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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 48

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    [#RFM N°262] [EDITORIAL] | « La clarification du #concept d’#identité #digitale : vers un construit en quatre #dimensions » |@R. SOHIER & J. BREE

    Le troisième article de la RFM n°262, qui paraîtra fin octobre, est écrit par Romain Sohier et Joël Brée sur :

    LA CLARIFICATION DU CONCEPT IDENTITÉ DIGITALE : VERS UN CONSTRUIT EN QUATRE DIMENSIONS

    Le concept d’identité n’est pas nouveau en soi. Ainsi que le rappellent les auteurs, il est même central dans l’explication du comportement des consommateurs. La digitalisation des comportements d’achat a toutefois ajouté une complexité forte au concept d’identité, amenant aujourd’hui les chercheurs à parler d’identité digitale. Les auteurs se proposent d’en définir les dimensions, dans une première phase exploratoire et qualitative.

    Classiquement l’identité de l’individu est définie selon deux dimensions, sociale et personnelle, empruntées à la psychologie cognitive. Dans l’environnement numérique, les auteurs établissent le constat que les définitions données du concept d’identité numérique ont surtout été marquées par leur caractère contingent (plus proches de la description d’un état que d’une identité). Ils s’interrogent donc dès lors sur l’existence même d’une identité numérique. C’est pourquoi, ils souscrivent à la nécessité de poursuivre leur recherche en mobilisant une diversité d’environnement numérique (réseaux sociaux, jeux vidéo et blogs). Affirmer son identité numérique consiste pour l’individu, dans un environnement numérique défini (mais généralisable), à rechercher un équilibre constant entre les dimensions personnelles et sociales de l’identité en gérant finement les conflits identitaires et les interactions sociales. Il s’agit au fond pour l’individu d’obtenir une représentation de soi idéale (en conflit parfois avec son soi réel), en s’appuyant sur les spécificités des environnements numériques (dont la permanence et le traçage des informations partagées).

    Quatre motivations sont présentes dans les environnements étudiés (blogs, réseaux sociaux, jeux) : le besoin fonctionnel, expérientiel, social ou ludique. Au final, les environnements numériques favorisent le lien entre réalité et virtualité, l’expression de l’identité de soi, la communication de soi multiples et enfin l’établissement de relations sociales virtuelle, autant d’opportunités pour se construire une identité numérique. Pour explorer les dimensions de l’identité numérique, les auteurs recourent à des entretiens semi-directifs et des focus groupes auprès de jeunes adolescents (période critique de la construction identitaire) et des entretiens semi-directifs auprès d’un public plus adulte. Au final, les comparaisons des résultats entre les deux classes d’âge révèlent des similarités fortes avec des nuances de degré ou d’intensité sur les quatre dimensions relevées de l’identité digitale : expression de soi (« ce que je dis »), réputation virtuelle (« ce que je partage »), socialité virtuelle (« qui je connais »), soi digital démultiplié (« ce qui me représente »).

    En conclusion, les auteurs insistent sur le fait que l’identité digitale, si elle reprend quelques-unes des caractéristiques de l’identité réelle, se caractérisent par des opportunités nouvelles : une socialité différente fondée sur la rapidité et l’anonymat ; une nouvelle façon de se percevoir (réincarnation en avatars) et un nouveau moyen de s’épanouir dans des environnements virtuels et sans contraintes. Cette première recherche permet d’enrichir non seulement notre compréhension des dimensions de l’identité digitale – et donc de la façon de l’exacerber dans les stratégies digitales mises en œuvre par les marques – mais également de mieux comprendre les motivations propres aux Internautes dans l’exercice des activités virtuelles multiples auxquelles ils se prêtent.

    Cet article vous intéresse ? Il paraîtra intégralement dans la Revue Française du Marketing n°262 qui sortira en février.

