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5- Stratégies marketing - Page 5

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    [#CONSOLAB] [COMMERCE VOCAL] | #Assistants #vocaux : seuls 2% des utilisateurs d'#Amazon #Alexa font des #achats avec | @LUSINEDIGITALE

    DE FLORIANE LECLERC | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2vLFGs9

    #Assistants #vocaux : seuls 2% des utilisateurs d'#Amazon #Alexa font des #achats avec

    Bien qu’Amazon ait vendu près de 50 millions d’appareils compatibles avec son assistant vocal Alexa, seuls 2% de ses usagers s'en servirait pour effectuer des achats. Des éléments qui relativisent les prévisions optimistes concernant la croissance du commerce vocal.

    Avec un marché estimé à 40 milliards de dollars d’ici 2022 selon une étude du cabinet OC&C Strategy Consultants, les assistants vocaux apparaissent comme un outil incontournable de notre futur proche. Ils sont, entre autres, souvent présentés comme pouvant révolutionner notre façon d’acheter. Monoprix, Sephora, Carrefour et bien sûr Amazon testent par exemple des applications vocales de commande et de paiement destinées à faciliter l’acte d’achat. Mais les consommateurs sont-ils vraiment séduits par cet usage ? Pas d'après le média d'investigation The Information.

    Seuls 2% des utilisateurs achètent via Alexa

    Dans un article publié le 6 août, le média révèle qu'Amazon a vendu près de 50 millions d'appareils compatibles avec Alexa (son assistant vocal), mais que seuls 2% des utilisateurs l'ont utilisé pour acheter quelque chose en 2018. Pis, parmi les personnes ayant acheté quelque chose via Alexa, près de 90% n'auraient pas réessayé. Maigre consolation, environ 20% des clients auraient utilisé Alexa pour suivre l'expédition d'une commande déjà effectuée par un autre biais ou pour se renseigner sur les promotions du moment. Ces informations proviennent de deux personnes ayant eu accès aux études internes d’Amazon sur le sujet.

    Les assistants vocaux, tout sauf un canal d'achat ?

    Plutôt qu’un canal d’achat, les assistants vocaux s'apparenteraient donc plus à un nouvel outil marketing. Mais ce sont leurs usages autres que l'e-commerce qui semblent surtout être prisés des utilisateurs, d'après The Information. Une étude du site Voicebot.ai sur les requêtes les plus couramment adressées aux assistants vocaux en 2018 souligne que les usagers les utilisent, certes, pour s’informer sur les horaires et jours d’ouverture des magasins ou pour se renseigner sur un produit, mais qu’ils privilégiaient les questions concernant la musique, la recherche d'information ou encore les tutoriels. Nombre d’assistants vocaux, via notamment les enceintes connectées, servent également de hub domotique pour contrôler sa smart home sans avoir à lever le petit doigt.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Kiabi teste le "#click & #change", un service #connecté en #cabine | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2vu1JUW

     #Kiabi teste le "#click & #change", un service #connecté en #cabine

    L’enseigne nordiste, qui s’est fixé l’objectif ambitieux d’inaugurer 50 nouveaux magasins en France dans les 3 ans, affine dans son magasin pilote de Bègles une nouvelle solution baptisée « click & change », dans le but de fluidifier le parcours d’achat. En clair, la cabine est équipée d’un écran grâce auquel le client peut demander une autre taille ou un autre coloris si l’article essayé ne lui convient pas. A ce moment, un vendeur équipé d’une tablette est averti, et va chercher le produit pour lui apporter en cabine.

    « Ce service, imaginé par l’équipe du magasin dans le cadre du challenge Innovation Play et encadré par le Digital Network Kiabi, a pour vocation d’éliminer un moment irritant du parcours client : celui du produit qui ne convient pas et qu’il faut aller changer dans le magasin », précise la marque dans un communiqué. C’est aussi une façon de réduire le temps passé par les clients dans l’espace essayage.

    Kiabi, qui a généré 1,9 milliard d’euros de ventes en 2017 (+4,6 %), ne précise pas s’il déploiera le « click & change » à plus grande échelle. Il n’est pas le premier à s’y frotter, citons par exemple Zara, Ralph Lauren et plus récemment Etam. Depuis décembre 2017, ce type de solution est ainsi testé par l’enseigne de lingerie dans son flagship expérimental des Champs Elysées. Les vendeurs y sont là aussi équipés d’un terminal connecté leur permettant d’accéder aux demandes des clients, et peuvent surtout ensuite procéder à un encaissement mobile, pour éviter le passage en caisse. L’attente pour le paiement étant un autre obstacle de taille en boutique.

