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    [CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | Avec #Monoprix, la #distribution #alimentaire débarque sur #Google #Home | @LSA

    DE FRANCOIS DESCHAMPS | LSA | http://bit.ly/2ASMGsc

    Avec #Monoprix, la #distribution #alimentaire débarque sur #Google #Home

    Le distributeur est le premier en France à débarquer sur Google Home, l’enceinte intelligente à commande vocale développée par Google. Les clients de l’enseigne peuvent désormais faire leur liste de course rien que par l’usage de la voix, en commençant par prononcer la formule : "ok google, parle avec Monoprix".

    Monoprix marque l’entrée de la distribution alimentaire française dans l’ère du commerce conversationnel. Alors que sa maison-mère, le groupe Casino vient d’annoncer un partenariat avec le pure player britannique Ocado pour lui confier l’e-commerce de Monoprix, l’enseigne démontre à nouveau sa capacité à aller de l’avant en débarquant sur Google Home, rapporte le quotidien Les Echos.

    Ainsi, les clients du distributeur qui sont équipés dans leur foyer de l’enceinte intelligente de Google, peuvent à partir d’aujourd’hui faire leur liste de courses par le simple usage de la voix. Il leur suffit pour cela de se connecter la  première fois en indiquant leur numéro de carte de fidélité puis en demandant à Google Home de ‘parler avec Monoprix’. Ensuite, ils doivent tout simplement énumérer les produits dont ils ont besoin pour que ceux-ci s’ajoutent à une liste de courses virtuelle. Si le client indique des produits génériques comme de l’eau, des pâtes ou du beurre, Monoprix est capable de faire le lien avec ses historiques d’achat – grâce à sa carte de fidélité – et d’y associer la marque préférée du client, ou à défaut, la marque la plus populaire sur la catégorie de produits concernée. En revanche pour le moment, l’assistant de Google ne permet pas de commander les articles désirés, cette fonctionnalité n’étant effective qu’aux Etats-Unis même s’il ne fait aucun doute qu’elle sera déployée en France. L’utilisateur français devra donc se connecter au site Monoprix.fr ou sur son application mobile afin de retrouver sa liste de courses, et passer la commande.

    Monoprix, distribution, alimentaire, Google Home

    Pour l’heure, en France et dans le secteur de la distribution, seule l’enseigne Sephora est active sur Google Home, à travers trois services : de la prise de rendez-vous pour une mise en beauté (maquillage, épilation sourcils), pour répondre à un quizz beauté ou encore écouter des podcasts de vloggeurs spécialisés évoquant diverses thématiques relatives à la beauté.

    Aux Etats-Unis, c’est le distributeur Walmart qui a conclu un accord avec Google afin de permettre à ses clients, depuis le mois de septembre dernier, de faire leurs courses chez lui via Google Assistant, l’assistant vocal de Google intégré à Google Home. Ce partenariat concerne des centaines de milliers de références commercialisées par l'enseigne Walmart. Et parmi les fonctionnalités disponibles, l’assistant de Google propose des "recommandations d'achats hautement personnalisées en fonction des achats précédents des clients, y compris ceux réalisés dans les magasins Walmart et sur Walmart.com", précisait alors Marc Lore, patron de l’e-commerce pour Walmart. Aux Etats-Unis, il pourrait se vendre jusqu'à 24,5 millions d’unités d'appareils intelligents du type Google Home en 2017, selon une étude réalisée par VoiceLabs. L'enjeu est de taille pour Google, qui entend notamment rivaliser avec Amazon et son fameux "Echo" dont la spécificité est de proposer d'ores et déjà des fonctionnalités e-commerce étendues, du moins aux Etats-Unis.

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    07-04-2017 | Produits alimentaires : l'e-commerce en tête de gondole | #Baromètre cross-canal #PromiseConsulting | @adetem

    alimentaire, barometre, cross-canal, e-commerce

    POUR TELECHARGER LE COMMUNIQUE DE PRESSE : 20170303 Alimentation COMMUNIQUE DE PRESSE PROMISE CONSULTING INC V2.0.docx

    POUR TELECHARGER CET ARTICLE : 20170509 1519.jpg

    POUR EN SAVOIR PLUS : philippe.jourdan@promiseconsultinginc.com

     

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    Baromètre #Cross-canal | Commerce physique vs commerce #digital : qui donne le plus satisfaction ? | @adetem @LSAconsommation

    COMMERCE PHYSIQUE VS. COMMERCE DIGITAL
    Produits alimentaires : l’e-commerce en tête de la satisfaction et des intentions de recommandations

    LE BAROMETRE CROSS-CANAL[1] | THE CROSS-CHANNEL BAROMETER | PROMISE CONSULTING

    POUR POURSUIVRE SON ETUDE CROSS-CANAL, PROMISE CONSULTING INC., SOCIETE DE CONSEIL ET D'ETUDES EN MARKETING S’EST INTERESSEE AUX LIEUX D’ACHATS FAVORIS DES FRANÇAIS POUR LEURS PRODUITS ALIMENTAIRES.

