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5- Stratégies marketing - Page 43

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    [#CONSOLAB] [INTERNATIONAL] | #Starbucks inaugure son plus #grand #café dans le #monde | @BFMTV

    DE BFMTV | http://bit.ly/2yezrMu

    #Starbucks inaugure son plus #grand #café dans le #monde

    Le géant américain a ouvert un gigantesque établissement à Shanghai, illustrant sa volonté de s'imposer sur le marché chinois.

    Starbucks a ouvert ce mercredi à Shanghai son plus spacieux établissement non seulement en Chine mais dans le reste du monde. Situé au coeur d'un quartier commerçant de la capitale économique chinoise, l'établissement a été envahi par des centaines de clients. Certains ont dû patienter une heure avant de pouvoir passer commande.

    Ce café s'étend sur 2.700 m2, soit plus du tiers d'un terrain de football. C'est le deuxième que Starbucks ouvre sous la marque "Reserve Roastery": un concept de points de vente raffinés proposant des torréfactions de grains haut de gamme, des thés, des bières infusées au café et un service personnalisé. La première enseigne de ce type avait ouvert en 2014 dans la ville américaine de Seattle, où le groupe a son siège.

    La chaîne de cafés compte plus de 3.000 points de vente dans 136 agglomérations chinoises. Parmi eux, 600 sont situés dans la seule métropole de Shanghai, qui est aujourd'hui, la ville du monde qui compte le plus grand nombre de Starbucks.

    Un nouvel établissement ouvre en Chine toutes les 15 heures, assure le groupe américain. Et le PDG de Starbucks, Howard Schultz, a indiqué à Bloomberg News que la Chine pourrait devenir le principal marché de l'entreprise dans moins d'une décennie.

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    L'enseigne de Shanghai, à la décoration faite de bois et de cuivres, dispose d'un tonneau géant contenant des tonnes de grains fraîchement torréfiés. Ils sont expédiés vers différents endroits dans l'établissement via des tubes qui serpentent le long du plafond.

    Pour Zhao Fei, un client, les prix des boissons peuvent toutefois s'avérer rédhibitoires: ils grimpent jusqu'à 78 yuans (10 euros) la tasse, un tarif élevé comparé aux salaires moyens dans le pays. "Mais beaucoup de gens en Chine commencent vraiment à apprécier les cafés onéreux, particulièrement les jeunes urbains", estime ce patron d'une entreprise de fabrication de papier, qui a opté pour un thé fruité.

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    [#CONSOLAB] [INTERNET] | #Oui.sncf, une nouvelle #vitrine #internet pour la #SNCF | @LESECHOS

    DE LIONEL STEINMANN | LES ECHOS | http://bit.ly/2AGZ7X7

    #Oui.sncf, une nouvelle #vitrine #internet pour la #SNCF

    Adieu voyages-sncf.com, et bienvenue à oui.sncf. Comme elle l'avait annoncée il y a plusieurs mois, la compagnie publique a rebaptisé dans la nuit de mardi à mercredi son site de vente en ligne, leader du e-tourisme avec 14 millions de visiteurs uniques chaque mois.

    Le nouveau nom, moins compliqué que le précédent, devrait être rapidement être mémorisé par le public. Il vient couronner la déclinaison de la syllabe « Oui » dans les offres de mobilité du groupe, après Ouigo et inOui (dans l'univers TGV), Ouibus (pour les cars) ou Ouicar (location de voitures entre particuliers). Et doit également faciliter les développements à l'étranger, où la SNCF rêve de dupliquer le succès rencontré dans l'Hexagone.

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    Mais la bascule va bien au-delà d'un simple changement d'appellation, assure l'entreprise publique, avec d'ores et déjà plusieurs nouveaux services qui doivent aider les voyageurs à trouver leur bonheur dans une offre à la fois foisonnante (pas moins de 33 millions de trajets sont possibles), et de plus en plus segmentée.

    Les clients peuvent donc dès ce mercredi créer une « alerte petits prix » en indiquant « quelle destination les intéresse, quel jour et à quel prix », annonce la SNCF. Dès que le tarif demandé sera disponible, le client sera alerté et n'aura plus qu'à cliquer pour réserver.

