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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 52

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | La #digitalisation des #points de #vente s'#impose à tous | @LSA

    DE YVES PUGET | LSA | http://bit.ly/2DS2AVE

    La #digitalisation des #points de #vente s'#impose à tous

    Une vraie prise de conscience s’opère quant aux perspectives ouvertes par la digitalisation des magasins. Tel est le résultat de la 2e édition du baromètre Smart Retail mené par Samsung et LSA.

    Lorsqu’il s’agit de s’auto­évaluer sur le plan de la digitalisation, les professionnels de la grande distribution s’estiment plutôt matures. Selon les résultats de la 2e édition du baromètre Smart Retail mené par Samsung et LSA, les deux tiers des commerçants interrogés s’attribuent une note d’au moins 3 sur 5 (+ 13 pts). En termes d’équipements, les écrans d’affichage sont présents dans près de 6 points de vente sur 10, un chiffre porté par les enseignes de plus de 100 points de vente : en effet, il existe une corrélation nette entre nombre de points de vente et équipement en écrans d’affichage.

    Les solutions nomades ont connu une croissance notable en 2017, aussi bien pour fluidifier le parcours client que pour aider à la vente. Les solutions de paiement mobile sont, quant à elles, déployées par 36 % des enseignes interrogées (+ 11 pts) et les tablettes vendeurs en équipent désormais la moitié (+ 14 pts). Ces résultats laissent penser que la relation client est au cœur des préoccupations.

    Digitalisation, points de ventes, impose

    Comme en 2016, le premier usage est d’accroître l’attractivité du magasin pour générer davantage de trafic (56 %). Une fois cette étape franchie, les commerçants prennent la pleine mesure des possibilités offertes, comme la collecte d’informations (54 %, + 21 pts), l’accès à l’historique client (49 %, + 28 pts) ou encore la proposition d’offres personnalisées (49 %, + 19 pts). Le réenchantement de l’expérience client (45 %) et la gestion des stocks (43 %) sont également évoqués. La mise en avant de produits (73 %) et l’enrichissement du parcours client en magasin (72 %) sont les deux raisons principales qui expliquent le déploiement d’outils digitaux.

    L’amélioration de l’image de l’enseigne est le premier impact constaté du déploiement de dispositifs digitaux (53 % de citations, + 9 pts). C’est aussi l’élément principal sur lequel les professionnels jugent la pertinence de leur stratégie digitale (71 %). En revanche, la hausse du panier moyen, second indicateur de performance (43 %), n’est constatée que par 15 % des enseignes (- 4 pts). Enfin, en 2017, la priorité était d’améliorer l’expérience client. Pour 2018, les enjeux sont similaires et ils passent par de meilleures interactions avec le client (55 %) et plus de personnalisation (52 %), tout en allant vers l’omnicanalité (45 %).

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    [#CONSOLAB] [ALLIANCE] | #Monoprix prêt à s'#allier avec le diable #Amazon ? | @BFMTV

    DE FREDERIC BIANCHI | BFMTV | http://bit.ly/2DPjlN7

    #Monoprix prêt à s'#allier avec le diable #Amazon ?

    Alors que Leclerc vient de révéler qu'il préparait une offensive anti-Amazon à Paris, Monoprix serait secrètement en train de préparer un accord avec le géant américain.

    Comment composer avec Amazon? Voilà la question que se posent tous les grands distributeurs en France. Alors que Michel-Edouard Leclerc vient de révéler sur BFMTV qu'il préparait une offre anti-Amazon à Paris, Monoprix semble prendre une voie différente en s'associant avec le géant américain. 

    Selon LSA, l'enseigne de centre-ville du groupe Casino négocierait avec les équipes françaises de l'américain pour figurer parmi les enseignes proposant leurs produits aux abonnés parisiens Amazon Prime. Une information que la direction de l'enseigne française qualifie néanmoins de "rumeur infondée" même si elle admet "qu'il n'y a aucun tabou à avoir dans le commerce actuellement et qu'il faut savoir faire confiance à ceux qui font les choses mieux que vous."

    En tout cas, si les discussions entre les deux parties s'avéraient exactes, cela permettrait très concrètement aux Parisiens d'acheter "chez Monoprix via le site ou l’application de Prime Now et se faire livrer à leur domicile en une ou deux heures" explique LSA.

    Lancé en juin 2016, Amazon Prime Now permet aux abonnés Prime (49 euros par an) de se faire livrer tous les jours entre 8h00 et minuit en moins de deux heures dans Paris et ses environs une sélection de produits alimentaires, high-tech, jeux ou encore beauté. Un service néanmoins payant sur lequel les équipes d'Amazon cherchent encore à trouver l'équilibre économique.

