Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

amazon - Page 2

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | #Amazon #Business : les #achats #professionnels partout en #Europe | @LSA

    DE LSA |

    #Amazon #Business : les #achats #professionnels partout en #Europe

    Amazon étend son service dédié aux achats professionnels à l’Italie et l’Espagne, deux nouveaux pays sur lesquels les entreprises vont pouvoir capitaliser pour optimiser leurs dépenses mais également leurs ventes. Explications…

    Amazon

    Business se déploie progressivement à travers le monde. Après les États-Unis, l’Allemagne, la Grande-Bretagne, l’Inde, le Japon et depuis février dernier la France, c’est au tour de l’Italie et de l’Espagne de proposer ce service destiné aux achats professionnels. Calqué sur le modèle qui a fait le succès du site grand public, il propose une interface similaire avec la possibilité d’effectuer des recherches par produit, de comparer les offres ou encore de visualiser les commentaires d’autres acheteurs. Mais Amazon Business embarque aussi des fonctionnalités spécialement pensées pour les besoins des entreprises, telles que le paiement à 30 jours, la création des comptes multi-utilisateurs  avec la possibilité de créer des flux de validation, l’affichage des prix hors TVA pour les produits éligibles, l’accès à un système de reporting pour un meilleur suivi des dépenses ou encore l’ajout de numéros de bons de commande ou toute autre information facilitant la réconciliation comptable. Plus récemment, Amazon a aussi concrétisé une promesse faite lors du lancement, à savoir des prix exclusifs pour les entreprises et des remises sur les achats en volume. Responsable du support IT en charge des achats pour son service chez Webedia, Christophe Cuvinot se réjouit de ces évolutions : « Nous nous fournissons sur Amazon depuis cinq ans environ pour de l’équipement IT, du mobilier mais aussi des choses plus anecdotiques comme du vernis à ongles que nous utilisons parfois pour marquer nos écrans. Avec Amazon Business, je peux déléguer les achats tout en conservant le contrôle. Parallèlement, le rapprochement comptable est devenu beaucoup plus facile. Nous gagnons tous un temps précieux ». Spécialisé dans les médias en ligne, Webedia est une entreprise qui bouge vite avec des besoins qui peuvent changer du jour au lendemain. « Pour bénéficier de prix avantageux, il faut souvent acheter en volume ce qui nous oblige à immobiliser du budget alors que nous pouvons en avoir besoin pour des dépenses imprévues urgentes. De plus, nous n’avons pas la place pour stocker. Avec Amazon Business, cette problématique disparait parce que les prix sont compétitifs même quand on achète à l’unité et que la logistique est d’une efficacité telle qu’on n’a jamais peur d’être en rupture de stock », souligne Christophe Cuvinot. Et d’ajouter « Il arrive même que les prix sur Amazon soient plus intéressants que ceux négociés via des contrats-cadres traditionnels et, quand ce n’est pas le cas, la différence est tellement minime que la logistique d’Amazon fait toute la différence ».

    Ouvert à toutes les entreprises quelle que soit leur taille, Amazon Business est un service gratuit qui propose plus de 250 millions de produits, allant des composants informatiques aux fournitures de bureau en passant par des équipements spécialisés pour certains secteurs d’activité, tels que l’automobile, les écoles, les laboratoires, les restaurants ou les usines. Cinq mois après son lancement en France, il compte déjà de nombreux clients tels que Ralph Mansour, CEO et cofondateur de Le Closet, start-up française qui révolutionne la consommation de la mode : « Amazon Business a transformé de façon radicale nos achats professionnels. Grâce à l’automatisation des processus, nous gagnons un temps considérable ». Miles Wang, directeur des systèmes d’information et Product Management Officer chez Flornoy et Associés Gestion a également basculé il y a environ un mois ses achats du site grand public vers le service pour entreprises. « Depuis que nous utilisons Amazon Business, la tâche mensuelle de réconciliation entre les transactions de paiement et les pièces comptables a pu être simplifiée au point de faire économiser plusieurs heures de travail à mon équipe chaque mois », précise-t-il. CPO de Chateauform City et College, groupe spécialisé dans les séminaires résidentiels, Benjamin Abittan se réjouit pour sa part de la couverture de deux nouveaux pays : « Avec l’ouverture du service en Espagne et en Italie, nous allons renforcer l’optimisation de nos dépenses en permettant à nos entités partout en Europe de bénéficier d’une logistique locale et d’effectuer les commandes dans leur propre langue ».