    Autre nouveauté, l'intégration d'un « robot conversationnel » sur la page d'accueil du site permettra de réaliser une recherche en « langage naturel ». C'est-à-dire, plutôt que de remplir les cases habituelles, d'écrire : « Je veux partir à Nantes après-demain dans l'après-midi », et de se voir proposer les trains disponibles.

    Par ailleurs, oui.sncf propose un service client désormais disponible 24H/24 et 7 jours sur 7, y compris par téléphone. Une première dans le e-tourisme français, assure l'entreprise publique, qui promet de nombreuses autres innovations d'ici 2020.

    Le site représente déjà 50 % des ventes de billets grande vitesse , et sa part de marché continue d'enfler. L'entreprise va utiliser ce levier pour poursuivre l'essor des e-billets, qui sont par définition nominatifs, et donc ne peuvent par ensuite être revendus entre particuliers. Rachel Picard, la patronne de l'activité TGV, espère dans ce registre faire totalement disparaître d'ici deux ans les billets cartonnés au format IATA même si les e-billets pourront être imprimés sur d'autres supports).

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    [#CONSOLAB] [ROBOTS] | #Cdiscount équipe ses #entrepôts d'une solution #robotique #futuriste… et #tricolore ! | @L'USINEDIGITALE

    DE JULIETTE RAYNAL | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2yODdja

    #Cdiscount équipe ses #entrepôts d'une solution #robotique #futuriste… et #tricolore !

    Depuis trois mois, une flotte de sept robots circulent et grimpent aux étagères de l'entrepôt bordelais de Cdiscount. Développée par la start-up française Exotec Solutions, cette technologie de rupture va être déployée dans d'autres entrepôts du e-commerçant.

    Amazon nous a habitués à voir des robots qui travaillent de concert en se déplaçant de manière autonome dans la zone de stockage d'un entrepôt. La prouesse technique d'Exotec Solutions est encore bien plus bluffante. Non seulement les robots de la start-up française sont capables de travailler en équipe au milieu des étagères, mais ils sont aussi capables de s'agripper aux racks pour grimper jusqu'à 10 mètres de haut afin de récupérer le bac de produits désiré. "Nous sommes passés d'un déplacement en deux dimensions à un déplacement en trois dimensions", se félicite Romain Moulin, CEO d'Exotec Solutions.

    Cette technologie, baptisée Skypod, a séduit Cdiscount. "Depuis trois mois, notre système est entré en production chez eux", précise Romain Moulin. L'e-commerçant français a déployé ce dispositif robotique à petite échelle au sein de son centre logistique de Cestas, situé près de Bordeaux. Une flotte composée de sept machines se charge actuellement d'apporter une partie des références aux opérateurs pour qu'ils puissent reconstituer le panier d'achat correspondant à une commande. Cdiscount prévoit désormais de déployer la technologie dans ses autres entrepôts.

    Grâce à Skypod, le site marchand entend gagner en productivité. Le dispositif permettrait d’améliorer la performance de la préparation tant au niveau de la cadence (400 manipulations de produits par heure, contre 50 à 100 manuellement) que du réassort (jusqu’à 100 références de produits rangées à l’heure).

    Skypod permet également de réduire sensiblement la pénibilité du travail. "Dans une organisation manuelle, un opérateur peut parcourir jusqu'à 15 km par jour. Avec notre ancien système Exo (limité aux déplacements en deux dimensions, ndlr), la distance quotidienne parcourue passait à 4km. Et là, avec Skypod, nous sommes à zéro kilomètre", explique l'entrepreneur. Le dispositif implique que les opérateurs restent en dehors de la zone de stockage. "On peut ainsi créer des stocks beaucoup plus denses car cela permet de remplir l'entrepôt jusqu'au plafond", indique l'entrepreneur.

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    Quant au mode de fonctionnement, les robots se déplacent de manière coordonnée grâce à un logiciel de contrôle baptisé Astar. Celui-ci repose entre autres sur des algorithmes d'intelligence artificielle qui permet d'attribuer des missions aux robots. C'est cette brique qui s'interface avec le WMS (logiciel de gestion d'entrepôt) de Cdiscount. Pour se repérer et se déplacer de manière autonome, chaque robot est doté d'un scanner rotatif à l'avant. Chacun dispose également d'une carte préstructurée de son environnement. "Une fois qu'on a posé les racks, le système peut être opérationnel dans la demi-journée", assure Romain Moulin.

