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1- Actualités - Page 31

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    [#CONSOLAB] [ESPACE] | #Bonduelle ouvre un #espace #végétal #éphémère au cœur de #Paris | @LSA

    DE CAMILLE HAREL | LSA | http://bit.ly/2pSibe6

    #Bonduelle ouvre un #espace #végétal #éphémère au cœur de #Paris

    Du 29 mars au 1er avril, les consommateurs vont pouvoir venir découvrir le végétal dans l’espace éphémère de Bonduelle, situé au cœur de Paris.

    A l’occasion du lancement de sa gamme végétale VeggissiMmm ! au rayon traiteur et surgelé, Bonduelle invite les consommateurs à se rendre dans son showroom éphémère, situé au cœur de Paris. Une première initiative de la sorte pour le groupe. Du 29 mars au 1er avril, le grand public pourra venir au 52 ter rue des Vinaigriers, dans le 10ème arrondissement de la capitale, pour découvrir le végétal, les légumes à travers des ateliers et des animations.

    Par ailleurs, les consommateurs pourront découvrir les derniers lancements de Bonduelle : VeggissiMmm !, Les Idées Légumineuses et Les Saladiers Bonduelle.

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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | Découvrez les #parts de #marché des principaux #sites #e-commerce en #France | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2GlBrYr

    Découvrez les #parts de #marché des principaux #sites #e-commerce en #France

    A l’occasion de son Consumer Day, Kantar Worlpanel a dévoilé les parts de marché des principaux vendeurs sur internet. Si Amazon est largement leader, un challenger en particulier se distingue.

    « C’est une première mondiale. On n’a jamais publié ce type d’information », assure Frédéric Valette, directeur retail insight de Kantar Worldpanel. A l’occasion de son Consumer Day 2018, la société a publié le classement des principaux e-commerçants en France hors sites de grandes surfaces alimentaires (GSA). Sans surprise, Amazon est largement leader sur la vente de biens hors services, c'est-à-dire les biens techniques, la mode, les PGC FLS, la maison, la culture, l'hygiène-beauté, la parapharmacie... Un marché online que Kantar Worlpanel estime à 34,3 molliards d'euros en prenant en compte les dépenses en BtoC (hors voyages et services) sur les sites internet français mais aussi sur les sites implantés à l’étranger et qui livrent en France (les frais de livraison ne sont pas intégrés et les résultats ne sont pas retraités des retours produits).

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    Sur ce périmètre, Amazon a 18,9% de part de marché. « C’est beaucoup bien sûr mais dans d’autres pays, c’est bien plus d’après les estimations qui peuvent être faites à l’international », commente Frédéric Valette. Il faut dire que, toujours selon Kantar Worldpanel, 25% des 600 millions de commandes réalisées sur internet par les Français en 2017 ont été faites via Amazon. « Nous estimons que les Français ont dépensé 5,6 milliards d’euros chez Amazon en 2017, un chiffre d’affaires en croissance de 22%. C’est beaucoup pour internet mais c’est à relativiser par rapport aux grandes surfaces alimentaires qui réalisent des dizaines de milliards d’euros de ventes en France », rappelle Frédéric Valette.

    Le premier challenger d’Amazon sur internet est Cdiscount avec 8,9% de part de marché. « Lancé depuis longtemps, Cdiscount a une vraie force sur les biens technique, la téléphonie et la maison », ajoute Frédéric Valette. Vente Privée avec 3,9% de part de marché complète le trio de tête.

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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | Quels sont les #investissements #prioritaires pour #2018 ? | @FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2pOjxq6

    Quels sont les #investissements #prioritaires pour #2018 ?

    En 2018, les e-commerçants tricolores vont en priorité investir dans les domaines de l’informatique (71 %), de l’expérience utilisateur (62 %) ainsi que du marketing et de la publicité (55 %), selon une enquête de la fédération de la vente en ligne (Fevad) et LSA dévoilée à l’occasion du salon E-commerce One-to-One, qui se tenait à Monaco du 20 au 22 mars derniers.

