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    [#CONSOLAB] [RACHAT] | #Conforama se renforce dans la #literie avec #Mon Lit et Moi | @LEFIGARO

    DU FIGARO AVEC AFP | LE FIGARO | http://bit.ly/2y3dD6p

    #Conforama se renforce dans la #literie avec #Mon Lit et Moi

    Le groupe de distribution et d'ameublement Conforama a annoncé mardi avoir acquis l'enseigne Mon Lit et Moi, propriétaire de 17 points de vente en France, afin de consolider sa présence sur le "marché de la literie premium". L'acquisition de l'enseigne, dont le montant n'a pas été précisé, s'est faite auprès des propriétaires fondateurs de Mon Lit et Moi, Nicolas Lévy et Nicolas Beaufour, souligne dans un communiqué Conforama, filiale du groupe sud-africain Steinhoff. "Cette acquisition permet au Groupe Conforama d'accélérer la mise en oeuvre de son projet de création d'une enseigne de référence sur le marché de la literie premium en France", affirme l'enseigne d'ameublement.

    Conforama, literie, mon lit et moi

    Mon Lit et Moi, dont les fondateurs resteront à la tête de leur société, compte 17 points de vente sous son enseigne, et ouvrira dans les prochains mois deux magasins à Paris et Strasbourg. Cette marque et son savoir-faire, "combinés aux ambitions de Conforama et du groupe Steinhoff, numéro un mondial de la literie, vont nous aider à nous ancrer sur ce segment de marché", s'est félicité Alexandre Nodale, le PDG de Conforama. Quant à MM. Lévy et Beaufour, ils ont déclaré espérer désormais, en s'appuyant sur la puissance de frappe de Conforama, "développer plus rapidement l'enseigne (...), tout en lui conservant son caractère haut de gamme et son exclusivité en termes de service client". Conforama a réalisé un chiffre d'affaires de 3,5 milliards d'euros en 2016.

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    [#CONSOLAB] [START-UP] | #L'Oréal débarque à #Station F | @STRATEGIES

    DE MIRABELLE BELLOIR | STARTEGIE |  http://bit.ly/2i1bXES

    #L'Oréal débarque à #Station F

    Le géant français des cosmétiques L'Oréal a annoncé vendredi son arrivée à Station F, la grande pépinière de start-up ouverte cet été à Paris, où il sera chef de file du programme consacré à la beauté numérique.

    L'Oréal vient «rajouter un programme sur des sujets qu'on aime bien autour de la beauté», a résumé à des journalistes le fondateur du groupe de télécoms Iliad-Free Xavier Niel, qui a lancé et financé Station F. Le partenariat avec L'Oréal «va nous amener ou nous emmener dans des secteurs pas toujours habituels dans la création de start-up», a-t-il remarqué. «À Station F, on a énormément de start-up numériques, mais on est ravi d'avoir des start-up qui ne soient pas numériques!»

    «C'était normal que L'Oréal s'associe à Station F pour être le partenaire de la beauté», a souligné le PDG du groupe de cosmétiques Jean-Paul Agon, revendiquant le titre de «champion de la beauté digitale» (numérique). Un exemple de produit présenté cette année: une brosse connectée qui analyse le cheveu et propose les soins adéquats.

    L'Oréal, Station F

    Concrètement, L'Oréal accompagnera le développement d'une douzaine de start-up. Elles seront accueillies pendant six mois à un an dans son propre incubateur, qui disposera de 62 postes de travail au sein de Station F. «On mettra en contact ces start-up avec tout l'écosystème l'oréalien», et elles pourront échanger avec la recherche, le marketing, les opérations, etc. «C'est tout le monde de la beauté qui va être ainsi au service de ces start-up sélectionnées», a relevé Jean-Paul Agon. Outre l'hébergement direct de 200 start-up, Station F a conclu des accords avec des partenaires chargés d'animer des thématiques spécifiques: Thales pour la cybersécurité, Facebook pour la data (les données informatiques), Microsoft pour l'intelligence artificielle, l'Institut du cerveau et de la moëlle épinière (ICM) pour la santé, etc. L'Oréal, première entreprise de produits de grande consommation à intégrer ce campus de start-up, en dirigera le 27e programme thématique.