    « L’arrivée du service sur amazon.it et amazon.es va profiter à toutes les entreprises françaises qui souhaitent optimiser leurs achats en se fournissant partout en Europe », confirme Amélie Veron, responsable Amazon Business en France. « Parallèlement, avec ces deux nouveaux pays, Amazon multiplie les opportunités pour les vendeurs français, grands comptes, PME ou TPE, d’étendre leur zone de chalandise aux entreprises européennes ». En effet le service est aussi ouvert aux vendeurs tiers, soit à toutes les entreprises françaises qui veulent profiter du savoir-faire d’Amazon pour non seulement étendre leurs ventes aux achats professionnels mais également à l’international.

     

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [ENGAGEMENT] | #UE : #Amazon, #Alibaba, #Rakuten et #eBay vont accélérer le #retrait des #produits #dangereux | @LSA

    DE LELIA DE MATHAREL | LSA | http://bit.ly/2txwUxp

    #UE : #Amazon, #Alibaba, #Rakuten et #eBay vont accélérer le #retrait des #produits #dangereux

    Les quatre grandes plateforme d'e-commerce se sont engagées auprès de la Commission européenne à raccourcir les délais de traitement des demandes de retrait de ces articles effectuées par les pays membres et les consommateurs.

    Quatre géants de l'e-commerce, les américains Amazon et eBay, le chinois Alibaba et la branche française du japonais Rakuten se sont engagés auprès de la Commission européenne à retirer rapidement les produits dangereux commercialisés sur leurs plateformes, en propre ou par des marchands tiers. Concrètement, ils disposeront d'un délai de deux jours pour répondre aux notifications relatives à ces produits publiées par les autorités des États membres et de cinq jours pour prendre des mesures concernant les articles signalés par des consommateurs. Ces derniers disposeront dès l'application de cet accord d'un moyen clair de signaler ces marchandises sur ces quatre sites.

    D'autres plateformes appelées à se joindre à cette initiative

    Rakuten France, Alibaba, Amazon et eBay formeront désormais les vendeurs tiers qui commercialisent des articles sur leurs sites sur ces questions et leur imposeront de se conformer à la législation. Pour l'instant, les mesures concrètes que prendront les quatre géants pour y parvenir n'ont pas été détaillées, mais on peut imaginer qu'ils fermeront les boutiques en ligne des entreprises qui ne respecteront pas la réglementation européenne. Les e-commerçants se sont également engagés à prévenir la réapparition de ces marchandises sur leur plateforme.

     
    Les clients "devraient disposer de la même sécurité lorsqu'ils effectuent des achats en ligne que lorsqu'ils font leurs achats dans un magasin", souligne Vera Jourová, commissaire européenne chargée de la justice, des consommateurs et de l'égalité des genres dans un communiqué. "J'appelle également les autres marchés en ligne à se joindre à cette initiative, afin qu'internet devienne un espace plus sûr pour les consommateurs de l'UE", poursuit-elle.

     

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #Amazon va #installer #1000 #consignes dans les #gares #françaises | @FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2lrSf7h

    #Amazon va #installer #1000 #consignes dans les #gares #françaises

    Le géant américain de la vente en ligne Amazon et SNCF Gare & Connexions annoncent le déploiement prochain de consignes Amazon Lockers dans 980 gares de France. Un millier de points de retrait qui viendront s’ajouter aux 250 « Collect & Station » déjà déployés sur le réseau ferroviaire en partenariat avec La Poste.

    La première consigne Amazon en gare a été inaugurée le 20 juin à la gare de Lyon. Un « Amazon Lockers » pour l’occasion décorée par le street artiste Taore, du collectif Quai 36. « Par son ampleur inédite, ce projet témoigne aussi de la force de frappe des équipes de SNCF Gares & Connexions au service de toutes les gares de France », indique Patrick Ropert, directeur général de SNCF Gares & Connexions.

    Dans la pratique, les clients d’Amazon pourront choisir les Amazon Lockers situés sur leur parcours au moment du choix d’adresse de livraison. Un code de retrait est par la suite communiqué au client dès la livraison du colis. Une démarche qui, indique Amazon, prendrait 15 secondes et est compatible avec les offres de livraison en un jour ou express.

