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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 58

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Albert #Heijn teste les #courses sans passer par la #caisse avec "#Tap #to #go" | @LSA

    DE MORGAN LECLERC | LSA | http://bit.ly/2Ebh9iW

    #Albert #Heijn teste les #courses sans passer par la #caisse avec "#Tap #to #go"

    L’enseigne hollandaise Albert Heijn teste une technologie qui permet de faire ses courses rapidement en posant une carte NFC sur les étiquettes électroniques en rayon. Cette action va constituer le panier de courses et débiter les achats concernés. Sans avoir besoin de faire la queue pour payer.

    Les magasins ou il est possible de partir sans passer -physiquement- par la caisse comptent un modèle de plus, après Amazon Go, Auchan Minute, ou le chinois Hema. Aux Pays-Bas, le groupe Ahold Delhaize a annoncé il y a quelques jours tester le système "Tap to go" dans un supermarché à l’enseigne Albert Heijn.

    Albert Jeijn, courses, caisse, Tap to go

    Les consommateurs doivent préalablement s’enregistrer via l’application, et disposent d’une carte équipée de la technologie NFC (la prochaine étape sera d’intégrer ce dispositif sur smartphone). Au fil de leurs achats, les clients vont apposer la carte sur les étiquettes électroniques des produits qui les intéressent (également NFC), mettent les produits dans leur sac, et peuvent quitter les lieux. Dans les 10 minutes, le montant des achats sera prélevé sur leur compte bancaire, sans avoir besoin donc de passer en caisse. Si le consommateur hésitant désire remettre un produit en rayon, il lui suffit de bipper de nouveau sa carte sur l’étiquette électronique, pour annuler l’achat en question.

    Cette expérience de shopping "rapide et efficace" selon Albert Heijn a été mise en place très rapidement, puisqu’il s’est écoulé moins de six mois entre le début des réflexions et le déploiement. "La technologie change rapidement. Donc pourquoi attendre ? Plus tôt nous commencerons, plus nous apprendrons" a commenté dans un communiqué de presse Jan-Willem Dockheer, directeur général des supermarchés Albert Heijn to go. L’enseigne a d’ores et déjà indiqué que cette technologie sera déployée dans d’autres magasins du parc hollandais d’ici juin.

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    [#CONSOLAB] [MARQUE] | Excellent #bilan 2017 pour la #marque « C’est qui le patron ? » | @LSA

    DE CAMILLE HAREL | LSA | http://bit.ly/2CHIahy

    Excellent #bilan 2017 pour la #marque « C’est qui le patron ? »

    La marque créée par les consommateurs en octobre 2016, « C’est qui le patron ? », qui vise à commercialiser des produits sains, bons et équitables au juste prix, a connu des résultats records en 2017.

    En quinze de mois d’existence, la marque des consommateurs « C’est qui le patron ? » peut être fière de ses performances.  Selon le fondateur, Nicolas Chabanne, c’est le plus gros succès pour une nouvelle marque depuis 30 ans sans soutien publicitaire et commercial dans les magasins.

    33 millions de litres de lait vendus

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    Tout est parti de situation de la filière laitière. Pour sortir de la crise et permettre aux producteurs une rémunération au juste prix, les 7 850 consommateurs engagés ont répondu à un questionnaire, composé de sept items, afin de constituer leur lait (rémunération, origine du lait, pâturage, alimentation des vaches…).  Ainsi, le premier produit commercialisé a été la brique de lait UHT demi-écrémé. Depuis le lancement, 33 millions de litres ont été vendus (pour un marché du lait de 2,1 milliards d'euros en valeur et de 2,4 milliards en volume selon Iri), contre 5 millions espérés, dans plus de 10 000 points de vente. Au fur et à mesure, la marque s’est étendue à de nouvelles références comme le steak haché, la compote de pommes, la pizza surgelée, le beurre bio… A ce jour, une dizaine de produits soutiennent les producteurs. Fort de ce succès, de nouveaux projets sont en cours d’élaboration à l’instar des pâtes, de la salade, des soupes ou des biscuits. Si l’année 2018 va donc être riche en innovations, une nouvelle action va voir le jour. Les consommateurs ont désormais pris en main le développement collectif de la gamme via le site internet « C’est qui le patron ? ». Ils peuvent signaler, en temps réel, des produits en magasins et soumettre aux enseignes des demandes de référencements.

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    [#CONSOLAB] [TENDANCES] | Ces #tendances #beauté vont-elles #dominer l’année #2018 ? | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2CHXb2L

    Ces #tendances #beauté vont-elles #dominer l’année #2018 ?

