Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 41

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Etam teste la #caisse #libre-#service | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2GBqyVz

    #Etam teste la #caisse #libre-#service

    Dans le cadre de la transformation digitale du groupe Etam entamée en 2015, son enseigne phare expérimente de nouvelles solutions pour lier plus intimement commerce physique et en ligne. L’étiquetage RFID de ses produits va permettre de lancer le « ship from store » (soit l’expédition de produits depuis les magasins) et le passage en caisse libre-service. Les objectifs de l’enseigne de lingerie ? Améliorer la relation client, optimiser sa logistique et anticiper les comportements d’achat.

    Deux des boutiques parisiennes de la marque - celles de Saint-Lazare et de Faubourg Saint-Antoine - sont à ce jour équipées de la RFID, ce principe de radio-identification fonctionnant à l’aide de puces. « L’objectif est d’implémenter cet outil dans tous les magasins du réseau français, soit 450 adresses, d’ici fin 2018, début 2019. Puis ensuite, évidemment, le déployer à l’international », comme l’annonce Jonathan Attali, directeur e-commerce et innovation de la marque, dans une interview à retrouver sur FashionNetwork.com Premium.

    L’un des premiers bénéfices de ce système est d’introduire pour Etam une nouvelle option en boutique, à savoir le « paiement sans caisse traditionnelle ni hôtesse, ce qu’on appelle le "self-check out" ». Concrètement, sur une borne, le client place son panier sur un crochet, tandis que l’antenne RFID enregistre aussitôt les articles, sans que l’on ait besoin de scanner d’étiquette. Le client paie alors seul à la borne via une tablette. La première semaine d’avril, un premier test sera mené dans le magasin de Saint-Lazare à Paris. « Ce service sera ensuite déployé dans une sélection de magasins à fort trafic, comme celui des Champs-Elysées, de la rue de Rennes à Paris ou de Lyon Part-Dieu », poursuit le dirigeant.

    Pour l’entreprise, la RFID facilite également l’organisation et la gestion des stocks. Etam pourra à terme expédier des articles depuis un magasin à une cliente ayant passé commande en ligne. « Ce principe de "ship from store" sera développé progressivement, une fois que le système RFID aura été bien déployé. L’avantage, c’est que le client en ligne aura à disposition non seulement les stocks de l’entrepôt, mais aussi celui des 450 boutiques de l’Hexagone. Si une cliente à Lille veut un produit qui n’est disponible que dans le magasin de Nice, elle pourra le commander. Commercialement, cela nous permettra de diminuer les stocks résiduels, qui sont actuellement écoulés par des soldeurs. »

    Autre nouveauté chez Etam, un service d’essai avant achat sera lancé début avril, afin de lever les freins liés à l’avance de trésorerie. Pour l’instant baptisé « try at home », ce service permettra à la cliente de passer commande en ligne en laissant ses coordonnées bancaires, mais ne sera pas débitée pendant 12 jours, ce qui lui laisse donc la possibilité de retourner le produit.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [TENDANCES] | Pour les #jeunes #Français, les #influenceurs deviennent #référents | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2pLiJlO

    Pour les #jeunes #Français, les #influenceurs deviennent #référents

    Les 18-24 ans sont libres... mais influençable. C'est en quelque sorte la conclusion de l'étude l'observatoire Cetelem/Harris Interactive qui s'est intéressé au phénomène des influenceurs(euses) et son impact sur les actes d'achats des Français. Ainsi, 64 % de l'ensemble des Français intérrogés déclarent se sentir libres au moment de faire des achats.

    Dans les faits, plusieurs facteurs influencent de manière significative les achats des Français, selon l'observatoire Cetelem/Harris Interactive qui a interrogé 1 000 Français.

    Les commentaires des proches (65 %), les messages de santé publique (55 %), les commentaires en ligne (51 %), les vendeurs en magasin (50 %) et les informations données par Internet (47 %) semblent en effet déterminants au moment de faire des choix. Les 18-24 ans se montrent plus sensibles aux commentaires en ligne (70 %) contre 42 % des personnes de 50 ans et plus. Ils sont également plus perméables à la publicité concernant les produits (35 %) comparativement aux 50 ans et plus (13 %), selon l'étude.

    Phénomène émergent de communication, le discours des influenceurs(euses) et des réseaux sociaux où ils officient, connus par 40 % des Français interrogés, semble davantage porter auprès des jeunes qui sont 58 % à savoir précisément de quoi il s'agit contre 32 % des plus de 50 ans. Si ces nouveaux ambassadeurs sont considérés par la majorité des Français interrogés comme les promoteurs d'une marque (79 %), ils sont vus par les jeunes comme des experts capables de rester indépendants (41 %) et de fournir des conseils personnalisés (48 %) et humains (47 %).

    Près d'un Français sur trois (29 %) reconnaît qu'il s'est déjà intéressé de plus près à une marque citée par un influenceur, contre 62 % des jeunes.

