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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 54

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    [#CONSOLAB] [FOODTECH] | #Allo #Resto adopte le #nom de sa #maison #mère #Just #Eat | @LSA

    DE LSA | http://bit.ly/2DEw5pF

    #Allo #Resto adopte le #nom de sa #maison #mère #Just #Eat

    Le spécialiste français de la livraison à domicile, qui espère livrer 800 000 clients supplémentaires en 2018, devient Just Eat France.

    La société spécialiste de la livraison de repas à domicile Allo Resto, grand-mère française de la foodtech créée en 1998, change de nom pour devenir Just Eat France, a annoncé ce 25 janvier son directeur général Gilles Raison. En 2012, le spécialiste britannique de la commande et de la livraison de nourriture Just Eat a racheté 80% des parts de la compagnie tricolore. Depuis, Allo Resto prépare petit à petit ses consommateurs à cette mue, espérant ne pas perdre en notoriété. L'entreprise a été temporairement rebaptisée Allo Resto by Just Eat en 2017 avant ce changement définitif de patronyme. Pour ancrer sa nouvelle identité dans l'esprit de ses clients, Just Eat France mise sur une vaste campagne publicitaire qui sera diffusée à la télévision durant toute l'année 2018.

    Cette décision permet à Just Eat d'unifier ses marques. Les différentes filiales locales de l'entreprise londonienne, présente dans 13 pays et réalisant 43% de son chiffre d'affaires à l'étranger, bénéficient d'économies d'échelle notamment sur les investissements en communication. En ôtant le terme "allo" de son nom de baptême, Just Eat France clarifie son service, qui est numérique avant d'être téléphonique. L'entreprise espère en 2018 passer de 60 à 75% des commandes réalisées via l'application et non par téléphone.

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    En 2018, Just Eat France, qui affirme être le numéro un du secteur de la livraison de repas à domicile dans l'Hexagone et être le seul acteur rentable du marché aujourd'hui, espère gagner 800 000 clients. Depuis sa création, la foodtech aurait livré 6 millions de personnes. Si elle ne dévoile pas son chiffre d'affaires, l'entreprise annonce pour l'année 2017 une croissance à deux chiffres. Elle aurait livré plus de 10 millions de repas dans 2000 communes, soit 30% de plus qu'en 2016. D'ici 2020, la société envisage d’avoir livré 40 millions de Français.

    Just Eat France espère également augmenter le nombre de ses partenaires de 25% en 2018. Pour réaliser cet objectif, l'entreprise devra signer avec plus de 1500 nouveaux établissements pour atteindre les 7000 restaurateurs affiliés. La filiale de Just Eat a annoncé ce 25 janvier un partenariat exclusif dans l'Hexagone avec Domino’s Pizza, qui serait selon elle le numéro 1 de la livraison de pizza en France. Elle muscle également son partenariat avec KFC et Subway à de nouveaux restaurants (sans en préciser le nombre). D'ici deux ans, la foodtech espère avoir tissé des partenariats avec 9000 restaurants au total.

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Walmart et #Rakuten s'associent dans une #grande #bataille contre #Amazon | @LESECHOS

    DE YANN ROUSSEAU | LES ECHOS | http://bit.ly/2FrYD6v

    #Walmart et #Rakuten s'associent dans une #grande #bataille contre #Amazon

    Le géant américain de la distribution et le leader de l'e-commerce au Japon viennent de dévoiler une grande alliance stratégique.

    Malmenés sur leurs marchés respectifs par Amazon, Walmart, le géant américain de la distribution, et Rakuten, le pionnier nippon de l'e-commerce, viennent d'annoncer qu'ils allaient s'associer aux Etats-Unis et au Japon afin d'offrir de nouveaux services en ligne à leurs clients de plus en plus tentés par l'offre globale de leur grand concurrent. Dans un communiqué diffusé ce vendredi matin à Tokyo, les deux sociétés ont annoncé le lancement d'une « nouvelle alliance stratégique » qui va notamment déboucher, au second semestre de 2018, sur la création d'une coentreprise mêlant les capacités complémentaires des deux partenaires.

    Au Japon, cette association va permettre à Rakuten de proposer directement à ses clients une plus large offre de produits alimentaires distribués jusqu'à présent par la chaîne nippone de supermarchés Seiyu GK, contrôlée depuis la fin des années 2000 par l'américain Walmart. Ensemble, les deux partenaires opéreront un nouveau service de ventes en ligne baptisé « Rakuten Seiyu Netsuper » qui sera intégré à l'actuel écosystème Rakuten déployé dans l'Archipel.