    Si l’on en croit les beautystas de Pinterest, l’année 2018 devrait être placée sous le signe du derma rolling, des coiffures à effet humide, des fonds de teints diversifiés et des cils ultra longs. Le réseau social a partagé ses prévisions beauté pour l’année 2018 en suivant l’activité de ses 48 millions d’utilisateurs friands de beauté, et elles réservent quelques surprises.

    Soins de la peau

    Des dermarollers devraient avec la cote dans les douze prochains mois. Malgré les controverses autour de ce soin du visage qui roule et pique avec ses petites aiguilles, le terme ‘derma roller’ a enregistré une progression de 345% sur Pinterest cette année. Les rollers en jade, en quartz, et même les rollers glacés, devraient gagner en popularité.

    Autre soin de la peau en progression, les huiles, les termes ‘cleansing oil’ (huile purifiante ou nettoyante) gagnent 555% au cours des 12 derniers mois.

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    Maquillage

    En ce qui concerne le maquillage, il semblerait que les cils auront la cote, alors que les dessins graphiques pour les ongles resteront bien d’actualité, surtout les dessins géométriques. Dans la lignée des tendances vues sur les podiums des collections printemps/été 2018, le maquillage flashy devrait être de mise, avec une progression de 63% pour les recherches de ‘bright eyeshadow’ (fard à paupières vif).

    Autre grande tendance, celle des fonds de teint adaptés à toutes les carnations avec de nombreuses nouvelles couleurs. L’expression ‘complexion matching’ (teint coordonné) enregistre une progression de 378% cette année.

    Cheveux

    Les amatrices de beauté les plus à la page arboreront leurs coiffures tirées vers l’arrière grâce à grand renfort de gel ou afficheront des boucles, à en croire l’augmentation des recherches de ces termes de 166%. Les coiffures gominées ou effet mouillé ont eu les faveurs des défilés en 2017, mais reste à voir si ce concept se retrouvera dans les coiffures quotidiennes des fashionistas l’année prochaine. Côté coiffures, même si cette année a été marquée par le carré court, du moins du côté des célébrités, il semblerait que cette tendance n’ait pas vraiment d’avenir sur Pinterest, termes ‘long hair’ (cheveux longs) et ‘pixie’ (coupe garçonne) ont gagné 130%... donc adieu le carré court.

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    [#CONSOLAB] [RACHAT] |# Target, la prochaine #cible d'#Amazon ? | @LESAFFAIRES

    DE YANNICK CLEROUIN | LES AFFAIRES | http://bit.ly/2CpphvE

    #Target, la prochaine #cible d'#Amazon ?

    Et si la prochaine cible d’Amazon (AMZN, 1182,85$US) dans le commerce de détail était la grande rivale de Wal-Mart Stores (WMT, 99,27$US), Target (TGT, 67,39$US)?

    Un analyste reconnu dans le milieu de la technologie a allumé le feu de la spéculation mardi matin en affirmant que cette transaction pourrait se matérialiser en 2018. L’action de Target, qui a affiché une performance nettement inférieure aux indices en 2017, prend 3,4% en fin de matinée mardi.

    Gene Munster, cofondateur de Loup Venture et reconnu pour avoir bien anticipé le potentiel de croissance d’Apple, a présenté huit prévisions pour le secteur techno cette année. 

    À son avis, la chaîne à la cible rouge est une partenaire idéale pour le géant du commerce en ligne, parce que sa clientèle est similaire à celle d’Amazon et parce qu’elle possède un nombre gérable de magasins(1828), a-t-il écrit dans son rapport dont Bloomberg fait écho ce mardi. «Il est difficile d’établir le moment où une telle transaction surviendra, mais il est facile d’en évaluer le potentiel», écrit M. Munster.

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    Amazon a causé une onde de choc dans le commerce de détail l’an dernier en avalant la chaîne d’épiceries bio Whole Foods Market pour 13,7G$US. L’incursion du chef de file de la vente en ligne dans le commerce traditionnel a même fait des vagues au Québec, où Metro a annoncé l’acquisition de la chaîne de pharmacies Groupe Jean Coutu.

    Selon M. Munster, un éventuel mariage entre Amazon et Target obtiendrait le feu vert des autorités américaines du commerce parce que Wal-Mart resterait en tête au chapitre des parts de marché du détail en dépit d’une telle union. Bien que les arguments avancés par l’analyste de 46 ans comportent une certaine logique, il faut prendre cette prédiction avec un grain de sel. Si on prenait toutes les prédictions en compte, Amazon avalerait le spécialiste des logiciels de commerce en ligne d'Ottawa Shopify, Lululemon Athletica, Bed Bath & Beyond,une chaîne de pharmacies, une banque...