    Si les entreprises de retail commencent à intégrer ces tendances en adoptant des stratégies dites « omnicanales », le passage au e-commerce s’avère un défi encore plus complexe pour les enseignes de distribution alimentaire. En effet, à cause des dates de péremptions et de la nécessité de préserver la chaîne du froid, les contraintes logistiques qui pèsent sur la distribution des produits alimentaires pèsent lourdement sur l’e-commerce alimentaire. Pour autant, sous la pression des initiatives prises en particulier par Amazon Fresh, les enseignes alimentaires ont choisi la distribution hybride du Drive comme la réponse la plus adaptée. 

    Suite à un premier volet consacré aux vêtements, la lingerie, les chaussures et les parfums, Promise Consulting a souhaité mesurer le taux de pénétration des canaux pour les produits alimentaires, le degré de satisfaction et les intentions de recommandation à l’issue du dernier achat effectué en fonction des lieux d’achat

    Quelques conclusions fortes : la pénétration de l’e-commerce est encore loin derrière celle des magasins physiques et les Français dans leur grande majorité ont encore le réflexe de se rendre en hypermarchés dans des proportions importantes (5% du dernier s’est fait sur Internet vs 95% en magasins physiques). Pour autant, les enseignes traditionnelles auraient tort de se reposer sur leurs lauriers car l’étude met en exergue deux points inédits :

    [1]-  Le commerce digital prend l’ascendant sur le commerce physique en matière de satisfaction pour les pour les produits alimentaires.

    [2]-   Le e-commerce s’impose face aux points de vente physiques en matière de recommandation surfant sur les facilités offertes par les canaux digitaux en matière de bouche-à-oreille et de buzz.

     

    AVIS D’EXPERT 

    philippe jourdan, promiseconsultingPhilippe JOURDAN, Associé fondateur Promise Consulting, Professeur des Universités,  membre de l’American Marketing Association (AMA) :  

    « Le modèle économique de l’hypermarché a toujours entre autre reposé sur l’implication du consommateur dans la réalisation d’une partie de la prestation : dans les années 60 et 70, nombreux étaient les foyers à consacrer leur Samedi après-midi au cérémonial des courses en hypermarchés.

    Aujourd’hui ce rendez-vous obligé peut être vécu par certains comme une corvée : il n’a pas disparu pour autant, en particulier en Province. 95% des Français ont effectué leur dernier achat alimentaire dans un magasin physique vs 5% sur Internet. Pour autant, les grandes enseignes ont bien perçu la menace que représente le e-commerce. Les contraintes propres à la distribution de produits frais et périssables ont amené les grandes enseignes à se tourner vers le Drive, une formule hybride de type « Click & Collect », selon deux modes, un mode intégré (le client vient chercher sa commande en magasin) ou déporté (le client vient chercher sa commande dans un lieu de stockage différent du magasin) : l’an dernier selon Kantar World Panel, ce sont près de 6 millions de ménages qui se sont laissés tentés par le Drive, soit une part de marché de près de 4,2% des produits alimentaires, proche de la pénétration de 5% que nous mesurons en 2017.

    Le profil des acheteurs adeptes du Drive diffère également sensiblement de celui des acheteurs en magasins : plus jeunes (8 sur 10 ont moins de 49 ans contre 1 sur 2 en magasin) et surreprésentés au sein des professions intermédiaires (18,7% vs 12,5%). Au final, notre enquête révèle que si la pénétration du e-commerce demeure encore modeste en France s’agissant des achats alimentaires, le modèle hybride donne satisfaction avec 45% qui se disent très satisfaits (vs 37% pour les achats effectués en magasin) et un taux de recommandation de 40%. Certes les scores tant en ligne qu’en magasin demeurent plus faibles que ceux que l’on peut observer pour d’autres catégories d’achat plus impliquantes mais n’en demeurent pas moins plus élevés que ceux relevés à l’issue d’un achat en magasin physique, démontrant une dynamique qui profite aujourd’hui au modèle hybride de l’achat alimentaire en ligne. »

    promise consulting, alimentaire, barometre, canal, digital, enseigne, hyoermarches