    Là où les plus gros acteurs se concentreront d’abord, à 79 %, sur les investissements en informatique, l’étude montre que les "petits" e-commerçants vont eux à 75 % accroître leurs investissements marketing et publicitaires. Sur l’ensemble du panel, ces investissements en marketing et publicité viseront en premier lieu le référencement naturel, le brand content et le référencement payant. Les investissements en publicité offline vont cependant reculer pour 22 % des acteurs.

    Sans surprise, la livraison demeure l’un des principaux centres d’attention, avec 70 % des e-commerçants proposant déjà des offres de livraison gratuite et 20 % y travaillant. « La livraison gratuite s’impose comme un levier de performance quasi incontournable pour les e-commerçants, relève la Fevad. Parallèlement, les e-commerçants continuent de développer des offres d’abonnement annuel permettant la livraison illimitée. Autre nouveauté à signaler, la montée en puissance de l’e-réservation chez les sites d’enseignes physiques (réservation de produits sur Internet en vue d'un retrait et d'un paiement en magasin) ».

    Les cybermarchands tricolores sont désormais 62 % à vendre à l’international, la Belgique, l’Espagne et l’Allemagne étant leurs premières destinations. Les difficultés logistiques, juridiques et fiscales restent les trois principaux freins, selon les professionnels. Chez ceux vendant hors de l’Hexagone, 84 % des sites ont vu leur chiffre d’affaires international augmenter l’an passé et 86 % tablent sur de nouvelles hausses dans les deux ans, indique l’étude.

    En termes d’innovation, 57 % des dirigeants consultés envisagent de se tourner dans un avenir proche vers les nouvelles solutions de paiement ou encore vers les chatbots (48 %). Assistants vocaux et retours en boîtes aux lettres font également l’objet de développements (30 %). Au final, 58 % des sociétés ont l’intention de recruter cette année, contre 48 % un an plus tôt.

    « Ils sont plus de 9 sur 10 à se déclarer confiants pour l’avenir de leur entreprise, pointe la Fevad. Cette vision positive se traduit par des prévisions de croissance de la performance financière pour la majorité des acteurs (63 %) quelle que soit leur taille. Déjà deux entreprises sur trois déclarent être rentables aujourd’hui et près de 80 % de celles qui sont déficitaires anticipent une amélioration de leur performance financière cette année. De plus, 83 % des e-marchands sont confiants dans la croissance de leur chiffre d’affaires en 2018. Une confiance partagée par l’ensemble des répondants ».

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Etam teste la #caisse #libre-#service | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2GBqyVz

    #Etam teste la #caisse #libre-#service

    Dans le cadre de la transformation digitale du groupe Etam entamée en 2015, son enseigne phare expérimente de nouvelles solutions pour lier plus intimement commerce physique et en ligne. L’étiquetage RFID de ses produits va permettre de lancer le « ship from store » (soit l’expédition de produits depuis les magasins) et le passage en caisse libre-service. Les objectifs de l’enseigne de lingerie ? Améliorer la relation client, optimiser sa logistique et anticiper les comportements d’achat.

    Deux des boutiques parisiennes de la marque - celles de Saint-Lazare et de Faubourg Saint-Antoine - sont à ce jour équipées de la RFID, ce principe de radio-identification fonctionnant à l’aide de puces. « L’objectif est d’implémenter cet outil dans tous les magasins du réseau français, soit 450 adresses, d’ici fin 2018, début 2019. Puis ensuite, évidemment, le déployer à l’international », comme l’annonce Jonathan Attali, directeur e-commerce et innovation de la marque, dans une interview à retrouver sur FashionNetwork.com Premium.

