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3- Ouvrages - Page 2

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    La rupture de stocks des calendriers de l’Avent | @adetem #distribution #Noël #beauté

    ARTICLE PARU DANS LES ECHOS.FR | VALERIE LEBOUCQ | 05/12/2016

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    Après les marques de jouets et de chocolat, le secteur de la beauté a fait de ce rituel, hier enfantin, une nouvelle occasion de consommer. Et ca marche puisque des ruptures de stocks étaient constatées dès le 1 er décembre chez L’Occitane et Diptyque.

    Après la folie Black friday venue des Etats-Unis, un nouveau rituel de fin d'année s'est imposé ; celle du calendrier de l'Avent. Une invention d'origine germanique (comme le sapin), liée comme son nom l'indique, à la liturgie de Noël et popularisé dans les pays anglo-saxons par la Reine Victoria dont le prince consort Albert, était allemand. Ancré dans la tradition ce rituel enfantin destiné faire patienter les petits, a très vite donné des idées à la grande distribution et aux marques pour nous inciter à consommer.

    En France, les confiseurs comme Kinder ont été parmi les premiers à se lancer avec les calendriers fourrés au chocolat. Les fabricants de jouet n'ont pas tardé à proposer comme Playmobil et Lego des mini figurines cachées derrières les 24 (ou 25) petites cases à ouvrir chaque jour de décembre. «Une quarantaine de références existent rien que dans le jouet» ,relève Emilie Carle, directrice de la communication de Lego.

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    +10 % en 2015 et 2016 chez Lego

    La marque danoise, propose quant à elle trois calendriers différents, Lego Star Wars (autour des héros de la saga), Lego City qui met en scène les différentes professions de l'univers urbain et Lego Friends dont les mini poupées visent plutôt les filles. Et le succès ne se dément pas. «Les ventes qui avaient déjà progressé de 10 % en 2015, devrait enregistrer la même progression cette année » dit-elle. Prévoyant les parents les achètent dès le mois d'octobre et à partir de la Toussaint, « qui donne le coup d'envoi des cadeaux de Noël. Les calendriers sont devenus une nouvelle occasion d'offrir des jouets».

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    Vidéos sur Instagram

    La nouveauté des deux dernières années c'est l'arrivée en force des marques de beauté donnant l'occasion au magazine Cosmopolitan d'opérer un classement des 16 plus réussis. De The Body Shop (à 85 euros) à Estée Lauder (275 euros) en passant par Clarins (120 euros) toutes les marques s'y sont mises.

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    De même que les grandes enseignes spécialisées Séphora et Marionnaud qui proposent chacune le leur ou Monoprix Beauté (39,99 euros). Certaines n'ont pas vu assez grand  puisqu'elles étaient en rupture de stock dès le 1er décembre, telle L'Occitane ou dans un genre plus exclusif Diptyque, dont le calendrier illustré par le dessinateur parisien Pierre Marie (à 300 euros tout de même) proposaient un assortiment de miniatures eux de toilette, soin visage et mini bougies parfumées. Diptyque ne s'en est pas tenu là puisque la marque distille aussi chaque jour des petites vidéos sur Instagram visibles 24 heures uniquement.

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    Les marques de bijoux ne sont pas en reste et apportent une dimension ludique à leurs calendriers de l'Avent en découvrant chaque jour un nouveau bijou à gagner. Un parti pris adopté par l'hôtel parisien Jules & Jim. Un tirage au sort est organisé chaque soir pour les clients du bar (ouvert à tous pour l'occasion) qui si leur ticket est gagnant, repartent avec des cadeaux de grandes marques : Veuve Clicquot Vintage Rosé 2004, chocolats Jacques Genin, coffret Cristallerie Saint Louis Mix & Match....

    Marque Repère, la MDD d Leclerc, utilise aussi le ressort du jeu. Son calendrier à l'effigie des Mark's les mascottes figurant sur ses packaging de produits alimentaire et hygiène beauté , s'accompagne d'une application mobile de jeu autour de Noël: Go Mark's Run .Chez Bonne Maman la marque de confitures, le calendrier de l'Avent (adressé cette année aux seuls journalistes) sert peut-être de ballon d'essai pour des lancements futurs. Les 24 mini pots (format petits déjeuner d'hôtel) font découvrir des mélanges inédits : ananas yuzu, cerises cranberries, fraise verveine, myrtilles sirop d'érable....

    nature et decouverte, calendrier de l'avent

    Concours de pull overs de Noël

    Chez Nelly Rodi, l'agence spécialiste des tendances de la mode et l'art de vivre, Vincent Grégoire voit derrière le succès commercial le « signe fort d'une aspiration au retour à la tradition et aux rituels partagés en famille ou entre amis. Dans un quotidien anxiogène, les gens ont envie de se faire plaisir et d'offrir des petites attentions qui sont comme autant de clins d'oeil bienveillants ». ». Il note à cet égard le succès grandissant d'autres « rites » de fin d'année comme les soirée et les fêtes de Noël organisés entre amis ou collègues de bureaux. Elles aussi sont importées des pays anglo saxons où l'on ignore, en revanche les voeux et étrennes de janvier.

