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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 35

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    [#CONSOLAB] [TENDANCES] | La #génération #Z ne boude pas les #boutiques mais attend de #nouveaux #services | @FASHIONNETWORK

    DE ROBIN DRIVER | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2wasLnc

    La #génération #Z ne boude pas les #boutiques mais attend de #nouveaux #services

    On a déjà beaucoup parlé de la fidélité des membres de la génération Z (nés après 1995) envers le shopping en magasins physiques, mais une étude récente, publiée par la National Retail Federation américaine et l'IBM Institute for Business Value, démontre que les revendeurs qui renoncent à associer des services en ligne, spécialement sur mobile, à leurs circuits traditionnels ratent le coche auprès de cette catégorie démographique cruciale.

    « De quoi les consommateurs de la génération Z ont-ils vraiment envie ? » est le titre d'une étude qui a interrogé 15 600 personnes âgées de 13 à 21 ans, originaires de 16 pays différents dans le monde entier - dont des marchés matures comme les États-Unis, le Royaume-Uni et le Japon, et des marchés en développement comme le Brésil, l'Inde et la Chine.

    L'étude révèle que 67 % des membres de la génération Z font leurs achats en magasins « la plupart du temps », trois fois plus que ceux qui affirment faire leur shopping en ligne avec la même régularité (22 %), une préférence qui a déjà été bien documentée, notamment par le rapport publié par Accenture en mars 2017, qui avait montré que 60 % des consommateurs de la génération Z du monde entier préféraient les magasins physiques.

    Pourtant, le rapport d'Accenture avait également prévu que les achats réalisés directement via les réseaux sociaux finiraient par dominer les habitudes de consommation de la génération Z : l'étude de la NRF et IBM confirme l'importance de ces plateformes mobiles et/ou en ligne, mais précise qu'elles sont encore loin derrière les circuits de distribution traditionnels.

    D'ailleurs, le nouveau rapport suggère même que la génération Z a tendance à tirer parti des technologies numériques et des réseaux sociaux pour créer une expérience d'achat en magasin plus cohérente et plus pratique. Par exemple, 52 % des personnes interrogées ont affirmé utiliser leur smartphone pour comparer le prix des produits entre plusieurs revendeurs, tandis que 51 % s'en servent pour dénicher un rabais ou une promotion.

    73 % d'entre eux utilisent leurs téléphones pour interagir sur les réseaux sociaux au moment de leurs achats en magasin et 47 % utilisent ces plateformes pour informer leurs familles et leurs amis du magasin où ils effectuent leurs achats - 46 % envoient même des photos et des messages pour demander l'avis de leur réseau sur le produit à acheter.

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    Tirer profit de ces interactions pourrait être une piste intéressante pour les commerçants qui cherchent à attirer les membres de la génération Z, mais le rapport déconseille également d'investir dans « la technologie pour la technologie ». « Plutôt que d'acheter des fonctionnalités sophistiquées et des gadgets, la génération Z préfère la technologie qui lui donne du pouvoir et ajoute de la valeur au produit. Les marques doivent y réfléchir soigneusement au moment d'investir dans une technologie existante ou nouvelle », conseille-t-il.

    La génération Z est aussi très exigeante vis-à-vis du bon fonctionnement de ces technologies et de la façon dont elles se connectent entre elles. Pour 51 % des personnes interrogées, il est important de pouvoir passer d'une plateforme à une autre facilement ; 62 % n'utiliseraient pas une application trop lente ; et 60 % refusent d'utiliser les applications ou plateformes en ligne où la navigation s'avère trop difficile.

    Une génération friande de personnalisation

    Quand on les interroge sur les technologies commerciales dont le développement futur les intéresse, les membres de la génération Z interrogés préfèrent massivement les services qui améliorent l'aspect pratique de la commande ou permettent de personnaliser le produit : 54 % aimeraient avoir des outils qui leur permettraient d'essayer les produits en magasins, 48 % espèrent le développement d'une technologie qui leur permettrait de personnaliser leurs produits et 42 % rêveraient de créer eux-mêmes leurs produits uniques, qui seraient ensuite imprimés en 3D sur place.

    Ce désir de personnalisation joue également un rôle important dans les attentes de la génération Z en termes de services, notamment dans les marchés en développement, où 54 % des personnes interrogées accordent une grande valeur à une expérience d'achat personnalisée, contre 43 % dans les marchés matures.