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    [#CONSOLAB] [RETAIL] | Les coulisses d'un #drive #piéton #Carrefour à #Paris | @LSA

    DE JEROME PARIGI | LSA | http://bit.ly/2M1sRVA

    Les coulisses d'un #drive #piéton #Carrefour à #Paris

    Peu de livraisons ce mardi 17 avril, jour de démarrage du service de drive piéton de Carrefour à Paris. Mais en plus du test d'achat réalisé un peu plus tôt au Carrefour City de la rue de Belleville, nous sommes allés découvrir le « concept » dans le City du 41 bvd des Batignolles à Paris.

    Une quinzaine. C’est le nombre de livraisons que Carrefour aurait réalisé ce mardi 17 avril dans ses 6 drive piétons parisiens. Un démarrage en douceur qui n’émeut pas plus que ça le franchisé du Carrefour City du 41 Boulevard des Batignolles. Un ancien Dia de 300 m², flambant neuf, qui arbore depuis le 22 février les codes du concept New City avec ses murs gris souris qui remplacent le marron taupe qui dominait dans la précédente mouture. « Il faut laisser le temps au service de s’installer, au système de se roder », explique Cyril Luc Bansay, 42 ans, à la tête du magasin avec son épouse après plusieurs années passées aux Etats-Unis à développer des réseaux de boulangerie, dont Paul.

    4 commandes assurées le premier jour

    Au moins, avec 4 commandes traitées dans la journée, il peut se féliciter d’être sans doute le magasin qui a traité le plus de commandes en ce jour de lancement. Difficile de se faire une idée sur la clientèle. Les montants des 4 paniers sont très différents (40, 60, 80 et plus 100 euros). Les clients aussi, avec une cliente fidèle de retour de vacances qui avoue au gérant qu’elle continuera quand même à faire ses courses du quotidien, le frais notamment, mais aussi un nouveau venu qui avait eu vent de ce nouveau service dans l’édition du dimanche du Parisien. Ce sont ceux-là que Cyril Luc Bansay espère séduire en priorité, persuadé qu’à l’heure du mobile roi, il faut offrir ce service et qui a saisi sans hésiter l’opportunité quand il a appris le déploiement à Paris. « C’est un plus de proposer, complément de la mise à disposition de sa commande avec des prix d’hyper, un vrai magasin à côté avec du personnel et une offre complète de 8500 références », considère Cyril Luc Bansay. Une pierre dans le jardin des drive piétons de E. Leclerc qui n’auront pas cet atout à avancer ?

    Un modèle très simple

    A dire vrai, ce modèle de drive piéton là ne réclame que très peu d’infrastructure. Une livraison par jour, le matin, stockée en chambre froide. Une petite banque d’accueil posée à l’entrée du magasin le long de la ligne de caisse. Le personnel briffé sur l’heure prévue des retraits pour être vigilant, mais avec 4 commandes, il n’y pas eu embouteillage. Et enfin de la signalétique – très présente – en vitrine et sur le mur d’entrée et emballé c’est pesé. Pas d’outil spécifique en caisse non plus. Non tout se prépare en amont dans l’entrepôt d’Aulnay relève Cyril Luc Bansay. Tout sauf la relation client, le sourire, le service, avec lesquels il espère fidéliser et recruter anciens et nouveaux clients. Seule sueur froide, l’ouverture de la boîte à œufs devant le client. « En formation ça passe facilement, mais en situation réelle on ne veut surtout pas qu’il y ait de la casse », glisse-t-il, soulagé de n’avoir eu que des œufs intacts aujourd’hui.

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    [#CONSOLAB] [RETAIL] | #Standard Cognition lève 5,5 M$ pour son checkout sans #caisse à la #Amazon Go | @LSA

    Flore Fauconnier | LSA | http://bit.ly/2ONzOHy

     

     #Standard Cognition lève 5,5 M$ pour son checkout sans #caisse à la #Amazon Go | @LSA

     

    La start-up américaine Standard Cognition, qui développe des solutions de checkout sans caisse pour ses clients distributeurs, vient de boucler une levée de 5,5 millions de dollars, portant à 11,2 millions le total des fonds levés depuis sa création.

    Lancée il y a un an, sa solution mêle les mêmes technologies que la supérette sans caisse Amazon Go : computer vision et intelligence artificielle. Ce nouvel apport de capital doit lui permettre de lancer des pilotes avec plusieurs retailers, d'accélérer son expansion internationale et de renforcer son équipe d'ingénieurs.

    Standard Cognition annonce également la nomination de deux pointures du retail : Jon Nam, ancien exec de Macy's, qui va diriger ses opérations internationales, et Evan Shiu, venu de chez Walmart, qui pilotera la stratégie et la croissance.

     
    Rendre cette techno disponible à tous les distributeurs

    Ces deux annonces devraient lui permettre de se renforcer face à un paysage concurrentiel en plein développement. La start-up AiFi rivalise sur le même créneau et Microsoft serait en train de développer sa propre techno de checkout sans caisse, notamment pour Walmart. Si même le plus gros distributeur de la planète - qui n'a pourtant pas les deux pieds dans le même sabot en matière digitale - se tourne vers un partenaire extérieur pour progresser sur ce domaine, les autres retailers qui voudront se doter de ce type de technologie devraient être heureux de la trouver chez des start-up spécialisées.