    Les achats effectués sur cette plateforme seront notamment intégrés au système de points de fidélité qui s'est imposé au Japon comme l'un des atouts de Rakuten. Les livraisons d'achats pourront être effectuées depuis les magasins Seiyu répartis dans le pays ou depuis un centre logistique dédié que les deux entreprises se proposent d'ouvrir ensemble.

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    Aux Etats-Unis, Walmart va, lui, proposer un nouveau service de vente de livres numériques en s'appuyant sur la société Kobo, basée au Canada mais contrôlée par Rakuten. S'attaquant ainsi au coeur d'activité historique d'Amazon, le distributeur américain va commencer à proposer, plus tard dans l'année sur son site walmart.com, le très large catalogue de livres numériques et audio proposés par Kobo. Il mettra aussi en vente les liseuses conçues par la société pour concurrencer les Kindle d'Amazon, ainsi que des cartes d'achat de livre digitales dans ses 4.000 magasins.

    Ce nouvel accord conforte la stratégie de Walmart, qui a renoncé à développer seul son écosystème digital et préfère désormais multiplier les acquisitions ou les partenariats avec des spécialistes du secteur pour doper son offre en ligne. Il compte ainsi sur l'expertise de Rakuten dans l'expérience client, l'utilisation des Big Data et l'intelligence artificielle pour résister aux assauts d'Amazon. « Nous cherchons constamment de nouveaux moyens de simplifier le quotidien de nos clients en leur offrant une expérience parfaite dans nos magasins et aussi en ligne », a commenté, dans un communiqué, Doug McMillon, le PDG de Walmart.

    Voyant ses parts de marché se faire grignoter par Amazon, Hiroshi Mikitani, le patron de Rakuten, espère, lui, progresser rapidement sur le segment des ventes en ligne d'alimentaire, qui n'ont pas encore vraiment séduit la clientèle japonaise et où son concurrent américain reste peu présent.

     

     

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    [#CONSOLAB] [POPUP] | #Zara teste un #pop-up uniquement dédié aux #commandes en #ligne | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2nnvXUK

    #Zara teste un #pop-up uniquement dédié aux #commandes en #ligne

    Profitant de l'occasion de la fermeture d’un magasin avant une extension et une rénovation d’ampleur, Inditex s’offre un laboratoire grandeur nature à Londres : le groupe espagnol ouvre les portes le 26 janvier d’un espace temporaire consacré à la réception d’achats en ligne, mais aussi à la prise de commande. Une première pour le géant de la distribution.

    Au sein du centre commercial Westfield Stratford, ce pop-up de 200 mètres carrés présente une offre restreinte des collections féminine et masculine de la chaîne. Les visiteurs pourront commander sur place ces modèles ou d’autres articles à sélectionner sur tablette. La réception des commandes s’effectuera le jour même (si transaction validée avant 14h) ou le lendemain. Le paiement mobile sera de mise, puisque les conseillers de vente seront équipés de terminaux fonctionnant via Bluetooth.

    D’autres services digitaux y seront testés, à l’instar d’écrans d’informations intégrés à des miroirs et disposant d’un système de recommandation produit. Concrètement, un client scanne l’étiquette RFID du vêtement qui l’intéresse et l’interface lui propose et affiche différents articles afin de coordonner un look complet ou des accessoires.

    Ce pop-up store annonce en fait le nouveau concept retail mondial de Zara, qui sera ensuite installé à cette adresse en mai prochain. Un magasin qui doublera de taille pour atteindre 4 500 mètres carrés. Il s’agira d’un « nouveau format radical, plaçant la technologie au centre, pensé pour transformer l’expérience shopping des clients », expose le groupe. Celui-ci abritera quatre espaces : soit trois univers dédiés à la mode femme, homme et enfant, mais surtout un lieu de retrait et de passage de commande, comme expérimenté en pop-up.

    La réception des commandes Web sera totalement automatisée : un robot assure la liaison entre un petit entrepôt en boutique pouvant gérer 2 400 colis et une sorte de boîte aux lettres à travers laquelle le client, après avoir renseigné son QR code ou son code PIN, récupère aussitôt sa commande. Des caisses en libre-service, proposant un paiement via smartphone, seront également installées, en complément des caisses classiques.

    Pour Pablo Isla, PDG d’Inditex, ces deux projets marquent « une étape importante dans notre stratégie d’intégration de nos magasins dans le monde online, définissant aujourd’hui notre identité en tant qu’entreprise ». Le format londonien sera donc dupliqué par la suite sur les différents marchés où l'enseigne est présente. Le géant espagnol a enregistré, sur les neuf premiers mois de son exercice 2017, des ventes en hausse de 10 %, à 17,96 milliards d'euros, assorties d’un bénéfice net en progression de 6 %. 

