Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

5- Stratégies marketing - Page 56

  • Imprimer

    [CONSO LAB][E-DISTRIBUTION] | #Amazon perd l'exclusivité de son #innovation la plus importante | @BFMTV

    FROM FREDERIC BIANCHI | BFM BUSINESS | http://bit.ly/2vRrqgq

    #Amazon perd l'exclusivité de son #innovation la plus importante : l'achat en un clic

    Déposé en 1997, le brevet d'achat en un clic d'Amazon n'a l'air de rien mais il pourrait expliquer une bonne partie du succès de la société ces vingt dernières années. À compter de ce mardi, tous les sites pourront l'utiliser gratuitement.

    Quelle est la plus grande innovation d'Amazon ? La liseuse Kindle ? La place de marché? L'abonnement Prime ? La livraison le jour même ? Les entrepôts ultra-modernes ? Rien de tout cela vous répondront la plupart des spécialistes du secteur du e-commerce. Son innovation la plus majeure est l'achat en un clic.

    En 1997, Amazon n'est qu'une toute petite librairie en ligne qui n'a que deux ans d'existence mais les ambitions de son patron n'en sont pas moins colossales. Il veut devenir le plus gros commerçant de la planète, rien que ça. Jeff Bezos comprend très vite que pour y parvenir, il devra jouer sur les trois leviers que sont le choix, le prix et surtout les services. Et pour Amazon ce sont ces derniers qui feront la différence avec les concurrents. Tout faire pour simplifier la vie du client, voilà le credo d'Amazon. D'ailleurs Jeff Bezos le résumait en 2013 dans une interview à la Harvard Business Review: "Nous ne gagnons pas d’argent lorsque nous vendons des livres. Nous gagnons de l’argent lorsque nous aidons nos clients à prendre des décisions d’achat".

    Dès 1997, le patron d'Amazon pressent qu'il doit permettre aux clients d'acheter plus simplement et rapidement leurs produits. A l'époque, le processus d'achat sur le web était long. Il fallait s'enregistrer à chaque commande, entrer son nom, adresse, son numéro de carte bancaire voire envoyer un chèque. Amazon a l'idée simple de permettre à ses clients d'enregistrer toutes ces informations une fois pour toute et d'acheter sur Amazon en un clic. C'est à ce moment-là donc qu'apparaît le bouton "acheter en 1-Click" sur le site marchand.

     

    2017-09-12_12h00_45.png

    Un service qui paraît banal aujourd'hui tant il est répandu, mais qui ne l'était pas à l'époque. A tel point point qu'Amazon se met en tête de le breveter. Et le plus surprenant c'est que l'office américain des brevets (lUSPTO) ne rejette pas son dépôt. Il lui accorde sans broncher le précieux brevet. Cette protection légale, Amazon en usera chaque fois que ses concurrents tenteront de l'imiter. En 1999, par exemple, le libraire Barnes&Nobles lance un système similaire d'achat en un clic. Amazon l'attaque illico et l'enseigne fait machine arrière. Un an plus tard, Apple qui veut introduire ce type de service sur son site de vente en ligne ainsi que sur iTunes, ne biaise pas. Il se résout à payer une redevance à Amazon.

    En revanche, l'office des brevets en Europe (OEB) a toujours refusé d'accorder à Amazon un quelconque droit de propriété sur cette idée. "Le Conseil ne considère pas que l'idée de réduire le nombre de mesures nécessaires pour passer une commande constitue une invention", assurait l'OEB dans une décision de 2001 réitérée en 2011. 

    Cette querelle juridique prend donc fin ce mardi 12 septembre. Car le brevet du "1-Click" d'Amazon tombe ce jour dans le domaine public. N'importe quel site de vente pourra désormais laisser ses clients enregistrer leurs coordonnées personnelles et bancaires et payer ensuite tous ses achats en un clic. Evidemment, cette possibilité ne va pas rabattre les cartes dans le e-commerce. Amazon a une telle avance qu'il paraît pour l'heure irrattrapable. 

