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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 85

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    [S1 EP1 - J'y croââ !] - Le syndrome de la grenouille [#kawa #marketingdelagrenouille @Turcatosaure @ygourven]

    conso,conso-battant,marketing,grenouille,kawaIDÉES Le consommateur des années 2010 est devenu un « conso-battant », mobile, zappeur, surinformé. Les marques qui ne l’ont pas compris risquent fort de connaître une erreur 404 fatale dans leur stratégie. C’est du moins ce qu’affirment Philippe Jourdan, professeur des universités et CEO de Promise Consulting, et Jean-Claude Pacitto, maître de conférences et membre du comité scientifique de Promise Consulting, dans le Marketing de la grenouille, un livre où ils dissèquent la redistribution des cartes à l’ère du digital et du client plus que jamais roi. Interview bondissante et coassante.

     

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    Chez #Zara, des #etiquettes malines pour mieux gérer les #stocks [#RFID]

    Le groupe de prêt-à-porter Zara commence à déployer à grande échelle un système d’étiquetage par radio fréquence. Un pas de plus dans le processus de « fast fashion ».

    Le groupe de prêt-à-porter Zara commence à déployer à grande échelle un système d’étiquetage par radio fréquence. Un pas de plus dans le processus de « fast fashion ».

    Inditex continue d’affiner l’efficacité de son modèle logistique. La mise en place d’étiquettes intelligentes, équipées d’un système de radio fréquences RFID (Radio-Frequency Identification), devrait ainsi lui offrir une meilleure évaluation de ses stocks. Un atout qui facilitera le réassortiment des rayons. Testé depuis 2013, le système fonctionne déjà dans plus de 1.500 magasins Zara dans le monde. Le géant de la mode à petits prix, célèbre pour sa capacité à dessiner, fabriquer et mettre en vente ses modèles dans un délai de quinze jours dans toutes ses boutiques du globe, accélère ainsi encore un peu plus le processus de « fast fashion ».

    Le nouveau système offre la possibilité d’un suivi de chaque pièce depuis sa livraison par le fabricant. Ainsi, toutes les palettes de marchandises qui transitent par les plateformes logistiques du groupe sont d’abord passées sous des arcs de lecture qui permettent, sans ouvrir les caisses, de compter les pièces. Ce procédé permet ensuite de « charger » chaque étiquette d’informations sur le modèle, la taille et la couleur, et au fur et à mesure du circuit, au sein du centre logistique, d’y ajouter des données sur son magasin de destination, avant sa sortie en camion vers son lieu de livraison.

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    "Amazon will eat our breakfast, lunch and dinner" [#Amazon #retail #e-commerce]

    'Amazon will eat our breakfast, lunch and dinner,' says Richard Goyder
    By Sue Mitchell, March 2, 2016, Ths Sydney Mornbing Herald, Business Days

    Wesfarmers group managing director Richard Goyder says US online retail behemoth Amazon will "eat all our breakfasts, lunches and dinners", unless Australian retailers become more innovative and barriers to competition are removed.

    Mr Goyder told a retail forum in Sydney on Tuesday his biggest fear was not the competitive threat from Australian retailers, but tech companies such as Amazon, which are gearing up for a major push into Australia.

    "We've got big competition online and through a physical presence … we are in a disruptive, disrupted world," Mr Goyder told about 450 retailers at the Retail Leaders forum.

    Mr Goyder said online retailers such as Amazon, Google and asos.com could trade 24 hours a day, seven days a week and 365 days a year, while Australian bricks and mortar retailers, including Wesfarmers' Bunnings, Kmart, Target, Coles and Officeworks chains, were restricted by archaic trading hours and excessive regulation.
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    In Perth, for example, some large bricks and mortar retailers could only trade for six hours a day on Sunday, which is now the busiest shopping day of the week in other cities.

    However, the concept of pure bricks and mortar retailing was fast abating and all retailers needed to have an online and social media presence, he said.