    Point intéressant, 54 % des membres de la génération Z des marchés en développement se sentent à l'aise avec le fait de partager leurs données personnelles avec les entreprises afin de bénéficier d'une expérience d'achat personnalisée - une proportion réduite à 41 % dans les marchés matures. Pourtant, ce nombre grimpe à 61 % sur tous les marchés une fois que les personnes interrogées sont assurées que ces données seront protégées correctement - tandis que 54 % expriment également le désir de garder le contrôle sur les informations qu'ils partagent.

    En somme, les membres de la génération Z sont férus de technologie, mais restent vigilants sur leur sécurité en ligne et exigeants vis-à-vis de la qualité des plateformes numériques qu'ils utilisent. Les revendeurs feraient donc bien d'investir dans des technologies qui améliorent et personnalisent l'expérience d'achat en magasin pour ces clients qui effectuent encore la majorité de leurs emplettes dans des emplacements physiques.

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    [#CONSOLAB] [COMMERCE VOCAL] | #Amazon améliore la conversation d'#Alexa... et pose les #bases du #référencement #vocal | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2rkuuAH

    #Amazon améliore la conversation d'#Alexa... et pose les #bases du #référencement #vocal

    L'assistant vocal intelligent d'Amazon se souviendra bientôt de ce qu'on lui demande de retenir, prendra mieux en compte le contexte des requêtes... et saura ouvrir une app qu'on n'a pas explicitement requise. Pour choisir parmi plusieurs skills pertinents, son algorithme pourra utiliser du machine learning ou, pourquoi pas, un système d'enchères.

    Parler avec Alexa va devenir de plus en plus naturel. Le responsable du projet Alexa Brain, Ruhi Sarikaya, a dévoilé lors de la World Wide Web Conference, qui se tenait à Lyon du 23 au 27 avril, plusieurs améliorations des capacités de l'assistant intelligent d'Amazon qui seront bientôt mises en service. Plus précisément, Alexa Brain vise à améliorer la capacité d'Alexa à prendre en compte le contexte et les éléments passés dans ses dialogues avec les utilisateurs, de manière à leur rendre plus aisées les interactions avec elles.

    De nombreuses améliorations seront déployées dès cette année et rendront l'assistant vocal plus intelligent, plus engageant et plus personnalisé, a indiqué Ruhi Sarikaya. Mais trois d'entre elles sont déjà connues.

    De la mémoire et du contexte

    Tout d'abord, Alexa saura bientôt de souvenir des informations qu'on lui a demandé de retenir. Les utilisateurs pourront lui dire "Alexa, souviens-toi que l'anniversaire de David est le 12 juin". Alexa répondra "Ok, je me souviendrai que l'anniversaire de David est le 12 juin"... et saura d'elle-même vous restituer l'information en temps utile. Google Assistant disposant déjà d'une fonction mémoire, il était temps qu'Alexa s'en dote aussi.

    Par ailleurs, il va devenir possible de converser avec elle sans commencer toutes les phrases par "Alexa" : l'assistant comprendra que les questions de relance lui sont adressées. Typiquement, on pourra lui dire "Alexa, quel temps fait-il à Lyon ?" puis, après qu'Alexa aura répondu, la relancer par "Et le weekend prochain ?" ou même "Et c'est à combien d'heures de route ?". Non seulement Alexa aura compris qu'on lui parle toujours, mais aura aussi pris en compte le contexte pour parvenir à passer de la météo au trafic routier.

    Skills tiers : le début d'un référencement

    Mais l'amélioration la plus intéressante réside sans doute dans la capacité qu'aura le concierge vocal d'Amazon à activer et à ouvrir un skill (le nom qu'Amazon donne aux applications vocales hébergées sur Alexa) en réponse aux questions qu'on lui pose sans qu'on nomme explicitement le skill en question. Ainsi, demander "Alexa, comment nettoie-t-on une tâche d'huile sur un vêtement ?" pourra conduire l'assistant à répondre "Voici 'Tide Stain Remover'", c'est à dire le skill 'Nettoyant' de la marque de lessive Tide, qui se trouve aider à nettoyer 200 types de taches différentes, dont les taches d'huile.