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    [#CONSOLAB] [BUYING] | #Vulture fund #Alchemy #Partners eyes #New #Look | @DRAPERSONLINE

    FROM PUI-GUAN MAN | DRAPERSONLINE | http://bit.ly/2CxYHzN

    #Vulture fund #Alchemy #Partners eyes #New #Look

    Vulture fund Alchemy Partners is reportedly among those mulling opportunities to buy into bonds at troubled retailer New Look. Alchemy Partners is already familiar with New Look, having traded in and out of its bonds in 2013, The Sunday Times reported yesterday.

    It was previously reported that several hedge funds and vulture funds were considering approaches to taking control of the chain by buying up its debt.

    Some of its bonds traded at under 20p in the pound last week. The value of one tranche has dropped by around 75% during the past year.

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTEURS] | #Distributeurs #physiques et #pure #players : l'#heure de la #convergence | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES ET MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2C7BAA8

    #Distributeurs #physiques et #pure #players : l'#heure de la #convergence

    Dans le futur, « avoir un réseau physique et une marque forte ne suffira pas. Ne pas avoir de réseau physique sera un handicap sérieux ». Ces mots concluaient en 2011 le livre blanc réalisé Catherine Barba pour le compte de la Fédération de la vente en ligne (Fevad), qui prédisait que « l’enjeu sera pour les commerçants d’aller vers la culture qu’il leur manque ». Sept ans plus tard, Monoprix annonce ce 19 février 2018 son intention d'acheter l'e-shop Sarenza. Nouvelle illustration de rapprochements qui n’ont jamais été aussi nombreux entre acteurs de la distribution physique et en ligne.

    « Les conditions de marché difficiles obligent les acteurs à identifier des éléments de massification et de volume, résume Philippe Nobilé, directeur retail du cabinet de conseil en stratégie Boston Consulting Group. Fusionner, c’est trouver des leviers de croissance sur un marché globalement en décroissance sur les cinq dernières années ».

    Le mouvement de concentration n’est pas nouveau. Mais il a longtemps été à sens unique. A la fin des années 2000, c’était fièrement que les acteurs historiques de la vente physique annonçaient le déploiement de leurs boutiques en ligne. De son côté, le foisonnant marché des pure players voyait progressivement ses rangs s’éclaircir à mesure que des leaders en émergeaient. C’est alors que des acteurs du commerce physique commencèrent à acquérir certaines de ces pépites du web, à l’instar du promoteur Altarea-Cogedim s’offrant RueduCommerce en 2012 pour 100 millions d’euros.

    Mais c’était sans compter sur la riposte des acteurs du web, devenus pour certains des mastodontes capables de débourser des dizaines de millions d’euros pour s’offrir leurs aïeux de la vente physique, renversant ainsi le rapport de force.

    L'attrait du physique

    En janvier, l’historique chausseur André, mis en vente par le groupe Vivarte, est tombé dans l’escarcelle de Spartoo. L’e-commerçant grenoblois acquiert là un réseau de 200 boutiques, et ce à moindre frais selon les syndicats. Un double défi s’annonce : sauver un réseau où de nombreux points de vente sont dans le rouge, et créer des passerelles avec le web. Spartoo injectera 10 à 15 millions d’euros pour rénover le parc, et introduira dans les boutiques André des marques internationales (comme Adidas, Vans ou Geox) pour redynamiser le trafic. Ces boutiques serviront aussi de point de retrait colis pour les clients du portail. Un ancrage dans le monde réel devenu capital pour l’e-commerçant : « Nous, nous voyons le monde d’Internet comme une commodité : on sait ce qu’on veut, on compare, on achète ..., décrit Boris Saragaglia, le cofondateur de Spartoo. C’est assez froid. Il y a peu de sens, peu d’émotions. Et donc peu de fidélisation. Or, pour un multimarque, c’est la clef. Un client de magasin physique est 50 % plus fidèle qu’un cyberacheteur ».

