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    [#CONSOLAB] [TECHNOLOGIE] | #Samsung #Pay débarque en #France avant l'été | @LSA

    DE MAGALI PICARD | LSA | http://bit.ly/2oVMroE

    #Samsung #Pay débarque en #France avant l'été

    Disponible en Corée du sud et aux Etats-Unis depuis trois ans, le système de paiement avec son smartphone arrive enfin en France, avant cet été. Les cartes de fidélité de 500 enseignes y sont associées.

    Quoi de plus simple que de payer directement ses achats avec son smartphone? Encore faudra-t-il être client des deux banques qui ont signé un accord avec Samsung. Il s'agit des Caisses d'épargne et de la Banque Populaire."Le service sera étendu à d'autres partenaires au cours du deuxième semestre 2018", promet le fabricant coréen dans un communiqué. Samsung a restreint le service à ses modèles Galaxy S7, S8 et S9, ainsi que le Note 8 et le A8. Au total, 4 millions d'appareils peuvent adopter le système.

    500 enseignes

    Mais à la différence d'Apple Pay, introduit en France en 2016 avec les mêmes banques auxquelles s'ajoute la Société générale, Samsung va au-delà. Les cartes de fidélité de 500 enseignes, dont le nom n'a pas encore été dévoilé, seront intégrées à la solution de paiement. Ce qui en fait un véritable portefeuille virtuel et un enjeu de fidélisation. Des bons de réduction pourront être apportés par exemple, à une clientèle friande de ce moyen de paiement plus facile, les fameux "millenials". Seul bémol, le taux d'équipement des terminaux sans contact, utilisés avec les cartes bancaires, atteint à peine 50% du parc total.
     

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Monoprix ne craint pas l'#arrivée de #Leclerc à #Paris | @LESECHOS

    DE PHILIPPE BERTRAND | LES ECHOS | http://bit.ly/2tvjlRM

    #Monoprix ne craint pas l'#arrivée de #Leclerc à #Paris

    Grâce à la technologie Ocado, l'enseigne de centre-ville va considérablement abaisser le coût de la préparation de ses colis.

    Michel-Edouard Leclerc a promis d'attaquer Paris avec la livraison à domicile. Son groupe coopératif, peu présent intra-muros, attaquera la capitale avec « les prix les plus bas du marché » grâce à deux plateformes de préparation de colis installées au nord et au sud de la ville. Une menace pour Monoprix et Franprix, les deux enseignes les plus rentables du groupe Casino en France.

    Jean-Charles Naouri a minimisé le danger lors de la présentation des résultats du distributeur ce jeudi. « Leclerc a annoncé réaliser 170 millions d'euros de chiffre d'affaires dans les trois ans. Sur un marché de 7 milliards, cela aura un impact limité à 1 % du chiffre d'affaires de Monoprix et Franprix », a estimé le PDG... « si tant est que Monoprix et Franprix ne répondent pas à cette offensive ».

    Le propriétaire de Casino explique sa sérénité par le fait qu'en banlieue parisienne, Franprix et Monoprix se trouvent partout en concurrence directe avec des magasins Leclerc. « Les magasins vivent très bien », malgré des différences de politique tarifaire.

    C'est le J + 1 qui compt

    Jean-Charles Naouri mise surtout sur  l'accord que Monoprix vient de signer avec Ocado , le « pure player » alimentaire anglais. L'enseigne de centre-ville va utiliser en France la « Ocado Smart Platform » dans un entrepôt qui desservira d'abord Paris, puis l'Ile-de-France, la Normandie et les Hauts-de-France.

    Le patron du groupe Casino a expliqué devant les analystes et les journalistes que cette technologie permettrait de préparer les colis - en vue d'une livraison à domicile comme des drives- à un coût 10 % inférieur à celui des meilleurs standards du marché. « L'entrepôt actuel de Monorpix à Gennevilliers perd de l'argent. Nous n'avons donc pas intérêt à pousser la livraison. Demain, l'activité sera rentable, il sera donc rentable de la développer ». L'entrepôt pourrait ouvrir dès le second semestre 2019.

    Sans citer Amazon, le dirigeant affirme également qu'en matière de livraison à domicile, c'est le J + 1 qui compte, le marché de la livraison des grosses courses. Pour la livraison le jour même, que le géant américain met en avant, Casino estime que le modèle rentable est celui de la délivrance au départ des magasins. A Paris, le groupe possède un maillage inégalable en points de vente de proximité.