    Autre avantage du dispositif : sa flexibilité. Le système se dimensionne selon les besoins du client et la flotte peut aller d'une petite dizaine de robots à 400 unités. "Notre système permet de gérer de 10 000 références à 500 000 références", précise l'entrepreneur.

    Toutes ces caractéristiques séduisent. Exotec Solutions travaillent avec d'autres e-commerçants et retailers, dont l'identité reste confidentielle. Sa technologie s'adapte également aux lignes de fabrication de pièces détachées. La start-up compte aujourd'hui une vingtaine de collaborateurs et s'apprête à boucler une seconde levée de fonds de plusieurs millions d'euros pour internationaliser son activité.

    De con côté, Cdiscount semble construire, brique par brique, son entrepôt du futur. Il n'est pas le seul à vouloir adopter les codes de la logistique 4.0. Le Groupe Casino (dont dépend Cdiscount) va utiliser la plate-forme logistique et les logiciels propriétaires du britannique Ocado, roi de l'automatisation dans le e-commerce alimentaire. Dans le cadre de ce rapprochement, un entrepôt de dernière génération devrait entrer en service en région parisienne d'ici deux ans. Monoprix sera la première enseigne du groupe français à s'appuyer sur ces technologies de rupture pour améliorer son activité e-commerce.

     

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    [#CONSOLAB] [RACHAT] | #Unilever acquiert #Sundial #Brands, spécialiste #américain des #cosmétiques #ethniques | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2iwRzMc

    #Unilever acquiert #Sundial #Brands, spécialiste #américain des #cosmétiques #ethniques

    Unilever a annoncé lundi l’acquisition de Sundial Brands, un fabricant américain de crèmes et de lotions pour le corps et les cheveux, basé à New York. Sundial Brands commercialise les marque ethniques SheaMoisture, Nubian Heritage, Madam C.J. Walker et nyakio. Son chiffre d’affaires 2017 devrait atteindre les 240 millions de dollars (202 millions d’euros). Les détails financiers n’ont pas été divulgués.

    « Depuis sa création en 1991, Sundial s’est fait le champion de la beauté inclusive et a répondu aux besoins non satisfaits des consommateurs de couleurs grâce à sa solide gamme d’innovations, ses offres de produits. Grâce à son modèle de Community Commerce, à ses certifications B Corp et Fair for Life, l’approche de Sundial complète le Sustainable Living Plan d’Unilever (USLP) dont l’objectif est de booster la croissance de l’entreprise tout en améliorant son impact social  », a déclaré le groupe dans un communiqué.

    Sundial deviendra une filiale à part entière d’Unilever mais gardera son autonomie et conservera son fondateur et dirigeant Richelieu Dennis.

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    Dans le cadre de l’accord, Unilever et Sundial créent le New Voices Fundavec un investissement initial de 50 millions de dollars. L’objectif est d’autonomiser les femmes entrepreneurs de couleur avec en ligne de mire la volonté de faire passer le Fonds à 100 millions de dollars en attirant l’investissement d’autres parties prenantes.

    « L’équipe de Sundial a créé des marques haut de gamme différenciées et tendances qui s’adressent aux consommateurs de toutes origines et aux millennials et qui améliorent notre portefeuille actuel », explique Kees Kruythoff, président d’Unilever North America.

    De plus, Unilever a nommé Esi Eggleston Bracey au poste de Vice-Présidente et Chief Operating Officer d’Unilever North America Personal Care. Elle travaillera en étroite collaboration avec Richelieu Dennis pour accélérer la croissance, la mission et la relation de Sundial Brands ave les consommateurs.

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    [#CONSOLAB] [RACHAT] | #Monoprix #investit dans #Epicery en vue de le #racheter | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2BRe8Ue

    #Monoprix #investit dans #Epicery en vue de le #racheter

    Le service permet de se faire livrer les produits de 250 commerces de bouche parisiens et 50 lyonnais. Bientôt, il permettra d'acheter chez Monoprix et Naturalia. Mais surtout, il sera accessible depuis le site de Monoprix.