    Plus d'un jeune sur deux se dit friands de leurs recommandations dans les domaines du lifestyle (55 %), de la beauté (52 %) et du sport (57 %). 80 % d'entre eux déclarent avoir connu une marque grâce aux influenceurs et 58 % avoir acheté un produit, contre 27 % de l'ensemble des Français, selon l'étude.

    La culture (27 %), l'alimentation (26 %) et l'informatique (26 %) sont les secteurs où les conseils des influenceurs sont les plus suivis, tous âges confondus.

    L'enquête a été réalisée par Harris Interactive en ligne du 13 au 15 mars auprès d'un échantillon de 1 000 personnes, représentatif des Français âgés de 18 ans et plus.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [COMMERCE VOCAL] | #Carrefour s’#allie avec #Google pour #créer une #assistante #vocale | @PRESSECITRON

    DE SETRA | PRESSE CITRON | http://bit.ly/2Gdex9q

    #Carrefour s’#allie avec #Google pour #créer une #assistante #vocale

    Carrefour présente Léa, son assistante vocale intégrée aux enceintes connectées de Google.

    Alors qu’Amazon prépare le lancement d’Alexa et des enceintes connectées Echo dans l’Hexagone, Carrefour et Google s’allient pour créer « Léa », une sorte d’assistante connectée dédiée aux courses que l’on peut invoquer sur Google Assistant ou Google Home.

    Présentée comme « l’assistant Carrefour », Léa se base donc sur la technologie de Google pour améliorer l’expérience des clients. « Avec Carrefour et votre assistant Google, gérez votre quotidien rien qu’au son de votre voix : infos magasin, liste de courses, ingrédients de vos recettes préférées sous la main », explique Carrefour.

    Sur Google Assistant ou Google Home, l’utilisateur invoque Léa avec la phrase « Ok Google, parler avec Carrefour ». Puis il s’identifie, et après cela, il sera possible d’utiliser l’assistante de Carrefour pour gérer sa liste de courses, trouver des recettes ou encore trouver un magasin.

    « Léa a été conçue pour simplifier le quotidien de nos clients afin qu’ils puissent gérer leurs listes de courses sur les sites et applications Drive et Ooshop, uniquement à l’aide de la voix », lit-on dans un communiqué de presse. « L’assistant vocal est aussi capable d’ajouter les ingrédients au panier à partir d’une recette de cuisine et de donner des informations sur les magasins aux alentours comme l’adresse, les horaires ou l’itinéraire ».

    Pour rappel, Google Home est arrivé en France en 2017. Amazon Echo, l’enceinte connectée du géant du e-commerce Amazon, devrait quant à elle débarquer cette année. Et parmi les fonctionnalités du haut-parleur d’Amazon aux Etats-Unis, il y a la possibilité de faire ses courses via « Alexa Voice Shopping ».

    Sinon, Google a aussi récemment présenté de nouvelles fonctionnalités « transactionnelles » en France.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [PARTENARIAT] | #Monoprix scelle un #partenariat avec #Amazon #Prime #Now | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2pOiS83

    #Monoprix scelle un #partenariat avec #Amazon #Prime #Now

    Comme LSA l’avait pressenti il y a deux mois, Amazon et Monoprix annoncent ce 26 mars que l’offre de l’enseigne alimentaire sera rendue disponible sur Prime Now dans le courant de l’année. Explications du DG France d’Amazon.

    Monoprix, partenariat, Amazon, Prime, Now

    Prime Now, votre service de livraison à domicile en 1h à 2h de courses du quotidien, annonce une prise de taille…

    Nous scellons un partenariat avec Monoprix. La sélection Monoprix sera disponible cette année aux abonnés Prime de Paris et sa proche banlieue au travers du service Prime Now. J’en suis très heureux car Amazon se doit de proposer une offre large, or avoir la sélection de Monoprix constitue vraiment un plus, en particulier ses MDD Monoprix Gourmet, Monoprix Bio et Made in pas très loin.

    Quand l’offre de Monoprix arrivera-t-elle sur Prime Now ?

    Pas dès ces jours-ci, mais dans le courant de l’année. Nous allons y aller progressivement.

    Sera-t-elle bien livrée depuis des magasins Monoprix, ou l'enseigne fournira-t-elle directement l’entrepôt de Prime Now ?

    Le picking sera en effet effectué dans des magasins Monoprix et nous y brancherons notre logistique "ultra-fast", assurée en premier lieu par nos partenaires StarService et TopChrono.

    Combien de magasins seront concernés ?

    Je ne peux pas encore vous le dire, mais nous voulons que les Parisiens soient vraiment satisfaits du service.

    Votre partenariat avec Monoprix prévoit-il une extension à d’autres grandes villes de France ?

    Pour l’instant nous annonçons Paris et la proche banlieue. C'est déjà une belle annonce, d'autant que la population Prime y est très importante.

    Toute l’offre de Monoprix sera-t-elle commercialisée sur Prime Now ?

