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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 50

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    [#CONSOLAB] [MARQUE] | #PepsiCo compense le #déclin des #sodas avec les #chips | @LESECHOS

    DE ELSA CONESA | LES ECHOS | http://bit.ly/2ELfx36

    #PepsiCo compense le #déclin des #sodas avec les #chips

    Le groupe pâtit de la désaffection des consommateurs américains pour les boissons sucrées et continue d'investir dans l'eau en bouteilles. Les Américains boudent les céréales et les sodas, mais ils continuent d'aimer les chips. Ce sont les paquets de Lay's et de Doritos qui ont sauvé les comptes de PepsiCo l'an dernier, ainsi que les consommateurs dans les pays émergents.

    Le groupe basé dans l'Etat de New York peine en effet à endiguer le recul des ventes de sodas et de boissons sucrées en Amérique du Nord (Pepsi, Tropicana, Gatorade...), son premier marché qui représente près d'un tiers de ses revenus et bénéfices. La division des boissons en Amérique du Nord a vu  ses ventes reculer de 2 % sur l'année, à près de 21 milliards de dollars, et de 6 % au dernier trimestre. Les snacks regroupés dans la division Frito-Lay en revanche ont continué de progresser en Amérique du Nord.

    Aux Etats-Unis, les ventes de sodas ont atteint l'an dernier un plus bas en 31 ans, sous l'effet des changements de comportement des jeunes consommateurs, qui se tournent de plus en plus vers les eaux en bouteilles. Ces mêmes consommateurs ont aussi perdu l'habitude de consommer des céréales en boîte au petit-déjeuner : la divison Quaker Foods, marque fétiche des petits Américains dans les années 1950, a vu ses revenus reculer de 2 % et de 5 % en fin d'année.

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    Eaux purifiées « premium »
    Comme ses grands rivaux, le groupe mise sur la forte croissance des eaux en bouteille pour compenser le déclin de ses marques traditionnelles. Déjà propriétaire de l'eau purifiée Aquafina, il a lancé l'an dernier une nouvelle marque d'eau purifiée en bouteille « premium », baptisée Lifetwr. Et il attend beaucoup de sa nouvelle gamme d'eau de Seltz, baptisée Bubly, qui doit capter une partie de la croissance rapide observée sur ce marché outre-Atlantique. PepsiCo s'est  engagé à ce que les deux tiers des marques de son portefeuille de boissons affichent moins de 300 calories par litre d'ici 2025 .

    Parallèlement, Pepsi s'est engagé depuis 2015 dans un plan de réduction de coûts d'un milliard de dollars par an, avec des fermetures d'usines et des suppressions de postes. L'entreprise a annoncé mardi la suppression d'un millier d'emplois supplémentaires soit environ 1 % de ses effectifs administratifs.

    Elle a parallèlement versé des bonus de 1000 dollars à une partie de ses employés dans le sillage de la réforme fiscale. Celle-ci a toutefois fait plonger ses comptes dans le rouge au dernier trimestre, avec une charge de 2,5 milliards de dollars combinant une taxe de 4 milliards sur sa trésorerie stockée à l'étranger, et un gain de 1,5 milliard sur ses actifs d'impôts différés.

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    [#CONSOLAB] [MARCHE] | Les #cosmétiques peinent toujours à #séduire les #acheteurs #Français | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE VINCENT GALLON | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2o9ufGJ

    Les #cosmétiques peinent toujours à #séduire les #acheteurs #Français

    Les ventes de produits d’hygiène et beauté en grandes surfaces ont reculé de -2,2% selon Kantar Worldpanel, et même de -6,2% pour les produits de rasage et -5,5% pour les déodorants. Du côté du circuit sélectif, le secteur clôt également l’année en recul à -1% mais enregistre d’excellentes ventes de fin d’année, selon The NPD Group. Malgré leur succès croissant, les ventes en ligne ne parviennent pas à compenser la chute des ventes en magasins.

    L’embellie économique enregistrée en 2017 en France avec une croissance du PIB à +1,9% et une stabilisation du chômage peine encore à se traduire dans les ventes de produits cosmétiques et de toilette. Les ventes en grande consommation sont celles qui souffrent le plus, avec un recul de -2,2% pour l’hygiène-beauté, de -2,4 pour l’hygiène corporelle, -0,6% pour les produits bain-douche, -0,6% pour les savons de toilette, -5,5% pour les déodorants et -6,2% pour les produits de rasage, selon l’institut d’études Kantar Worldpanel.