    L’un des premiers bénéfices de ce système est d’introduire pour Etam une nouvelle option en boutique, à savoir le « paiement sans caisse traditionnelle ni hôtesse, ce qu’on appelle le "self-check out" ». Concrètement, sur une borne, le client place son panier sur un crochet, tandis que l’antenne RFID enregistre aussitôt les articles, sans que l’on ait besoin de scanner d’étiquette. Le client paie alors seul à la borne via une tablette. La première semaine d’avril, un premier test sera mené dans le magasin de Saint-Lazare à Paris. « Ce service sera ensuite déployé dans une sélection de magasins à fort trafic, comme celui des Champs-Elysées, de la rue de Rennes à Paris ou de Lyon Part-Dieu », poursuit le dirigeant.

    Pour l’entreprise, la RFID facilite également l’organisation et la gestion des stocks. Etam pourra à terme expédier des articles depuis un magasin à une cliente ayant passé commande en ligne. « Ce principe de "ship from store" sera développé progressivement, une fois que le système RFID aura été bien déployé. L’avantage, c’est que le client en ligne aura à disposition non seulement les stocks de l’entrepôt, mais aussi celui des 450 boutiques de l’Hexagone. Si une cliente à Lille veut un produit qui n’est disponible que dans le magasin de Nice, elle pourra le commander. Commercialement, cela nous permettra de diminuer les stocks résiduels, qui sont actuellement écoulés par des soldeurs. »

    Autre nouveauté chez Etam, un service d’essai avant achat sera lancé début avril, afin de lever les freins liés à l’avance de trésorerie. Pour l’instant baptisé « try at home », ce service permettra à la cliente de passer commande en ligne en laissant ses coordonnées bancaires, mais ne sera pas débitée pendant 12 jours, ce qui lui laisse donc la possibilité de retourner le produit.

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    [#CONSOLAB] [TENDANCES] | Pour les #jeunes #Français, les #influenceurs deviennent #référents | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2pLiJlO

    Pour les #jeunes #Français, les #influenceurs deviennent #référents

    Les 18-24 ans sont libres... mais influençable. C'est en quelque sorte la conclusion de l'étude l'observatoire Cetelem/Harris Interactive qui s'est intéressé au phénomène des influenceurs(euses) et son impact sur les actes d'achats des Français. Ainsi, 64 % de l'ensemble des Français intérrogés déclarent se sentir libres au moment de faire des achats.

    Dans les faits, plusieurs facteurs influencent de manière significative les achats des Français, selon l'observatoire Cetelem/Harris Interactive qui a interrogé 1 000 Français.

    Les commentaires des proches (65 %), les messages de santé publique (55 %), les commentaires en ligne (51 %), les vendeurs en magasin (50 %) et les informations données par Internet (47 %) semblent en effet déterminants au moment de faire des choix. Les 18-24 ans se montrent plus sensibles aux commentaires en ligne (70 %) contre 42 % des personnes de 50 ans et plus. Ils sont également plus perméables à la publicité concernant les produits (35 %) comparativement aux 50 ans et plus (13 %), selon l'étude.

    Phénomène émergent de communication, le discours des influenceurs(euses) et des réseaux sociaux où ils officient, connus par 40 % des Français interrogés, semble davantage porter auprès des jeunes qui sont 58 % à savoir précisément de quoi il s'agit contre 32 % des plus de 50 ans. Si ces nouveaux ambassadeurs sont considérés par la majorité des Français interrogés comme les promoteurs d'une marque (79 %), ils sont vus par les jeunes comme des experts capables de rester indépendants (41 %) et de fournir des conseils personnalisés (48 %) et humains (47 %).

    Près d'un Français sur trois (29 %) reconnaît qu'il s'est déjà intéressé de plus près à une marque citée par un influenceur, contre 62 % des jeunes.

    Plus d'un jeune sur deux se dit friands de leurs recommandations dans les domaines du lifestyle (55 %), de la beauté (52 %) et du sport (57 %). 80 % d'entre eux déclarent avoir connu une marque grâce aux influenceurs et 58 % avoir acheté un produit, contre 27 % de l'ensemble des Français, selon l'étude.

    La culture (27 %), l'alimentation (26 %) et l'informatique (26 %) sont les secteurs où les conseils des influenceurs sont les plus suivis, tous âges confondus.

