Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 39

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #Adidas va #fermer plusieurs #magasins pour #stimuler ses #ventes #e-commerce | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2IGkrwF

    #Adidas va #fermer plusieurs #magasins pour #stimuler ses #ventes #e-commerce

    Adidas prévoit de fermer plusieurs magasins ces prochaines années, dans le cadre d'une stratégie visant à distribuer plus de produits en ligne, selon les dires de son PDG Kasper Rorsted. Dans un entretien donné au journal britannique Financial Times, Kasper Rorsted déclare : "Avec le temps, nous aurons moins de magasins, mais ils seront optimisés", avant d'ajouter que ces prochaines années, le nombre de magasins Adidas devrait diminuer légèrement. "Notre site Internet est notre premier magasin dans le monde".

    Adidas aimerait multiplier par plus de 2 ses ventes e-commerce pour atteindre 4 milliards d'euros d'ici 2020, contre 1,6 milliard l'an dernier. L'équipementier allemand exploite 2500 magasins dans le monde et 13000 magasins franchisés.

    Adidas, fermer, magasins, stimuler, ventes, e-commerce

    Adidas vient de lancer une application mobile qui permet de personnaliser son expérience d'achat en ligne. Celle-ci est disponible aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Allemagne, et devrait sortir cette année en France, en Espagne et au Canada.

    En 2017, Adidas a annoncé des revenus en hausse de 16% à 21,2 milliards d'euros, tandis que ses marges d'exploitation ont progressé de 120 points de base pour atteindre 9,8%.

    À l'avenir, Adidas aimerait faire augmenter ses ventes de 10% à 12% par an jusqu'en 2020, et ses marges d'exploitation de presque 10% à 11,5%. L'entreprise a pour objectif de faire progresser son résultat net d'environ 22% à 24% par an jusqu'en 2020.

  • Imprimer

    LA CULTURE EST-ELLE EXPLICATIVE DES DIFFÉRENCES DE DYNAMISME ENTREPRENEURIAL | Les cas de la France et de l'Angleterre| @PHILIPPE JOURDAN & @JEAN-CLAUDE PACITTO

    DE PHILIPPE JOURDAN ET JEAN-CLAUDE PACITTO | http://bit.ly/2qjKEKI

    LA CULTURE EST-ELLE EXPLICATIVE DES DIFFÉRENCES DE DYNAMISME ENTREPRENEURIAL

    Les cas de la France et de l'Angleterre,

    Il n’est jamais facile de répondre à des questions complexes comme celles du pourquoi du différentiel de dynamisme entrepreneurial entre pays ou continents. Comme souvent les causes sont multiples et les phénomènes interactifs. Confrontés au besoin de comprendre et d’agir, les acteurs impliqués dans le développement entrepreneurial et notamment les pouvoirs publics ont besoin d’explications plus globales susceptibles de mobiliser les énergies et de simplifier la recherche des causes.

    On ne comprendra jamais le succès des explications culturalistes si on ne les restitue pas dans un contexte de demande de simplification causale des phénomènes étudiés. Ces explications ont eu tendance à devenir des théories séduisantes au sens de Boudon (1986) et ont perdu de leur validité scientifique.

    L’examen des trajectoires différenciées de la France et de l’Angleterre en matière entrepreneuriale nous permettra de mieux révéler l’influence du contexte politico-institutionnel sur le développement entrepreneurial et relativiser ainsi les explications de type « culturaliste » qui au final n’expliquent pas grand-chose.

    « Point de vue : la culture est-elle explicative des différences de dynamisme entrepreneurial. Les cas de la France et de l’Angleterre », Gestion 2000, vol. volume 34, no. 5, 2017, pp. 257-273

    Découvrir l'article : http://bit.ly/2EAKh2L

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [COMMERCE VOCAL] | #Target et #Google créent le #premier #coupon #vocal | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2qi9Jox

    #Target et #Google créent le #premier #coupon #vocal

    Pour les deux firmes, ce pilote vise à accroître la notoriété de ces nouveaux usages, à tester de nouveaux modes de monétisation vocale et à se renforcer face à Amazon.

