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    [CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | Le nouveau #Monoprix parisien, concentré de la #stratégie #omnicanale de l’enseigne | @LSA

    DE JULIE DELVALEE | LSA | http://bit.ly/2gyTTlk

    Le nouveau #Monoprix parisien, concentré de la #stratégie #omnicanale de l’enseigne

    Le magasin, installé sous la canopée du Forum des Halles en plein cœur de Paris, présente une multitude de services pour simplifier la vie de ses consommateurs urbains. Régis Schultz, patron de l’enseigne, a inauguré ce dernier point de vente et a présenté l’ensemble de ces dispositifs digitaux à LSA.

    « Notre objectif, c’est de maximiser le plaisir et de minimiser les contraintes de notre clientèle », débute Régis Schultz, tout sourire, quelques minutes avant l’inauguration officielle du Monoprix des Halles, ouvert le 26 juillet dernier. Smartphone à la main, le président de Monoprix énumère à vitesse grand V l‘ensemble des dispositifs omnicanaux rassemblés dans ce dernier point de vente. "C’est le dernier né des Monoprix, il bénéficie donc de tous nos services en matière d'omnicanalité. La clientèle est prête à s’approprier ses services », assure-t-il.

    Sa démonstration démarre avec l’application Monop’Easy, installée depuis la veille dans le magasin pour l'offre de sandwiches et de boulangerie, et déjà en place dans le Monop' situé près de la place de la Madeleine, à Paris. Le principe ? Le client scanne le code-barre du produit, qui s’affiche dans l‘application Monop’Easy préalablement téléchargée sur son mobile. Il finalise le paiement sur son smartphone avec les coordonnées d’une carte bancaire enregistrée. « Cette application est légitime dans les petites surfaces et met fin à l’irritant principal des consommateurs : l’attente en caisse», souligne Régis Schultz. Cette possibilité sera étendue à tous les Monop' sur le premier semestre 2018.

    Toujours dans cette logique de gain de temps, la géolocalisation des produits dans le point de vente se développe peu à peu dans les surfaces de vente de l’enseigne urbaine. Là encore, le smartphone des utilisateurs est l’outil indispensable pour profiter cette fonction. Ceux-ci entrent dans le portail virtuel de Monoprix pour indiquer dans quel point de vente ils se situent. Ils inscrivent la référence recherchée… Un plan -et même un itinéraire- s'affiche alors pour se rendre jusqu’au produit convoité.

    L’aspect serviciel s'étend aussi en dehors du magasin. D’abord avec le click and collect, les courses alimentaires sont disponibles en magasin entre 1 heure et 3 heures après la commande. Pour la mode, les articles peuvent être réservés en deux heures. Après le passage dans le point de vente, les adeptes de la livraison bénéficient aussi d’une service rapide. La livraison s’effectue en effet en une heure et sans véhicule quand le client se situe à moins de 500 mètres. « Ici aux Halles, 30 % des livraisons se font à pieds ».

    Monoprix, stratégie, omnicanale

    Une fois livrés, les consommateurs les mieux organisés peuvent recourir au « Shop & Give », un service permettant de remettre gratuitement au livreur des produits alimentaires non périmés, des fruits et légumes ainsi que des piles et des ampoules usagées.

    En plus de sa stratégie digitale, ce Monoprix , qui s’étale sur 2 760 mètres carrés de vente répartis sur deux étages, offrent également un choix alimentaire adapté à son public urbain. Au rez-de-chaussée, l’espace « Pain en Ville » présente une offre boulangerie-pâtisserie et sandwicherie traditionnelle, visible ci-contre, ainsi que d’une salle de restauration, auxquels s’ajoutent deux terrasses de 80 places. Au niveau -1, le magasin principal commercialise de nombreux produits adaptés à la restauration (sur place ou à emporter) avec notamment un corner à sushis, un bar à salade et à fruits.

     

     

     

     

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    [CONSO LAB] [MAGASIN] | La #Fnac redonne du #peps à ses #librairies | @LSA

    DE JEAN-NOËL CAUSSIL | LSA | http://bit.ly/2gu34n8

    La #Fnac redonne du #peps à ses #librairies

    Dix-huit magasins Fnac ont adopté le nouveau concept librairie. Lequel laisse plus de place aux couleurs vives pour aider les lecteurs à mieux se repérer en rayon.