    [LIRE LA SUITE]

  • Imprimer

    Baromètre #Cross-canal | Commerce physique vs commerce #digital : qui donne le plus satisfaction ? | @adetem @LSAconsommation

    COMMERCE PHYSIQUE VS. COMMERCE DIGITAL
    Produits alimentaires : l’e-commerce en tête de la satisfaction et des intentions de recommandations

    LE BAROMETRE CROSS-CANAL[1] | THE CROSS-CHANNEL BAROMETER | PROMISE CONSULTING

    POUR POURSUIVRE SON ETUDE CROSS-CANAL, PROMISE CONSULTING INC., SOCIETE DE CONSEIL ET D'ETUDES EN MARKETING S’EST INTERESSEE AUX LIEUX D’ACHATS FAVORIS DES FRANÇAIS POUR LEURS PRODUITS ALIMENTAIRES.

    Si les entreprises de retail commencent à intégrer ces tendances en adoptant des stratégies dites « omnicanales », le passage au e-commerce s’avère un défi encore plus complexe pour les enseignes de distribution alimentaire. En effet, à cause des dates de péremptions et de la nécessité de préserver la chaîne du froid, les contraintes logistiques qui pèsent sur la distribution des produits alimentaires pèsent lourdement sur l’e-commerce alimentaire. Pour autant, sous la pression des initiatives prises en particulier par Amazon Fresh, les enseignes alimentaires ont choisi la distribution hybride du Drive comme la réponse la plus adaptée. 

    Suite à un premier volet consacré aux vêtements, la lingerie, les chaussures et les parfums, Promise Consulting a souhaité mesurer le taux de pénétration des canaux pour les produits alimentaires, le degré de satisfaction et les intentions de recommandation à l’issue du dernier achat effectué en fonction des lieux d’achat

    Quelques conclusions fortes : la pénétration de l’e-commerce est encore loin derrière celle des magasins physiques et les Français dans leur grande majorité ont encore le réflexe de se rendre en hypermarchés dans des proportions importantes (5% du dernier s’est fait sur Internet vs 95% en magasins physiques). Pour autant, les enseignes traditionnelles auraient tort de se reposer sur leurs lauriers car l’étude met en exergue deux points inédits :

    [1]-  Le commerce digital prend l’ascendant sur le commerce physique en matière de satisfaction pour les pour les produits alimentaires.

    [2]-   Le e-commerce s’impose face aux points de vente physiques en matière de recommandation surfant sur les facilités offertes par les canaux digitaux en matière de bouche-à-oreille et de buzz.

     

    AVIS D’EXPERT 

    philippe jourdan, promiseconsultingPhilippe JOURDAN, Associé fondateur Promise Consulting, Professeur des Universités,  membre de l’American Marketing Association (AMA) :  

    « Le modèle économique de l’hypermarché a toujours entre autre reposé sur l’implication du consommateur dans la réalisation d’une partie de la prestation : dans les années 60 et 70, nombreux étaient les foyers à consacrer leur Samedi après-midi au cérémonial des courses en hypermarchés.

    Aujourd’hui ce rendez-vous obligé peut être vécu par certains comme une corvée : il n’a pas disparu pour autant, en particulier en Province. 95% des Français ont effectué leur dernier achat alimentaire dans un magasin physique vs 5% sur Internet. Pour autant, les grandes enseignes ont bien perçu la menace que représente le e-commerce. Les contraintes propres à la distribution de produits frais et périssables ont amené les grandes enseignes à se tourner vers le Drive, une formule hybride de type « Click & Collect », selon deux modes, un mode intégré (le client vient chercher sa commande en magasin) ou déporté (le client vient chercher sa commande dans un lieu de stockage différent du magasin) : l’an dernier selon Kantar World Panel, ce sont près de 6 millions de ménages qui se sont laissés tentés par le Drive, soit une part de marché de près de 4,2% des produits alimentaires, proche de la pénétration de 5% que nous mesurons en 2017.