    (... / ...)

     

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    Brick-and-mortar stores try to lure shoppers with service | @adetem #distribution

    DAILY HERALD | 12/04/2016

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    ALEXANDRIA, Va. -- Outside a Best Buy store in suburban Washington, a throng of shoppers lined up early to pounce on the annual parade of Thanksgiving "doorbuster" deals that have come to mark the start of the holiday shopping season.

    But this year, the once-chaotic ritual had layers of efficiency: Shoppers got color-coded tickets guaranteeing they would receive the laptop or 4K television they came for. The entryway doors were opened just partway so customers had to enter single file instead of in a stampede.

    It was all aimed at making a harried experience go more smoothly. And between now and Christmas, some of the biggest names in retail are taking their own new steps to ease the hassles of shopping in an actual store.

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    #Amazon Go: un point de vente connecté sans caisse et sans file d'attente | @adetem #distribution

    SIECLE DIGITAL | VALENTIN BLANCHOT | 05/12/2016

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    Amazon vient de dévoiler un concept de point de vente en rupture totale avec la conception de ceux que l’on connait pour la grande distribution alimentaire : Amazon Go.

    Derrière le Go, l’idée c’est « just grab and go! » Vous rentrez, prenez les produits qui vous intéressent et repartez. Il n’y a pas de caisses, tout se passe avec votre smartphone. Le comble de la technologie derrière Amazon Go, c’est qu’elle s’attaque à un secteur des plus rigides à l’intégration d’innovations : la grande distribution alimentaire. Si on a pu dire qu’Uber avait uberisé les taxis en créant ainsi une expression qui fera trembler bien des entreprises par la suite, on peut aujourd’hui remplacer uberisation pour amazonation pour la distribution alimentaire.

    Amazon avait déjà commencé à travailler un passage au points de vente physiques avec une librairie. À présent, Amazon Go vient compléter ces initiatives. C’est une nouvelle génération de magasin où les caisses n’existent plus. Il n’y a pas non plus besoin de scanner un produit. Le géant du ecommerce a équipé son magasin de capteurs, caméras, et intelligences artificielles pour détecter lorsqu’un produit est pris d’un rayon ou reposé. Ainsi il pourra remplir votre panier virtuel et lorsque vous quitterez le magasin facturer votre compte Amazon.

    La conception et l’assortiment d’Amazon Go sont entièrement dévoués à l’optimisation du temps passé dans le point de vente. Il y aura des produits prêt à manger (sandwichs, boissons, snacks), mais aussi des produits courants comme du lait, du chocolat, ou du fromage. Mieux encore, des Amazon Meal Kits seront proposés. Ils contiennent tous les ingrédients nécessaires pour cuisiner un repas pour deux en 30 minutes.

    Aucune information n’a été donnée sur la date précise d’ouverture du point de vente, à part un ‘début 2017′. Néanmoins, on sait qu’il fera un peu moins de 170 mètres carrés et est basé à Seattle.

    La raison d’être d’une telle innovation ? Le géant nous livRe sa réponse dans la page présentant sa technologie. « Il y a quatre ans nous nous sommes demandés : et si nous pouvions créer une expérience shopping sans files ni caisses ? Pourrions-nous repousser les limites de la vision par ordinateur et du machine learning pour créer un magasin où les clients pourraient simplement prendre ce qui les intéressent et ensuite partir ? Notre réponse à ces question c’est Amazon Go.

     

     

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    #Grandedistribution : les nouvelles #technologies à la rescousse du personnel | @adetem

    CHRONIQUE DE CYRIL DUFRESNE | ASC0M FRANCE |JOURNAL DU NET - 05/12/2016

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    La révolution numérique s’impose partout dans nos sociétés et touche tous les secteurs d’activité. La grande distribution et la vente au détail sont exposées quotidiennement à un certain nombre de risques en matière de sécurité.

