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2- La presse en parle - Page 18

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    [#CONSOLAB] [CAMPAGNE] | #Kinder #Bueno explore la veine de l'#humour | @LESECHOS

    DE CLOTILDE BRIARD | LES ECHOS | http://bit.ly/2s1UqV6

    #Kinder #Bueno explore la veine de l'#humour

    La marque de barres chocolatées de Ferrero a lancé un vaste dispositif, le Bueno Comedy Show, pour toucher les Millenials.

    A chaque marque sa stratégie pour parler au public si convoité des Millenials. Kinder Bueno, la marque de barres chocolatées de  Ferrero , a opté pour le rire. Déjà, ses campagnes publicitaires avaient cette tonalité, la dernière en date mettant en scène Elie Semoun. Désormais, elle organise aussi un Bueno Comedy Show pour contribuer à révéler des talents de l'humour.

    « Les Millenials sont un public plutôt hétérogène parmi lequel on trouve aussi bien de grands adolescents habitant chez leurs parents que de jeunes adultes vivant en solo ou eux-mêmes parents. Mais ils ont des valeurs en commun autour de la passion, du fait de prendre la vie du bon côté, d'aimer s'amuser », analyse Virginie Fleury, chef de groupe marketing Kinder snack et Kinder chocolat. Elle souligne que les événements représentent, en outre, une forme de marketing qu'ils apprécient.

    Consolab, kinder, bueno, humour

    La marque a donc voulu capitaliser sur ce goût du « fun » et mis sur pied un dispositif se déroulant sur une année. Un casting a démarré en octobre dans toute la France avec le Campus Comedy Tour. Le 3 février, un spectacle aura lieu à Paris, à  La Scène Musicale , avec une quinzaine de talents sélectionnés sous l'égide de parrains connus, de Bérangère Krief à Baptiste Lecaplain. Des consommateurs auront pu gagner des places pour y assister. Ensuite, jusqu'à fin mai, des vidéos des humoristes seront soumises au vote sur Facebook. Le gagnant jouera en première partie du spectacle d'un des parrains.

    L'objectif de l'opération est de moderniser la perception de Kinder Bueno auprès des jeunes adultes et de dynamiser une catégorie très concurrencée par les biscuits et qui se trouve, au global, en léger recul. Kinder Bueno est le leader des barres chocolatées en France et revendique 29,5 % de parts de marché en valeur en grande surface. En magasin, les produits sont mis en avant jusqu'à mi-février sur la thématique du Bueno Comedy Show, avec des leaflets humoristiques et des bornes qui diffuseront des blagues.

     
    « L'humour représente un élément clef pour créer de la proximité », estime Virginie Fleury. Elle doit permettre d'élargir le recrutement en apportant des nuances au positionnement plutôt familial des produits Kinder en général.

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    [#CONSOLAB] [SEPARATION] | #EBay #éjecte #Paypal | @L'ECHO

    DE SOPHIE LEROY | L'ECHO | http://bit.ly/2nqTtRl

    #EBay #éjecte #Paypal

    eBay va désormais utiliser les services du Néerlandais Adyen pour les payements. Exit Paypal.

    La société de payement néerlandaise Adyen va progressivement remplacer Paypal pour les transactions financières sur le site de ventes aux enchères eBay. Dès cette année, Adyen sera utilisé pour le payement en Amérique du Nord. En 2021, l'essentiel des transactions devrait passer par la société néerlandaise. Paypal serait encore utilisable jusqu'en 2023.

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    eBay explique que ce changement de partenaire devrait permettre d'abaisser les coûts et d'offrir plus d'options pour les vendeurs.

    Rappelons qu'eBay était précédemment propriétaire de Paypal. En 2015, la société de payement par internet s'est écartée du groupe et s'est fait coter en Bourse.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | La #digitalisation des #points de #vente s'#impose à tous | @LSA

    DE YVES PUGET | LSA | http://bit.ly/2DS2AVE

    La #digitalisation des #points de #vente s'#impose à tous

    Une vraie prise de conscience s’opère quant aux perspectives ouvertes par la digitalisation des magasins. Tel est le résultat de la 2e édition du baromètre Smart Retail mené par Samsung et LSA.