    L'enquête a été réalisée par Harris Interactive en ligne du 13 au 15 mars auprès d'un échantillon de 1 000 personnes, représentatif des Français âgés de 18 ans et plus.

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    [#CONSOLAB] [PARTENARIAT] | #Monoprix scelle un #partenariat avec #Amazon #Prime #Now | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2pOiS83

    #Monoprix scelle un #partenariat avec #Amazon #Prime #Now

    Comme LSA l’avait pressenti il y a deux mois, Amazon et Monoprix annoncent ce 26 mars que l’offre de l’enseigne alimentaire sera rendue disponible sur Prime Now dans le courant de l’année. Explications du DG France d’Amazon.

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    Prime Now, votre service de livraison à domicile en 1h à 2h de courses du quotidien, annonce une prise de taille…

    Nous scellons un partenariat avec Monoprix. La sélection Monoprix sera disponible cette année aux abonnés Prime de Paris et sa proche banlieue au travers du service Prime Now. J’en suis très heureux car Amazon se doit de proposer une offre large, or avoir la sélection de Monoprix constitue vraiment un plus, en particulier ses MDD Monoprix Gourmet, Monoprix Bio et Made in pas très loin.

    Quand l’offre de Monoprix arrivera-t-elle sur Prime Now ?

    Pas dès ces jours-ci, mais dans le courant de l’année. Nous allons y aller progressivement.

    Sera-t-elle bien livrée depuis des magasins Monoprix, ou l'enseigne fournira-t-elle directement l’entrepôt de Prime Now ?

    Le picking sera en effet effectué dans des magasins Monoprix et nous y brancherons notre logistique "ultra-fast", assurée en premier lieu par nos partenaires StarService et TopChrono.

    Combien de magasins seront concernés ?

    Je ne peux pas encore vous le dire, mais nous voulons que les Parisiens soient vraiment satisfaits du service.

    Votre partenariat avec Monoprix prévoit-il une extension à d’autres grandes villes de France ?

    Pour l’instant nous annonçons Paris et la proche banlieue. C'est déjà une belle annonce, d'autant que la population Prime y est très importante.

    Toute l’offre de Monoprix sera-t-elle commercialisée sur Prime Now ?

    Ce sera à Monoprix d'en décider. L’enseigne compte entre 5.000 et 10.000 références par magasin. A Régis Schultz de voir combien il en rend disponible sur sa boutique Prime Now. Mais j’ai cru comprendre que la sélection serait assez inclusive.

    C’est un accord assez comparable à celui que nous avons avec Morrisonsau Royaume-Uni pour Amazon Fresh, ou avec Dia en Espagne. Ces partenariats fonctionnent bien car ces enseignes disposent d’une large offre avec du frais, des produits d’entretien…

    A combien de références s’élève l’offre actuelle d’Amazon Prime Now à Paris ?

    A 30.000 références, et 20.000 si l’on exclut les enseignes partenaires Bio C Bon, Fauchon, Lavinia et Truffaut.

    Ce partenariat ferme-t-il la porte à d’autres enseignes alimentaires, comme Système U ?

    Je ne vais pas commenter cet aspect du contrat. Sachez simplement que bientôt quand vous voudrez acheter des pommes, vous aurez le choix entre celles d’Amazon, celles de Monoprix et celles de Bio C Bon.

    Point de vue UX, n’est-il pas problématique qu’une recherche générique fasse remonter des offres de plusieurs enseignes ?

    Non, car il y a peu de recouvrement entre leurs sélections, mais aussi parce que la livraison gratuite nécessitant d’atteindre un certain seuil de panier, les utilisateurs tendent à ne commencer leur shopping qu'une fois rentrés dans la boutique d’une enseigne.

    Que vous reste-t-il à mettre en œuvre ?

    Désormais notre enjeu est de caler la logistique avec Monoprix, de faire venir les clients, et de nous assurer de leur satisfaction ainsi que de celle de notre nouveau partenaire.