    Selon Kantar Worldpanel, le marché de l’hygiène-beauté est confronté à une problème de création de valeur, mais également à un enjeu de volume, avec des acheteurs moins fréquents. « Les produits d’hygiène-beauté sont de moins en moins prioritaires pour les Français, » souligne l’institut. Résultat : les Français se maquillent moins et se rasent moins.

    Maquillage des lèvres et ventes en ligne soutiennent le sélectif

    Du côté sélectif, malgré un nouveau recul des ventes de (-1%), plusieurs tendances positives ont marqué le circuit en 2017 qui a représenté 3 milliards d’euros en 2017.

    La période des achats de Noël qui a débuté avec l’opération Black Friday - un succès cette année en France - a été particulièrement profitable (30 % des ventes annuelles du secteur ont été réalisées en moins de deux mois, entre novembre et décembre) et a permis au secteur de gagner un point de croissance (de -2% à -1%), selon The NPD Group.

    « Les tendances de la parfumerie sélective s’améliorent légèrement par rapport à l’an passé mais le secteur reste confronté à une concurrence croissante et à un pouvoir d’achat des ménages qui ne s’améliore pas suffisamment pour redynamiser le marché  », explique Mathilde Lion, Expert Beauté Europe chez The NPD Group.

    Ce sont les masques (+12%), pour le soin, et les gloss (+15%), pour le maquillage qui ont tiré les ventes de cosmétiques de prestige en 2017.

     

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    Les crèmes hydratantes finissent l’année à +1% et les lotions et toniques voient également leurs ventes croître de 2%. Si le ventes de masques ne représentent encore que 3 % de l’ensemble des ventes de soins, ils apparaissent comme un véritable vecteur de croissance, sous l’impulsion de la popularité croissante de la K-Beauté. Pour le maquillage, les produits pour les lèvres ont maintenu leur dynamisme avec une croissance des ventes de 3%. Les ventes de rouge à lèvres ont augmenté de 2 % mais le gloss a été la star incontestée en 2017, enregistrant une croissance de 15 % et supplantant le rouge à lèvres comme tendance maquillage de l’année.

    Les ventes de parfums ont joué un rôle important pour le secteur en 2017 avec les Eaux de Parfum comme locomotive du segment (+3% des ventes) confirmant, selon The NPD Group, la préférence des consommateurs pour des essences plus concentrées. Le parfum est le segment pour lequel l’opération Black Friday a eu le plus gros impact, marquant l’ouverture officielle de la saison du shopping de Noël.

    Explosion des ventes en ligne

    Selon The NPD Group, les ventes en ligne de produits de prestige ont augmenté de 27 % en 2017 - soit une contribution de la valeur de deux points de croissance sur l’ensemble du secteur. Ce sont les ventes de maquillage -portées en partie par les Millenials - qui ont le plus progressé en ligne (+44 %), suivi par le soin (+29%) et le parfums (+22%). Les résultats spectaculaires annoncés par Feelunique et Beauté Privéeconfirment cette tendance.

    Toutefois, le dynamisme des boutiques en ligne n’a pas suffi à compenser le recul des ventes des magasins physiques qui ont reculé de 3%. « Les ventes en ligne ne sont pas des ventes additionnelles mais traduisent une profonde mutation dans le mode d’achat, » commente The NPD Group.

    « Le challenge 2018 pour la beauté sélective va être d’optimiser la croissance des ventes en ligne tout en créant du trafic en magasin. Le potentiel de l’e-commerce sur la beauté est énorme même si nous sommes encore très loin en France de ce que ce circuit peut représenter dans d’autres pays, comme les États-Unis ou le Royaume Uni. À date, la montée en puissance du on-line ne compense pas complètement les pertes des magasins physiques. Pourtant, les consommateurs, et notamment les jeunes, aiment se rendre en magasin ...tout se jouera donc sur l’expérience, le conseil et la personnalisation du service qu’ils pourront trouver en point de vente, » conclut Mathilde Lion.