     

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    [#CONSOLAB] [MARCHE] | #Amazon s'attaque à un nouveau #marché et Nike devrait se méfier | @BFMTV

    DE FREDERIC BIANCHI | BFMTV | http://bit.ly/2i0RNdZ

    #Amazon s'attaque à un nouveau #marché et Nike devrait se méfier

    Amazon travaillerait avec des fournisseurs taïwanais pour lancer sa propre marque de sport selon Bloomberg. Une annonce qui intervient alors que, selon une étude, de plus en plus de jeunes ont le réflexe d'acheter leurs vêtements chez le géant de l'e-commerce.

    Amazon veut passer à la vitesse supérieure dans le textile. Après avoir lancé en 2016 ses propres collections en créant notamment des marques comme Paris Sunday ou Goodthreads, le géant du e-commerce lorgne cette fois sur le très lucratif marché du sport.

    Selon Bloomberg, Amazon travaillerait depuis des mois maintenant avec des fournisseurs taïwanais qui produisent déjà les collections de grandes marques américaines. Makalot Industrial fabrique ainsi pour des enseignes comme Gap, Uniqlo et Kohl's, et Eclat Textile est lui sous-traitant pour de grands équipementiers sportifs comme Lululemon, Under Armour et Nike. Ce fabricant est notamment réputé pour ses vêtements sportifs haute performance. Amazon aurait par ailleurs embauché des pointures du sport pour dessiner ses collections comme Kirsten K. Harris, passée notamment chez Nordstrom ou Nike. 

    Amazon, marché

    Selon Bloomberg, de petites quantités seulement auraient été produites et livrées en août dernier à Amazon. Mais le e-commerçant peut se montrer extrêmement rapide lorsqu'il s'agit de déployer une offre. Ainsi, lorsqu'il a racheté l'enseigne Whole Foods en septembre dernier, Amazon a installé le jour même de la signature des corners de ses produits dans les boutiques de l'enseigne de bio.

    Cette annonce intervient alors même que Nike montre d'inquiétants signes d'essoufflement. La marque a vu ses ventes chuter de 3% au dernier trimestre et vient de réaliser une vente flash sur son site avec des prix bradés jusqu'à -40%. Une première dans l'histoire de la marque. "Cet événement est sans précédent pour Nike, explique sur Twitter Matt Powell, spécialiste du sport chez NPD, et cela montre que cette industrie va dans le sens de ce qui se passe dans le retail des adolescents, triste à voir".

    L'analyste fait ici référence au fait que les jeunes consommateurs -les millenials- sont de moins en moins portés sur les grandes marques et achètent surtout de plus en plus sur internet. Ainsi, la popularité de Nike est en baisse aux États-Unis et est passée pour la première fois sous les 50% (46% précisément) d'avis favorables auprès des jeunes CSP+. Des millenials qui sont de plus en plus enclins à acheter leurs vêtements sur Amazon. Dans une étude de Slice Intelligence, le site américain arrive en tête des choix chez les 18-34 ans américains pour les achats textiles avec 17%. 

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    [#CONSOLAB] [LAUCHING] | #Jet.com Launches #Uniquely J to #Target #Millennials | @NWI.COM

    FROM DANNY VENA | NWI.COM | http://bit.ly/2gFbD1R

    #Jet.com Launches #Uniquely J to #Target #Millennials

    Jet.com, a division of Wal-Mart Stores, Inc. (NYSE: WMT), announced that it will debut new premium, private-label products on its website, beginning today. The merchandise, branded Uniquely J, will provide what the company calls "a new brand of everyday essentials." Jet.com, one of the fastest growing e-commerce companies in the U.S., will offer a "carefully curated" list of 50 items including coffee, cleaning products, laundry supplies, pantry goods, and food storage. This is all part of a larger strategy by the company to win over the hearts and minds -- as well as the wallets and purses -- of millennial shoppers.

    Uniquely J products are aimed squarely at Millennials.

    Jet.com, Uniquely J, Target, millennials

    The company focused on areas it believed to be of importance to millennials, such as plant-based ingredients in its cleaning products, BPA-free plastics for its food storage bags, and USDA Certified Organic and Fair Trade Certified beans for its coffee. Jet.com wants to eliminate the trade-offs, providing consumers with style and value without sacrificing quality.

    The company also paid particular attention to the look. The products feature "bold and beautiful packaging, specially designed by artists Jet.com partnered with from around the world." The website introduces the product line saying, "Meet your new favorite everything," and features product names with attitude, like Badass Espresso.