    Premier libraire de France, la Fnac entend garder son avantage concurrentiel. Il en va de l’image même de l’enseigne. Et pas que de son image, d’ailleurs. Les ventes de produits éditoriaux se sont élevées, en 2016, à 1,24 milliard d’euros. Certes, en forte baisse de 4,1% sur l’année, mais de quoi représenter un tiers des ventes de la Fnac, mine de rien. Dans ce total, les livres seuls pèsent 701 millions d’euros. Soit plus de 18% des ventes de la Fnac. Et puisque le marché du livre a atteint 3,9 milliards d’euros en France en 2016, cela signifie que près d’un livre sur six vendus dans le pays passe par les caisses de la Fnac.

    Et, bien au-delà de cette litanie de chiffres, le livre est une source de trafic en magasins incontournable. On vient flâner dans les rayons, feuilleter et prendre du bon temps. La Fnac se doit donc de proposer un concept qui offre justement cette possibilité.

    Fnac, peps, librairies

    D’où ce lifting aujourd’hui déployé dans 18 magasins en France, en attendant que les autres y viennent également. « L’objectif numéro un est d’améliorer la lisibilité du rayon pour permettre aux clients de mieux se repérer dans les différents univers », déclare ainsi un porte-parole de l’enseigne. Et avec ces codes couleur marquants, doublés d’une signalétique modernisée, le moins que l’on puisse dire est que le pari s’avère réussi. « Notre rayon livres a toujours été conçu comme une librairie, et nos vendeurs sont des libraires, mais ce n’était pas forcément l’impression rendue visuellement », indique la Fnac, qui explique avoir ainsi « voulu redonner de la chaleur et s’éloigner des codes des GSS, un peu froids ».

    Cette chaleur, on la retrouve à l’intérieur des rayons. C’est tout bête, mais cela change une ambiance : les tables de présentation s’ouvrent à des ruptures de rythme agréables à l’œil. En clair : on sort des étagères parallèles, une planche horizontale, une planche verticale, pour trouver des hauteurs et des largeurs différentes, propres à mieux mettre en valeur les articles. Le tout en étant parfaitement modulable, pour permettre aux équipes d’adapter le mobilier en fonction des besoins.

     

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    [CONSO LAB] [CONNECTE] | #Google corrige un #bug qui faisait qu’une de ses #enceintes #connectées enregistrait en permanence | @LE MONDE

     

    "Pour la première fois de sa vie, il comprit que lorsque l'on désirait garder un secret, on devait aussi se le cacher à soi-même" ORWELL #CEW

     

    DE NICOLAS SIX | LE MONDE | http://lemde.fr/2gyTgbl

    #Google corrige un #bug qui faisait qu’une de ses #enceintes #connectées enregistrait en permanence

    Scénario catastrophe pour Google : un journaliste a surpris sa nouvelle enceinte en flagrant délit d’écoute indiscrète.

    Un journaliste américain a vécu une curieuse aventure en testant le nouveau haut-parleur intelligent de Google, Google Home Mini. Cette version miniaturisée de l’enceinte Google Home est équipée d’un microphone. Elle écoute les questions qu’on lui pose à voix haute et essaye d’y répondre, sans toujours y parvenir.

    Google, bug, enceintes connectées

    En principe, la Home Mini n’écoute que, lorsqu’on l’appelle, en prononçant deux mots : « O.K. Google ». Mais après quelques jours de test, le journaliste d’Android Police a remarqué qu’elle clignotait un peu trop souvent : Intrigué, il a décidé de visiter son espace personnel « Mon Activité », sur Internet, où sont référencés les enregistrements de l’enceinte. Ces enregistrements sont stockés dans l’immense mémoire des fermes d’ordinateur de Google. Surprise : une liste interminable de sons l’y attendait. Des milliers d’enregistrements, du soir au matin en passant par la nuit. La Home ne se contentait pas d’ouvrir les oreilles quand on l’appelait. Elle écoutait quasiment toutes les paroles du journaliste, jusqu’à plusieurs fois par minutes, puis les transmettait à Google.

    Contacté par le journaliste, le géant californien a réagi en quelques heures. Selon Google, c’est le bouton, au sommet de l’enceinte, qui posait problème : il s’activait intempestivement. Ce bouton tactile permet d’ouvrir les micros sans prononcer « O.K. Google ». Google a immédiatement résolu le problème en désactivant ledit bouton sur toutes les enceintes en circulation, via une mise à jour distribuée automatiquement par Internet. Selon Google, le grand public ne sera pas concerné par ce dysfonctionnement, puisque l’enceinte n’est pas encore commercialisée. Elle sera disponible en France le 17 octobre.