    Outre la menace d’une catastrophe comme un incendie, la grande distribution et la vente au détail sont confrontés aux accidents de personnes et parfois même à la violence. Le personnel des magasins, conscient de ces dangers, se sent aujourd’hui mal à l'aise. Pour faire face à ces problématiques, les responsables de centres commerciaux adoptent de plus en plus les nouvelles technologies. Ces dispositifs de communication mobiles sur site proposent des solutions de sécurité fiables, adaptées aux magasins, et apportent une réponse concrète aux inquiétudes de leurs employés.

    Une force mobile et connectée pour améliorer la sécurité et l’efficacité du personnel

    « Avec plus de 500 000 collaborateurs, la grande distribution est l’un des plus importants employeurs de France. Ce secteur se caractérise par un nombre élevé d’accidents du travail liés notamment aux manutentions, chutes, glissades de plain-pied et autres coupures avec les outils à main. »

    Nombreux sont les dispositifs de communication interne, mais combien sont réellement capables de centraliser l’ensemble des flux critiques et d’apporter une véritable intelligence en fournissant la bonne information, à la bonne personne et surtout au bon moment. 

    Aujourd’hui, les solutions applicatives métier répondent parfaitement à ces problématiques et s’intègrent facilement à l’environnement multi-technologique de la grande distribution disposant d’une technologie WIFI. Les dispositifs de téléphonie mobile sur site, d’assistance aux travailleurs isolés et les remontées d’alarmes peuvent être couplés pour renforcer l’efficacité organisationnelle et la sécurité des employés.

    Le personnel des magasins peut désormais être équipé d’émetteurs d’alarme discrets, grâce auxquels ils ont la possibilité de lancer un appel à l’aide. Une caissière ou un employé de sécurité en charge des rondes dans les entrepôts peuvent par exemple avertir en cas de problèmes, d’agressions ou d’intrusions. L’équipe en charge de la sécurité reçoit l’alarme sous la forme d’un message texte décrivant évènement et sa localisation.

    La fonctionnalité Push-to-Talk et conférence, permet à tous les membres d’intervention d’être connectés automatiquement en mode audio et de suivre ainsi l’évolution d’une situation difficile de manière efficace.

    Ces solutions applicatives, qui peuvent être implémentées avec celles utilisées par les services de sécurité, sont d’ailleurs un excellent complément à la vidéo surveillance, déjà largement développée dans les centres commerciaux.

    Le challenge de l’organisation : un avantage compétitif pour une expérience client améliorée

    Il est désormais possible de concentrer l’essentiel des processus de communication internes et d’intégrer de nombreuses applications métier en un seul outil DECT simple à utiliser, ce qui donne accès à beaucoup plus de verticalité et de réactivité.  Les applications métiers, lecteurs de codes-barres dédiés aux inventaires, système de remontée des alarmes techniques (incendie, électricité, panne de réfrigérateurs) et dispositifs DATI sont ainsi mutualisés sur les mêmes infrastructures et gérés via des plateformes logicielles flexibles et modulables qui enregistrent et communiquent avec précision les incidents. Elles permettent de mettre en œuvre une action adaptée en envoyant les flux de communication et d’alarmes vers la personne en capacité de la traiter au plus vite. Malgré l’importante mobilité du personnel évoluant dans ce secteur, aucune perte de données ou de remontée d’alarme ne sera possible.  

    Par ailleurs, le développement des nouvelles technologies dans le secteur de la grande distribution permet également d’améliorer l’expérience client et notamment de réduire le temps d’attente de ces derniers. Les vendeurs équipés d’outils de communication interne s’échangent désormais facilement les informations sur un produit ou sa disponibilité en stock. C’est un véritable gain de temps et d’organisation qui permet d’une part d’éviter aux employés de parcourir de très grandes distances entre les réserves et les rayons, et d’autres part de fortement réduire l’attente des clients en répondant au plus vite à leurs questions.

    Autre avantage, ces systèmes interopérables peuvent être installés simultanément sur plusieurs sites d’une même enseigne, ce qui procure une vue d’ensemble à 360 degrés de tous les flux de communication, magasins par magasins. 

    Cette évolution technologique profite autant aux employés qu’au management. En effet, outre les gains de sécurité et d’organisation, elle permet une concentration de l’essentiel en un seul outil, une mutualisation des infrastructures et une réelle réduction des coûts.

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    Le syndrome de la grenouille [#marketing #SOMDIG16 #marketingdelagrenouille]

     

    Lors des Sommets du Digital qui ont lieu à la Clusaz début février 2016, Philippe Jourdan a présenté son ouvrage (co-écrit avec Valérie Jourdan et Jean-Claude Pacitto) intitulé le Marketing de la Grenouille, dont vous avez la possibilité de retrouver les meilleures pages dans le lien ci-dessous. 