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    [#CONSOLAB] [ACHAT] | #Walmart accélère dans la #VR en s'offrant la #start-up #Spatialand | @USINEDIGITALE

    DE JULIETTE RAYNAL | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2EMyrqn

    #Walmart accélère dans la #VR en s'offrant la #start-up #Spatialand

    Walmart acquiert la start-up Spatialand, qui a développé des outils logiciels permettant de transformer des contenus existants en contenus immersifs. Grâce à ce savoir-faire, le géant de la distribution souhaite imaginer de nouvelles expériences d'achat en magasin et à domicile.

    Walmart, le géant américain de la grande distribution, vient de faire l'acquisition de la start-up Spatialand spécialisée dans la création de contenus en réalité virtuelle pour un montant non dévoilé. Créée par Kim Cooper (une spécialiste du story telling et de la VR), la jeune pousse compte une dizaine de collaborateurs. Elle a notamment développé des outils logiciels qui permettent de transformer des contenus déjà existants en expériences en réalité virtuelle.

    Les deux entreprises avaient déjà travaillé ensemble durant l'été 2017. Spatialand fait en effet partie de l'incubateur maison de Walmart baptisé Store No.8. La jeune pousse avait alors développé un projet pilote permettant aux utilisateurs de tester virtuellement des tentes comme s'ils étaient dans un vrai camping afin de juger si leurs tailles correspondaient à leurs attentes. Une expérience que propose d'ores et déjà Décathlon.

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    DE NOUVELLES EXPÉRIENCES D'ACHAT EN MAGASIN... ET À DOMICILE

    Le site américain Recode qui rapporte l'information ne précise pas la nature des projets sur lesquels Spatialand planchera. Ces derniers ne seront révélés que dans 12 à 18 mois, a indiqué Katie Finnegan, responsable de l'incubateur. On sait en revanche que la mission de Store No.8 est d'avancer sur des technologies qui ne seront déployées massivement auprès du grand public que d'ici cinq à dix ans. Le savoir-faire de Spatialand pourrait donc permettre à Walmart de créer de nouvelles expériences d'achat en magasin, mais aussi à domicile.

    Ce n'est pas la première fois que Walmart s'intéresse à la réalité virtuelle. Le numéro 1 de la grande distribution s'était déjà rapproché de la start-up STRIVR Labs pour un tout autre usage : mettre au point un dispositif de formation en réalité virtuelle en complément de son programme traditionnel. Un projet pilote a débuté en janvier 2017 dans une trentaine de centres de formation du distributeur, avec un déploiement prévu dans les 200 Walmart Academy. 150 000 employés devraient passer par ce programme chaque année.

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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | #Kits de #repas : #Blue #Apron, prochaine #victime d'#Amazon ? | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2C2iOu2

    #Kits de #repas : #Blue #Apron, prochaine #victime d'#Amazon ?

    Le pionnier américain de la livraison de kits de repas publie un chiffre d'affaires en déclin de 13% au 4ème trimestre 2017, suite à la réduction de son budget marketing.

    Le pionnier américain de la livraison de kits de repas, Blue Apron, publie au quatrième trimestre 2017 un chiffre d'affaires de 187,7 millions de dollars. C'est certes davantage que les 186,3 millions attendus par les analystes, mais c'est surtout 13% de moins que son chiffre d'affaires trimestriel enregistré un an plus tôt. Ce déclin s'explique surtout par une baisse du nombre de commandes, la société ayant réduit d'un tiers ses dépenses marketing pour se concentrer sur l'amélioration de son exécution opérationnelle, en particulier dans son nouveau centre de distribution de Linden, dans le New Jersey. Sur le dernier trimestre 2017, ses pertes nettes s'élèvent à 39,1 millions de dollars, 50% de plus qu'un an plus tôt mais 55% de moins qu'au troisième trimestre 2017.

    Sur la totalité de l'année, les revenus de Blue Apron augmentent de 11% à 881,2 millions de dollars, et ses pertes nettes s'établissent à 210,1 millions, quasiment quatre fois plus qu'en 2016. Quant au nombre de ses clients, il décline de 15%, conformément à la diminution des dépenses marketing, tandis que l'ARPU progresse de 246 à 248 dollars.