    Le profil des acheteurs adeptes du Drive diffère également sensiblement de celui des acheteurs en magasins : plus jeunes (8 sur 10 ont moins de 49 ans contre 1 sur 2 en magasin) et surreprésentés au sein des professions intermédiaires (18,7% vs 12,5%). Au final, notre enquête révèle que si la pénétration du e-commerce demeure encore modeste en France s’agissant des achats alimentaires, le modèle hybride donne satisfaction avec 45% qui se disent très satisfaits (vs 37% pour les achats effectués en magasin) et un taux de recommandation de 40%. Certes les scores tant en ligne qu’en magasin demeurent plus faibles que ceux que l’on peut observer pour d’autres catégories d’achat plus impliquantes mais n’en demeurent pas moins plus élevés que ceux relevés à l’issue d’un achat en magasin physique, démontrant une dynamique qui profite aujourd’hui au modèle hybride de l’achat alimentaire en ligne. »

    promise consulting, alimentaire, barometre, canal, digital, enseigne, hyoermarches

    Télécharger l’infographie : http://bit.ly/2nKLSP6

    ETUDE COMPLÈTE SUR DEMANDE AUPRES DE PHILIPPE.JOURDAN@PROMISECONSULTINGINC.COM

    EN SAVOIR PLUS SUR L’OUVRAGE « LE MARKETING DE LA GRENOUILLE » : http://bit.ly/1J9f7vi


    [1] Le Baromètre Cross-Canal mesure la performance comparée des circuits de distribution traditionnels et de e-commerce par segments de marché. Il fait suite aux enseignements d’un ouvrage de référence publié par Promise Consulting sur les Nouveaux Comportements de Consommation et intitulé « Le Marketing de la Grenouille » (Editions Kawa | http://bit.ly/2k1N4rf). Pour plus d’informations : http://promiseconsulting-consoblog.com.

    Lire la suite

  • Imprimer

    @Kawa @ygourven | Le "Digital expliqué à mon Boss" vient de sortir | @Editions_Kawa @FrenchWeb

    « LE DIGITAL EXPLIQUÉ À MON BOSS » : LE TOUT-PUISSANT CONSOMMATEUR DIGITAL 

    Philippe Jourdan, Valérie Jourdan et Jean-Claude Pacitto, respectivement associés fondateurs de Promise Consulting Inc. et chercheur associé à l’ESSCA, par leur expertise dans le marketing et le digital, ont souhaité apporter leur contribution au « Le Digital Expliqué à mon Boss », un ouvrage de Yann Gourvennec et Hervé Kabla édité chez Kawa à paraître le 16 mars. Le livre traite du digital, de son poids dans notre quotidien de consommateur mais aussi dans celui des entreprises.

    Lire la suite

  • Imprimer

    La rupture de stocks des calendriers de l’Avent | @adetem #distribution #Noël #beauté

    ARTICLE PARU DANS LES ECHOS.FR | VALERIE LEBOUCQ | 05/12/2016

    [LIRE L'ARTICLE EN LIGNE]

    [SUR LES MEMES THEMES CONSO - LE MARKETING DE LA GRENOUILLE]

    [ACHETER LE MARKETING DE LA GRENOUILLE]

    Après les marques de jouets et de chocolat, le secteur de la beauté a fait de ce rituel, hier enfantin, une nouvelle occasion de consommer. Et ca marche puisque des ruptures de stocks étaient constatées dès le 1 er décembre chez L’Occitane et Diptyque.

    Après la folie Black friday venue des Etats-Unis, un nouveau rituel de fin d'année s'est imposé ; celle du calendrier de l'Avent. Une invention d'origine germanique (comme le sapin), liée comme son nom l'indique, à la liturgie de Noël et popularisé dans les pays anglo-saxons par la Reine Victoria dont le prince consort Albert, était allemand. Ancré dans la tradition ce rituel enfantin destiné faire patienter les petits, a très vite donné des idées à la grande distribution et aux marques pour nous inciter à consommer.