    En effet, au lancement d'Amazon Prime Now, la livraison en deux heures était gratuite et celle en une heure était facturée 5,90 euros. Mais le géant américain a discrètement augmenté ses prix il y a quelques mois. Désormais les clients Prime doivent s'acquitter de 7,90 euros pour une livraison en une heure (en plus de l'abonnement annuel de 49 euros) et de 3,90 euros pour la livraison en deux heures (gratuite au-delà de 40 euros d'achat).

    Monoprix, allier, Amazon

    Un pari osé pour Monoprix
    Pourquoi Monoprix signerait-il un tel accord avec Amazon? D'abord pour bénéficier de la logistique bien huilée et peu coûteuse de l'américain. Monoprix facture par exemple 8 euros la livraison des courses à domicile pour un panier inférieur à 99 euros quand Amazon la propose à 3,90 euros (pour une livraison en deux heures) voire gratuitement pour un panier à plus de 40 euros. Par ailleurs, Monoprix espère aussi profiter de l'immense audience d'Amazon pour mettre en avant ses produits. Avec 24,3 millions de visiteurs uniques par mois en moyenne en 2017, Amazon est de loin le site le plus fréquenté en France.

    Pour Amazon aussi, l'intérêt est évident. Il s'agit pour l'américain d'étoffer son offre alimentaire notamment dans le haut de gamme après avoir ouvert son programme à des enseignes comme Lavinia (vin), Fauchon (traiteur),  Bio C Bon (dans l'épicerie bio) ou Truffaut (jardinerie).

    Néanmoins si l'accord paraît pouvoir profiter aux deux, le pari semble bien plus osé pour Monoprix. D'abord parce qu'il s'agit d'un aveu d'échec sur la capacité de l'enseigne à proposer un service de livraison concurrentiel. Ensuite, parce qu'en passant par le site d'un concurrent, Monoprix ne va pas améliorer la fréquentation de ses magasins, nerf de la guerre de la grande distribution. 

    Amazon accepte de perdre de l'argent
    D'ailleurs jusqu'à présent s'associer à Amazon était le tabou ultime. En octobre dernier, la rumeur de rachat de magasins Monoprix par Amazon avait été fermement démentie par la direction. Surtout ne pas faire entrer le loup dans la bergerie, voilà la position des grandes enseignes françaises vis à vis d'Amazon et des géants du e-commerce plus globalement.

    Mais depuis quelques semaines, quelques verrous semblent avoir sauté. Monoprix a ainsi annoncé fin novembre un accord avec Ocado, le géant britannique du e-commerce alimentaire, pour mettre sur pied un entrepôt en région parisienne pour développer son e-commerce. Carrefour a annoncé en janvier un accord avec Tencent pour se développer en Chine ses ventes en ligne. Et là donc Monoprix à nouveau qui pourrait signer avec Amazon. "Tout le monde veut apprendre d'Amazon et notamment de sa puissance logistique d'où ces tentatives d'alliances, analyse un expert du secteur. Sauf que le secret d'Amazon c'est qu'ils acceptent de perdre de l'argent sur ces activités en tentant de se rattraper sur les énormes volumes écoulés. Quelle enseigne française peut se permettre ça aujourd'hui?"

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    [#CONSOLAB] [ACHATS] | Plus de #60% des #Français #achètent en #ligne | @ECOMMERCEMAG.FR

    DE CLEMENT FAGES | ECOMMERCE MAG.FR |http://bit.ly/2EuRfrG

    Plus de #60% des #Français #achètent en #ligne

    Un peu plus de six internautes sur dix achètent en ligne d'après We Are Social et Hootsuite, qui publient leur rapport digital annuel sur les tendances du digital, du social media et du e-commerce où l'on apprend aussi que deux millions de Français se sont mis aux réseaux sociaux l'an passé.

    Le nombre d'internautes dans le monde a augmenté de 7% en 2017 et dépasse les 4 milliards, dont 79% utilisent les réseaux sociaux. L'an passé, un million d'utilisateurs a fait ses premiers pas sur les réseaux sociaux chaque jour, soit une hausse globale de 13%. Compte tenu du nombre d'internautes, 2018 sera l'année où l'humanité franchira, en nombre d'heures cumulées, la barre du milliard d'années passées en ligne, dont 365 millions sur les réseaux sociaux.