    Télécharger l’infographie : http://bit.ly/2nKLSP6

    ETUDE COMPLÈTE SUR DEMANDE AUPRES DE PHILIPPE.JOURDAN@PROMISECONSULTINGINC.COM

    EN SAVOIR PLUS SUR L’OUVRAGE « LE MARKETING DE LA GRENOUILLE » : http://bit.ly/1J9f7vi


    [1] Le Baromètre Cross-Canal mesure la performance comparée des circuits de distribution traditionnels et de e-commerce par segments de marché. Il fait suite aux enseignements d’un ouvrage de référence publié par Promise Consulting sur les Nouveaux Comportements de Consommation et intitulé « Le Marketing de la Grenouille » (Editions Kawa | http://bit.ly/2k1N4rf). Pour plus d’informations : http://promiseconsulting-consoblog.com.

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    #Grandedistribution : les nouvelles #technologies à la rescousse du personnel | @adetem

    CHRONIQUE DE CYRIL DUFRESNE | ASC0M FRANCE |JOURNAL DU NET - 05/12/2016

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    [lire sur le même thème - Marketing de la Grenouille]

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    La révolution numérique s’impose partout dans nos sociétés et touche tous les secteurs d’activité. La grande distribution et la vente au détail sont exposées quotidiennement à un certain nombre de risques en matière de sécurité.

    Outre la menace d’une catastrophe comme un incendie, la grande distribution et la vente au détail sont confrontés aux accidents de personnes et parfois même à la violence. Le personnel des magasins, conscient de ces dangers, se sent aujourd’hui mal à l'aise. Pour faire face à ces problématiques, les responsables de centres commerciaux adoptent de plus en plus les nouvelles technologies. Ces dispositifs de communication mobiles sur site proposent des solutions de sécurité fiables, adaptées aux magasins, et apportent une réponse concrète aux inquiétudes de leurs employés.

    Une force mobile et connectée pour améliorer la sécurité et l’efficacité du personnel

    « Avec plus de 500 000 collaborateurs, la grande distribution est l’un des plus importants employeurs de France. Ce secteur se caractérise par un nombre élevé d’accidents du travail liés notamment aux manutentions, chutes, glissades de plain-pied et autres coupures avec les outils à main. »

    Nombreux sont les dispositifs de communication interne, mais combien sont réellement capables de centraliser l’ensemble des flux critiques et d’apporter une véritable intelligence en fournissant la bonne information, à la bonne personne et surtout au bon moment. 

    Aujourd’hui, les solutions applicatives métier répondent parfaitement à ces problématiques et s’intègrent facilement à l’environnement multi-technologique de la grande distribution disposant d’une technologie WIFI. Les dispositifs de téléphonie mobile sur site, d’assistance aux travailleurs isolés et les remontées d’alarmes peuvent être couplés pour renforcer l’efficacité organisationnelle et la sécurité des employés.

    Le personnel des magasins peut désormais être équipé d’émetteurs d’alarme discrets, grâce auxquels ils ont la possibilité de lancer un appel à l’aide. Une caissière ou un employé de sécurité en charge des rondes dans les entrepôts peuvent par exemple avertir en cas de problèmes, d’agressions ou d’intrusions. L’équipe en charge de la sécurité reçoit l’alarme sous la forme d’un message texte décrivant évènement et sa localisation.

    La fonctionnalité Push-to-Talk et conférence, permet à tous les membres d’intervention d’être connectés automatiquement en mode audio et de suivre ainsi l’évolution d’une situation difficile de manière efficace.

    Ces solutions applicatives, qui peuvent être implémentées avec celles utilisées par les services de sécurité, sont d’ailleurs un excellent complément à la vidéo surveillance, déjà largement développée dans les centres commerciaux.

    Le challenge de l’organisation : un avantage compétitif pour une expérience client améliorée

    Il est désormais possible de concentrer l’essentiel des processus de communication internes et d’intégrer de nombreuses applications métier en un seul outil DECT simple à utiliser, ce qui donne accès à beaucoup plus de verticalité et de réactivité.  Les applications métiers, lecteurs de codes-barres dédiés aux inventaires, système de remontée des alarmes techniques (incendie, électricité, panne de réfrigérateurs) et dispositifs DATI sont ainsi mutualisés sur les mêmes infrastructures et gérés via des plateformes logicielles flexibles et modulables qui enregistrent et communiquent avec précision les incidents. Elles permettent de mettre en œuvre une action adaptée en envoyant les flux de communication et d’alarmes vers la personne en capacité de la traiter au plus vite. Malgré l’importante mobilité du personnel évoluant dans ce secteur, aucune perte de données ou de remontée d’alarme ne sera possible.  