    Cette opération franco-française intervient quelques mois seulement après le séisme ayant secoué la distribution américaine, à savoir le rachat du réseau de 470 supermarchés bio Whole Food par le géant de la vente en ligne Amazon. Une acquisition à 137 milliards de dollars qui s’inscrit dans la logique du déploiement massif du service de livraisons alimentaires à domicile Amazon Prime Now. Et si la presse américaine a largement relayé en ce début d’année la possibilité de voir Amazon ajouter l’enseigne Target et ses près de 2 000 magasins à son tableau de chasse, c’est sur un autre terrain que le pure player franchit une étape symbolique : l’acteur de la vente en ligne vient d’apporter au commerce physique le premier magasin totalement dénué de caisse.

    L’offensive massive d’Amazon n’a d’ailleurs pas été sans inspirer les géants chinois. En novembre, le leader de la vente en ligne Alibaba s’alliait avec Auchan pour entrer au capital de Ruentex, qui compte 490 grandes surfaces alimentaires en Chine. Quant au leader chinois des réseaux sociaux Tencent (WeChat), il vient d’arriver au capital de Carrefour Chine (350 magasins). Quelques mois plus tôt, c’est le géant américain Walmart qui cédait son activité e-commerce au portail chinois JD.com.

    A armes égales ?

    Les pure players ont donc désormais le regard tourné vers des enseignes physiques potentiellement à portée de leur bourse. Mais cette volonté des acteurs du web reste pour l’heure marginale. « Nous sommes peu nombreux à partir d'Internet pour aller en boutique, relativise Sandrine Guichard, directrice maison, retail et B2B de La Redoute au JDN. Ce mouvement est assez nouveau. L'idée est que convergent ces deux mondes. »

    Cette convergence s’est une nouvelle fois concrétisée ce 19 février avec l’annonce par Monoprix de négociations exclusives engagées pour racheter Sarenza, le portail dédié aux chaussures et accessoires. Ce ne serait pas le premier acteur du web a être acquis par la maison-mère de Monoprix, le groupe Casino, qui avait racheté en 2012 le site MonShowroom, devenu l’e-shop Msr. Ne misant plus sur son site existant, Monoprix prépare pour septembre le lancement d’un site multimarque indépendant, dédié au prêt-à-porter et aux accessoires, qui absorbera totalement l’outil technique et les compétences de Msr. De son côté, l'e-commerçant Sarenza a réalisé l’an passé 250 millions d’euros de ventes, fort de 650 marques, dont les siennes propres. Son dirigeant Stéphane Treppoz avait annoncé dès 2015 que le portail serait vendu ou introduit en Bourse dans les trois ans. Par cette acquisition, Monoprix affirme son ambition nouvelle, celle de s’imposer comme « un leader omnicanal du lifestyle », comme le martèle sa maison-mère le groupe Casino dans un communiqué.

    Un rapprochement entre distributeurs physiques et du monde numérique que La Redoute vient aussi illustrer via son projet d’acquisition par le groupe Galeries Lafayette, annoncé en août dernier. L’enseigne de grands magasins a saisi l’urgence d’accélérer sa digitalisation. En 2016, elle ne réalisait que 2 % de ses ventes via le e-commerce. Renforcée par l’ex-véadiste, elle ambitionne d’atteindre les 30 % en 2020, et de former à cette échéance une entité pesant 5,5 milliards d’euros de ventes. Ce rapprochement doit aussi permettre de nombreuses synergies en vue de créer un leader du commerce omnicanal. « On ne va rien s’interdire et explorer tous les partages possibles, qu’il s’agisse de l’offre, de la data ou des fichiers clients », annonçait Eric Courteille, le codirigeant de La Redoute lors de l’annonce de la transaction. Parmi les incarnations de cette recherche de synergies, l’offre mode de La Redoute prendra bientôt place au sein du grand magasin.

    L’autre grande enseigne tricolore de grands magasins, Printemps, avait elle-même mené fin 2013 une acquisition ciblée dans le cadre de sa stratégie multicanale en rachetant le site de vente en ligne Place des Tendances au groupe audiovisuel TF1.