    Ce sera à Monoprix d'en décider. L’enseigne compte entre 5.000 et 10.000 références par magasin. A Régis Schultz de voir combien il en rend disponible sur sa boutique Prime Now. Mais j’ai cru comprendre que la sélection serait assez inclusive.

    C’est un accord assez comparable à celui que nous avons avec Morrisonsau Royaume-Uni pour Amazon Fresh, ou avec Dia en Espagne. Ces partenariats fonctionnent bien car ces enseignes disposent d’une large offre avec du frais, des produits d’entretien…

    A combien de références s’élève l’offre actuelle d’Amazon Prime Now à Paris ?

    A 30.000 références, et 20.000 si l’on exclut les enseignes partenaires Bio C Bon, Fauchon, Lavinia et Truffaut.

    Ce partenariat ferme-t-il la porte à d’autres enseignes alimentaires, comme Système U ?

    Je ne vais pas commenter cet aspect du contrat. Sachez simplement que bientôt quand vous voudrez acheter des pommes, vous aurez le choix entre celles d’Amazon, celles de Monoprix et celles de Bio C Bon.

    Point de vue UX, n’est-il pas problématique qu’une recherche générique fasse remonter des offres de plusieurs enseignes ?

    Non, car il y a peu de recouvrement entre leurs sélections, mais aussi parce que la livraison gratuite nécessitant d’atteindre un certain seuil de panier, les utilisateurs tendent à ne commencer leur shopping qu'une fois rentrés dans la boutique d’une enseigne.

    Que vous reste-t-il à mettre en œuvre ?

    Désormais notre enjeu est de caler la logistique avec Monoprix, de faire venir les clients, et de nous assurer de leur satisfaction ainsi que de celle de notre nouveau partenaire.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [DRIVE] | #Cdiscount se #lance (lui aussi) dans le #drive #piéton à #Paris | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2uvbEvk

    #Cdiscount se #lance (lui aussi) dans le #drive #piéton à #Paris

    Un premier emplacement ouvrira le 24 avril dans la capitale. Ce nouveau service, baptisé Drive Cdiscount, sera opéré par Mondial Relay et accueillera les flux d'autres enseignes.

    Ainsi que l'a repéré le consultant Olivier Frey, Cdiscount se lance dans le drive piéton à Paris. Il ouvrira un emplacement le 24 avril dans le 11ème arrondissement de la capitale. Plus précisément, il s'agit d'une boutique Mondial Relay qui ferme ce 23 mars pour être retapée. A partir de sa réouverture, elle sera rebrandée Drive Cdiscount et opérée par Mondial Relay pour l'e-commerçant, mais elle continuera à accueillir les flux du transporteur pour la livraison et les retours des ses autres enseignes clientes.

    Le drive piéton fait actuellement l'objet de nombreux projets. E.Leclerc, qui avait lancé le concept à Lille, va en faire son bras armé à Paris. Et Carrefour va également en ouvrir, à Lyon le 9 avril, puis dans la capitale. Quant à Auchan, qui en opère deux dans la capitale (l'un depuis 2014, l'autre depuis 2015), il n'a pas annoncé son intention d'en déployer d'autres.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [ASSOCIATION] | #Uniqlo et #Ladurée s'associent pour une #opération #solidaire | @FASHIONNETWORK

    DE SARAH AHSSEN | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2Gj0FGT

    #Uniqlo et #Ladurée s'associent pour une #opération #solidaire

    A partir du mercredi 28 mars, les magasins parisiens Uniqlo d’Opéra, du Marais et de Montparnasse organisent - à l’unisson avec d’autres unités de l’enseigne dans le monde - une collecte de vêtements auprès de ses clients. En collaboration avec Les Secrets de Ladurée, la ligne cadeaux de la maison Ladurée, celle-ci destine les pièces récoltées à de jeunes réfugiés dans le cadre du projet de recyclage tous produits.

    Les premiers clients qui apporteront des vêtements recevront des porte-bonheur macaron Ladurée réalisés par des femmes réfugiées participant au programme de l’Agence des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) visant à promouvoir l’autonomie professionnelle.

    Toujours en collaboration avec Ladurée, Uniqlo lance également une ligne de t-shirts pour femmes et fillettes de 4 à 16 ans (9,90 euros). Les pièces de cette collection sous la bannière UT sont disponibles dans les boutiques Uniqlo, ainsi que sur l'e-shop de l’enseigne de prêt-à-porter japonaise. Une partie des recettes de la collection sera reversée à l’UNHCR dans le cadre du programme d’assistance aux femmes réfugiées.

    C’est en 2016 qu’Uniqlo, qui compte 1 900 magasins dans 19 pays, a entamé un partenariat mondial avec l’UNHCR, prévoyant le versement d’une allocation de 10 millions de dollars de financement sur trois ans pour venir en aide aux réfugiés. « Fin 2017, le programme avait d’ores et déjà mis en œuvre des projets liés à la formation professionnelle et à la création d’activités rémunératrices en Iran, en Inde, au Népal, en Malaisie et au Pakistan », souligne l’enseigne.