    Il existe actuellement 40.000 skills développés par des tiers et en effet, il est peu probable que l'utilisateur connaisse l'existence de cette application-ci. Qu'Alexa sache elle-même puiser le skill adapté dans son répertoire apporte donc un vrai service. Pour l'instant, Ruhi Sarikaya indique que l'une des approches retenues consiste à utiliser du machine learning pour déterminer quelle app est la plus pertinente. Mais cette question conduit évidemment aussi à imaginer un système de référencement payant similaire aux liens sponsorisés pour lesquels les marchands enchérissent sur des mots-clés. On peut parfaitement imaginer qu'Amazon mette en compétition différentes marques (ou marchands, ou services) pour dégainer leur skill en priorité s'il répond de façon pertinente à une demande implicite, quitte à ce que l'utilisateur puisse relancer par un "Y a-t-il d'autres skills ?"

    Amazon n'a pas fourni la date exacte de lancement de ces trois nouvelles fonctionnalités, indiquant simplement qu'elles étaient prévues pour bientôt et que l'équipe d'Alexa Brain travaillait sur de nombreuses autres améliorations encore. Reste que la façon dont Amazon va choisir d'arbitrer entre les skills tiers devrait être scruté avec énormément d'attention par tout le marché...

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    [#CONSOLAB] [BEAUTE] | #Moyen-#Orient : L’#essor des #marques #locales transforme le #marché de la #beauté | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE SOPHIE NORMAND | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2HGfhF6

    #Moyen-#Orient : L’#essor des #marques #locales transforme le #marché de la #beauté

    Dans un contexte économique difficile, le marché de la beauté dans les pays du Golfe connaît une véritable transformation. Longtemps dominantes les marques internationales sont aujourd’hui challengés par des acteurs locaux et des marques émergentes s’adressant à une nouvelle génération très connectée de consommateurs. Ces évolutions sont au cœur du 6e Livre Blanc que le Groupe Chalhoub présentait la semaine dernière à Paris.

    La fin d’un cycle

    L’industrie de la beauté au Moyen-Orient est en proie à de profondes mutations : la fin d’un cycle de domination par les marques internationales, concurrencées par l’émergence d’acteurs indépendants. Recentrées sur les valeurs traditionnelles et culturelles, ces dernières s’adaptent à de nouveaux consommateurs : une jeunesse ultra-connectée et exigeante. Un public en quête d’une offre personnalisée, ciblée et sophistiquée. Très présente sur les réseaux sociaux d’où émergent de véritables experts, cette jeunesse est à l’écoute des beautystas, qui bénéficient d’un fort poids médiatique, à l’image de la blogueuse Huda Katan, à la tête aujourd’hui de la marque make-up Huda Beauty. Or, cette nouvelle donne favorise le succès des acteurs indépendants locaux, très présents sur le digital, (plateformes e-commerce, réseaux sociaux), à même de satisfaire cette promesse qui conjugue tradition, innovation et personnalisation. 

    « Le numérique et le commerce électronique ont profondément perturbé l’univers de la beau té dans le CCG. [..] Les nouveaux acteurs de la beauté locale captent l’essence des besoins des clients du Golfe et défient les entreprises traditionnelles. En secouant l’industrie, la forçant à penser différemment et à être plus centrée sur le consommateur, ils ont un impact majeur et très positif. Le Groupe Chalhoub s’ouvre à ces indépendants de la beauté dont la région a besoin et les accueille. Nous sommes fiers d’avoir contribué à leur expansion internationale et de les voir connaître un grand succès », explique Anthony Chalhoub, co-PDG du Groupe Chalhoub.

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    Stratégies omnicanales

    Pour s’adapter à ce nouveau paysage, le Groupe Chalhoub préconise plusieurs stratégies. Élaborer des produits personnalisés, développer les stratégies digitales, renouveler le lien authentique avec cette nouvelle génération à travers une expérience shopping unique, étoffer l’offre en ligne. Mais aussi soutenir ces nouveaux acteurs locaux essentiellement présents sur la toile en leur offrant de la visibilité en boutique.