    L'enseigne américaine Target s'est associée à Google pour créer un coupon activé par la voix, une première pour Google Assistant, rapporte Adweek. La promotion s'est achevée le 3 avril, en avance, car elle avait déjà atteint ses objectifs selon Target. Les consommateurs pouvaient activer la remise en disant (ou en tapant) la phrase "spring into Target" ("ouvre l'app Target") à Google Assistant, sur le haut-parleur Google Home ou sur l'app Android ou iOS du service. Ils recevaient alors un coupon de 15 dollars à valoir sur leur prochaine commande réalisée avant le 21 avril auprès de Target via le service de livraison à domicile Google Express.

    Pour l'instant, la monétisation des recherches vocales reste peu explorée. Mais cette opération montre une voie possible, visant à doper les ventes de Target (qui a tout de même dû annoncer sa promo sur d'autres canaux) et à accroître les usages de Google Assistant, notamment en démontrant qu'ils ne servent pas qu'à demander la météo ou à passer de la musique. L'assistant de Google nécessitant une forte composante shopping pour pouvoir rivaliser avec Alexa d'Amazon, on pourrait voir se multiplier ce type d'initiatives et voir progresser les coupons vocaux au même rythme que les achats vocaux.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | En 2018, #Amazon pourrait #lancer des #marques autour de ces #trois #produits | @LSA

    DE LELIA DE MATHAREL | LSA | http://bit.ly/2JgNpUP

    En 2018, #Amazon pourrait #lancer des #marques autour de ces #trois #produits

    L'e-commerçant pourrait créer d'ici décembre une marque de couches pour bébés, de caisses de transport pour animaux et de chauffages d'extérieurs, qui sont trois articles à fort potentiel.

    One Click Retail a analysé les résultats commerciaux des différents produits lancés par Amazon en propre, pour comprendre lesquels ont le plus gros potentiel. Selon le rapport rédigé par le spécialiste de la data, le géant de l'e-commerce pourrait lancer en 2018 une marque autour de trois articles : les couches pour bébés, les caisses de transport pour animaux (dont les ventes ont crû de 80% entre janvier et décembre 2017, pour atteindre les 2 millions de dollars) et les chauffages d'extérieurs.

    Loin de n'être qu'un intermédiaire entre les consommateurs et les vendeurs, Amazon détenait 41 marques en décembre 2017 selon L2inc. La compagnie a développé une stratégie très précise pour identifier les produits qui pourraient faire un carton s'ils sont lancés à grande échelle en marque propre.

    Amazon, lancer, marques, trois, produits

    12 à 18 mois d'analyse des résultats commerciaux

    Le groupe lance dans un premier temps différents articles au sein d'une catégorie donnée (les couches et les petits pots pour bébés en novembre et décembre 2017 par exemple). Ces produits sont déclinés en un petit nombre d'options, pour que les coûts de développement et de production soient faibles.

    La société analyse dans le détail les résultats commerciaux de ces différents échantillons pendant 12 à 18 mois. Elle sélectionne ensuite les produits à fort potentiel et travaille sur différentes versions à proposer aux consommateurs, avant de lancer une marque autour de ces articles. La nouvelle gamme de produits siglée Amazon est boostée par une campagne de communication musclée en première page du site de vente en ligne, via de la publicité envoyée par mail, sur Google…

     

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [BREXIT] | #Brexit : la #French #tech #londonienne adopte le "#wait and #see" | @LUSINEDIGITALE

    DE STEPHANIE SALTI | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2GqVM2q

    #Brexit : la #French #tech #londonienne adopte le "#wait and #see"

    French Tech London vient de publier un nouveau sondage sur l’attitude des entrepreneurs face au Brexit. Si l'inquiétude baisse, les start-up françaises candidates au départ du Royaume Uni privilégient la France comme destination de choix .