    Ces chiffres sont issus du Rapport Digital Annuel 2018, publié par la plateforme de gestion des réseaux sociaux Hootsuite et l'agence social media We Are Social, qui se penche notamment sur les pratiques spécifiques aux internautes français. Ces derniers passent en moyenne chaque jour plus d'une heure sur les réseaux sociaux, et presque six sur dix s'y connectent chaque mois, soit une hausse de 2 millions de nouveaux utilisateurs en 2017.

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    La question du e-commerce est abordée: en 2017, 1,8 milliard de personnes ont acheté un bien sur Internet, soit une hausse de 8% par rapport à 2016. 1500 milliards de dollars ont ainsi été dépensés sur ce canal pour l'achat de biens, soit 16% de plus qu'en 2016, et ce montant s'élèverait à 2000 milliards si on y ajoute les dépenses immatérielles (contenus et applications, voyages, etc.). En France, 61% des internautes ont acheté un produit ou un service en ligne, principalement dans les catégories mode et beauté (12 milliards d'euros, +12%), voyages (8,15 milliards d'euros, +8%) et loisirs (7,43 milliards d'euros, +10%).

    L'étude se penche également sur la progression des différents réseaux sociaux, à commencer par Facebook et ses 2,17 milliards d'utilisateurs (+15% en 2017), suivi par ses applications de messagerie Messenger et WhatsApp, qui connaissent toutes les deux une croissance de 30% l'an passé. On en apprend également un peu plus sur les taux d'engagements des posts publiés par les Français sur le principal réseau mondial: de 4,95% d'engagement moyen, on passe à 8,29% pour les posts comportant une vidéo, 6,76% pour ceux avec une photo et 6,37% pour ceux qui comprennent un lien.

     

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    [#CONSOLAB] [LANCEMENT] | Le #groupe #H&M #lance sa #plateforme #discount #Afound en #ligne et en #boutique | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2rWr4Yb

    Le #groupe #H&M #lance sa #plateforme #discount #Afound en #ligne et en #boutique

    Le groupe H&M investit le digital pour contrer son ralentissement sur le plan du retail. Il a officialisé le 31 janvier le lancement d’une marketplace multimarque nommée Afound, dédiée à une offre d’habillement homme et femme et de produits lifestyle. En service dès 2018, le site aura pour spécificité de proposer des rabais allant jusqu’à -70 %.

    Uniquement disponible en Suède pour ses débuts, le site est d’ores et déjà en ligne, mais n’est pas encore achalandé. Il est simplement proposé aux visiteurs de s’enregistrer pour bénéficier d’un accès en avant-première. Cet outlet, qui offrira, selon le groupe, des « deals fantastiques », accueillera ses différentes marques (H&M, Cos, Monki…), mais aussi toute une série de labels internationaux. L’offre se répartira sur des segments de prix variés et inclura des séries limitées de produits créés spécialement par les marques pour le site. Une soixantaine de griffes auraient déjà signé avec le groupe, selon le média suédois Breakit.

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    Afound n’est pas seulement un portail Web. Son lancement s’accompagnera de l’ouverture d’une première boutique physique à Stockholm, sur l’artère Drottninggatan. « Afound se soucie à la fois de la valeur des produits et de l’assortiment. En présentant au client des labels de qualité et le sentiment que vous faites vraiment une bonne affaire, Afound offrira une nouvelle forme d’expérience off-price (prix barrés, ndlr) », expose Fredrik Svartling, le directeur général de la plateforme, qui a occupé le poste de directeur des ventes H&M aux Etats-Unis entre 2006 et 2015.

    La société scandinave ne dévoile pas encore ses ambitions en matière de développement, mais il s’agit à coup sûr d’un projet qui pourra être dupliqué à l’international, à la fois en ligne et physiquement. Afound s’inscrit pleinement dans sa stratégie (essentielle) de transformation pour tenter de s’adapter aux nouvelles manières de consommer la mode, vers un modèle incluant davantage le digital. Sur l’année 2017, le distributeur suédois a généré des ventes en hausse de 4 %, mais a vu son bénéfice net reculer de 13 %.

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    [#CONSOLAB] [PROJET] | #Cosmétiques : #création d’un #cluster #européen pour #favoriser l’#internationalisation des #PME | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2rXce3N

    #Cosmétiques : #création d’un #cluster #européen pour #favoriser l’#internationalisation des #PME

    Le projet Cosmetics4Wellbeing proposé par un consortium de clusters dont la Cosmetic Valley a pour objectif la mise en place d’un cluster européen dédié aux cosmétiques et d’une stratégie d’accompagnement des PME du secteur dans leur internationalisation.