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    [#CONSOLAB] [RACHAT] | #Ferrero #rachète la #confiserie #américaine de #Nestlé pour 2,8 milliards de dollars | @L'USINENOUVELLE

    DE L'USINE NOUVELLE | http://bit.ly/2EWsKCO

    #Ferrero #rachète la #confiserie #américaine de #Nestlé pour 2,8 milliards de dollars

    Nestlé a annoncé mardi 16 janvier la cession de ses activités de confiserie aux Etats-Unis au groupe italien Ferrero pour un montant de 2,8 milliards de dollars (2,3 milliards d'euros).

    Donné favori, l'italien Ferrero rachète logiquement les activités confiserie de Nestlé aux Etats-Unis. Le montant de la transaction révélée mardi 16 janvier s'élève à 2,8 milliards de dollars (2,3 milliards d'euros), précise Nestlé dans un communiqué. Les activités de confiserie de Nestlé USA ont enregistré un chiffre d'affaires de l'ordre de 900 millions de dollars en 2016.

    Il s'agit de la première cession d'envergure sous la direction de l'administrateur délégué Mark Schneider qui a décidé d'orienter le groupe vers des produits jugés plus sains. La filiale américaine, qui gère des marques telles que BabyRuth, Butterfinger et Crunch, est à la traîne de la concurrence depuis des années, pénalisée par le choix des consommateurs pour des produits moins caloriques comme les barres aux fruits ou aux noisettes ainsi que les marques haut de gamme telles que Lindt.

    "Cette décision permet à Nestlé d’investir et d’innover dans une gamme de catégories pour lesquelles nous entrevoyons une forte croissance dans le futur et où nous détenons des positions de leader comme les produits pour animaux de compagnie, l’eau embouteillée, le café, les plats surgelés et la nutrition infantile", déclare de son côté Mark Schneider. 

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    Mais pour l'entreprise italienne familiale Ferrero, cette acquisition peut lui permettre de réaliser rapidement des économies d'échelle et de disposer d'un réel pouvoir de négociation sur le marché américain, qui est sa première priorité. Ce faisant, le fabricant de la pâte à tartiner Nutella et des Ferrero Rochers, deviendra le troisième chocolatier des Etats-Unis et du monde, selon Euromonitor International.

    "Ferrero reprendra les usines de fabrication Nestlé de Bloomington, Franklin Park et Itasca, dans l’Illinois, aux Etats-Unis, incluant ses salariés. Il poursuivra ses opérations depuis les bureaux de Glendale, en Californie, et ses autres sites actuels situés dans l’Illinois et le New Jersey", dit Ferrero dans un communiqué distinct. "La transaction devrait être conclue vers la fin du premier trimestre de 2018 après finalisation des approbations réglementaires et des conditions de clôture", précise Nestlé dans un communiqué.

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    [#CONSOLAB] [RETAIL] | Qu'attendent les #jeunes #consommateurs d'un #retailer ? | @GONDOLA

    DE CAROLE BOELEN | GONDOLA | http://bit.ly/2ETCygL

    Qu'attendent les #jeunes #consommateurs d'un #retailer ?

    Dans un chapitre de son rapport Global Powers of Retailing 2018, Deloitte s’intéresse tout particulièrement à la jeune génération. Qu’attendent-ils des retailers? Comment perçoivent-ils l’e-commerce? Quels sont les comportements d’achat du consommateur de demain? Voilà quelques questions auxquelles la société a tenté de répondre en interrogeant les étudiants en commerce du Pearson College London, âgés de 19 à 22 ans.

    Les attentes

    Les jeunes consommateurs attendent, selon l’enquête, un service irréprochable. Ils souhaitent avoir affaire à une équipe experte prête et capable de les assister dans leurs achats. Parallèlement, l’expérience omnichannel doit tenir une place importante dans le cadre d’une visite chez un retailer. Les jeunes consommateurs souhaitent pouvoir réaliser leurs achats quand et où ils le souhaitent,  et ce, de façon rapide et transparente notamment en cas de retour de produit. Quant à la qualité, ils s’attendent à en avoir peur leur argent. Enfin, les jeunes consommateurs attendent des produits qu’ils soient durables, réalisés à partir de nouveaux matériaux alternatifs et transparents au niveau de la supply chain.

    Selon l’étude, les jeunes femmes sont plus ouvertes à l’achat online que leurs congénères masculins. Et s’ils n’ont aucun problème à acheter des produits d’épicerie ou de petits produits (livres, musique, etc.) en ligne, ils préfèrent essayer les vêtements en magasin avant de faire leur choix.

    E-commerce: ce qui les attire ou rebute

    Les étudiants ayant répondu à l’enquête expliquent l’attrait du web comme suit: une gamme variée et importante, la facilité et des prix compétitifs. Quant aux freins, ils parlent de problèmes liés à la confiance et la réputation de certains site, ainsi qu’à l’impossibilité de toucher et de voir le produit.