    ShowroomPrivé n’a lui non plus pas échappé au phénomène de convergence. Les 17 % acquis l’an passé par Steinhoff (groupe Conforama) ont été repris en janvier 2018 par Carrefour. Déjà propriétaire de RueDuCommerce, le groupe entend investir 2,8 milliards d’euros sur le web, notamment afin d’armer sa marque Carrefour.fr face aux assauts d’Amazon. Sur le créneau du luxe également, les liens s’intensifient. Richemont a ainsi annoncé en janvier son intention de posséder la totalité de l’e-commerçant de luxe Yoox-Net-à-Porter, lui qui détenait déjà 75 % de ses actions. Le groupe suisse voulant investir davantage « dans divers domaines tels que la technologie, la logistique, et le marketing ».

    L’hybridation des modèles

    D’autres opérations pourraient encore s’opérer à l’initiative des retailers. Comme nous le laisse entendre Laurent Milchior, cogérant du groupe français Etam, qui étudie actuellement un rapprochement avec un acteur du web pour accélérer sa transformation digitale. « Il ne faut pas non plus sortir les clients des magasins, mais plutôt accroître les liens entre digital et physique », nuance le dirigeant, qui réalise pour l’heure entre 5 et 10 % de son activité via ses différents sites e-commerce. Et d’ajouter : « Le volet fidélisation est à faire évoluer vers l’individualisation : demain, chaque client aura sa politique de prix et des offres personnalisées selon ses achats ».

    Distributeurs, physiques, pure players, heure, convergence

    Car l’écart entre l'expérience client online et offline n’est pas sans jouer en défaveur de l’e-commerce. « En dépit des progrès technologiques, leur mode de distribution reste amputé de dimensions aussi essentielles que l’expérience physique et polysensorielle (toucher, vue, odorat etc.), le contact humain impliquant la notion de conseil ou encore l’association du client à l’univers des marques », détaille Antoine Salmon, directeur du département retail-locatif chez Knight Frank, pour qui une prise de conscience est intervenue chez les acteurs du web.

    « L’idée est de massifier les achats, optimiser les coûts, et devenir le plus omnicanal possible, le plus vite possible », explique le délégué général de Procos, Emmanuel Le Roch. Galeries Lafayette-La Redoute, Showroom-Carrefour… On constate une hybridation des modèles. De grandes manœuvres pour essayer de contrer un peu Amazon ».

    Mais tout n’est pas si simple entre des acteurs aux us et coutumes très différents. « Les distributeurs souhaitent profiter d’une organisation plus agile et innovante qui caractérise les pure players. Mais l’envers du décor est que cela peut générer un problème de culture, d’incompréhension : le risque d’échec est alors assez important », met en garde Philippe Nobilé du Boston Consulting Group.

    Une concentration appelée à s'intensifier

    De nouveaux bouleversements sont-ils à venir ? Les choses risquent encore de changer, prédit Philippe Nobilé : « Le nombre de mètres carrés de commerces par consommateur est plus élevé en France qu’ailleurs, la pénétration en ligne accuse donc du retard dans notre pays. Si un grand acteur du e-commerce comme Amazon venait à acquérir un réseau physique conséquent dans l’Hexagone, il prendra pied très vite et bousculera le marché très rapidement ».

    Un sentiment partagé par Antoine Salmon de Knight Frank : « Nous ne sommes qu’à l’aube de cette mutation. Les anciens pure players des deux bords entendent bien tirer parti du meilleur de chacun des modèles, quitte à inventer un commerce du troisième type. Une évolution qui est loin d’être achevée aujourd’hui ». Et Philippe Nobilé de renchérir : « Cette tendance à la convergence n’a aucune raison de ralentir à l’avenir. Les conditions du marché ne sont pas près de s’améliorer : un effet de concentration très important est à venir ».

    La question n’est donc plus de savoir si évolution il y a, mais qui en seront les protagonistes. De La Redoute à Spartoo en passant par Place des Tendances et Showroomprivé, les rapprochements ont pour l’heure mis en scène des acteurs franco-français, mais des unions internationales seraient à même de rebattre toutes les cartes.