    En France, les confiseurs comme Kinder ont été parmi les premiers à se lancer avec les calendriers fourrés au chocolat. Les fabricants de jouet n'ont pas tardé à proposer comme Playmobil et Lego des mini figurines cachées derrières les 24 (ou 25) petites cases à ouvrir chaque jour de décembre. «Une quarantaine de références existent rien que dans le jouet» ,relève Emilie Carle, directrice de la communication de Lego.

    calendrier de l'avent, noel, beauté, kinder, dyptique

    +10 % en 2015 et 2016 chez Lego

    La marque danoise, propose quant à elle trois calendriers différents, Lego Star Wars (autour des héros de la saga), Lego City qui met en scène les différentes professions de l'univers urbain et Lego Friends dont les mini poupées visent plutôt les filles. Et le succès ne se dément pas. «Les ventes qui avaient déjà progressé de 10 % en 2015, devrait enregistrer la même progression cette année » dit-elle. Prévoyant les parents les achètent dès le mois d'octobre et à partir de la Toussaint, « qui donne le coup d'envoi des cadeaux de Noël. Les calendriers sont devenus une nouvelle occasion d'offrir des jouets».

    calendrier de l'avent, noel, beauté, kinder, dyptique

    Vidéos sur Instagram

    La nouveauté des deux dernières années c'est l'arrivée en force des marques de beauté donnant l'occasion au magazine Cosmopolitan d'opérer un classement des 16 plus réussis. De The Body Shop (à 85 euros) à Estée Lauder (275 euros) en passant par Clarins (120 euros) toutes les marques s'y sont mises.

    calendrier de l'avent, noel, beauté, kinder, dyptique

    De même que les grandes enseignes spécialisées Séphora et Marionnaud qui proposent chacune le leur ou Monoprix Beauté (39,99 euros). Certaines n'ont pas vu assez grand  puisqu'elles étaient en rupture de stock dès le 1er décembre, telle L'Occitane ou dans un genre plus exclusif Diptyque, dont le calendrier illustré par le dessinateur parisien Pierre Marie (à 300 euros tout de même) proposaient un assortiment de miniatures eux de toilette, soin visage et mini bougies parfumées. Diptyque ne s'en est pas tenu là puisque la marque distille aussi chaque jour des petites vidéos sur Instagram visibles 24 heures uniquement.

    l'occitane, calendrier de l'avent, beauté

    Les marques de bijoux ne sont pas en reste et apportent une dimension ludique à leurs calendriers de l'Avent en découvrant chaque jour un nouveau bijou à gagner. Un parti pris adopté par l'hôtel parisien Jules & Jim. Un tirage au sort est organisé chaque soir pour les clients du bar (ouvert à tous pour l'occasion) qui si leur ticket est gagnant, repartent avec des cadeaux de grandes marques : Veuve Clicquot Vintage Rosé 2004, chocolats Jacques Genin, coffret Cristallerie Saint Louis Mix & Match....

    Marque Repère, la MDD d Leclerc, utilise aussi le ressort du jeu. Son calendrier à l'effigie des Mark's les mascottes figurant sur ses packaging de produits alimentaire et hygiène beauté , s'accompagne d'une application mobile de jeu autour de Noël: Go Mark's Run .Chez Bonne Maman la marque de confitures, le calendrier de l'Avent (adressé cette année aux seuls journalistes) sert peut-être de ballon d'essai pour des lancements futurs. Les 24 mini pots (format petits déjeuner d'hôtel) font découvrir des mélanges inédits : ananas yuzu, cerises cranberries, fraise verveine, myrtilles sirop d'érable....

    nature et decouverte, calendrier de l'avent

    Concours de pull overs de Noël

    Chez Nelly Rodi, l'agence spécialiste des tendances de la mode et l'art de vivre, Vincent Grégoire voit derrière le succès commercial le « signe fort d'une aspiration au retour à la tradition et aux rituels partagés en famille ou entre amis. Dans un quotidien anxiogène, les gens ont envie de se faire plaisir et d'offrir des petites attentions qui sont comme autant de clins d'oeil bienveillants ». ». Il note à cet égard le succès grandissant d'autres « rites » de fin d'année comme les soirée et les fêtes de Noël organisés entre amis ou collègues de bureaux. Elles aussi sont importées des pays anglo saxons où l'on ignore, en revanche les voeux et étrennes de janvier.