    Il s’agit d’une prise particulièrement stratégique pour Amazon, les gares étant les rares lieux de passage publics et couvert se prêtant à ce type d’installation apparu au début des années 2000, en complément de la montée en puissance des points de retrait chez les commerçants. Les espaces commerciaux ne sont pas en reste, Auchan annonçant l’an passé le déploiement dans ses galeries de consignes Packcity développées par Neopost, ce à quoi se sont également essayés Darty, Decathlon, Auchan ou Undiz. Pour l’heure, aux 350 Pickup de la Poste s’ajouteraient une centaine de consignes Packcity.

    Cette annonce de déploiement d'ampleur d’Amazon intervient quelques jours seulement après le lancement en France de l’enceinte connectée du groupe, Alexa. Un concurrent direct de Google Home, qui permet notamment de commander un produit sur simple demande orale, et dont le lancement tricolore avait été maintes fois repoussé.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | Avec #Alexa for #Hospitality, #Amazon veut séduire les #hôteliers | @LUSINEDIGITALE

    DE LENA CORDOT | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2K6eJIU

    Avec #Alexa for #Hospitality, #Amazon veut séduire les #hôteliers

    Avec son offre Alexa for Hospitality, le géant du e-commerce qui a récemment lancé Alexa en France, s'attaque au marché du tourisme. Objectif : équiper les chambres d'hôtel de l'enceinte connectée Echo afin que leurs clients puissent passer diverses commandes directement par la voix, du room service à la gestion de la lumière en passant par la réservation d'activités.

    Amazon mise sur la dépendance à son assistant vocal Alexa, même pendant les vacances ou les déplacements professionnels. Le géant du e-commerce a annoncé mardi 19 juin 2018 la sortie d'une offre spécialement conçue pour les hôtels ou autres logements de location : "Alexa for Hospitality". Un premier client s'est déjà fait connaître. La chaîne Marriott International va déployer la solution dans plusieurs de ses hôtels

    ALEXA PEUT ÊTRE CONFIGURÉ SELON LES BESOINS

    En déployant l'enceinte connectée Echo dans les chambres, les hôteliers permettent l'usage d'Alexa par leurs clients. Ces derniers pourront demander à Alexa diverses informations sur les horaires d'ouverture de la piscine, les massages proposés, le centre de fitness le plus proche, etc. Les hôtels peuvent configurer l'assistant vocal à leur guise afin de permettre la commande auprès du room service, la réservation auprès d'un spa ou pour un massage, ou plus simplement permettre aux clients de régler la lumière, la climatisation ou la télévision de leur chambre.

    Chaque hôtelier peut "customiser" l'assistant vocal à sa convenance en ajoutant les fonctionnalités souhaitées. Par exemple, les clients des hôtels Marriott peuvent demander à Alexa de diffuser une conférence TED Talk. Les premiers hôtels de Marriott International équipés (le Charlotte Marriott City Center et le Marriott Irvine Spectrum, situés aux Etats-Unis) vont permettre au groupe d'étudier les retours des clients et le taux d'adoption de la solution afin de savoir quelles compétences et fonctionnalités ajouter.

    QUESTIONS AUTOUR DE LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE

    Mais Amazon promet déjà une nouvelle fonctionnalité. Bientôt Alexa for Hospitality aura une option permettant aux clients de connecter temporairement leur propre compte Amazon à l'appareil compatible avec Alexa dans leur chambre, explique le géant du e-commerce dans un communiqué. Il sera ainsi possible d'utiliser ses propres services et comptes. Une fois le check-out effectué, Alexa for Hospitality déconnecte automatiquement le compte Amazon, assure Amazon. Protection de la vie privée oblige.

    A ce propos, The Verge précise que l'enregistrement des commandes vocales passées auprès d'Alexa est supprimé tous les jours et que les hôtels n'ont pas accès à ces enregistrements (que ce soit les demandes faites ou les réponses d'Alexa). Une question de vie privée essentielles pour que les clients acceptent d'avoir l'enceinte connectée Echo et sa technologie vocale Alexa dans leur chambre d'hôtel.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Microsoft veut #défier #Amazon sur les #magasins #sans #caisse | @FASHIONNETWORK

    FASHION NETWORK | http://bit.ly/2LWpAlV

    #Microsoft veut #défier #Amazon sur les #magasins #sans #caisse

    San Francisco (Reuters) - Microsoft travaille sur une technologie qui permettrait de se passer des caisses et des caissiers dans les magasins, afin de concurrencer Amazon.com, qui a ouvert un supermarché automatique, selon six sources proches du dossier.