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    Illustration des propos tenus à la conférence du CEW par Philippe Jourdan | Le sujet vous intéresse ?

    Il peut être adapté à vos besoins ! Pour plus d'information rendez-vous sur notre site.

     

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    [CONSO LAB] [E-COMMERCE] | #Amazon va ouvrir un #bar #éphémère à #Tokyo | @LSA

    DE FRANCOIS DESCHAMPS | LSA | http://bit.ly/2ygjokS

    #Amazon va ouvrir un #bar #éphémère à #Tokyo

    L’e-commerçant poursuit ses tests dans le brick and mortar et va ouvrir pendant une courte période de 10 jours, un pop-up bar dans la ville de Tokyo au Japon. Il y servira des vins, de la bière, du saké ou encore du whisky.

    C’est une courte période même pour un concept éphémère. Pendant 10 jours à partir du 20 octobre prochain, le centre commercial de Chuo-ku situé dans le quartier huppé de Ginza à Tokyo - où se trouvent également des enseignes Louis Vuitton et Apple - , accueillera un bar aux couleurs d’Amazon. L’e-commerçant, qui a commencé à commercialiser de l’alcool sur sa plateforme japonaise en 2014, a prévu pour son pop-up bar, d’y vendre du vin, de la bière, des cocktails, du whisky ou encore du saké. Le bar ne devrait pas avoir de menu, mais des serveurs seront présents pour orienter les clients vers un choix de boisson, et selon le site dédié à la présentation du concept, les prix au verre seront compris entre environ 4 euros et 11 euros.

    Amazon, bar, éphémère, Tokyo

    Alors qu'Amazon a ouvert plusieurs librairies aux Etats-Unis, racheté Whole Foods pour près de 14 milliards de dollars, et teste un concept de marché alimentaire sans caisses ‘Amazon Go’ dans la ville de Seattle, c'est la première fois qu’il teste l’exploitation d’un bar. Un moyen, probablement, de promouvoir sa gamme de produits alcoolisés vendus sur son site marchand au Japon. Dans l'empire du soleil levant, l’e-commerce est dominé par le groupe Rakuten – propriétaire de PriceMinister en France. Le groupe est aussi à la tête de deux ‘Rakuten Café’ installés dans la capitale japonaise, au sein desquels il propose des boissons, des en-cas, tout en mettant en scène ses liseuses (Kobo).

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    [CONSO LAB] [MAGASIN] | Comment #Amazon Books dépoussière les #librairies | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2fUdyiK

    Comment #Amazon Books dépoussière les #librairies

    Lorsque Amazon se met à la distribution physique, c’est en adaptant les meilleures recettes du web. La preuve par l’exemple dans sa librairie de Seattle, que LSA a visitée.

    Beau challenge, ou sacrée ironie ? C’est en large partie Amazon, à ses débuts uniquement un site marchand de livres, qui a précipité le déclin des librairies physiques. Le livre est pourtant le premier produit pour lequel, vingt ans après son lancement, il a ouvert des magasins. Sauf que sous leur apparence très classique, entre bibliothèques en bois naturel et fauteuils confortables, les Amazon Books proposent une expérience inspirée d’internet où tout est pensé pour faciliter la découverte. Premier détail : tous les livres sont présentés de face plutôt que de profil, pour qu’il soit plus facile de « naviguer » parmi les couvertures, qui happent davantage le regard. On ne case en revanche que 5 000 titres dans le magasin, mais l’efficacité l’emporte sur la quantité. Tous sont notés au moins 4 étoiles sur 5 en ligne, et l’assortiment est établi à partir des ventes, des précommandes, des avis clients et des sujets de discussion sur les forums.

    Amazon Books, librairies

    Mais l’aspect le plus amusant réside dans les noms des différents rayonnages. Aux côtés des polars, des romans historiques et des manuels de cuisine, l’e-commerçant a créé de nouvelles catégories. Les highly rated, notés au minimum 4,8 étoiles sur 5. Les titres les plus ajoutés dans des wishlists par les internautes. Les 100 ouvrages à avoir lu dans sa vie. Les page turners, que les lecteurs sur Kindle ont dévorés en moins de trois jours. Est même reproduite la fonctionnalité phare du site : si vous avez aimé ceci, alors vous aimerez cela. À gauche, un ouvrage connu, susceptible de parler au visiteur. À droite, trois titres qu’Amazon va chercher plus loin dans son catalogue.