    These premium products are intended to appeal to millennials, who have become the largest shopping demographic in the world. According to Meredith Klein, Jet.com's director of public relations, "Uniquely J is yet another way Jet.com is innovating for the metro millennial. From the boldly designed packaging, to the fun, witty label copy and quality ingredients -- everything was designed with this metro consumer in mind."

    When Wal-Mart purchased Jet.com for $3.3 billion late last year, it raised more than a few eyebrows. The upstart e-commerce purveyor launched in mid-2015, promising the guaranteed lowest prices online on more than 10 million items, and was lauded early on as a potential competitor of Amazon.com (NASDAQ: AMZN). Jet.com also provided a variety of ways for shoppers to save even more, like switching from a credit to a debit card, or waiving their right to return items, each in exchange for additional discounts.
    Wal-Mart's new weapon in the fight against Amazon.com.

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    [RFM N°260] [EDITORIAL] | Le choix du sport à parrainer |@Sébastien Soulez

    Le dernier article de la RFM n°260, qui paraîtra fin octobre, est écrit par Sébastien Soulez sur :

    LE CHOIX DU SPORT A PARRAINER : UNE ETUDE D'ÉVÉNEMENTS 

    L’efficacité du parrainage sportif du point de vue marketing a fait l’objet de recherches nombreuses dont notre revue s’est au-demeurant fait l’écho récemment. Présence à l’esprit renforcée, image induite, valeurs partagées entre l’évènement sportif et la marque, etc. sont quelques-unes des retombées positives du parrainage sportif. Pour autant, les retombées financières du parrainage sportif ont été rarement approchées, et plus particulièrement s’agissant de l’impact sur le cours de bourse des actions d’un annonceur investissant dans un parrainage sportif. C’est précisément le sujet de l’article proposé par Sébastien Soulez, fort du constat que le sport est devenu aujourd’hui une véritable activité économique. Les auteurs reprennent la définition du parrainage de Derbaix et al. (1994), « la création ou le soutien par une organisation ou une marque d’une activité socio-culturellement indépendante d’elle-même en s’y associant médiatiquement en vue d’atteindre des objectifs de communication marketing ». En dehors toutefois des objectifs de communication, le parrainage sportif a pour but ultime comme toute action marketing d’augmenter les ventes et le bénéfice escompté, justifiant ainsi les coûts élevés associés à de telles stratégies.

    RFM, N°260, octobre

    Or comment réagissent les investisseurs à l’annonce d’un contrat de parrainage sportif ? L’investisseur est censé en permanence « ajuster » ses attentes en termes de flux de trésorerie dont l’évolution du cours de l’action est le reflet. L’auteur s’intéresse donc à l’influence du parrainage sportif sur le cours de bourse de l’action des parrains en fonction du sport parrainé. Les recherches déjà menées sur le sujet ont mobilisé le cadre conceptuel de l’impact des événements et ont mis en lumière des résultats parfois contradictoires, sans parvenir à distinguer quels sports produisent les effets positifs les plus élevés.

    D’un point de vue purement financier, les anticipations sur le cours de bourse sont uniquement déterminées par les espérances de gains futurs rapportés aux dépenses présentes : il n’y a donc pas de raison de penser que l’impact sur le cours de bourse soit dépendant d’un sport en particulier. L’auteur émet cependant l’hypothèse que la concentration des budgets de parrainage sur un seul sport plutôt que leur dilution est plus bénéfique à la marque ou à l’annonceur.

    Pour valider ses hypothèses, l’auteur reprend la méthodologie propre à l’étude de l’impact d’événements sur le cours de bourse. Il sélectionne pour cela le parrainage d’équipes, de fédérations ou d’événements sportifs entre 1998 et 2015. La base donnant l’évolution des cours de bourse aux dates correspondantes de l’annonce des actions de parrainage a été « dépolluée » de toutes les valeurs dont l’évolution peut s’expliquer par d’autres événements que le seul effet d’annonce étudié : 132 événements sont ainsi retenus soit environ la moitié de ceux initialement collectés.

    Au final, les résultats suivants sont rapportés. L’impact global des annonces de parrainage sportif sur le cours de bourse est faible et non significatif, mais qui devient toutefois positif dès lors que l’on retire le parrainage des Jeux Olympiques, répliquant en cela les résultats de recherches antérieures. L’hypothèse 1 qui postule l’effet différencié du parrainage sportif selon le sport concerné est validée : le rugby et la voile génèrent des rendements anormaux positifs tandis que le football et le cyclisme génèrent des rendements anormaux négatifs (le tennis ne générant aucun rendement anormal significatif). L’hypothèse 2 qui distingue l’effet positif attendu d’une stratégie de parrainage unique versus un effet négatif s’agissant d’une stratégie de parrainage multiple est partiellement validée : des rendements anomaux positifs sont bien observés en cas de parrainage unique ; en revanche, le parrainage multiple n’engendre pas de rendements anormaux négatifs significatifs.