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    [#CONSOLAB] [TEXTILE] | #Cache #Cache change de #nom pour #conquérir le coeur des #Chinoises | @ECOMMERCEMAG.FR

    DE CLEMENT FAGES | ECOMMERCE MAG.FR | http://bit.ly/2p2iTVB

    #Cache #Cache change de #nom pour #conquérir le coeur des #Chinoises

    Pour la journée de la femme, Cache Cache dévoile une nouvelle traduction de son nom en Chine, Kaiqi Kaixi, qui renvoie au shopping entre amies. De quoi renforcer la position de l'enseigne dans le pays, laquelle revendique toucher 200 millions de personnes sur ces différents points de contact.

    À l'occasion de la journée mondiale de la femme ce 8 mars, l'enseigne Cache Cache (groupe Beaumanoir) se renomme en Kaiqi Kaixi pour rendre hommage à ses clientes et à la relation privilégiée que la marque essaye de bâtir avec les femmes chinoises depuis son installation dans le pays en 2005. "Kaiqi Kaixi renvoie à l'idée de "deux femmes qui font du shopping", une pratique très courante chez les amies chinoises. Nous utilisions depuis notre arrivée dans le pays une traduction littérale du nom de la marque, comme il est d'usage en Chine, mais sans l'exploiter totalement. Ici, nous réalisons pour la journée de la femme une véritable opération de branding qui insiste sur notre positionnement franco-chinois", explique Romain Millet, directeur général Chine du groupe Beaumanoir.

    Le groupe a lancé sa marque Cache Cache dans l'Empire du milieu en 2005, après une visite du fondateur Roland Beaumanoir: "Il a tout de suite vu le potentiel de ce marché pour une marque textile qui se positionnerait auprès des jeunes femmes de 15 à 25 ans, des étudiantes des classes moyennes qui sont innombrables en Chine. Ce positionnement est la première clef de notre succès la-bas, le deuxième étant l'adaptation aux particularités locales, tant en matière de communication que via la création de collections spécifiques aux goûts et à la morphologie des Chinoises. Enfin nous nous sommes associés avec des investisseurs locaux et avons développé un réseau d'affiliation, soit un business model assez novateur en Chine."

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    Omnicanal, instantané et personnalisé: les clefs d'un marketing réussi

    Forte de ses 1000 magasins, soit deux fois plus qu'en France, l'enseigne explore treize ans plus tard tout le potentiel de la Chine en matière d'omnicanalité, alors que l'enseigne revendique toucher 200 millions de personnes, tous points de contact confondus. "Les Chinois ont leur téléphone greffé à la main! 90% des ventes e-commerce sont mobiles, pour nous comme pour l'ensemble du marché. Cela impacte tout notre business: les fiches produit sont enrichies par des dizaines d'avis, de photos et de vidéos. Se pose alors une question: comment exister auprès de consommateurs qui ont accès depuis leur mobile à 40 millions de marques sur Alibaba? Comment proposer une expérience via un écran de quelques pouces? C'est là qu'interviennent nos magasins, qui rendent tangible la relation que nous avons avec nos clients sur des plateformes comme Tmall", analyse Romain Millet.

    Le directeur général en profite pour lister ce qui fait la particularité des consommateurs chinois, toujours dans "l'instantanéité": "Il faut avoir en tête la rapidité avec laquelle la vie des Chinois a évolué par rapport à celle d'un Français du même âge. Ils vivent énormément l'instant présent et sont prêts à payer plus cher pour pouvoir profiter immédiatement d'un service ou vivre une expérience. C'est pour cette raison que nous créons un véritable univers autour de nos produits, en les mettant en scène en extérieur mais aussi en collaborant avec d'autres marques et des artistes comme récemment la rappeuse Vava, ou encore en utilisant les jeux vidéo, qui ont une importance considérable en Chine." Enfin, la demande d'une relation personnalisée avec la marque est aussi forte en Chine qu'en Occident mais reste plus facile grâce au "Social CRM permis par WeChat par exemple, qui permet d'aller beaucoup plus loin qu'en Europe." En magasin, cela se traduit notamment par le développement d'avatars virtuels adaptés à la morphologie de chaque client fidèle ou par l'identification de ces derniers par les vendeurs dès leur entrée, grâce à leurs données mobiles. Le groupe Beaumanoir, premier groupe textile français en nombre de points de vente dans le monde, entend bien reproduire le succès chinois de Cache Cache avec sa marque Bonobo, implantée dans le pays depuis deux ans.