    Dans une vidéo de 3 minutes traitant du "Syndrome de la grenouille", Philippe Jourdan reprend l'un des thèmes phares de cet ouvrage : 


    [EDITIONS KAWA]

    [PRENDRE CONNAISSANCE DES MEILLEURES PAGES]

    [QUI SOMMES-NOUS ?]

    [YouTube PROMISE CONSULTING]

    Promise Consulting Inc intègre l’ensemble des métiers liés à la prise de décision marketing (études, analyse, conseil). La société apporte son expertise aux marques souhaitant se développer tant sur les marchés locaux qu'internationaux. Elle dispose d'un département recherche marketing qui lui permet de développer des outils d'aide à la décision innovants pour les décideurs. La société est certifiée OPQCM, Social Media Marketing de la DMA et adhère aux règles SYNTEC et ESOMAR. Elle a rejoint en 2015 le réseau des sociétés d'études et de conseil international ICG (Internal Consulting Group).

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    Best Buy : "le pouvoir de négocier donne une vraie responsabilité aux vendeurs" [#bestbuy #retailing #SOMDIG16 #kawa #marketingdelagrenouille]

    Par Martine Fuxa, Ecommerce Mag, le 3 février 2016

    En parallèle de son intervention lors des Sommets du Digital, Philippe Jourdan (Promise Consulting) revient sur le pouvoir de négociation des consommateurs en prenant l'exemple de la société BestBuy parvenue à utiliser positivement ce nouveau comportement.

    Aujourd'hui les sites e-commerce et les marques sont entrés dans une relation d'égalité avec les clients toujours plus informés et exigeants. Cet équilibre pourrait même basculer vers une relation ou l'ascendant sera à l'avenir pris par le client sur les marques, selon les approches de vendor relashionship management. Dans ce contexte, la négociation prend de l'ampleur car le consommateur en sait de plus en plus et a envie d'avoir une relation plus critique avec les marques, de les questionner sur leur légitimité.

    L'enseigne américaine Best Buy l'a bien compris. Elle est parvenue à intégrer cette nouvelle tendance de consommation dans sa stratégie en en faisant un point fort. "Le dirigeant de l'entreprise américaine Best Buy (Hubert Joly, un français, ndlr) part d'un constat simple. Il ferme les magasins non rentables de l'enseigne et fait le pari que les magasins BestBuy sont l'actif principal de la marque. Il prend alors deux initiatives qui font mouche : Donner un vrai pouvoir de négociation au vendeur, une sorte de délégation pour négocier si le client a trouvé moins cher son produit chez un concurrent... Et personnaliser la relation web to store et store to web via les réseaux sociaux", explique Philippe Jourdan.

    Dans le cadre de son plan "Renew Blue", le dirigeant de Best Buy arrivé au commande en 2012 pour redresser l'entreprise veut en effet améliorer l'expérience client en magasin, en ligne et à domicile. Et éviter que les clients viennent consulter les produits dans son enseigne pour ensuite les acheter moins cher, chez eux, sur Amazon! Une idée simple mais peu en vogue à l'époque de son déploiement il y a 4 ans. "Le pouvoir de négocier donne une vraie responsabilité au vendeur, valorise le métier, surprend le client dans le bon sens et permet d'entamer le dialogue sur une relation gagnant-gagnant", souligne Philippe Jourdan. Parallèlement, chaque vendeur de Best Buy est aussi devenu un interlocuteur des clients de l'enseigne sur les réseaux sociaux. Le client peut entrer en contact avec un vendeur et le rencontrer en magasin.

    Autre société qui a bien compris cette nouvelle dimension du consommateur-négociateur, la société canadienne Moosejaw, une société qui vend des vêtements techniques. "Quand vous entrez dans cette enseigne une tablette est proposée au client qui peut surfer sur des sites pour comparer les offres. Ensuite une négociation peut avoir lieu avec les vendeurs sur le prix, la qualité des produits.... ", conclut Philippe Jourdan. Une approche intéressante qui permet d'atténuer les tensions qui peuvent persister entre les magasins physiques et le web.

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    Retrouver l'ensemble de ces exemples et beaucoup d'autres stratégies gagnantes pour les distributeurs et les marques dans l'ouvrage "Le Marketing de la Grenouille : Nouvelles stratégies de Marques pour Nouveaux Consommateurs" aux Editions Kawa : [CLIQUER ICI]

    Lire les meilleures pages de l'ouvrage : [CLIQUER ICI]