    Le géant américain du logiciel développe un système qui enregistre automatiquement les articles que le client met dans son chariot, précisent les sources. Microsoft a présenté sa technologie à des distributeurs dans le monde entier et discuté avec Walmart d’une éventuelle collaboration, selon trois d’entre elles.

    La technologie de Microsoft vise à concurrencer Amazon Go, un concept de supermarché sans caisse, entièrement automatisé, dont le premier magasin a été ouvert en janvier à Seattle. Dans ce supermarché, les clients sont reconnus à l’entrée du magasin via leur smartphone et ils sont ensuite suivis par des caméras et des capteurs capables d’identifier les articles qu’ils prennent sur les étagères. Lorsque le client a fini ses courses, il sort simplement du magasin et Amazon génère une facture via la carte de paiement enregistrée dans son dossier.

    Le géant américain de la distribution en ligne, qui a déjà bouleversé le commerce sur internet, compte ouvrir bientôt deux autres magasins automatisés à Chicago et à San Francisco.

    On ne sait pas à quelle échéance Microsoft mettra sur le marché un service de caisse automatisée, si sa technologie répondra aux besoins des distributeurs. Mais certains voient en elle la prochaine grande innovation en matière de shopping.

    « C’est l’avenir (...) », a dit Gene Munster, directeur de la recherche chez Loup Ventures, qui évalue le marché américain à 50 milliards de dollars (42,2 milliards d’euros). Le travail de caissier fournit un grand nombre d’emplois aux Etats-Unis.

    Sollicité, Microsoft a fait savoir qu’il « ne commentait pas les rumeurs ou les spéculations ». Walmart et Amazon n’ont pas souhaité s’exprimer.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [SERVICE] | #Walmart tente de #concurrencer #Amazon #Prime avec un #service de #commande par #SMS | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | 

    #Walmart tente de #concurrencer #Amazon #Prime avec un #service de #commande par #SMS 

    Aux Etats-Unis, Walmart Inc lance un service de livraison le jour même qui permet aux clients de commander par SMS. Une nouvelle étape dans sa stratégie de développement du e-commerce pour concurrencer son rival Amazon.

    Appelé Jetblack, ce service permet aux clients de commander des articles sur Walmart.com mais aussi sur les sites des concurrents. Il fait partie de l’incubateur de start-ups interne de Walmart, Store No. 8. Jetblack est déjà disponible dans certaines zones de New York et devrait être étendu au reste des États-Unis petit à petit.

    « Nous essayons d’imaginer des technologies révolutionnaires qui changent la façon d’acheter », résume Jenny Fleiss, co-fondatrice et présidente-directrice de Jetblack. Elle est aussi co-fondatrice du site de location d’articles de mode Rent The Runway. Selon Jenny Fleiss, le retail du futur sera grandement conditionné par sa capacité à proposer une expérience de shopping personnalisée à travers le SMS et le chat en ligne.

    Le géant de la distribution américain injecte des milliards de dollars dans le développement de son activité de e-commerce et a récemment annoncé des partenariats avec des sociétés de logistiques pour livrer les produits commandés en ligne. Deux de ces partenariats, que Walmart avait conclu avec les services de VTC Uber et Lyft, se sont cependant terminés, soulignait Reuters le mois dernier.

    Jetblack, disponible via un abonnement mensuel de 50 dollars (43 euros environ), proposera la livraison le jour même et le jour suivant sans frais supplémentaires. Le défi de ce service consiste à réussir à concurrencer les autres services d’abonnement comme Amazon Prime et Prime Now, déjà bien installés et populaires auprès des citadins.

    Jenny Fleiss rapporte que les clients qui ont pris part au test pilote achètent en général une dizaine d’articles par semaine avec Jetblack. Le service se différencie en proposant des produits du quotidien via Walmart et Jet.com, tout en permettant aux clients de commander des articles de concurrents comme le géant de la cosmétique Sephora ou certaines marques locales.

    Jetblack enverra aussi une notification par SMS aux acheteurs s’ils sont sur le point de tomber en panne d’un produit qu’ils ont déjà commandé. Le service utilise une intelligence artificielle pour proposer des sélections de produits, révèle Jenny Fleiss.