    "Keep cool and carry on". Cela pourrait être la devise des entrepreneurs de la Tech française basés à Londres. A tout juste un an de la sortie officielle du Royaume-Uni de l’UE, French Tech London, qui rassemble les acteurs de la French tech (investisseurs, entrepreneurs, associations etc..) dans la capitale britannique, vient de publier un nouveau sondage sur l’attitude des entrepreneurs face au Brexit. Le premier avait été réalisé en janvier 2017, deux mois avant le déclenchement de l’Article 50.


    LES START-UP FRANÇAISES MOINS INQUIÈTES FACE AU BREXIT

    Brexit, French, tech, londonienne, wait, see

    De toute évidence, les niveaux de stress de la communauté technologique française à Londres ont considérablement baissé en une année : alors que 78 % confiaient leur inquiétude face aux conséquences du Brexit au début 2017, ils ne sont plus aujourd’hui que 54 % dans ce cas. Pour 60 % des répondants, le principal sujet d’inquiétude concerne la liberté de circulation tandis que 55 % évoquent les relations commerciales : "L’impact sur la vie quotidienne est restée faible jusqu’à présent, commente Albin Serviant, président de French Tech London. Par ailleurs, l’accord entre l’Union européenne et le Royaume-Uni sur le principe d’une période de transition de mars 2019 à fin 2020 permet au secteur de temporiser. On s’habitue peu à peu à cette ambiance".

    Pas question pour autant de rester les bras croisés : un tiers des 150 répondants au sondage ont pris des dispositions face au Brexit, soit 10 points de plus que l’an passé. Sans surprise, ce sont les personnes âgées de plus de 55 ans qui se sont montrées les plus prudentes, alors que les 18-25 ans ne se sont pas mobilisés : "Pour cette catégorie, la sensibilité au risque Brexit est bien moindre que pour les plus âgés, poursuit le président de French Tech London. Bien souvent, ce sont des professionnels qui n’ont pas d’enfants, pas plus que de biens immobiliers." Parmi les dispositions prises, 14% ont mentionné la possibilité de quitter Londres tandis que 6 % souhaitent déposer un dossier en vue de l’obtention d’un permis de résidence. Enfin, 5% désirent créer une structure juridique en Europe.
     

    LA FRANCE, UNE DESTINATION DE PRÉDILECTION, MAIS...

    Les candidats au départ confirment le choix de la France comme destination de prédilection : ils seraient 55 % à opter pour ce pays, loin devant les Etats-Unis (25 %), l’Allemagne (17 %) et l’Espagne (14%) : "L’effet Macron et les réformes menées au pas de charge créent un environnement propice dans l’Hexagone";explique Albin Serviant. A l’inverse, l’appétit pour l’Espagne s’est écroulé d’une année sur l’autre, conséquence des événements en Catalogne". Londres est pourtant loin d’être délaissée : "On continue à voir des personnes arriver à Londres, poursuit le président de French Tech London. L’écosystème londonien reste très dynamique avec des levées de fonds importantes. Par ailleurs,  quand il s’agit de se confronter à un univers international, Londres est toujours considéré comme un véritable eldorado et une porte d’entre vers d’autres marchés comme l’Asie ou les Etats-Unis."

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [BEAUTE] | « Le #e-commerce #crossborder est très #adapté au #marché #chinois de la #beauté », Joël Palix, Feelunique | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE MARIE-HELENE CORBIN | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2uHCctp

     « Le #e-commerce #crossborder est très #adapté au #marché #chinois de la #beauté », Joël Palix, Feelunique 

    « Le marché chinois de la beauté est le plus ouvert au monde », a affirmé Joël Palix, PDG de la plate-forme de e-commerce Feelunique lors de China Connect, le rendez-vous des spécialistes du marketing digital en Chine qui s’est tenu en mars à Paris. Citant le cabinet d’étude L2, il a souligné que parmi les dix marques de beauté les plus performantes en ligne en Chine, quatre sont françaises (Avène, Dior, Lancôme, L’Oréal Paris), deux américaines (Estée Lauder, Maybelline), deux coréennes (Innisfree, LANEIGE), une japonaise (SK-II), et seulement une chinoise (CHANDO).