     

    Cet article vous intéresse ? Il paraîtra intégralement dans la Revue Française du Marketing n°260 qui sortira fin octobre. 

    Vous n'êtes pas encore abonné, vous souhaitez adhérer à la Revue Française du Marketing et/ou vous souhaitez en savoir plus ? Contactez : adirection@panelontheweb.com

    Pour contacter l’auteur, Sébastien Soulé : sebastien.soulez@univ-lyon3.fr

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    [RFM N°260] [EDITORIAL] | Marketing et bien-être des consommateurs | @L.BOUJBEL & A.D'ASTOUS

    Le troisième article de la RFM n°260, qui paraîtra fin octobre, est écrit par Lilia Boujbel et Alain d’Astous sur :

    MARKETING ET BIEN-ETRE DES CONSOMMATEURS : UNE APPROCHE INTÉGRANT LES VALEURS DE LA SIMPLICITÉ VOLONTAIRE.

    Le bien-être est une des valeurs montantes au sein des sociétés développées : jamais les initiatives n’ont été aussi nombreuses pour augmenter le sentiment de quiétude, de satisfaction ou de bonheur. Dans cette quête du bien-être, le rôle joué par le marketing peut être perçu comme ambigu : pour ses promoteurs, le marketing participe de l’atteinte d’un état jugé meilleur ; en revanche, pour ses détracteurs, le marketing suscite des désirs perpétuellement insatisfaits et partant un mal-être permanent.

    Les auteurs soulignent à juste titre l’importance du sujet tant il conditionne la légitimité de notre discipline. Plutôt que de partir des seules activités marketing, les auteurs préconisent de se centrer sur les perceptions des consommateurs à leur égard. La problématique de recherche porte donc sur la relation entre les perceptions du marketing (négatives le plus souvent) par les consommateurs et l’évaluation de leur bien-être. Les auteurs émettent l’hypothèse que la relation entre le jugement porté sur le marketing et l’évaluation de son bien-être individuel est conditionnée par l’adoption de valeurs fondamentales, dont celles de la simplicité volontaire. Plus précisément, le jugement qu’une personne porte sur les activités marketing peut l’amener à rejeter les valeurs matérialistes de la consommation (adoptant ainsi un comportement de simplicité volontaire) et partant conditionne l’évaluation de son bien-être (et plus largement sur les voies d’accès au bonheur).

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    Pour cela, les auteurs mettent l’accent sur le rejet de plus en plus marqué des valeurs consuméristes et matérialistes amenant à des comportements de résistance et de rébellion au marketing et à l’adoption d’une contre-culture de la consommation. Les citoyens pointent du doigt l’artifice du marketing, adoptent des stratégies d’évitement, dénoncent le cynisme des marques et au final s’insurgent contre l’intention manipulatoire du marketing. La littérature s’accorde sur un constat : si ces attitudes sont d’intensité variable, elles participent toutes d’une construction identitaire de l’adoptant. Cette construction identitaire peut précisément passer par l’adoption d’un comportement de simplicité volontaire (diminution de la consommation, responsabilisation écologique, autosuffisance, etc.). Or il apparaît que les adeptes de la simplicité volontaire établissent un lien entre leur posture et la recherche du bonheur, fondé sur l’idée que la richesse nuit au-delà d’un certain seuil (pauvreté) au bien-être individuel (dans son évaluation subjective). Fort de ce constat, les auteurs établissent un modèle conceptuel de leur recherche dont ils proposent la validation à partir de deux études conduites l’une au Canda, l’autre en Belgique auprès de consommateurs engagés dans une démarche de simplicité volontaire.

    Cet article vous intéresse ? Il paraîtra intégralement dans la Revue Française du Marketing n°260 qui sortira fin octobre. 

    Vous n'êtes pas encore abonné, vous souhaitez adhérer à la Revue Française du Marketing et/ou vous souhaitez en savoir plus ? Contactez : adirection@panelontheweb.com

    Pour contacter les auteurs, Lilia Boujbel : lilia.boujbel@hec.ca ; Alain d’Astous : alain.dastous@hec.ca