    Enfin, des tables disposées au centre du magasin présentent les devices maison : liseuses Kindle, tablettes Fire, haut-parleurs intelligents Echo et Echo Dot, une grande Fire TV… Sont également commercialisés des objets connectés que l’assistant vocal Alexa peut piloter (lampes Philips, thermostats Nest, etc.), ainsi que des écouteurs, câbles USB ou piles de la MDD du site, Amazon Basics. Car Amazon Books sert aussi de porte d’entrée à tout l’écosystème qu’a bâti la firme de Seattle autour des produits culturels, et qu’elle déploie aujourd’hui dans la maison connectée.

    Dernière étape, le passage en caisse. Pas de liquide, seuls sont acceptés les cartes bancaires et les paiements mobiles. Un écran tourné vers l’acheteur récapitule ses achats et les rabais obtenus s’il est abonné à Prime. Histoire d’enfoncer encore le clou, pour qu’il n’échappe à personne que le magasin est une véritable extension du site.

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    [CONSO LAB] [DISTRIBUTION] | #Bonduelle, plus #américain que français, vise une hausse de sa #rentabilité de 25% | @Les Echos

    DE MARIE-JOSEE COUGARD | LES ECHOS | http://bit.ly/2xgg2PI

    #Bonduelle, plus #américain que français, vise une hausse de sa #rentabilité de 25%

    Le groupe Bonduelle a réalisé cette année la plus grosse acquisition de son histoire avec Ready Pac Foods. Le producteur de légumes a passé le cap des 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires sur l’exercice 2016-2017. Les Etats-Unis représentent désormais deux fois l’activité française.

    La boîte de petit pois symbolisera encore longtemps Bonduelle. Pourtant la conserve est devenue minoritaire dans l'activité du groupe de Villeneuve d'Ascq (Nord) depuis qu'il a acquis en mars l'américain Ready Pac Foods, le roi de la salade en portion pour 409 millions de dollars. « Une étape clé dans l'ambition stratégique [de son plan] VegeGo! 2025 d'être le référent mondial qui assure le bien-vivre par l'alimentation végétale», a estimé Christophe Bonduelle, le patron du groupe en présentant les résultats de l'exercice 2016-2017, clos le 30 juin. Le chiffre d'affaires a progressé de 16,3%, à 2,28 milliards. Le résultat opérationnel a augmenté de 4,6% à 103,5 millions d'euros et le bénéfice de 11,4% à 59,8 millions d'euros.

    Christophe Bonduelle, le patron du groupe s'est félicité une nouvelle fois d'avoir fait «le bon choix » en réalisant l'acquisition de RPF. « Nous n'avons pas trouvé de cadavre dans les placards », a t-il lancé et qui plus est « la totalité des cadres de l'entreprise américaine a souhaité poursuivre avec Bonduelle ». 

    RPF et Bonduelle sont «très complémentaires : ils sont très forts aux Etats-Unis, nous le sommes au Canada. Nous produisons des marques de distributeurs (MDD). Ils produisent des marques nationales. Ils sont forts dans le commerce de détail. Nous le sommes dans la restauration hors domicile », commente Christophe Bonduelle. 

    Bonduelle, américaine, rentabilité

    Les produits frais pèsent désormais plus lourd (42%) dans le chiffre d'affaires que la conserve (38%) . Une révolution culturelle, qui se double d'un autre gros changement. La France ne compte plus que pour 21% de l'activité du groupe tricolore, tandis que l'Amérique du nord en totalise 45%, comme l'Europe. 

    Cela étant, Bonduelle compte tout autant sur ses activités historiques que sur la contribution en année pleine de Ready Pac Foods,pour dégager une croissance de sa rentabilité opérationnelle courante de 25% sur l'exercice en cours. Des perspectives  qui ne se sont pas, loin s'en faut, traduites dans le cours de bourse. Ce dernier a clôturé en baisse de 6% à la Bourse de Paris, réflétant notamment des prises de bénéfices après une forte hausse ces six derniers mois.