    Retenu dans le cadre du programme européen Cosme, le projet Cosmetics4Wellbeing (C4W) a pour objectif la mise en place d’un cluster européen : ESCP-4i (European Strategic Cluster Partnership – going international) et d’une stratégie d’accompagnement des PME de la cosmétique dans leur internationalisation. Ce projet est porté par la Cosmetic Valley, en collaboration avec Beauty Cluster Barcelona (Espagne), Transylvanian LifeStyle Cluster (Roumanie), l’Association Region Beira Baixa (Portugal) et avec le soutien de France Clusters (France).

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    « Le projet Cosmetics4Wellbeing va permettre aux 5 clusters européens de construire une véritable stratégie d’internationalisation pérenne vers les marchés de "grand export", notamment en développant de nouveaux partenariats sur des axes de travail innovants, liant la cosmétique à des secteurs transverses tels que la santé, l’agro-alimentaire et la transition digitale », explique la Cosmetic Valley dans un communiqué de presse. Officiellement lancé le 8 janvier 2018 et prévu sur une durée de 18 mois, le projet C4W bénéficiera d’un financement H2020 pour un montant de 199 223 euros


     

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    [#CONSOLAB] [ENSEIGNES] | #Amazon #détrônée, #Decathlon en #tête | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2nwyNqE

    #Amazon #détrônée, #Decathlon en #tête

    Désigné enseigne préférée des Français à cinq reprises en sept ans, le géant américain Amazon est détrôné en 2018 par le distributeur d'articles de sport Decathlon, couronné pour la première fois, selon une étude annuelle publiée par le cabinet OC&C. Depuis 2012, Amazon n'avait été devancé que par le spécialiste du surgelé Picard, par deux fois (2012 et 2015).

    En 2018, non seulement Amazon chute de son trône au profit de Decathlon, mais il n'obtient que la 5e place, devancé par l'enseigne culturelle Cultura, 2e, grâce à un bon bouche-à-oreille, Picard (3e), fort de son image de qualité, et la Fnac (4e), qui bénéficie de son rapprochement avec Darty et de l'investissement dans tous les canaux de vente décidé par son ex-PDG, Alexandre Bompard, désormais à la tête de Carrefour.

    « Le consommateur paraît frustré par les enseignes qui se basent essentiellement sur la technologie et les algorithmes », explique à l'AFP le responsable cette étude, David de Matteis, associé au sein du cabinet OC&C. Pour lui, le client est désormais plus attentif à la « transparence sur les prix » et se méfie des enseignes et des places de marché comme Amazon, qui proposent une « offre pléthorique », car souvent, la qualité ne suit pas.

    En termes de prix, Amazon est toujours bien classé, mais quand on se base sur l'adéquation de l'offre aux besoins des consommateurs, le géant américain déçoit, souligne David de Matteis.

    D'autre part, si Decathlon arrive pour la première fois en tête du classement, c'est que l'enseigne sportive est considérée comme « un champion dans sa catégorie », souligne-t-il. « Ils ont investi dans la recherche et le développement » et sont « très bons » dans leur domaine d'expertise.

    Les modèles gagnants, analyse-t-il, reposent sur une « vision claire de la proposition d'une enseigne aux consommateurs et de ses points de différenciation » : spécialisation produit, expérience client, focalisation sur une génération etc. Autre donnée qui ressort de l'étude : la prime au rapport qualité/prix. « Le critère du prix est important, mais le consommateur ne souhaite plus faire de compromission sur la qualité », explique David de Matteis, pour qui « le niveau d'exigence du consommateur s'est élevé ».

    Si on décompose le classement en fonction des marchés, c’est la chaîne française Etam qui mène la danse dans le secteur Chaussure/Habillement. Elle devance le géant Zara, Jules et Kiabi. Côté mode enfant, Petit Bateau s’impose devant Orchestra, Tape à l’œil et Sergent Major. En outre, Sephora domine le rayon beauté, suivie par Yves Rocher, Nocibé et Kiko.

    Amazon, détrônnée, Decathlon, tête

    L’étude rappelle enfin que la préférence varie selon l’âge, les différentes générations ayant des styles de vie différents. Ainsi, Cultura arrive en tête du classement des enseignes préférées chez les Millenials et la génération X, tandis que Picard est plébiscité par les Baby-boomers. Alors que Decathlon occupe la deuxième place pour tous, Amazon ne figure pas dans les 10 premiers noms cités par les Baby-Boomers.

    Méthodologie : 7 572 consommateurs français interrogés pour mesurer l'attractivité de 122 enseignes, en se basant sur différents critères (prix, qualité des produits, choix, services...).