les entrepôts ultra-modernes ? Rien de tout cela vous répondront la plupart des spécialistes du secteur du e-commerce. Son innovation la plus majeure est l'achat en un clic.

    En 1997, Amazon n'est qu'une toute petite librairie en ligne qui n'a que deux ans d'existence mais les ambitions de son patron n'en sont pas moins colossales. Il veut devenir le plus gros commerçant de la planète, rien que ça. Jeff Bezos comprend très vite que pour y parvenir, il devra jouer sur les trois leviers que sont le choix, le prix et surtout les services. Et pour Amazon ce sont ces derniers qui feront la différence avec les concurrents. Tout faire pour simplifier la vie du client, voilà le credo d'Amazon. D'ailleurs Jeff Bezos le résumait en 2013 dans une interview à la Harvard Business Review: "Nous ne gagnons pas d’argent lorsque nous vendons des livres. Nous gagnons de l’argent lorsque nous aidons nos clients à prendre des décisions d’achat".

    Dès 1997, le patron d'Amazon pressent qu'il doit permettre aux clients d'acheter plus simplement et rapidement leurs produits. A l'époque, le processus d'achat sur le web était long. Il fallait s'enregistrer à chaque commande, entrer son nom, adresse, son numéro de carte bancaire voire envoyer un chèque. Amazon a l'idée simple de permettre à ses clients d'enregistrer toutes ces informations une fois pour toute et d'acheter sur Amazon en un clic. C'est à ce moment-là donc qu'apparaît le bouton "acheter en 1-Click" sur le site marchand.

     

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    Un service qui paraît banal aujourd'hui tant il est répandu, mais qui ne l'était pas à l'époque. A tel point point qu'Amazon se met en tête de le breveter. Et le plus surprenant c'est que l'office américain des brevets (lUSPTO) ne rejette pas son dépôt. Il lui accorde sans broncher le précieux brevet. Cette protection légale, Amazon en usera chaque fois que ses concurrents tenteront de l'imiter. En 1999, par exemple, le libraire Barnes&Nobles lance un système similaire d'achat en un clic. Amazon l'attaque illico et l'enseigne fait machine arrière. Un an plus tard, Apple qui veut introduire ce type de service sur son site de vente en ligne ainsi que sur iTunes, ne biaise pas. Il se résout à payer une redevance à Amazon.

    En revanche, l'office des brevets en Europe (OEB) a toujours refusé d'accorder à Amazon un quelconque droit de propriété sur cette idée. "Le Conseil ne considère pas que l'idée de réduire le nombre de mesures nécessaires pour passer une commande constitue une invention", assurait l'OEB dans une décision de 2001 réitérée en 2011. 

    Cette querelle juridique prend donc fin ce mardi 12 septembre. Car le brevet du "1-Click" d'Amazon tombe ce jour dans le domaine public. N'importe quel site de vente pourra désormais laisser ses clients enregistrer leurs coordonnées personnelles et bancaires et payer ensuite tous ses achats en un clic. Evidemment, cette possibilité ne va pas rabattre les cartes dans le e-commerce. Amazon a une telle avance qu'il paraît pour l'heure irrattrapable. 

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