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    [#CONSOLAB] [COSMETIQUES] | #Uriage s’adresse plus #intensément à son #consommateur #final | @FASHIONNETWORK

    DE SARAH AHSSEN | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2ty9VVo

    #Uriage s’adresse plus #intensément à son #consommateur #final

    S’adresser plus directement à son consommateur final, c’est l’un des objectifs d’Uriage. Pour le lancement de sa toute nouvelle ligne anti-âge, Age Protect – qui protège entre autre contre la lumière bleue des écrans –, la marque de dermo-cosmétique a opéré de gros investissements médias. « Même si la prescription médicale reste le centre de la stratégie, nous allons davantage vers le BtoC. En plus d’une campagne digitale, pour Age Protect, nous avons investi près de 8 000 Abribus et lancé pour la première fois un spot radio », indique Pauline Blanc, directrice de la marque Uriage.

    Positionnée sur le segment très concurrentiel de la dermo-cosmétique et face à des marques portées par des groupes imposants comme L'Oréal (Vichy, La Roche-Posay) ou Pierre Fabre (Avène), Uriage souhaite donc booster sa notoriété. Cette stratégie accompagne également la mutation des pharmacies et parapharmacies, un réseau dynamique, à l’exception de 2017 où les ventes sell-out affichent un recul de 0,8 %, où, à l’instar du sélectif, les clients sont à la recherche de conseil, mais surtout d’une expérience. Présente dans 5 000 pharmacies françaises, Uriage a ainsi développé un nouveau merchandising ainsi qu'une nouvelle plateforme de marque accompagnée d’une nouvelle signature, « l’eau thermale des Alpes », faisant écho à ses racines alpines. « Nous vendons chaque année trois millions de bouteilles de notre eau thermale », rappelle Pauline Blanc.

    Le plus fort relais de croissance reste cependant l'international. Rachetée à la famille Bouchara en 2011 par Exea, la holding familiale du catalan Puig, associée à M3 Invest, Uriage réalise un chiffre d’affaires consolidé d’environ 50 millions d’euros dans l'Hexagone et de 130 millions dans les 80 pays où elle est présente à l’export. Des pays qui devraient représenter les deux tiers des ventes de la marque d’ici à trois ans. La marque, qui revendique une croissance annuelle de 12 % depuis 2012, table sur une croissance de 10 % jusqu’à 2020.

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    [#CONSOLAB] [BEAUTE] | #Fiabila annonce la #nouvelle #génération de #vernis #hybrides | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE VINCENT GALLON | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2FvcQQf

    #Fiabila annonce la #nouvelle #génération de #vernis #hybrides

    Fiabila présentera lors du prochain salon Cosmopack à Bologne (Italie) la dernière génération de vernis hybrides avec l’ambition de secouer un marché avide de nouveautés. Le spécialiste mondial du vernis à ongles (11 usines dans 7 pays) poursuit ainsi sa stratégie centrée sur l’innovation et la créativité.

    Fiabila s’apprête à dévoiler une toute nouvelle génération de vernis hybrides à Cosmopack du 15 au 18 mars 2018 à Bologne, Italie. « Ces nouveaux vernis s’appliquent comme des vernis classiques, chez soi ou en institut, mais avec des résultats complètement bluffants en termes de tenue et de brillance. Tout comme des vernis traditionnels, ils sont présentés dans des flacons en verre transparent qui laissent apparaître chaque teinte et on les enlève avec des dissolvants sans acétone », explique Alexandre Miasnik, Directeur Général de Fiabila.

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    Formules sûres et faciles à utiliser

    Apparus il y a quelques années, les vernis hybrides sont de nouvelles formules qui permettent de concilier les avantages des gels (ou vernis semi-permanents) et des vernis traditionnels. Fiabila utilise pour cela un oligomère totalement novateur sur lequel l’entreprise a déposé un brevet. Cette résine, qui repose sur une structure moléculaire en 3D, permet un durcissement physique tout en conservant une incroyable flexibilité, même à forte concentration. Les vernis hybrides offrent ainsi une bien meilleure tenue et brillance que les vernis traditionnels. Contrairement aux gels, ces vernis hybrides ne nécessitent pas de lampe UV lors de la phase de séchage et sont très faciles à démaquiller.