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    [#RFM N°262] [EDITORIAL] | La marque #politique. Le cas de l’#évaluation du #logo Les #Républicains par ses #militants |@F. DOSQUET, H. SERAPHIN & V.BONNARDEL

    Le deuxième article de la RFM n°262, qui paraîtra fin octobre, est écrit par Frédéric Dosquet, Hughes Séraphin et Valérie Bonnardel sur :

    LA MARQUE POLITIQUE. LE CAS DE L’EVALUATION DU LOGO LES REPUBLICAINS PAR SES MILITANTS

    Le deuxième article aborde le champ du marketing politique. Frédéric Dosquet de l’ESC Pau, Hugues Séraphin et Valérie Bonnardel de l’Université de Winchester nous proposent une analyse très détaillée du ressenti des militants sur les qualités du nouveau logotype du parti LR. Nous avons choisi de retenir cet article car, outre l’analogie entre les marques au sens classique du terme et les marques politiques (partis), la rigueur de la démarche peut être inspirante pour des communicants dans de nombreux univers.

    Dans un premier temps, les auteurs soulignent le rôle central du logo et de ses couleurs dans l’identité d’une marque, en insistant sur l’impact cognitif et émotionnel sur l’individu (au-delà de l’attention). Ils proposent une étude empirique pour évaluer les caractéristiques visuelles et sémantiques du nouveau logo Les Républicains et son efficacité à transmettre les valeurs fondamentales du parti (liberté, autorité, responsabilité, mérite, progrès, justice, sécularisme et travail). Ils distinguent pour cela les cinq attributs visuels du logo (le logo dans son ensemble, la couleur bleue, la couleur rouge, la combinaison des trois couleurs et le sigle). Une première analyse de la chromaticité comparée du logo actuel et des deux précédents montrent une évolution dans les teintes des deux couleurs rouge et bleu dominantes. 139 questionnaires ont été collectés auprès de sympathisants LR selon une méthode d’échantillonnage empirique.

    Plusieurs enseignements se détachent de la série d’analyses de variance menées, sur la totalité de l’échantillon puis sur trois clusters identifiés en fonction de leur attitude vis-à-vis du logo (les sceptiques, les enthousiastes et les inconditionnels). Au global, le nouveau logo LR obtient une bonne appréciation auprès des militants. Il se distingue aisément des logos des autres partis et possède une valeur esthétique reconnue, en phase avec l’identité et la sensibilité politique du mouvement. L’analyse des résultats selon l’attitude envers le logo (sceptiques, enthousiastes, inconditionnels) montrent toutefois une dispersion sur la perception du caractère discriminant du logo, ses valeurs esthétiques et sa capacité à refléter l’identité politique du parti.

    Au final, les deux valeurs les mieux représentées sont la liberté et l’autorité, tant est forte la similarité avec le logo de la République Française, la liberté, rappelée dans le blason et la devise de la France, étant l’incarnation et le ciment de l’unité nationale. A cet égard, le nouveau logo des Républicains joue bien son rôle « d’amorçage sémantique visuel », activant le parallèle avec la devise « Liberté, Egalité, Fraternité » à un stade préconscient. Au-delà des apports académiques et managériaux de l’article, il convient de souligner la grande rigueur de la démonstration, en particulier statistique, susceptible de servir d’exemple dans de nombreux tests de logo de marques.

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    Pour contacter les auteurs : Frédéric Dosquet : frederic.dosquet@esc-pau.fr, Hughes Séraphin : hugues.seraphin@winchester.ac.uk,  Valérie Bonnardel : valerie.bonnardel@winchester.ac.uk.

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    [#CONSOLAB] [BIO] | #Textile #enfant : #Timberland développe ses gammes dans le #bio | @LSA

    DE VERONIQUE YVERNAULT | LSA | http://bit.ly/2HtfwzB

    #Textile #enfant : #Timberland développe ses gammes dans le #bio

    La nouvelle ligne "écolo" de Timberland pour les 0-16 ans arrive sur le site et dans les boutiques de Kids Around. La griffe, exploitée par le groupe Children Worldwide Fashion (CWF) y élargit son offre de tee-shirts bio et éthiques, qui représentent désormais 80% de sa gamme.