    Une évolution essentielle lorsqu’on sait que le marché de la beauté dans les pays du Golfe a chuté de 5%, avec un total de ventes à 1,9 milliards de dollars en 2016 contre 1,8 milliards l’an dernier. Dans un contexte macro-économique difficile, les groupes internationaux ont réduit leurs budgets marketing. Les marques institutionnelles peinent à s’adapter, favorisant ainsi le succès des petits créateurs locaux qui embrassent pleinement les besoins d’une nouvelle génération en quête d’une offre plus proche du client, via le digital et les réseaux sociaux.

    Le Groupe Chalhoub cherche ainsi à renouveler l’expérience shopping avec de nouveaux concepts retail et des marques propres. Un parti-pris d’autant plus pertinent dans ces pays du Golfe où les rituels beauté rythment chaque instant de vie, à l’image du parfum mais aussi du make-up. Dans un contexte où les femmes se voilent, il est notamment indispensable de concevoir une vaste gamme de produits pour les yeux (fards, khôls, mascaras, faux-cils, crayons, gel, poudres pour sourcils…). Entre tradition et modernité, les marques locales valorisent les rituels ancestraux (parfums construits autour de l’oud et de l’encens, khôl pour les yeux) pour les adapter aux besoins actuels d’une jeunesse moderne et connectée.

    « Les consommateurs du CCG ont évolué. Ils sont maintenant assertifs, curieux, déterminés, et surtout influencés par leur cercle d’amis sur les réseaux sociaux. En termes de beauté, ils se concentrent sur le maquillage et recherchent de l’originalité, du fun et de la couleur. [...] Un nombre croissant d’entrepreneurs locaux se lancent dans des initiatives pertinentes pour leur propre communauté. Ils changent la scène de la beauté du Golfe et créent un nouveau mouvement dynamique. Ils défient les acteurs institutionnels et les obligent à repenser leur stratégie », ajoute Patrick Chalhoub, co-PDG du groupe Chalhoub.

    Dans une région où les rituels maquillages et olfactifs sont intimement liés depuis toujours à la culture des femmes, le Groupe Chalhoub soutient de nombreuses marques cosmétiques « de niche » pour mieux cerner, renouveler et accueillir la beauté d’aujourd’hui.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Picard et #Carrefour, les #enseignes les plus #actives sur #YouTube au 1er trimestre 2018 | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2jeUfym

    #Picard et #Carrefour, les #enseignes les plus #actives sur #YouTube au 1er trimestre 2018

    L’agence TubeReach réalise chaque trimestre un baromètre de vitalité afin de mesurer le dynamisme des marques sur YouTube. Du côté des enseignes de distribution (hors beauté), ce sont Picard et Carrefour qui ont été les plus actives au 1er trimestre 2018.

    Chaque trimestre, l’agence de conseil TubeReach réalise un « baromètre de vitalité » qui analyse et évalue le dynamisme de 500 chaînes YouTube françaises de grandes marques. Elle attribue à chacune un indice de vitalité calculé sur 100. A partir de ces notes, TubeReach a réalisé un classement des 10 enseignes de grande distribution (hors beauté) les plus actives. « C’est un secteur hétérogène. Après cinq bons élèves ayant des scores relativement proches et élevés, nous observons un décrochag certain et donc un potentiel de progression avéré… », commente TubeReach. Effectivement, au premier trimestre 2018, les 5 premières chaînes d’enseigne présentent des indices au-dessus de 25 sur 100. Ce sont Picard et Carrefour qui ont été les enseignes les plus actives avec, pour chacune, un score de 37. A titre de comparaison, dans le domaine de la beauté, sur la même période, Sephora a obtenu un score de 76. La grande distribution a donc encore de gros progrès à faire dans le domaine.

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    [#CONSOLAB] [CONNECTE] | A #EuroCucina, #Whirlpool présente la #cuisine #connectée de demain | @LSA

    DE MAGALI PICARD | LSA | http://bit.ly/2K42N7x

    A #EuroCucina, #Whirlpool présente la #cuisine #connectée de demain

    Au salon EuroCucina, qui montre les dernières innovations en matière de cuisines à Milan, et qui s'achève ce dimanche, les marques d'électroménager essaient de montrer des solutions plus intelligentes. A commencer par Whirlpool avec la collection W et Google Assistant, qui sort en juin.