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    When negotiating, it pays to know your customer [#academic #negotiation #customer]

    Une fois n'est pas coutume, nous avons choisi de donner de la visibilité à un article de recherche universitaire concernant la négociation dans un contexte de vente de véhicules.

    L'une des recommandations fortes de notre ouvrage, le #marketingdelagrenouille aux éditions #kawa, pour s'adapter au nouveau profil de négociateur du client d'aujourd'hui est de former les vendeurs à l'art de la négociation, en leur donnant non seulement l'autonomie pour négocier mais également la formation leur permettant d'apprécier la sensibilité au prix (ou à d'autres arguments) du client potentiel. Une stratégie payante selon trois universitaires de l'Université allemande de Bochum : lorsque le vendeur sait identifier le degré de sensibilité au prix de son client, l'économie générée sur le discount accordé au final est en moyenne de $616 dollars par véhicule vendu.

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    Walmart abaisse ses prévisions sur la période 2016-2017 [#distribution #alimentaire #Walmart]

    Dans un contexte de reprise même prudente de la croissance des achats des ménages américains, le géant américain de l'alimentaire ne semble pas profiter de l'embellie. Plusieurs facteurs l'expliquent qui confirment que le concept de supermarchés alimentaires séduit de moins en moins, outre-Atlantique également.

    AFP, le 18/02/2016 à 14h37 cité par LA CROIX

    L'enseigne WalMart a abaissé ses prévisions 2016/17 jeudi, invoquant des effets de change défavorables et de lourdes charges de restructuration liées à une revalorisation des salaires de ses employés américains et des fermetures de magasins.

    Les ventes devraient stagner au cours de l'exercice ayant débuté en février, contre une croissance de 3 à 4% prévue précédemment, indique le numéro un mondial de la distribution. Le bénéfice par action ajusté, référence en Amérique du nord, devrait, lui, être compris entre 4,0 et 4,30 dollars, contre 4,17 dollars attendus en moyenne par les marchés.

    "Les fluctuations des taux de change de devises (...) devraient impacter négativement les ventes d'environ 12 milliards de dollars au cours de l'exercice fiscal 2017", explique le géant américain.

    A ceci s'ajoutent des charges liées à la fermeture de 269 supermarchés qui perdent de l'argent dans le monde dont 154 aux Etats-Unis et 60 au Brésil.

    Le groupe, qui gère 11.600 magasins dans le monde dont 4.600 sur le sol américain, a notamment renoncé à l'expérimentation Walmart Express en place depuis 2011 et destinée à une clientèle pressée, désireuse de ne pas passer beaucoup de temps dans les rayons.

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    Retrouvez plus d'info dans l'ouvrage le #marketingdelagrenouille aux éditions #kawa :

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    Et si l'obsolescence programmée était obsolète ? par @ygourven @cedJBL #visionarymarketing.fr

    Je partage avec vous le lien vers un article qui m'a interpellé par la justesse de l'analyse et la mise en perspective historique sur l'obsolescence programmée, un des nombreux travers reprochés aux marketers.

     

    L'obsolescence programmée est-elle obsolète ? 

    par Cédric Jeanblanc, VisionaryMarketing.fr

     

    Une très bonne analyse qui a le mérite d'adopter une perspective historique sur le sujet. Comme l'auteur, nous sommes persuadés que l'obsolescence programmée n'est pas la bonne solution pour sortir durablement des ornières de la crise. Il ne peut y avoir aucun contrat de confiance avec le consommateur, et encore moins avec le ‪#‎conso‬-battant, lorsque la marque joue sur l'obsolescence technique de ses produits pour faciliter le rachat. En revanche, le marketing ne pourrait-il pas s'apparenter dans ses pratiques à cette définition de Clifford Brooks Stevens « instaurer chez l’acheteur le désir de posséder quelque chose d’un peu plus neuf, d’un peu mieux, et un peu plus tôt que nécessaire », une définition qu'il appliquait lui à l'obsolescence programmée. A méditer donc. (voir aussi ‪#‎marketingdelagrenouille‬ ‪#‎kawa‬)