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    [#CONSOLAB] [CONNECTE] | Les #clients #Echo dépensent #70% de plus que les clients #lambda d'#Amazon | @LSA

    DE LELIA DE MATHAREL | LSA | http://bit.ly/2EV4Jwv

    Les #clients #Echo dépensent #70% de plus que les clients #lambda d'#Amazon

    Les clients qui achètent vocalement des produits via le haut-parleur connecté d'Amazon déboursent en moyenne 1700 dollars par an chez l'e-commerçant.

    Amazon ne s'est pas lancé dans le secteur des haut-parleurs intelligents avec son Echo en 2014, deux ans avant son concurrent Google Home, pour des prunes. Les clients du groupe qui possèdent l'une de ces enceintes connectées dépensent en moyenne 1700 dollars par an sur le site de vente en ligne, contre 1000 dollars pour un client Amazon lambda, soit 70% plus que la moyenne selon un nouveau rapport du Consumer Intelligence Research Partners, spécialiste de l'étude de marché qui fournit des données aux investisseurs.

    Les utilisateurs d'Echo déboursent en moyenne 30% de plus que les abonnés Amazon Prime qui ne possèdent pas d'enceinte intelligente. Ces derniers, réputés être les meilleurs clients de la multinationale, se délestent de 1300 dollars par an en moyenne. Attention, pour acheter un produit sur le site de vente en ligne via un haut-parleur Echo, il faut être un abonné Prime. Les clients vocaux d'Amazon étaient donc déjà des fidèles de l'entreprise.

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    [#CONSOLAB] [RACHAT] | Les #crèmes solaires #Lovea passent aux #mains du #Petit #Olivier | @LESECHOS

    DE PAUL MOLGA | LES ECHOS | http://bit.ly/2EHj3sA

    Les #crèmes solaires #Lovea passent aux #mains du #Petit #Olivier

    La Phocéenne de Cosmétique reprend la marque de protection solaire numéro trois en France. Le nouvel ensemble pèse 33,5 millions d'euros sur le marché de l'hygiène et des soins corporels.


    La marque de crèmes solaires Lovea restera française. Mise en difficulté par plusieurs mauvaises saisons sur un marché très concurrentiel dominé par les multinationales, Laboratoire Biocos vient d'en céder la propriété, pour 6,9 millions d'euros, à La Phocéenne de Cosmétique, connue sous sa marque Le Petit Olivier. Celle-ci reprend le holding Biocos Marketing Développement, qui l'exploite, ainsi que 40 emplois (sur 80) liés aux fonctions de support administratif et commercial. Le nouvel ensemble pèse 33,5 millions d'euros avec plus de 200 références de produits d'hygiène et de soins corporels. Laboratoire Biocos restera un de ses sous-traitants avec une usine, et 40 personnes, implantée près de Nancy.

    « Nous avons de nombreuses synergies à explorer entre les deux marques », estime Eric Renard, cofondateur et directeur général de La Phocéenne de Cosmétique. A commencer par leur positionnement marketing : produits naturels exotiques pour Lovea, méditerranéens pour Le Petit Olivier. Le premier réalise 60 % de ses ventes dans les crèmes solaires (il est numéro trois du secteur en France), ce qui le rend particulièrement dépendant des facteurs météorologiques. « Nous allons désaisonnaliser sa gamme en développant de nouveaux produits d'hygiène corporelle à base d'ingrédients aux propriétés bénéfiques pour la santé, comme l'aloe vera ou le monoï », projette le patron.

    Crèmes, Lovea, mains, Petit Olivier

    Les deux marques ont également en complément leur implantation et leur positionnement commercial : moyen de gamme pour Lovea, csp+ pour Le Petit Olivier. Avec une force de vente portée à 30 personnes (sur 105), La Phocéenne de Cosmétique entend faire profiter Lovea de sa présence dans la grande distribution. Chaque année, un tiers de la gamme du Petit Olivier est renouvelé pour saisir les nouvelles tendances de consommation. Le même rythme va être appliqué aux produits Lovea, qui pourraient ainsi faire leur entrée sur plus de linéaires, notamment en centre-ville.

    La Phocéenne de Cosmétique mise enfin sur la complémentarité internationale des deux marques. Lovea est mieux implanté aux Pays-Bas et au Maroc que Le Petit Olivier, qui est davantage présent en Afrique subsaharienne et en Russie. L'entreprise réalise un quart de ses ventes dans 64 pays (contre 38 pour Lovea). « L'international représentera un tiers de notre activité d'ici à 2020 », anticipe Eric Renard.

    Avec ces développements, La Phocéenne de Cosmétique s'est fixé comme objectif de réaliser 50 millions d'euros de chiffre d'affaires d'ici trois ans. Créée en 1996, elle a réalisé l'an passé une croissance de 47 %, portée par les besoins de produits plus authentiques.