    Pionnier des formules hybrides, Fiabila travaille depuis plusieurs années sur l’amélioration de leurs performances pour atteindre des niveaux approchant ceux des gels, mais sans leurs inconvénients. La nouvelle génération de formule qui sera présentée à Bologne promet ainsi des résultats qualitatifs exceptionnels, confirmés par des tests désormais systématiques sur des panels externes. « Sur la base d’une technologie que nous avons initiée, nous sommes parvenus à des résultats inédits en matière de tenue et de brillance. Nous atteignons aujourd’hui des tenues d’une semaine, avec des formules qui contiennent des matières premières sûres et qui sèchent aussi vite que des vernis traditionnels. Nous gardons une longueur d’avance et nous entrons en compétition avec les vernis permanents », souligne le jeune dirigeant.

    Un marché en quête d’innovations

    Avec 40 techniciens pluridisciplinaires entièrement dédiées à la R&D des seuls vernis à ongles, Fiabila a fait de l’innovation et de la créativité deux axes majeurs de sa stratégie. L’entreprise, qui dispose de onze usines dans le monde s’engage à proposer à ses clients la même qualité sur l’ensemble des marchés.

    Après deux années moins dynamiques mais succédant à une longue envolée, le marché mondial des vernis à ongles devrait, si l’on en croit les analyses des différents cabinets d’études de marché, dont Euromonitor, connaître une croissance significative au moins jusqu’en 2021 (+28%), porté notamment par le fort dynamisme de certaines régions comme l’Amérique du Sud et notamment le Brésil.

    « Le marché des vernis est très cyclique, stimulé par la créativité et l’offre de couleurs et d’effets. C’est pourquoi nous proposons chaque année deux collections de 72 teintes, et en permanence de nombreuses nouveautés et innovations, » explique Alexandre Miasnik.

    Comme chaque année, Fiabila présentera donc à Bologne une nouvelle collection de teintes inédites disponibles pour toutes les formules (traditionnelles ou hybrides) de l’entreprise, mais aussi un nombre record de nouveaux effets, dont beaucoup sont totalement innovants.

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Amazon chercherait à #commercialiser des #produits en #propre au #Brésil | @LSA

    DE LELIA DE MATHAREL | LSA | http://bit.ly/2DaBROV

    #Amazon chercherait à #commercialiser des #produits en #propre au #Brésil

    Le groupe souhaiterait stocker et transporter lui-même ses marchandises dans le premier marché e-commerce d'Amérique latine, selon Reuters. Il voudrait même y implanter des centres d'appels pour ses futurs clients.

    Amazon espère faire une percée sur le marché brésilien : le groupe aurait rencontré début mars plusieurs fabricants pour discuter de son projet de vendre en propre des produits dans le pays, selon deux sources citées par Reuters. Produits électronique, parfum… Le groupe souhaiterait commercialiser directement sur sa plateforme web plusieurs catégories d'articles.

    Des cadres du groupe ont indiqué au cours de ce rendez-vous "qu'ils allaient acheter directement les produits aux fabricants pour les revendre", affirme l'une des sources à l'agence de presse.  L'entreprise prévoirait de transporter elle-même ses produits et d'installer ses propres centres d'appels dans le pays. Amazon stockerait ces marchandises dans ses usines de la région métropolitaine de Sao Paulo. Amazon aurait cherché, en février, à louer un vaste entrepôt aux portes de la ville au mois de février, selon Reuters.

    Amazon présent au Brésil depuis 2012

    Amazon tâte timidement le terrain depuis plusieurs années au Brésil : la compagnie y commercialise des livres numériques depuis 2012. En 2014, elle s'est lancée dans le commerce de livres physiques. En octobre 2017, le groupe accélère sur le premier marché de l'e-commerce en Amérique latine en y déployant sa marketplace pour les vendeurs tiers de matériel électronique. La vente en ligne au Brésil pèserait 5% des 300 milliards de dollars de chiffre d'affaires généré par les retailers dans le pays.

    Les cadres brésiliens d'Amazon n'ont pas souhaité commenter ces informations, ajoutant que leur entreprise avait organisé des centaines de rendez-vous avec des potentiels fournisseurs dans le pays ces cinq dernières années.