    Lorsqu’il s’agit de s’auto­évaluer sur le plan de la digitalisation, les professionnels de la grande distribution s’estiment plutôt matures. Selon les résultats de la 2e édition du baromètre Smart Retail mené par Samsung et LSA, les deux tiers des commerçants interrogés s’attribuent une note d’au moins 3 sur 5 (+ 13 pts). En termes d’équipements, les écrans d’affichage sont présents dans près de 6 points de vente sur 10, un chiffre porté par les enseignes de plus de 100 points de vente : en effet, il existe une corrélation nette entre nombre de points de vente et équipement en écrans d’affichage.

    Les solutions nomades ont connu une croissance notable en 2017, aussi bien pour fluidifier le parcours client que pour aider à la vente. Les solutions de paiement mobile sont, quant à elles, déployées par 36 % des enseignes interrogées (+ 11 pts) et les tablettes vendeurs en équipent désormais la moitié (+ 14 pts). Ces résultats laissent penser que la relation client est au cœur des préoccupations.

    Digitalisation, points de ventes, impose

    Comme en 2016, le premier usage est d’accroître l’attractivité du magasin pour générer davantage de trafic (56 %). Une fois cette étape franchie, les commerçants prennent la pleine mesure des possibilités offertes, comme la collecte d’informations (54 %, + 21 pts), l’accès à l’historique client (49 %, + 28 pts) ou encore la proposition d’offres personnalisées (49 %, + 19 pts). Le réenchantement de l’expérience client (45 %) et la gestion des stocks (43 %) sont également évoqués. La mise en avant de produits (73 %) et l’enrichissement du parcours client en magasin (72 %) sont les deux raisons principales qui expliquent le déploiement d’outils digitaux.

    L’amélioration de l’image de l’enseigne est le premier impact constaté du déploiement de dispositifs digitaux (53 % de citations, + 9 pts). C’est aussi l’élément principal sur lequel les professionnels jugent la pertinence de leur stratégie digitale (71 %). En revanche, la hausse du panier moyen, second indicateur de performance (43 %), n’est constatée que par 15 % des enseignes (- 4 pts). Enfin, en 2017, la priorité était d’améliorer l’expérience client. Pour 2018, les enjeux sont similaires et ils passent par de meilleures interactions avec le client (55 %) et plus de personnalisation (52 %), tout en allant vers l’omnicanalité (45 %).

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    [#CONSOLAB] [ALLIANCE] | #Monoprix prêt à s'#allier avec le diable #Amazon ? | @BFMTV

    DE FREDERIC BIANCHI | BFMTV | http://bit.ly/2DPjlN7

    #Monoprix prêt à s'#allier avec le diable #Amazon ?

    Alors que Leclerc vient de révéler qu'il préparait une offensive anti-Amazon à Paris, Monoprix serait secrètement en train de préparer un accord avec le géant américain.

    Comment composer avec Amazon? Voilà la question que se posent tous les grands distributeurs en France. Alors que Michel-Edouard Leclerc vient de révéler sur BFMTV qu'il préparait une offre anti-Amazon à Paris, Monoprix semble prendre une voie différente en s'associant avec le géant américain. 

    Selon LSA, l'enseigne de centre-ville du groupe Casino négocierait avec les équipes françaises de l'américain pour figurer parmi les enseignes proposant leurs produits aux abonnés parisiens Amazon Prime. Une information que la direction de l'enseigne française qualifie néanmoins de "rumeur infondée" même si elle admet "qu'il n'y a aucun tabou à avoir dans le commerce actuellement et qu'il faut savoir faire confiance à ceux qui font les choses mieux que vous."

    En tout cas, si les discussions entre les deux parties s'avéraient exactes, cela permettrait très concrètement aux Parisiens d'acheter "chez Monoprix via le site ou l’application de Prime Now et se faire livrer à leur domicile en une ou deux heures" explique LSA.