    Le premier semestre de cotation de Blue Apron, introduit en bourse en juin 2017, aura été particulièrement chaotique. Sa croissance s'est évanouie, des concurrents de taille ont attaqué son pré-carré à commencer par Amazon, et des difficultés dans son centre de préparation de Linden ont entamé l'expérience client et engendré des coûts importants. Un nouveau PDG, Brad Dickerson, a été nommé en novembre en remplacement de l'un des cofondateurs, afin de remettre l'entreprise sur de bons rails. En 2018, il prévoit de relancer les investissements marketing et de développer l'offre de Blue Apron. Sa vision : en faire une marque lifestyle, et plus uniquement un service de livraison de repas. Le marché a salué cette stratégie en faisant rebondir l'action de 25%. Le titre demeure toutefois 65% inférieur à son niveau d'introduction et plusieurs analystes américains parient sur le fait que la société ne se relèvera pas.

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    [#CONSOLAB] [EVENEMENT] | #Focus sur les #consommateurs #chinois en #France à l'occasion du #Nouvel #an #chinois | @ECOMMERCEMAG.FR

    DE DALIDA BOUAZIZ | ECOMMERCEMAG.FR | http://bit.ly/2EqBoxo

    #Focus sur les #consommateurs #chinois en #France à l'occasion du #Nouvel #an #chinois

    Pour les retailers, cette semaine est marquée par le Nouvel an chinois ce vendredi 16 février, lui-même annonciateur de la semaine de congé du jeudi 15 au mercredi 21 février. Adyen, expert du paiement international et omnicanal, décrypte les comportements des consommateurs chinois.

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    Février est synonyme de pic de fréquentation des touristes et consommateurs chinois en France, et notamment à Paris, à l'occasion du nouvel an Chinois ce vendredi 16 février, lui-même annonciateur de la "Golden Week", semaine de congé du jeudi 15 au mercredi 21 février. En février 2017, la Golden Week a généré plus de 350 millions de déplacements touristiques dans le monde "China travels".

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    [LSA] [E-COMMERCE] | L’#e-#commerce porté par la #hausse de la #fréquence d’#achats en #ligne | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2BZIt6u

    L’#e-#commerce porté par la #hausse de la #fréquence d’#achats en #ligne

    Facteur clé du dynamisme du secteur, la croissance de la fréquence d’achats lui a permis de rebondir depuis trois ans après le ralentissement enregistré en 2014.

    En France, l’e-commerce pèse désormais 9% du commerce de détail. Les dépenses en ligne ont atteint 81,7 milliards d’euros en 2017, soit 14,3% de plus qu’en 2016, selon la Fédération de l’e-commerce et de la vente à distance (Fevad). Le panier moyen des achats en ligne a beau décliner depuis 2011 pour se rapprocher de celui de la distribution physique (50 €), de nombreux facteurs se conjuguent pour compenser ce phénomène: la hausse du nombre de sites marchands actifs et de celui de cyberacheteurs, mais surtout de la fréquence d’achats en ligne. L’an dernier, les e-acheteurs ont en moyenne effectué 33 commandes, au lieu de 28 en 2016. Or cette fréquence augmente fortement depuis trois ans, puisque cette croissance de 19% était déjà de 21% en 2016 et de 19% en 2015. Selon une enquête CSA/ Fevad, 65% des cyberacheteurs ont commandé en ligne au moins une fois par mois l’an dernier, soit 7 points de plus qu’en 2016 et 34 points de plus qu’en 2013. «En dix ans, les dépenses en ligne moyennes d’un cyberacheteur sont passées de 763 € à 2184 € par an», commente Marc Lolivier, délégué général de la Fevad.

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    Pourquoi la fréquence d’achats augmente-t-elle autant ? Du fait de l’offre toujours plus large et de l’expérience en ligne toujours plus aboutie, qui ancrent ces habitudes de consommation. Mais aussi en raison de la montée en puissance du mobile comme des services de livraisons illimitées sur abonnement, qui multiplient les occasions d’acheter en ligne. 34% des e-acheteurs déclarent ainsi avoir souscrit à un tel abonnement (à 25% celui d’Amazon, à 9% celui de Cdiscount, à 7% celui de la Fnac...). Enfin, le développement de l’omnicanal et du phygital augmente mécaniquement le nombre des transactions électroniques comptabilisées par les enseignes. La croissance du secteur avait ralenti en 2014, tombant à 11%. Il n’est plus question aujourd’hui d’une arrivée à maturité qui entamerait son dynamisme. En 2018, la Fevad prévoit qu’il pèsera 93,2 milliards d’euros. La barre des 100 milliards devrait être allégrement franchie en 2019.