    Paiement

    Le panel d'étudiants en commerce s’attend à ce que les systèmes de paiement deviennent plus transparents, se basant notamment sur le paiement sans contact comme Android Pay ou Apple Pay. Le paiement en espèces devrait se voir réduit non seulement dans l’utilisation, mais aussi dans l’acceptation de la part des retailers. Toujours selon eux, les cryptomonnaies devraient devenir de plus en plus importantes, bien que le taux d’adoption dépendra du développement relatif des pays.

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    Le futur du retail tel qu’ils l’imaginent

    Deloitte leur a également demandé comment ils imaginent le futur du retail. Voici quatre points retenus par l’enquête:

    • L’expérience d’achat reste importante puisque les Shoppers veulent davantage d’engagement et d’interactions en magasin.
    • Les nouvelles technologies comme le smart tagging et le smart check-out ne viendront plus agrémenter l’expérience d’achat, mais deviendront fondamentales.
    • Des boutiques expérientielles innovantes et conviviales agiront comme des galeries permettant aux consommateurs de créer leur expérience personnalisée de shopping à travers les technologies de réalité augmentée/artificielle.
    • Davantage d’e-commerçants et de petits commerçants, tout comme les réseaux sociaux, permettront aux personnes de créer et promouvoir leurs marques.
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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | Avec ses #écrans #intelligents, #Mystor-e transpose l’#expérience #e-commerce en #boutique | @L'USINEDIGITAL

    DE STÉPHANIE MUNDUBELTZ-GENDRON | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2FXiefJ

    Avec ses #écrans #intelligents, #Mystor-e transpose l’#expérience #e-commerce en #boutique

    Apporter l’expérience e-commerce au sein des magasins physiques. Pas si simple pour les distributeurs. La start-up Mystor-e a la solution. C’est qu’elle est venue présenter à New York, sur l’espace Innovation Lab du NRF Retails’Big Show 2018.

    Recommander le bon produit, à la bonne personne, au bon moment… Si le principe est désormais largement utilisé par les e-commerçants, son application est plus compliquée dans les magasins physiques. "Aujourd’hui, les retailers disposent de tout un tas de données sur les comportements d’achats. Ils l’utilisent sur leurs sites e-commerce mais rien n’est fait en magasin. C’est un vrai manque à gagner", déclare Idan Sergi, co-fondateur de Mystor-e, à L’Usine Digitale lors du NRF Retails’Big Show 2018 à New York. "Or, aux Etats-Unis, 85% des personnes qui entrent dans un magasin ressortent sans rien avoir acheté".

    Avec sa solution mixant intelligence artificielle et analyse prédictive, Mystor-e compte bien faire la différence. La start-up développe des écrans digitaux à l’intérieur des magasins, directement sur les étagères ou au cœur des rayons. Dotés d’une caméra, ces écrans sont capables de reconnaître le sexe, l’âge et le style du client qui passe devant. Les algorithmes font ensuite leur travail pour proposer les produits susceptibles de lui correspondre.

    "Nous analysons toutes les datas des distributeurs et cela calcule quel produit a la plus forte probabilité d’être acheté en fonction de la personne, de la saison et des produits disponibles", explique Idan Sergi. Ces produits s’affichent ensuite sur l’écran, ainsi que leur emplacement dans le magasin.

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    Côté back-office, la solution intègre le système de management du magasin (catalogue, état des stocks, tarifs, historique des ventes…). Toutes les données sont restituées en temps réel sur un tableau de bord pour le retailer. "Nous apportons de l’intelligence artificielle les magasins brick and mortar", résume Idan Sergi.

    Sur son stand, Mystor-e présentait une application dans une boutique de vêtement. Mais la start-up ne s’arrête pas au secteur de la mode. La solution est d’ailleurs actuellement en test aux Etats-Unis chez Value City Furniture, une enseigne de meuble appartenant à SB Capital Group, qui détient aussi American Eagle Outfitter. Elle a également décroché un contrat avec deux clients en Israël, dont un dans l’univers de la joaillerie.

    Créée en Israël en 2016, la start-up a mis plus d’un an avant de développer sa solution. "Nous avons lancé le produit il y a seulement quatre mois", indique Idan Sergi. Trop tôt donc, selon lui, pour avoir un retour pertinent sur les chiffres. Sur le pilote, en AB testing, il indique toutefois que la solution a permis de générer une progression du taux de conversion de + 15 %. "Et avec le machine learning, plus de magasins utiliseront la solution et plus elle sera intelligente", assure Idan Sergi.

    Concernant le business model, la start-up propose sa solution en mode Saas (Software as a service) avec un abonnement de l’ordre de 1000 dollars par mois pour 10 à 15 écrans.