    Lancé en juin 2016, Amazon Prime Now permet aux abonnés Prime (49 euros par an) de se faire livrer tous les jours entre 8h00 et minuit en moins de deux heures dans Paris et ses environs une sélection de produits alimentaires, high-tech, jeux ou encore beauté. Un service néanmoins payant sur lequel les équipes d'Amazon cherchent encore à trouver l'équilibre économique.

    En effet, au lancement d'Amazon Prime Now, la livraison en deux heures était gratuite et celle en une heure était facturée 5,90 euros. Mais le géant américain a discrètement augmenté ses prix il y a quelques mois. Désormais les clients Prime doivent s'acquitter de 7,90 euros pour une livraison en une heure (en plus de l'abonnement annuel de 49 euros) et de 3,90 euros pour la livraison en deux heures (gratuite au-delà de 40 euros d'achat).

    Monoprix, allier, Amazon

    Un pari osé pour Monoprix
    Pourquoi Monoprix signerait-il un tel accord avec Amazon? D'abord pour bénéficier de la logistique bien huilée et peu coûteuse de l'américain. Monoprix facture par exemple 8 euros la livraison des courses à domicile pour un panier inférieur à 99 euros quand Amazon la propose à 3,90 euros (pour une livraison en deux heures) voire gratuitement pour un panier à plus de 40 euros. Par ailleurs, Monoprix espère aussi profiter de l'immense audience d'Amazon pour mettre en avant ses produits. Avec 24,3 millions de visiteurs uniques par mois en moyenne en 2017, Amazon est de loin le site le plus fréquenté en France.

    Pour Amazon aussi, l'intérêt est évident. Il s'agit pour l'américain d'étoffer son offre alimentaire notamment dans le haut de gamme après avoir ouvert son programme à des enseignes comme Lavinia (vin), Fauchon (traiteur),  Bio C Bon (dans l'épicerie bio) ou Truffaut (jardinerie).

    Néanmoins si l'accord paraît pouvoir profiter aux deux, le pari semble bien plus osé pour Monoprix. D'abord parce qu'il s'agit d'un aveu d'échec sur la capacité de l'enseigne à proposer un service de livraison concurrentiel. Ensuite, parce qu'en passant par le site d'un concurrent, Monoprix ne va pas améliorer la fréquentation de ses magasins, nerf de la guerre de la grande distribution. 

    Amazon accepte de perdre de l'argent
    D'ailleurs jusqu'à présent s'associer à Amazon était le tabou ultime. En octobre dernier, la rumeur de rachat de magasins Monoprix par Amazon avait été fermement démentie par la direction. Surtout ne pas faire entrer le loup dans la bergerie, voilà la position des grandes enseignes françaises vis à vis d'Amazon et des géants du e-commerce plus globalement.

    Mais depuis quelques semaines, quelques verrous semblent avoir sauté. Monoprix a ainsi annoncé fin novembre un accord avec Ocado, le géant britannique du e-commerce alimentaire, pour mettre sur pied un entrepôt en région parisienne pour développer son e-commerce. Carrefour a annoncé en janvier un accord avec Tencent pour se développer en Chine ses ventes en ligne. Et là donc Monoprix à nouveau qui pourrait signer avec Amazon. "Tout le monde veut apprendre d'Amazon et notamment de sa puissance logistique d'où ces tentatives d'alliances, analyse un expert du secteur. Sauf que le secret d'Amazon c'est qu'ils acceptent de perdre de l'argent sur ces activités en tentant de se rattraper sur les énormes volumes écoulés. Quelle enseigne française peut se permettre ça aujourd'hui?"

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    [#CONSOLAB] [ACHATS] | Plus de #60% des #Français #achètent en #ligne | @ECOMMERCEMAG.FR

    DE CLEMENT FAGES | ECOMMERCE MAG.FR |http://bit.ly/2EuRfrG

    Plus de #60% des #Français #achètent en #ligne

    Un peu plus de six internautes sur dix achètent en ligne d'après We Are Social et Hootsuite, qui publient leur rapport digital annuel sur les tendances du digital, du social media et du e-commerce où l'on apprend aussi que deux millions de Français se sont mis aux réseaux sociaux l'an passé.