    Selon nos informations, Monoprix vient d’investir dans Epicery à l'occasion du second tour de table de la start-up. L’enseigne prend une part minoritaire de son capital, mais prévoit d’y monter progressivement dans les années qui viennent. Epicery, créé par Elsa Hermal et Édouard Morhange avec Marc Ménasé, a lancé son service très récemment : en octobre 2016 à Paris, Boulogne-Billancourt, Levallois-Perret et Neuilly, puis en octobre 2017 à Lyon et Villeurbanne. Il permet de se faire livrer dans l’heure (ou à un créneau programmé à l’avance) des achats réalisés dans des commerces de bouche dans un rayon de 2,5km autour de chez soi. Epicery travaille pour l’instant avec 250 commerçants de la région parisienne et 50 de la région lyonnaise, auxquels il fournit une tablette pour recevoir les commandes et tenir leur stock à jour.

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    Dans l’immédiat, la start-up va commencer à ajouter à son offre les magasins Monoprix et Naturalia (l’enseigne bio du groupe Casino). Mais le service va aussi être intégré au site de Monoprix, qui à l’avenir permettra donc également de passer commande auprès des commerçants de son quartier et peut-être, lorsque sera mutualisé le panier, de ne réaliser qu’une seule transaction pour le vacherin du fromager du coin et le gel douche de Monoprix. Ce rapprochement constitue donc pour l’enseigne non seulement un nouveau débouché pour son service de vente en ligne depuis ses magasins, mais lui permet également de se positionner comme le fédérateur des commerces de bouche locaux avec une puissance de frappe bien plus élevée que celle de la start-up.

    Lors de sa première levée de fonds, la start-up avait fait rentrer à son capital une floppée d'entrepreneurs du Web comme Michaël Benabou (Vente-privée), Marc Menasé (Nextedia, Menlook, Kelkoo) et Xavier Niel (Iliad-Free). Selon nos informations, son chiffre d'affaires 2017 avoisinera le million d'euros.

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    [#CONSOLAB] [INTERNATIONAL] |#Amazon #débarque en #Australie et s'attaque au #défi de la #livraison | @LSA

    DE FRANCOIS DESCHAMPS | LSA | http://bit.ly/2AVLRic

    #Amazon #débarque en #Australie et s'attaque au #défi de la #livraison

    L’e-marchand fait ses premiers pas dans ce gigantesque pays où la logistique, centre d’excellence du groupe, y est un défi majeur. Dans certaines régions, Amazon propose déjà la livraison gratuit en un jour.

    C’est un défi de taille auquel va s‘atteler Amazon. Le groupe vient de lancer son site marchand en Australie, pays de taille considérable – plus de dix fois la taille de la France - possédant une population d’environ 24 millions d’habitants qui plus est géographiquement très éclatée. Son principal enjeu résidera donc dans la logistique, où le groupe a déjà démontré à maintes reprises un niveau de compétence très élevé. Avec un entrepôt à la périphérie de la ville de Melbourne – côte est du pays -, Amazon propose déjà la livraison en une journée dans certaines régions, et gratuite pour celles dont le montant dépasse 49 dollars australiens (environ 31 euros).

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    Amazon compte bien se tailler une part du gâteau de l’e-commerce australien qui, selon Bloomberg, atteint 20 milliards de dollars australiens, soit près de 13 milliards d’euros (9 ménages sur 10 possèdent Internet). Les ventes sur le Web représentent moins de 10% de l’ensemble du commerce de détail, estimé à plus de 300 milliards de dollars australiens. A titre de comparaison, le marché des ventes en ligne en France a atteint 72 milliards d’euros en 2016 et devrait passer la barre des 80 milliards cette année, selon la Fevad. L’an passé, il ne représente ‘que’ 8% du commerce de détail et a gagné un point en un an.

    Le géant du commerce électronique propose d’ores et déjà plusieurs millions de produits dans plus de 20 catégories, notamment de l'électronique grand public, des vêtements et des équipements sportifs. Une offre qui est amenée à s’étendre progressivement puisque l’e-commerçant opère également une activité de place de marché. Toutefois, les analystes de Citi cités par CNBC, ont qualifié l’offre proposée sur la plateforme Amazon, « d’inégale », dans le sens où elle ne serait pas nécessairement plus compétitive en termes de prix que l’existant. Tout en précisant dans la foulée qu’ils ne s’attendaient pas à ce que l’arrivée de l’e-marchand perturbe les distributeurs australiens... du moins pour la période des fêtes de fin d’année 2017.