    Par ailleurs, le développement des nouvelles technologies dans le secteur de la grande distribution permet également d’améliorer l’expérience client et notamment de réduire le temps d’attente de ces derniers. Les vendeurs équipés d’outils de communication interne s’échangent désormais facilement les informations sur un produit ou sa disponibilité en stock. C’est un véritable gain de temps et d’organisation qui permet d’une part d’éviter aux employés de parcourir de très grandes distances entre les réserves et les rayons, et d’autres part de fortement réduire l’attente des clients en répondant au plus vite à leurs questions.

    Autre avantage, ces systèmes interopérables peuvent être installés simultanément sur plusieurs sites d’une même enseigne, ce qui procure une vue d’ensemble à 360 degrés de tous les flux de communication, magasins par magasins. 

    Cette évolution technologique profite autant aux employés qu’au management. En effet, outre les gains de sécurité et d’organisation, elle permet une concentration de l’essentiel en un seul outil, une mutualisation des infrastructures et une réelle réduction des coûts.

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    Walmart abaisse ses prévisions sur la période 2016-2017 [#distribution #alimentaire #Walmart]

    Dans un contexte de reprise même prudente de la croissance des achats des ménages américains, le géant américain de l'alimentaire ne semble pas profiter de l'embellie. Plusieurs facteurs l'expliquent qui confirment que le concept de supermarchés alimentaires séduit de moins en moins, outre-Atlantique également.

    AFP, le 18/02/2016 à 14h37 cité par LA CROIX

    L'enseigne WalMart a abaissé ses prévisions 2016/17 jeudi, invoquant des effets de change défavorables et de lourdes charges de restructuration liées à une revalorisation des salaires de ses employés américains et des fermetures de magasins.

    Les ventes devraient stagner au cours de l'exercice ayant débuté en février, contre une croissance de 3 à 4% prévue précédemment, indique le numéro un mondial de la distribution. Le bénéfice par action ajusté, référence en Amérique du nord, devrait, lui, être compris entre 4,0 et 4,30 dollars, contre 4,17 dollars attendus en moyenne par les marchés.

    "Les fluctuations des taux de change de devises (...) devraient impacter négativement les ventes d'environ 12 milliards de dollars au cours de l'exercice fiscal 2017", explique le géant américain.

    A ceci s'ajoutent des charges liées à la fermeture de 269 supermarchés qui perdent de l'argent dans le monde dont 154 aux Etats-Unis et 60 au Brésil.

    Le groupe, qui gère 11.600 magasins dans le monde dont 4.600 sur le sol américain, a notamment renoncé à l'expérimentation Walmart Express en place depuis 2011 et destinée à une clientèle pressée, désireuse de ne pas passer beaucoup de temps dans les rayons.

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    Retrouvez plus d'info dans l'ouvrage le #marketingdelagrenouille aux éditions #kawa :

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    Scanner sa liste de courses ? Gadget ou outil indispensable ? Mais au fait quel est l'objectif marketing ? [#marketing, #alimentaire, #scannette]

    Gadget ou complément indispensable pour faire ses courses alimentaires ?

    La question mérite d'être posée. Certes toutes les enseignes alimentaires s'y sont mises et proposent aujourd'hui un "bouton" permettant d'automatiser sa liste de courses en scannant le code barre des produits. La fonction n'est pas nouvelle : elle est naturellement celle adoptée par les instituts de panels dans les relevés d'achats effectués par les consommateurs depuis de nombreuses années (sans parler des applications en B2B). Pour autant, les potentiels d'adoption révélés jusqu'à présents semblent moindre que ceux espérés. Il est naturellement trop tôt pour se prononcer et surtout pour savoir quel objectif marketing sera prinpicalement visé sinon atteint par la diffusion de la scannette :

    La conquête de nouveaux clients ? Difficile si tout le monde la propose.

    La fidélisation ? Plus sûrement, car on envisage difficilement qu'un même foyer dispose de plusieurs scannettes.

    La généralisation du Drive dans un effort pour contrecarrer la moindre fréquentation des grandes enseignes alimentaires ? Pourquoi pas ?

    A nouveau la réaction de Leclerc dont l'essentiel de l'activité online est fondée sur le Drive est fortement attendue : affaire à suivre donc. 

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    Retrouvez plus d'info dans l'ouvrage le #marketingdelagrenouille aux éditions #kawa :