    « Feelunique réalise plus de 100 millions de livres sterling de chiffre d’affaires principalement en ligne en proposant à 550 marques de cosmétiques de distribuer du jour au lendemain leurs produits dans le monde entier », explique le PDG. Fonctionnant sur la base d’un modèle e-commerce crossborder, la plate-forme anglaise fondée en 2004 n’est en Chine que depuis octobre 2015. Elle s’est alors rapprochée de la société Azoya, basée à Shenzhen, qui a mis au point la version chinoise du site internet Feelunique et gère localement le merchandising, le marketing ainsi que le customer service. « Nous distribuons pour le moment 350 marques et 20 % de nos ventes globales sont réalisées en Chine », indique Joël Palix. 

    -10528-c448e.jpg

    Suspicion sur les plates-formes locales

    Selon lui, cette réussite vient du fait que les Chinois achètent beaucoup sur Internet (le marché de la beauté en Chine représente 12% des ventes globales mais 30% des ventes en ligne à l’échelle mondiale) et sont super informés. « Les consommateurs chinois passent des heures à essayer d’obtenir des informations sur des marques qui ne sont pas disponibles en Chine, sur des plates-formes spécifiquement créées à cet effet telles que Xiaohongshu (Little Red Book). C’est là où le modèle crossborder devient si pertinent.  »

    Le e-commerce local n’est qu’une partie du marché, « car les Chinois ne font pas confiance aux plates-formes locales qui peuvent vendre des contrefaçons potentiellement dangereuses quand il s’agit de cosmétiques, et préfèrent se tourner vers les sites occidentaux », assure Joël Palix. Ces derniers proposent également des produits moins chers car moins taxés, un avantage auquel sont sensibles les acheteurs chinois.

    Éviter les tests sur les animaux

    Pour les marques étrangères, le modèle crossborder est un moyen d’accéder plus rapidement au marché chinois, « qui sinon requiert 6 à 18 mois dans le cas d’un enregistrement local  », prévient Joël Palix. « De plus, les produits doivent alors être approuvés par les autorités chinoises qui imposent les tests sur les animaux, ce que beaucoup de marques considèrent contraire à leur éthique. » Le crossborder, parfaitement légal en Chine, permet donc de passer outre certaines contraintes pesantes et de tester le marché en limitant les frais.

    Mais le succès n’est pas assuré pour autant, la clé étant pour les marques d’attirer l’attention et de créer une communauté, que ce soit en ligne ou dans la vie réelle. « Les consommateurs chinois veulent aujourd’hui davantage qu’un produit, ils souhaitent une interaction avec la marque, une sensation d’appartenance à une communauté, un style de vie spécifique, » rappelle Joël Palix. « L’important est moins la plate-forme que vous utilisez que la qualité de votre contenu et la façon dont vous vous adaptez au calendrier chinois, comment vous entrez en relation avec les consommateurs, même en dehors de Chine, par le biais de KOLs (Key Opinion Leaders), ou de la diaspora chinoise de l’étranger qui peut passer le mot à sa famille et ses amis en Chine. »

    Paysage mouvant

    WeChat reste à l’heure actuelle la plate-forme incontournable si l’on veut toucher une audience chinoise. « C’est aujourd’hui notre principal moteur. Il est essentiel de développer une stratégie propre à WeChat avec un contenu exclusivement chinois », insiste Joël Palix qui précise que Feelunique n’est pas présent sur les plates-formes majeures Tmall et JD.com. « Ce qui a provoqué beaucoup de scepticisme lors de notre lancement en Chine. »

    « Nous nous ouvrons toutefois à d’autres plates-formes, telles que Xiaohongshu (Little Red Book), et nous sommes constamment sur nos gardes pour être sûrs que notre modèle est le bon dans cet environnement chinois en constante évolution. » Selon Joël Palix, Feelunique a gagné en efficacité dans son fonctionnement global depuis son entrée en Chine, car « le pays ouvre la voie en termes de vente de beauté en ligne. »