    Vos lasagnes sont prêtes et vous ne savez pas à quelle température les faire cuire? Votre linge est prêt et vous ne savez pas que le coton se lave à 40 degrés? Heureusement Whirlpool est là et va vous répondre via Google Home. La marque américaine, leader en France sur le gros élecroménager avec 16% de part de marché en valeur en 2017, a profité du salon EuroCucina à Milan pour présenter son prochain lancement, la collection W. Prévu pour juin dans plusieurs pays, la France, la Grande-Bretagne, l'Italie et la Pologne, il a demandé un investissement lourd, de l'ordre de 200 à 300 millions de dollars. C'est dire l'importance de l'enjeu pour le fabricant.

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    Le choix de Google

    Whirlpool l'avait annoncé en début d'année au CES de Las Vegas : désormais, ses appareils seront compatibles avec l'assistant vocal de Google. La concrétisation est venue à Milan où la marque a dévoilé un four connecté avec Google Assistant. Parlez-lui, il vous répondra! Les autres marques ont plutôt choisi Alexa, la voix d'Amazon. C'est le cas de Miele ou de Siemens. Mais Whirlpool va un peu plus loin en montrant un appareil qui communique avec d'autres. Les nouvelles hottes connectées peuvent par exemple filtrer l'air automatiquement à la bonne puissance dès que l'on utilise la table de cuisson à induction. C'est tout le sens de la W Collection, transversale, qui concerne le four, le micro-ondes, la table à induction, les hottes et le réfrigérateur. Norbert Schmidt, vice-président en charge des opérations, des produits et des marques chez Whirpool Europe, en est persuadé. "Les consommateurs sont très sensibles à l'univers de la connectivité et privilégient les appareils électroménagers intelligents faciles d'utilisation et capables d'améliorer leur quotidien".

    INTÉGRATION D'INDESIT

    Le lancement de la W Collection signifie aussi un nouveau départ pour un nouveau groupe, celui qui réunit Whirlpool et Indesit. Depuis le rachat en juin 2014 de l'italien Indesit, Whirlpool a consacré tout son temps à la fusion des deux groupes. Certaines marques ont disparu, comme Scholtès ou Laden, pour se recentrer autour de quatre principales, chacune positionnée sur un segment différent. Ainsi, Indesit sur l'entrée de gamme, Hotpoint en coeur de marché, et les deux dernières (Whirlpool et KitchenAid) sur le premium. La complémentarité est également géographique. Indesit permet à Whirlpool d'accéder à de nouveaux marchés, comme la Russie, la Grande-Bretagne et la Turquie. "Nous avons quasiment terminé l'intégration, précise Philippe Kaltenbach, pdg de la filiale française et ex-Indesit.Le plus complexe a été de fusionner les systèmes d'information". Et aussi de fermer des usines. Après Fabriano en Italie, la dernière à fermer sera celle d'Amiens en juin prochain.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | Près d’un #Français sur 3 achète de l’#hygiène-#beauté sur #internet | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2F2csrH

    Près d’un #Français sur 3 achète de l’#hygiène-#beauté sur #internet

    Les études de Kantar Worldpanel montrent que l’e-commerce est un circuit à fort potentiel pour l’hygiène-beauté.

    A l’occasion de son Consumer Day, Kantar Worldpanel a souligné le fort potentiel que représente l’e-commerce pour l’hygiène-beauté. Le secteur représente 17,5% des dépenses PGC-FLS en e-commerce contre 9% sur l’ensemble des circuits. « Près d’un Français sur 3 achète de l’hygiène-beauté sur internet. C’est autant d’acheteurs qu’en enseignes à dominance marques propres (EDMP) »,  explique Anaïs Dupuy, experte beauté chez Kantar Worldpanel. Les dépenses ont augmenté de 10,9% ces derniers mois. 

    Chez Amazon, toujours selon Kantar Worlpanel, l’hygiène-beauté représente 56% des achats PGC-FLS. Du côté de la grande distribution alimentaire, selon Iri, le drive est le circuit où les ventes ont le plus progressé en 2017 : +7,1% sur l’année. Et ce, avec un assortiment limité… Il serait donc intéressant que marques et enseignes investissent ce circuit.

     

    RETROUVER NOTRE COMMUNIQUE DE PRESSE SUR LES PRODUITS DE BEAUTÉS: la nécessité d’une expérience physique condamne-t-elle l’e-commerce ?