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    [#CONSOLAB] [BUSINESS] | #WhatsApp va lancer sa solution #business à destination des #entreprises | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2MbYnfG

    #WhatsApp va lancer sa solution #business à destination des #entreprises

    Facebook, dont la croissance ralentit, va tenter de gagner de l'argent avec sa messagerie WhatsApp en faisant payer certaines entreprises voulant dialoguer avec leurs clients, ont annoncé les deux entités mercredi.destination des #entreprises

    Après de premiers tests annoncés l'an dernier, WhatsApp lance désormais officiellement sa solution « business », qui va permettre aux entreprises d'envoyer des messages à des clients qui les ont déjà contactées via WhatsApp, explique Facebook, donnant comme exemples le suivi d'une livraison, des rappels de rendez-vous ou des billets d'avion.

    Sur son blog dédié au « business », Facebook précise que les messages ne devront pas être promotionnels, qu'ils seront cryptés comme tous les messages WhatsApp et que l'on pourra à tout moment bloquer l'entreprise pour ne plus recevoir de messages.

    L'entreprise pourra répondre gratuitement aux requêtes de ses clients sous 24 heures. Passé ce délai, les messages lui seront facturés, précise Facebook, qui indique avoir testé cette solution avec plus de 90 grandes entreprises comme Singapore Airlines ou Uber.

    Il était déjà possible de dialoguer avec des entreprises mais de façon assez rudimentaire, selon WhatsApp, qui veut donc rationaliser les échanges et en tirer des recettes.

    Facebook tire la quasi-totalité de ses revenus de la publicité, mais manque désormais de place pour insérer davantage de publicité sur sa plateforme, d'où sa volonté de chercher de nouveaux débouchés, notamment sur ses services de messagerie Messenger ou WhatsApp.

    Le premier réseau social du monde avait racheté WhatsApp, qui revendique aujourd'hui 1,5 milliard d'utilisateurs, début 2014 pour environ 20 milliards de dollars.

    Les deux cofondateurs de WhatsApp, Jan Koum et Brian Acton, avaient quitté Facebook en mai 2018 et en 2017 respectivement, sur fond, selon la presse américaine, de désaccords avec les dirigeants de Facebook concernant la confidentialité des données ou la monétisation de la messagerie.

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    [#CONSOLAB] [APPLICATION] | #Yuka ajoute à son #app l'#analyse des #cosmétiques | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2OO1FYj

    #Yuka ajoute à son #app l'#analyse des #cosmétiques

    L'app d'analyse de la composition de PGC franchit un nouveau cap en ajoutant 100.000 produits cosmétiques et d'hygiène aux 250.000 références alimentaires qu'elle indexait déjà.

    L'application mobile qui permet de scanner le code-barre de 250.000 produits alimentaires pour afficher leur composition vient d'ajouter une nouvelle corde à son arc : l'analyse des produits cosmétiques et d'hygiène. Sur iPhone (et en novembre sur Android), ses utilisateurs n'ont qu'à mettre l'app à jour pour pouvoir afficher la composition de 100.000 références supplémentaires : gels douche, crèmes, dentifrices, shampooings, déodorants, maquillage... Un bénéfice encore plus important que dans l'alimentaire puisque les ingrédients des articles DPH sont désignés par leur nom scientifique en latin.

    L'app "Quel Cosmetic" lancée en mars par l'UFC-Que Choisir indexe pour sa part 6.000 produits, dont elle affirme que 42% contiennent "un ou plusieurs ingrédients indésirables", par exemple des perturbateurs endocriniens. Yuka, lancée en janvier 2017, a pour sa part adopté un fonctionnement collaboratif qui lui permet de se développer vite. Chacun de ses 4,5 millions d'utilisateurs peut renseigner une référence que l'app ne connaît pas encore.

    Un décollage très rapide

    La start-up française, lancée en janvier 2017 et installée depuis juillet 2017 à Station F dans l'incubateur de l'Edhec, revendique 1 million de produits scannés chaque jour, dont elle reconnaît 98%. Yuka figure dans le top 10 des applications gratuites les plus téléchargées sur l'Appstore et le Playstore. Elle travaille actuellement sur plusieurs évolutions à venir :

    • le développement d’un mode hors-ligne, permettant de scanner sans réseau,
    • l’accès à une description détaillée de la nocivité des additifs,
    • le paramétrage d’alertes personnalisables sur les allergènes (gluten, lactose, etc.) et les éléments indésirables.

    En 2019, Yuka prévoit de s’étendre en Belgique, en Suisse et au Luxembourg.