    Le nombre d'internautes dans le monde a augmenté de 7% en 2017 et dépasse les 4 milliards, dont 79% utilisent les réseaux sociaux. L'an passé, un million d'utilisateurs a fait ses premiers pas sur les réseaux sociaux chaque jour, soit une hausse globale de 13%. Compte tenu du nombre d'internautes, 2018 sera l'année où l'humanité franchira, en nombre d'heures cumulées, la barre du milliard d'années passées en ligne, dont 365 millions sur les réseaux sociaux.

    Ces chiffres sont issus du Rapport Digital Annuel 2018, publié par la plateforme de gestion des réseaux sociaux Hootsuite et l'agence social media We Are Social, qui se penche notamment sur les pratiques spécifiques aux internautes français. Ces derniers passent en moyenne chaque jour plus d'une heure sur les réseaux sociaux, et presque six sur dix s'y connectent chaque mois, soit une hausse de 2 millions de nouveaux utilisateurs en 2017.

    60%, français, achètent, ligne

    La question du e-commerce est abordée: en 2017, 1,8 milliard de personnes ont acheté un bien sur Internet, soit une hausse de 8% par rapport à 2016. 1500 milliards de dollars ont ainsi été dépensés sur ce canal pour l'achat de biens, soit 16% de plus qu'en 2016, et ce montant s'élèverait à 2000 milliards si on y ajoute les dépenses immatérielles (contenus et applications, voyages, etc.). En France, 61% des internautes ont acheté un produit ou un service en ligne, principalement dans les catégories mode et beauté (12 milliards d'euros, +12%), voyages (8,15 milliards d'euros, +8%) et loisirs (7,43 milliards d'euros, +10%).

    L'étude se penche également sur la progression des différents réseaux sociaux, à commencer par Facebook et ses 2,17 milliards d'utilisateurs (+15% en 2017), suivi par ses applications de messagerie Messenger et WhatsApp, qui connaissent toutes les deux une croissance de 30% l'an passé. On en apprend également un peu plus sur les taux d'engagements des posts publiés par les Français sur le principal réseau mondial: de 4,95% d'engagement moyen, on passe à 8,29% pour les posts comportant une vidéo, 6,76% pour ceux avec une photo et 6,37% pour ceux qui comprennent un lien.

     

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    [#CONSOLAB] [PROJET] | #Cosmétiques : #création d’un #cluster #européen pour #favoriser l’#internationalisation des #PME | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2rXce3N

    #Cosmétiques : #création d’un #cluster #européen pour #favoriser l’#internationalisation des #PME

    Le projet Cosmetics4Wellbeing proposé par un consortium de clusters dont la Cosmetic Valley a pour objectif la mise en place d’un cluster européen dédié aux cosmétiques et d’une stratégie d’accompagnement des PME du secteur dans leur internationalisation.

    Retenu dans le cadre du programme européen Cosme, le projet Cosmetics4Wellbeing (C4W) a pour objectif la mise en place d’un cluster européen : ESCP-4i (European Strategic Cluster Partnership – going international) et d’une stratégie d’accompagnement des PME de la cosmétique dans leur internationalisation. Ce projet est porté par la Cosmetic Valley, en collaboration avec Beauty Cluster Barcelona (Espagne), Transylvanian LifeStyle Cluster (Roumanie), l’Association Region Beira Baixa (Portugal) et avec le soutien de France Clusters (France).

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    « Le projet Cosmetics4Wellbeing va permettre aux 5 clusters européens de construire une véritable stratégie d’internationalisation pérenne vers les marchés de "grand export", notamment en développant de nouveaux partenariats sur des axes de travail innovants, liant la cosmétique à des secteurs transverses tels que la santé, l’agro-alimentaire et la transition digitale », explique la Cosmetic Valley dans un communiqué de presse. Officiellement lancé le 8 janvier 2018 et prévu sur une durée de 18 mois, le projet C4W bénéficiera d’un financement H2020 pour un montant de 199 223 euros