    (... / ...)

     

  • Imprimer

    Brick-and-mortar stores try to lure shoppers with service | @adetem #distribution

    DAILY HERALD | 12/04/2016

    [LIRE L'ARTICLE EN LIGNE]

    [LIRE SUR LE MÊME SUJET - LE MARKETING DE LA GRENOUILLE]

    [ACHETER L'OUVRAGE]

    ALEXANDRIA, Va. -- Outside a Best Buy store in suburban Washington, a throng of shoppers lined up early to pounce on the annual parade of Thanksgiving "doorbuster" deals that have come to mark the start of the holiday shopping season.

    But this year, the once-chaotic ritual had layers of efficiency: Shoppers got color-coded tickets guaranteeing they would receive the laptop or 4K television they came for. The entryway doors were opened just partway so customers had to enter single file instead of in a stampede.

    It was all aimed at making a harried experience go more smoothly. And between now and Christmas, some of the biggest names in retail are taking their own new steps to ease the hassles of shopping in an actual store.

    Lire la suite

  • Imprimer

    #Amazon Go: un point de vente connecté sans caisse et sans file d'attente | @adetem #distribution

    SIECLE DIGITAL | VALENTIN BLANCHOT | 05/12/2016

    [LIRE L'ARTICLE EN LIGNE]

    [POUR LIRE SUR LE MEME SUJET - MARKETING DE LA GRENOUILLE]

    [POUR ACHETER L'OUVRAGE]

    Amazon vient de dévoiler un concept de point de vente en rupture totale avec la conception de ceux que l’on connait pour la grande distribution alimentaire : Amazon Go.

    Derrière le Go, l’idée c’est « just grab and go! » Vous rentrez, prenez les produits qui vous intéressent et repartez. Il n’y a pas de caisses, tout se passe avec votre smartphone. Le comble de la technologie derrière Amazon Go, c’est qu’elle s’attaque à un secteur des plus rigides à l’intégration d’innovations : la grande distribution alimentaire. Si on a pu dire qu’Uber avait uberisé les taxis en créant ainsi une expression qui fera trembler bien des entreprises par la suite, on peut aujourd’hui remplacer uberisation pour amazonation pour la distribution alimentaire.

    Amazon avait déjà commencé à travailler un passage au points de vente physiques avec une librairie. À présent, Amazon Go vient compléter ces initiatives. C’est une nouvelle génération de magasin où les caisses n’existent plus. Il n’y a pas non plus besoin de scanner un produit. Le géant du ecommerce a équipé son magasin de capteurs, caméras, et intelligences artificielles pour détecter lorsqu’un produit est pris d’un rayon ou reposé. Ainsi il pourra remplir votre panier virtuel et lorsque vous quitterez le magasin facturer votre compte Amazon.

    La conception et l’assortiment d’Amazon Go sont entièrement dévoués à l’optimisation du temps passé dans le point de vente. Il y aura des produits prêt à manger (sandwichs, boissons, snacks), mais aussi des produits courants comme du lait, du chocolat, ou du fromage. Mieux encore, des Amazon Meal Kits seront proposés. Ils contiennent tous les ingrédients nécessaires pour cuisiner un repas pour deux en 30 minutes.

    Aucune information n’a été donnée sur la date précise d’ouverture du point de vente, à part un ‘début 2017′. Néanmoins, on sait qu’il fera un peu moins de 170 mètres carrés et est basé à Seattle.

    La raison d’être d’une telle innovation ? Le géant nous livRe sa réponse dans la page présentant sa technologie. « Il y a quatre ans nous nous sommes demandés : et si nous pouvions créer une expérience shopping sans files ni caisses ? Pourrions-nous repousser les limites de la vision par ordinateur et du machine learning pour créer un magasin où les clients pourraient simplement prendre ce qui les intéressent et ensuite partir ? Notre réponse à ces question c’est Amazon Go.