    Un printemps-été écolo chez Timberland ! La célèbre marque, exploitée en mode enfantine par le groupe Children Worldwide Fashion (CWF) lance une nouvelle ligne "écolo" dédiée aux enfants de 0 à 16 ans. Parmi la série de looks proposés, l'accent a été mis sur le bio, qui concerne désormais 80% de sa gamme de tee-shirts enfants.

    Bio et bon pour l'environnement

    En effet, les T-shirts proposés sont fabriqués à partir de coton 100% biologique, sans engrais, ni pesticide, ni OGM. Même les encres ont été étudiées sous l'angle écolo : les imprimés sont ainsi réalisés à partir d'encres non polluantes. "La ligne de tee-shirt Timberland illustre l’engagement de Timberland pour la préservation de l’environnement, éveillant ainsi la conscience écologique des enfants et des parents", commente-t-on chez CWF, qui commercialise cette gamme dès ce mois de février sur le site marchand de son enseigne Kids Around, ainsi que dans ses boutiques. 

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    [#CONSOLAB] [GAMME] | #Arcade #Beauty veut offrir une #gamme complète de #services pour les #mini-produits | @PREMIUMBEAUTY

    DE V.G | PREMIUM BEAUTY | http://bit.ly/2GuaJMN

    #Arcade #Beauty veut offrir une #gamme complète de #services pour les #mini-produits

    Arcade Beauty, spécialiste mondial des solutions d’échantillonnage pour l’industrie de la beauté, équipe son usine Biopack, située à Val-de-Reuil, d’un atelier « cosmétique » totalement dédié aux mini-produits. L’entreprise entend fournir à ses clients une gamme complète de services dédiés aux mini-produits et autres monodoses, afin de mieux répondre à la forte demande pour ces produits.

    Pour répondre à la demande croissante des marques et des consommateurs pour les mini-produits et les monodoses, Arcade Beautya ouvert un nouvel atelier full-service dans son usine Biopack de Val-de-Reuil.

    « Les produits nomades et doses uniques sont aujourd’hui des must-have de nos modes de vie. Pratiques à utiliser, hygiéniques, faciles à emporter en avion, au sport, au bureau, ils sont également un moyen de tester un soin, un parfum ou un make-up, dans les meilleures conditions et sur plusieurs jours. Ces produits, champions du travel retail et du beauty-to-go, sont pour les marques l’opportunité de faire découvrir un produit et de séduire de nouveaux consommateurs pour un ticket d’entrée minime, » explique Carl Allain, le directeur général Europe du Groupe.

    Le nouvel atelier est doté d’une zone d’atmosphère contrôlée conforme aux normes ISO équipée de nouvelles machines avec air filtré et surpression. Cet espace est totalement consacré au remplissage de doses cosmétiques : tubes (notamment les mascaras), pots, mini flacons, pompes en verre et plastique, airless, et tout autre type de mini-produits et de doses uniques.

    « Cet investissement offre à nos clients la possibilité de conditionner les doses cosmétiques en sachets, étuis, cartes, coffrets, et bien sûr tout type d’habillage souhaité, » précise Arcade Beauty dans un communiqué.

    Outre une zone spécifique de stockage pour les bulks, sous rétention, Arcade Beauty prévoit de nouveaux investissements en 2018 (zone de lavage, prélèvement ...) en conformité aux Bonnes Pratiques de Fabrication (GMP) permettant de conditionner des produits OTC.

    Basé à New York et Paris, le groupeArcade Beauty propose un large éventail de technologies d’échantillonnage pour toutes les catégories cosmétiques. Son portefeuille de produits comprend des solutions de publipostage, d’insertion en magazines, de promotions en magasin et de produits destinés à la vente. Arcade Beauty dispose d’unités de fabrication en Amérique du Nord et du Sud, ainsi qu’en Europe et en Asie.